La série de victoires! Tu es chaud ![]()
Porto marche bien aussi en ce dĂ©but de saison. Ăa promet un duel sympa
TrĂšs trĂšs gros rythme pour Vianense. Il faut un rouge pour permettre Ă lâInter de gagner !
MĂȘme en Ligue des Champions, lâĂ©quipe est largement au niveau ![]()
Porto est chaud en championnat, vivement la confrontation.
Wow la série de victoire !!
Mec tâes trop hot ![]()
On sent que lâĂ©quipe a dĂ©bloquĂ© un niveau, ca promet un sacrĂ© duel avec Porto !!
Réponses aux lecteurs
@toopil @CaptainAmericka la saison prends une bonne tournure mais la vérité comme souvent ce sera le printemps.
@Rhino ce sont les seuls Ă suvire parmi les gros. On verra sâils vont tenir. ils ont tendance Ă sâeffondre un peu comme nous.
@alexgavi Pour lâinstant câest vrai quâon est pas ridicule en Championâs. Lâimportant câest de rĂ©ussir Ă se hisser au moins en barrage. AprĂšs on verra le tirage, tour par tour.
@Tilo82 jâai hĂąte aussi, faudra ĂȘtre fort.
@Manthyz on a une partie du groupe qui arrive Ă maturitĂ© avec un niveau intĂ©ressant et la rotation fonctionne bien avec des jeunes assez prometteur. En vrai le dĂ©part de Ganso mâa un peu libĂ©rĂ© car il a rĂ©duit les choix Ă faire.
Lâautomne 2045 avait apportĂ© plus quâun changement de tempĂ©rature Ă Viana do Castelo. Il avait ramenĂ© avec lui un fantĂŽme. Un gamin du club. Un frĂšre perdu.
Un nom que lâon nâosait plus prononcer quâĂ voix basse, entre douleur, colĂšre et pitiĂ© :
Vitoriano Pignatelli.
Ce matin-lĂ , le centre dâentraĂźnement de Vianense baignait dans cette brume lĂ©gĂšre qui annonçait lâhiver. Les joueurs arrivaient un Ă un, certains la tĂȘte encore dans la Ligue des Champions, dâautres concentrĂ©s sur le prochain dĂ©placement en championnat. Rien ne laissait prĂ©sager que la routine serait brisĂ©e.
Quand les portes vitrĂ©es du bĂątiment mĂ©dical sâouvrirent, un silence presque irrĂ©el tomba sur les abords du terrain annexe. Un jeune homme avançait lentement, appuyĂ© sur une bĂ©quille, encore marquĂ© par les nombreuses opĂ©rations subies. Mais son visage, amaigri et tirĂ©, portait surtout une Ă©motion immense : la peur, la honte, et une forme de dĂ©livrance.
Pignatelli Ă©tait de retour. Les regards se tournĂšrent, les murmures parcoururent les groupes. MĂȘme les plus jeunes, qui ne lâavaient presque pas connu en Ă©quipe premiĂšre, savaient ce quâil reprĂ©sentait. Un symbole. Un avertissement. Une tragĂ©die du football moderne.
Et câest lĂ que la silhouette dâAnĂbal GuimarĂŁes apparut, quittant le terrain principal. Pas un mot. Il marcha droit vers son ancien protĂ©gĂ©, lâair grave, les traits durcis par des mois de guerre mĂ©diatique, judiciaire et personnelle.
Vitoriano hĂ©sita, baissa la tĂȘte. Puis AnĂbal lâenlaça. Longuement. Puissamment.
Une Ă©treinte qui disait tout : la trahison forcĂ©e, la manipulation, les regrets, la souffrance vĂ©cue au Qatar, lâaccident qui avait failli lui coĂ»ter la vie, et cette culpabilitĂ© quâil portait comme une pierre dans sa poitrine.
Hugo Viana les rejoignit et posa une main lĂ©gĂšre sur lâĂ©paule du garçon.
« Tu es chez toi, filho. Tu guériras ici. »
Il fallait se rappeler le contexte. Pignatelli, pur produit de Vianense, promis Ă une carriĂšre immense, avait Ă©tĂ© arrachĂ© au club dans un transfert sordide orchestrĂ© dans lâombre par Lamar Jackson. Un accord secret, des clauses verrouillĂ©es, un agent corrompu, un joueur pris au piĂšge. Puis lâenfer :
- Wrexham qui lâutilisait comme une piĂšce politique.
