:storygreen: :s15: đŸ‡”đŸ‡č :grootsporting: O LeĂŁo de Lisboa

RĂ©ponses aux lecteurs

@CaptainAmericka Et c’est pas finis :hoho:

@Nehoc chut :sac:

- Luis Campos profite des vacances d’Anibal -

Anibal se dĂ©lectait du soleil de Zanzibar, profitant d’une rare pause dans son emploi du temps chargĂ©. AllongĂ© sur une chaise longue, il savourait le bruit des vagues et la brise marine, cherchant Ă  oublier, ne serait-ce qu’un instant, les tumultes de la saison passĂ©e. Pourtant, mĂȘme Ă  des milliers de kilomĂštres de chez lui, le football restait omniprĂ©sent dans son esprit.

Il venait de se glisser dans une somnolence agrĂ©able quand son tĂ©lĂ©phone sonna, interrompant le calme apaisant de l’aprĂšs-midi. Le nom de Luis Campos s’affichait sur l’écran. Anibal fronça les sourcils, sachant que si le directeur sportif l’appelait pendant ses vacances, ce devait ĂȘtre important.

« Salut, Luis. Quelle est l’urgence ? » rĂ©pondit-il d’une voix encore endormie.

« Anibal, désolé de te déranger, mais il fallait que je te tienne au courant des derniers mouvements du club. »

Anibal se redressa, attentif. Luis Campos était un homme de décisions rapides et efficaces. Il savait que cet appel ne serait pas pour discuter des banalités.

« D’accord, je t’écoute. Qu’est-ce qui se passe ? »

Luis prit une inspiration avant de commencer Ă  Ă©numĂ©rer les changements. « Nous avons dĂ©cidĂ© de prĂȘter Juli Luque et Vitor Ricardo Ă  Casa Pia au Portugal. Ils ont besoin de temps de jeu pour se dĂ©velopper. Jesus Rey va dĂ©couvrir Albacete, et Abdullah Al-Dossari jouera Ă  Genk en Belgique. Simon Moya va Ă©voluer Ă  Benfica cette saison, ce qui est une grande opportunitĂ© pour lui. Enfin, Mario Martin part Ă  AlavĂšs pour 3,5 millions d’euros conformĂ©ment Ă  ton souhait. »

Anibal hocha la tĂȘte en silence, absorbant ces informations. Chaque mouvement semblait rĂ©flĂ©chi et bĂ©nĂ©fique pour les joueurs concernĂ©s. Luis faisait un excellent travail pour optimiser l’équipe.

« Tout cela me semble logique, Luis. Bon boulot. Y a-t-il autre chose ? Des nouvelles des recrues potetielles ? » demanda Anibal, sentant qu’une nouvelle importante suivait.

Luis hĂ©sita un instant avant de continuer. « Oui, il y a une derniĂšre chose. Pep GironĂšs et Andrey
 »

Le cƓur d’Anibal se serra. Pep GironĂšs Ă©tait un Ă©lĂ©ment fort de l’équipe, un joueur talentueux et dĂ©terminant qui s’était rapidement imposĂ© entre dĂ©fense central et milieu de terrain. Andrey Ă©tait lui devenu le pilier du milieu de terrain.

« Qu’est-il arrivĂ© Ă  Pep et Andrey ? » demanda-t-il avec une pointe d’inquiĂ©tude.

« Ruben Amorim a levĂ© sa clause de 19,5 millions d’euros. Pep va rejoindre SĂ©ville. Andrey a lui vu sa clause de 24.5M€ levĂ© par Brentford. »

Un silence lourd s’installa. Anibal savait que ce genre de mouvements faisait partie du football, mais perdre des joueurs comme Pep GironĂšs ou Andrey Ă©tait un coup dur.

« C’est une grosse perte, Luis. Mais je comprends. C’est le jeu. Je compte sur toi pour nous trouver une alternative sur le marchĂ©. On pourra vite en parler je rentre lundi. Pour Andrey, nous savions que cela arriverais de toute maniĂšre. » rĂ©pondit-il finalement, tentant de garder une voix posĂ©e malgrĂ© la dĂ©ception.

Luis soupira. « Oui, c’est dur. Mais nous allons nous renforcer et avancer. J’ai dĂ©jĂ  quelques pistes pour des recrues. Je voulais juste te tenir au courant personnellement. »

Anibal remercia Luis pour sa transparence et raccrocha, se laissant retomber sur sa chaise longue. Les vacances Ă©taient censĂ©es ĂȘtre un moment de dĂ©tente, mais le football ne le laissait jamais vraiment tranquille. Il rĂ©flĂ©chit Ă  la prochaine saison, aux ajustements nĂ©cessaires pour compenser la perte de Pep.

Il envoya un message Ă  Ruben Amorim, mĂ©langeant fĂ©licitations et taquineries, comme ils avaient l’habitude de le faire :

« Félicitations pour Pep, Enfoiré. Prends-en soin, tu en auras besoin quand on vous battra la prochaine fois. »

Le dĂ©fi Ă©tait lancĂ©. Anibal savait que le chemin serait semĂ© d’embĂ»ches, mais il Ă©tait prĂȘt Ă  relever tous les obstacles. Zanzibar pouvait attendre ; l’appel du terrain Ă©tait plus fort que jamais.

- Chapitre 160 -
- Ruben Amorim rejoint le FC Seville -
- Chapitre 162 -
Coming SOON - 30/05
13 « J'aime »

L’enflure :joy:

Pep GironĂšs et Andrey Ă©taient des joueurs importants. MĂȘme si Luis a dĂ©jĂ  dĂ©montrĂ© tout son talent pour dĂ©nicher quelques perles, il va falloir ne pas se louper sur ce coup lĂ .

1 « J'aime »

Avec les clauses libĂ©ratoires, c’est toujours galĂšre

1 « J'aime »

Je trouve qu’il a plutĂŽt bien rĂ©agit
 Pas sĂ»r que tous les coachs auraient seulement « d’accord c’est le jeu Â» :sweat_smile:

Mais on compte sur Luis pour dénicher 2 futurs talents !

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@Nehoc ouais c’est une salope. C’est le jeu des clauses, mais j’ai aucun doute sur la qualitĂ©s des remplaçants :sac:

@Rhino c’est ça.

@CaptainAmericka t’inquiùte on va monter en tension.

- Le jeune espoir Granell quitte l’Espanyol ! -

Le soleil se couchait sur Valladolid, mais dans le bureau de Luis Campos, les lumiĂšres restaient allumĂ©es. Toujours Ă  l’affĂ»t d’une bonne affaire sur le mercato, Luis venait de repĂ©rer une opportunitĂ© qui pouvait changer la donne pour le Real Valladolid. Antoni Granell, le jeune buteur prodige de l’Espanyol, avait refusĂ© de signer un contrat professionnel avec son club formateur. À seulement 16 ans, il avait dĂ©jĂ  marquĂ© deux buts en Liga, attirant l’attention des grands clubs espagnols. Cependant, son dĂ©saccord avec l’Espanyol ouvrait une fenĂȘtre d’opportunitĂ© que Luis ne voulait pas laisser passer.

Luis saisit son tĂ©lĂ©phone et appela Anibal GuimarĂŁes, l’entraĂźneur de Valladolid. Anibal, conscient de l’Ɠil aiguisĂ© de Luis pour le talent, prit l’appel avec intĂ©rĂȘt.

« Anibal, j’ai quelque chose de gros. Antoni Granell de l’Espanyol refuse de signer pro avec eux. Le gamin a marquĂ© deux buts en Liga Ă  16 ans. C’est un talent gĂ©nĂ©rationnel, on l’a affrontĂ© en Copa del Rey. Tu te souviens. » dit Luis d’une voix pressĂ©e.

« Antoni Granell ? Oui, j’ai entendu parler de lui. Un talent brut, rapide, et une technique impressionnante pour son Ăąge. Il m’avait impressionnĂ© pour son Ăąge quand on l’a affrontĂ©. Que proposes-tu ? » rĂ©pondit Anibal.