- Le transfert forcé au Qatar pour masquer les manipulations.
- Lâaccident routier, jamais totalement Ă©lucidĂ©, qui avait brisĂ© son genou et sa vie.
Sa prise de position courageuse, lorsquâil avait dĂ©noncĂ© Jackson et fourni des preuves dĂ©cisives Ă Interpol, lâavait condamnĂ© : il avait tout perdu, y compris son statut de joueur professionnel. Et pourtant, il Ă©tait vivant. Et il revenait lĂ oĂč tout avait commencĂ©.
Les joueurs sâapprochĂšrent un Ă un. Certains timidement, dâautres avec la chaleur dâun frĂšre retrouvĂ©. Luis Almeida lui tapa sur la joue :
« On tâa jamais oubliĂ©, mano. »
Francisco Maior, plus discret, le serra contre lui sans un mot. MĂȘme les plus jeunes, qui lâavaient admirĂ© enfant, vinrent le saluer avec respect, presque religieusement.
Une atmosphÚre lourde mais belle, chargée de quelque chose de rare, de la compassion dans un milieu qui en manque souvent. Sans conférence de presse. Sans communiqué flamboyant. Sans un mot adressé au grand public.
AnĂbal et Hugo avaient dĂ©cidĂ© en silence. Pignatelli ferait sa rééducation au club, sous la responsabilitĂ© de lâĂ©quipe B. Sans pression. Sans obligations. Sans promesses impossibles.
Juste avec la dignitĂ© quâon doit Ă ceux que la vie a broyĂ©s. Pour lâinstant, personne ne savait sâil recourrait un jour normalement, encore moins sâil rejouerait en professionnel. Un cartilage reconstruit, un nerf encore fragile, une mobilitĂ© incertaine⊠Le chemin serait long, peut-ĂȘtre impossible.
Mais Ă Vianense, il nâĂ©tait plus le traĂźtre, lâingrat, le vendu. Il redevenait Vitoriano. Le gamin du quartier. Le milieu dĂ©fensif Ă©lĂ©gant qui avait enchantĂ© Viana avant que le monde ne lui tombe dessus.
Dans le regard du coach portugais se lisait quelque chose que peu avaient dĂ©jĂ aperçu de la tristesse, pure et simple. Sa voix, habituellement ferme, sâĂ©tait adoucie quand il sâadressa au staff :
« Il a payĂ© pour des fautes qui nâĂ©taient pas les siennes. Ici, il retrouvera au moins un peu de paix. »
Puis, en privé, à Hugo :
« On ne reconstruit pas une carriĂšre en quelques mois. Mais on peut reconstruire un homme. Et ça⊠câest suffisant pour commencer. »
Le soir mĂȘme, dans les rues de Viana, la rumeur se propagea. Non pas comme un scandale. Mais comme un soulagement.
Pignatelli est revenu., AnĂbal lâa accueilli., Le club nâoublie pas les siens.
Les supporters déposÚrent une écharpe, une rose, un mot :
âForça Vitinho. O teu lar Ă© aqui.â(Tiens bon, Vitinho. Ta maison est ici.)
Personne ne savait ce que lâavenir lui rĂ©servait. Mais pour la premiĂšre fois depuis des mois,le jeune homme ne marchait plus seul.
Pour ceux qui ont pas la ref :
Comment racheter toutes les fautes du passé en une décision ou presque
Un club oĂč rĂšgnent des pourris, nâest-ce pas @Manthyz ? ![]()
Je ne vois pas de quoi tu parles âŠ

Réponses aux lecteurs
@Rhino le fait quâil ai dĂ©fendu le club surtout.
@Manthyz ouais fait lâinnocent tiens ![]()
La salle de presse de la citadelle des anges nâavait jamais connu une atmosphĂšre aussi solennelle. Ce nâĂ©tait pas un trophĂ©e que lâon venait cĂ©lĂ©brer, ni une recrue multimillionnaire, ni mĂȘme une victoire historique.