« Il est disponible pour 2,5 millions d’euros. C’est une somme modeste pour un joueur de son calibre et de son potentiel. Infante semble atteindre son prime, mais avoir Granell dans nos rangs serait un atout Ă©norme pour l’avenir, » expliqua Luis.

Anibal rĂ©flĂ©chit un moment, pesant les options. « C’est un investissement, mais si tu penses qu’il en vaut la peine, je te fais confiance. Nous devons toujours penser Ă  l’avenir, surtout avec un talent comme Granell. Allons-y. Il faudra peut ĂȘtre penser Ă  prĂ©voir de le prĂȘter lui ou Mohamed en Janvier selon les temps de jeu. »

Luis sourit, satisfait de la rĂ©ponse de son collĂšgue. « Parfait. Je vais faire le nĂ©cessaire pour finaliser le transfert avant que d’autres clubs ne se rĂ©veillent et ne s’emparent de l’opportunitĂ©. »

Quelques jours plus tard, l’annonce officielle fut faite : le Real Valladolid avait signĂ© Antoni Granell pour 2,5 millions d’euros. Ce transfert surprit le monde du football espagnol. Le Real Madrid, le Barça et Villarreal furent pris de court, n’ayant pas anticipĂ© une telle rapiditĂ© et dĂ©termination de la part de Valladolid.

La nouvelle fit la une des journaux sportifs. Granell, le jeune prodige, avait choisi Valladolid pour poursuivre sa carriĂšre, attirĂ© par la promesse de temps de jeu et de dĂ©veloppement sous la houlette d’Anibal et la supervision de Luis Campos. Les supporters de Valladolid Ă©taient euphoriques, voyant en Granell un futur pilier de leur attaque.

Anibal et Luis regardaient les rĂ©actions avec satisfaction. Ils savaient qu’ils avaient rĂ©ussi un gros coup sur le mercato, posant une pierre de plus dans le projet ambitieux de Valladolid. Granell, en confĂ©rence de presse, exprimait sa joie de rejoindre un club oĂč il sentait qu’il pourrait vraiment s’épanouir.

« Je suis trĂšs heureux d’ĂȘtre ici. Le projet de Valladolid est excitant, et je suis impatient de travailler avec le coach GuimarĂŁes et de prouver ma valeur sur le terrain, » dĂ©clara Granell avec un sourire confiant.

Le recrutement d’Antoni Granell fut un moment marquant pour Valladolid, prouvant une fois de plus que, sous la direction d’Anibal et de Luis, le club n’avait pas peur de viser haut et de saisir les opportunitĂ©s qui se prĂ©sentaient.

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Cliquez sur les faces pour voir le screen.

- - - Antoni
Granell - -
Âge
16
Formation :spain: :espanyol: Espanyol barcelone
Nationalité :spain: Espagnol
SĂ©l/Buts
INT U20
Stats
3 APP | 2 buts | - 2 P.D
- Chapitre 161 -
- Campos profite des vacances d’Anibal -
- Chapitre 163 -
Coming SOON - 31/05
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Bordel, quel talent !
Le gamin, il va faire mal c’est certain.

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Sacré jeu de temps malgré sa taille

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Quelles vacances !!! Je vois qu’Anibal aime toujours jouer avec Ruben Amorin. En attendant vivement que l’on voit comment vont ĂȘtre remplacer Pep Girones et Andrey

1 « J'aime »

Une belle pépite. A voir maintenant son développement dans les années à venir

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Nehoc imagine 2M :hoho: vas y avoir de l’enjeu cette saison entre Infante bien installĂ©, Al-Ali qui peine et Granell qui arrive. Probablement que le moins performant sera prĂȘtĂ© Ă  un moment.

@Tiien il a un trĂšs beau profil oui.

@VertPourToujours, on a pas le temps de se reposer clairement. Encore un peu de patience pour ces postes,

@Rhino il faut surement un peu de patience.

- Sevilla offre 45M€ pour estevão -

Alors que le Real Valladolid se prĂ©pare Ă  redĂ©couvrir les compĂ©titions europĂ©ennes avec le dĂ©but imminent de la Conference League, une atmosphĂšre de nervositĂ© et d’excitation rĂšgne dans les couloirs du club. L’équipe d’Anibal GuimarĂŁes est sur le point de faire son retour sur la scĂšne continentale, une premiĂšre depuis des dĂ©cennies. Cependant, cette perspective est assombrie par des rumeurs persistantes de transfert entourant l’une de leurs stars montantes : EstevĂŁo.

Depuis son arrivĂ©e Ă  Valladolid, EstevĂŁo est devenu un pilier de l’équipe grĂące Ă  ses performances Ă©clatantes. Son talent n’est pas passĂ© inaperçu, et de nombreux clubs europĂ©ens commencent Ă  s’intĂ©resser Ă  lui. RĂ©cemment, Luis Campos, le directeur sportif du club, a reçu une offre substantielle de 45 millions d’euros de la part du Sevilla FC. Bien que cette offre soit impressionnante, elle reste infĂ©rieure Ă  la clause libĂ©ratoire fixĂ©e pour le joueur.

EstevĂŁo, conscient de l’intĂ©rĂȘt croissant autour de lui, est Ă  l’écoute du marchĂ©, mais il a clairement exprimĂ© qu’il ne forcerait pas un dĂ©part, Ă  moins qu’un projet d’envergure ne se prĂ©sente. Mis au courant de l’offre de SĂ©ville, Anibal GuimarĂŁes dĂ©cida de convoquer EstevĂŁo pour une discussion franche et honnĂȘte sur son avenir et le projet du club.

quelques minutes plus tard dans le bureau d’Anibal Guimarães

Anibal : « EstevĂŁo, merci d’ĂȘtre venu. Je voulais te parler de l’offre de SĂ©ville. Je sais que 45 millions d’euros, c’est une belle somme, mais elle est infĂ©rieure Ă  ta clause libĂ©ratoire. Je voulais avoir ton avis sur la situation. »

EstevĂŁo : « Coach, je suis au courant de l’offre. SĂ©ville est un grand club, mais je suis heureux ici Ă  Valladolid. Ce qui m’intĂ©resse, c’est de savoir quel est le projet du club et comment je m’intĂšgre dedans. »

Anibal : « Je comprends parfaitement. Sache que nous avons des ambitions Ă©levĂ©es. La Conference League est notre premiĂšre Ă©tape pour nous installer durablement en Europe. Voyons comment le tirage va se passer et prenons les choses tour par tour. L’arrivĂ©e de Diego Mauricio est une preuve de notre engagement Ă  renforcer l’équipe, et nous avons un dĂ©fenseur trĂšs prometteur qui va nous rejoindre bientĂŽt, il arrive de Fluminense ! »

EstevĂŁo : « C’est rassurant Ă  entendre, coach. Je veux jouer l’Europe, et je veux le faire avec un projet solide. Si je vois que le club est sĂ©rieux et que nous avons une chance de progresser, alors je n’ai aucune raison de partir. »

Anibal : « Je te garantis que nous sommes sérieux. Je veux que tu sois un leader dans cette équipe. Ta présence est cruciale pour notre réussite. »

EstevĂŁo : « Dans ce cas, je suis prĂȘt Ă  rester et Ă  me battre pour Valladolid. Je suis convaincu par le projet mais il faut que vous continuiez Ă  renforcer le groupe. »

RassurĂ© par cet Ă©change, Anibal savait qu’il devait encore gĂ©rer une autre situation Ă©pineuse. Il prit son tĂ©lĂ©phone et appela Ruben Amorim, l’entraĂźneur de SĂ©ville et un ancien collĂšgue.

Anibal : « Ruben, c’est Anibal. Écoute, je voulais te parler de ton intĂ©rĂȘt pour EstevĂŁo. Je comprends que tu veux renforcer ton Ă©quipe, mais je te demande de cesser de convoiter mes joueurs. Je te rappellerais qu’il est interdit de contacter des joueurs sous contrat sans l’accord de leur club. Pep GironĂšs, EstevĂŁo. Au prochain coup comme ça, je m’occupe personnellement de ton cas. »

Amorim : « Anibal, tu sais comment ça marche. Je dois faire ce qui est le mieux pour SĂ©ville. EstevĂŁo est un joueur de qualitĂ©, et je pense qu’il serait un atout pour nous. Tes menaces ne m’impressionne pas plus que ton niveau tactique. Reste dans ta zone de confort et laisse les grands travailler. »

Anibal : « Je respecte cela, mais nous avons nos propres ambitions. Nous voulons bĂątir quelque chose de solide ici, et EstevĂŁo en fait partie. Je te demande simplement de respecter notre projet. Et tu ferais mieux de te mĂ©fier. Je n’hĂ©siterais pas Ă  montrer au monde ton vrai visage. Je sais bien que tu n’a jamais accepter que je sois meilleur que toi. MĂȘme au Sporting ils s’en sont rendus compte »

Amorim : « TrÚs bien, Anibal. Je comprends ton point de vue. Mais sache que dans ce métier, les amitiés et les rivalités vont de pair. Bonne chance pour la Conference League. Et à notre prochain affrontement ne viens pas pleurer quand nous souillerons votre stade. »

Anibal : « Merci, Ruben. Oublies-moi et prépares toi bien. Je te mettrais au chÎmage. »

Ce coup de fil marqua une rupture dans la cordialitĂ© qui existait autrefois entre les deux entraĂźneurs. Cependant, Anibal savait que protĂ©ger son projet et ses joueurs Ă©tait primordial. Avec EstevĂŁo engagĂ© Ă  rester et de nouvelles recrues prometteuses, Valladolid semblait prĂȘt Ă  affronter les dĂ©fis europĂ©ens Ă  venir. Les supporters, galvanisĂ©s par la loyautĂ© de leur star et les ambitions du club, pouvaient espĂ©rer un avenir brillant sur la scĂšne europĂ©enne.

- Chapitre 162 -
- La pĂ©pite Granell quitte l’Espanyol ! -
- Chapitre 164 -
Coming SOON - 01/06
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Ufc 207 Mma GIF by UFC

Octogoooone !

2 « J'aime »

Bonne nouvelle que le joueur reste, lui qui s’est bien imposĂ© au sein de l’équipe-

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RĂ©ponses aux lecteurs

@Manthyz chiche ?

@Rhino oui mais pour combien de temps :sadpepe:

- un crack brésilien renforce la Pucela -

Le soleil commençait Ă  se coucher sur le stade, peignant le ciel de nuances dorĂ©es et pourpres. Anibal et Luis Campos, assis confortablement en tribune, observaient avec attention le match entre les Ă©quipes U20 de la France et du BrĂ©sil. Les jeunes talents sur le terrain donnaient le meilleur d’eux-mĂȘmes, mais un joueur en particulier attira leur attention : Alaor PeixĂŁo Freitas.

PeixĂŁo, dĂ©fenseur central brĂ©silien, se dĂ©marquait non seulement par sa soliditĂ© dĂ©fensive, mais aussi par sa polyvalence. Il n’hĂ©sitait pas Ă  monter et Ă  s’intĂ©grer dans le milieu de terrain, montrant une vision de jeu et une technique qui dĂ©passaient largement son Ăąge. Son calme et sa maturitĂ© sur le terrain Ă©taient impressionnants. Et que dire de son jeu de tĂȘte. Il Ă©limina pratiquement Ă  lui seul la France avec deux buts du casque.

Anibal et Luis se regardĂšrent, Ă©changeant un sourire complice. Ils savaient qu’ils avaient peut-ĂȘtre trouvĂ© une pĂ©pite. Pour en savoir plus, ils dĂ©cidĂšrent de profiter de la prĂ©sence d’un recruteur de renom, bien connu de Ronaldo : Juni Calafat, le lĂ©gendaire recruteur du Real Madrid lui aussi prĂ©sent en tribunes.

AprĂšs le match, Anibal et Luis s’approchĂšrent de Calafat, qui observait Ă©galement les jeunes talents avec un Ɠil expert.

« Juni, bonsoir. Nous avons été impressionnés par le jeune Peixão. Que peux-tu nous dire sur lui ? » demanda Luis.

Califat, reconnaissant les deux hommes, leur offrit un sourire. « Alaor PeixĂŁo est un crack gĂ©nĂ©rationnel. Il est capable de jouer en dĂ©fense centrale, latĂ©ral, libĂ©ro et mĂȘme plus haut au milieu de terrain. Le Real Madrid est intĂ©ressĂ©, mais malheureusement, nous n’avons pas de place pour lui actuellement dans notre Ă©quipe premiĂšre. Si vous avez une opportunitĂ© de le signer, je vous conseille de ne pas hĂ©siter. »

EncouragĂ©s par ces mots, Anibal et Luis prirent rapidement contact avec les reprĂ©sentants de PeixĂŁo. Quelques jours plus tard, une rencontre fut organisĂ©e avec le jeune joueur et son entourage. Ils se retrouvĂšrent dans un cafĂ© discret de Cannes, loin de l’agitation des stades du festival toulonnais.

« Alaor, nous avons été trÚs impressionnés par ta performance lors du match contre la France. Nous croyons en ton potentiel et nous aimerions que tu rejoignes le Real Valladolid. Nous pensons que tu pourrais devenir un élément clé de notre équipe, » expliqua Anibal.

PeixĂŁo, attentif, Ă©coutait chaque mot avec intĂ©rĂȘt. Il Ă©tait flattĂ© par l’intĂ©rĂȘt que lui portaient Anibal et Luis, des figures respectĂ©es dans le monde du football.

« Je suis trĂšs honorĂ© par votre proposition. J’ai toujours rĂȘvĂ© de jouer en Europe et de me dĂ©velopper dans un club qui croit en moi. Si Valladolid m’offre cette chance, je suis prĂȘt Ă  la saisir, » rĂ©pondit PeixĂŁo avec dĂ©termination.

Luis Campos, voyant la détermination dans les yeux du jeune joueur, ajouta : « Nous avons un projet ambitieux à Valladolid. Nous voulons construire une équipe jeune et dynamique, capable de rivaliser avec les meilleurs. Avec toi, nous croyons que nous pouvons atteindre cet objectif. »

La dĂ©cision fut rapide. Alaor PeixĂŁo, emballĂ© par le projet et la confiance que lui tĂ©moignaient Anibal et Luis, n’hĂ©sita pas une seconde avant de signer avec le Real Valladolid qui n’eu aucun mal Ă  se mettre d’accord avec son club de Fluminense. L’affaire fut pliĂ© pour a peine plus d’une quinzaine de millions d’euros. La nouvelle de son arrivĂ©e fit rapidement le tour des mĂ©dias sportifs, saluant la clairvoyance et la capacitĂ© de Valladolid Ă  attirer des talents prometteurs.

L’arrivĂ©e de PeixĂŁo injecta une dose d’enthousiasme et de confiance dans l’équipe. Les supporters, impatients de voir ce jeune prodige en action, remplissaient les tribunes pour les matchs d’entraĂźnement. PeixĂŁo, conscient des attentes placĂ©es en lui, se montrait Ă  la hauteur, impressionnant ses coĂ©quipiers et ses entraĂźneurs par son talent et son Ă©thique de travail.

Anibal et Luis Campos, satisfaits de leur acquisition, savaient qu’ils avaient fait un coup de maĂźtre. Le futur de Valladolid semblait plus prometteur que jamais, avec Alaor PeixĂŁo comme nouvelle pierre angulaire de leur dĂ©fense.

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- - -
PaixĂŁo - -
Âge
18
Formation :brazil: :fluminense: Fluminense
Nationalité :brazil: :portugal: brésilien
SĂ©l/Buts
[INT U23]
Apparitions
35 APP
Statistiques
1 buts | 2 passes D
- Chapitre 163 -
- Seville propose 45M€ pour Estevão -
- Chapitre 165 -
Coming SOON - 23/04
14 « J'aime »

Bordel ces 2 pĂ©pites que tu nous as dĂ©nichĂ© lĂ  ! Paixao est incroyable !! Nul doute qu’il va rapidement devenir une lĂ©gende du club s’il parvient Ă  rester plus de 2 saisons, tellement il est fort


Par contre, la rivalitĂ© entre Amorim et Anibal commence Ă  sentir le gaz là
 Ca va forcĂ©ment Ă©clater.

1 « J'aime »

Il donne chaud ce brésilien :hot_face:

1 « J'aime »

Quelle recrue encore. A ce rythme, Valladolid viendra vite embĂȘter les tĂ©nors de Liga.

Ca ne rigole plus entre Amorin et Anibal. Leur retrouvaille s’annonce Ă©lectrique


1 « J'aime »
Résumé

@CaptainAmericka, PaixĂŁo je l’ai repĂ©rĂ© quand j’ai signĂ© Diego Mauricio, j’ai vu le lascar j’ai parlĂ© chinois. J’ai du faire une dizaine d’offre sur la saison il voulait jamais venir. Puis quand la qualif en Europe est devenu officielle il a fini par ĂȘtre ouvert Ă  l’idĂ©e :hoho: Je me suis pas privĂ©.

Oui Amorim on va se le faire.

@Rhino et c’est pas fini.

@Nehoc On se renforce mais les autres aussi. Faut voir les effectifs du Real, Barça, Valencia, Real Sociedad


- Thiago Rubio volé à la Juventus par Anibal -

Alors que les rumeurs de transfert s’intensifiaient et que Claudio Echeverri attirait les convoitises des plus grands clubs europĂ©ens, le Real Valladolid se retrouvait dans une position dĂ©licate. Luis Campos, directeur sportif du club, savait qu’il fallait agir rapidement et intelligemment pour prĂ©parer un plan B.

Thiago Rubio, jeune ailier polyvalent formĂ© Ă  River Plate, Ă©tait sorti d’une saison prometteuse du cĂŽtĂ© de l’Udinese deux ans aprĂšs son arrivĂ©e d’Argentine. Bien que la Juventus ait bouclĂ© un accord pour 17 millions d’euros, le transfert restait en suspens en raison de l’incertitude entourant l’avenir de Kenner Duran, l’international colombien qui voulait quitter Turin. Udinese, insatisfait par la situation, avait relancĂ© le dossier, offrant ainsi une opportunitĂ© Ă  Luis Campos.

Saisissant cette occasion, Campos utilisa ses rĂ©seaux et parvint Ă  convaincre Thiago Rubio de considĂ©rer Valladolid comme sa prochaine destination. Avec l’approbation de la direction, Anibal GuimarĂŁes, l’entraĂźneur charismatique du club, se rendit personnellement Ă  Udine pour finaliser le transfert. AprĂšs une rĂ©union formelle avec les reprĂ©sentants d’Udinese, Anibal eut l’occasion de discuter en tĂȘte-Ă -tĂȘte avec Thiago Rubio dans un petit cafĂ© tranquille de la ville.

Assis face Ă  face, l’entraĂźneur et le joueur Ă©changĂšrent des regards dĂ©terminĂ©s en prĂ©sence de l’agent du joueur.

« Thiago, je tenais à te rencontrer personnellement pour te parler de notre projet à Valladolid, » commença Anibal, son regard fixé sur le jeune ailier. « Nous avons une équipe jeune, ambitieuse, et nous croyons que tu pourrais y jouer un rÎle crucial. Je ne peux te promettre un rÎle central immédiat. Toutes responsabilités se gagne avec moi. Mais je compte sur toi pour nous faire passer un cap.»

Rubio, lĂ©gĂšrement nerveux mais visiblement intĂ©ressĂ©, hocha la tĂȘte. « J’apprĂ©cie l’intĂ©rĂȘt que vous me portez, coach. Je veux jouer et me dĂ©velopper, et je pense que Valladolid pourrait ĂȘtre une bonne opportunitĂ© pour moi. Mais j’ai un accord avec la Juventus. Pourquoi vous rejoindre quand je peux ĂȘtre leur star ? Dites-moi, quelle est votre vision pour l’équipe ? »

Anibal sourit, sentant l’enthousiasme du joueur. « Nous construisons une Ă©quipe compĂ©titive, capable de rivaliser en Liga et sur la scĂšne europĂ©enne. Cette annĂ©e on vise un bon parcours en Conference League, l’équipe est jeune. Ton profil correspond parfaitement Ă  ce que nous recherchons : vitesse, polyvalence, et une grande capacitĂ© Ă  crĂ©er des opportunitĂ©s offensives. Avec toi, nous pourrons renforcer notre attaque et surprendre nos adversaires. Pourquoi Valladolid ? Car nous savons dĂ©velopper les talents. EstevĂŁo, Echeverri, Ilaix, Renato Sanches, tous ont cru en nous et ont su passĂ© un cap dans leur carriĂšre ou se relancer. Turin n’a rien gagnĂ© depuis presque 10 ans. On a pris un titre au Barça et au Real la saison passĂ©e. Tu as des couilles ? ou tu cherches juste un chĂ©que de plus ? »

Thiago se redressa lĂ©gĂšrement, se sentant plus confiant mais surpris par cette approche cavaliĂšre. « J’ai suivi votre parcours, coach, et j’admire ce que vous avez accompli avec Valladolid et Vianense avant cela. J’aimerais faire partie de cette histoire. L’argent n’est pas une prioritĂ© Ă  ce stade de ma carriĂšre. Votre discours est dĂ©concertant, on m’avait prĂ©venu. Mais il vous fait honneur. »

Anibal hocha la tĂȘte, satisfait de la rĂ©ponse. « C’est exactement l’attitude que je recherche. À Valladolid, tu auras l’opportunitĂ© de jouer rĂ©guliĂšrement, de t’épanouir et de montrer ton talent. Nous avons des objectifs Ă©levĂ©s, et avec toi, je suis certain que nous pourrons les atteindre. »

Rubio prit une profonde inspiration, sentant l’excitation monter en lui. « Je suis prĂȘt, coach. Faisons en sorte que ce transfert se rĂ©alise. » Puis Thiago se tourna vers son agent « PrĂ©viens le club, je ne veux plus de Turin, ils ont eu leur chance. »

Avec l’accord de Thiago Rubio, Luis Campos et les reprĂ©sentants d’Udinese finalisĂšrent rapidement les dĂ©tails du transfert. De retour Ă  Valladolid, la nouvelle de l’arrivĂ©e de Rubio fut accueillie avec enthousiasme par les supporters et les joueurs. Luis Campos avait une fois de plus dĂ©montrĂ© son talent pour repĂ©rer et attirer des talents prometteurs.

L’arrivĂ©e de Thiago Rubio insuffla une nouvelle Ă©nergie Ă  l’équipe. Ses performances Ă  l’entraĂźnement confirmĂšrent les attentes placĂ©es en lui, et il ne tarda pas Ă  s’intĂ©grer dans l’effectif, prĂȘt Ă  donner le meilleur de lui-mĂȘme sous les couleurs de Valladolid.

Alors que la saison allait dĂ©marrer, le Real Valladolid, renforcĂ© par ce nouveau talent, se prĂ©parait Ă  affronter ses dĂ©fis avec une confiance renouvelĂ©e. Thiago Rubio, dĂ©terminĂ© Ă  prouver sa valeur, se tenait prĂȘt Ă  Ă©crire un nouveau chapitre de sa carriĂšre en Espagne.

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- - - Thiago
Rubio - -
Âge
21
Formateur :argentina: :boca: Boca juniors
Nationalité :argentina: :spain: argentin
SĂ©l/Buts
[U20] 7 SEL / 0 BUTS
App
88 APP
Stats
5 buts | 5 passes D
- Chapitre 164 -
- un crack renforce la Pucela -
- Chapitre 166 -
Coming SOON - 23/04
14 « J'aime »

Solide encore. Et pas cher au vue de son talent. Bien vu.

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Gros talent. Ca va faire mal lĂ 

1 « J'aime »

Et encore un
 Tu vas avoir une armada à force


Au moins c’est clair :joy:

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