Ce jour-là , Vianense honorait une mémoire. Une blessure. Une dette. Et un héritage.
Lorsque Hugo Viana prit la parole, la salle se tut immĂ©diatement. AnĂbal, debout Ă ses cĂŽtĂ©s, avait ce visage fermĂ© quâon ne lui connaissait quâen de trĂšs rares occasions, celles oĂč la vie, et non le football, prenait le dessus.
Sur lâĂ©cran gĂ©ant apparut le visage de Keito Hiraoka, son sourire paisible, son regard de maĂźtre patient, cet homme qui avait marquĂ© Nagoya, formĂ© des gĂ©nĂ©rations de joueurs japonais⊠et accompagnĂ© le jeune AnĂbal GuimarĂŁes dans ses aventures dâentraĂźneur lors de son passage au Japon.
Son assassinat brutal dans lâaffaire Lamar Jackson avait laissĂ© une cicatrice profonde, presque intime, dans la vie dâAnĂbal.
Hugo reprit, la voix grave :
« Aujourdâhui, nous annonçons un partenariat officiel entre Vianense et lâacadĂ©mie du Nagoya Grampus, en hommage Ă Keito Hiraoka, un Ă©ducateur dâexception, un homme de valeurs et un pilier du football japonais. »
Les flashs crĂ©pitĂšrent. Mais lâatmosphĂšre restait Ă©trangement silencieuse, respectueuse. AnĂbal sâavança alors vers le pupitre. Il posa les mains sur les cĂŽtĂ©s, inspira longuement.
« Keito Ă©tait plus quâun mentor. CâĂ©tait un guide. Un homme qui a façonnĂ© ma maniĂšre dâentraĂźner, de comprendre le football, mais surtout de comprendre les hommes. Je lui dois une partie de ce que je suis aujourdâhui. Il mĂ©ritait que quelque chose lui survive ici, Ă Viana, lĂ oĂč il aimait tant Ă©changer et apprendre. »
Il baissa lĂ©gĂšrement la tĂȘte, les yeux brillants, puis ajouta :
« Ce partenariat nâest pas un geste symbolique. Câest une promesse. Une passerelle entre deux cultures, deux visions du football, deux maisons. Keito aurait aimĂ© ça. »
AprÚs les hommages, Hugo Viana reprit la parole pour annoncer ce que les insiders avaient déjà flairé : le premier fruit du partenariat.
« Nous avons le plaisir de confirmer que le trĂšs jeune et trĂšs prometteur gardien japonais, Shinâya Saito*, 16 ans, rejoindra Vianense dans les mois Ă venir pour intĂ©grer notre acadĂ©mie. »*
Des murmures enthousiastes parcoururent la salle.
Shinâya Saito, le prodige du Grampus, Ă©tait dĂ©jĂ considĂ©rĂ© comme le futur numĂ©ro 1 de la sĂ©lection japonaise. Une dĂ©tente fĂ©line, un sang-froid glacial, une vision du jeu rare chez un adolescent⊠et surtout une personnalitĂ© discrĂšte, presque ascĂ©tique. Le prototype mĂȘme du gardien nippon moderne.
AnĂbal reprit la parole avec un lĂ©ger sourire :
« Keito mâavait parlĂ© de Shinâya il y a trois ans. Il disait quâun jour, ce garçon pourrait devenir âle Mur du Japonâ. Je crois que nous serons honorĂ©s dâaccompagner sa progression. Et nous ferons tout pour le protĂ©ger, le dĂ©velopper et lâaider Ă devenir lâhomme que Keito imaginait. »
Le partenariat, détaillé ensuite par Hugo, était ambitieux :
- échanges réguliers de staff technique entre Vianense et Nagoya ;
- stages croisés en été et en hiver ;
- un programme dâaccueil pour joueurs japonais en Europe ;
- une présence de Vianense dans plusieurs académies régionales du Grampus.
Plus quâun accord sportif, câĂ©tait un pacte culturel. Une maniĂšre de dire que Keito Hiraoka, mĂȘme mort, continuerait Ă tendre la main.
Ă la fin de la cĂ©rĂ©monie, AnĂbal resta quelques instants seul devant la grande photo du mentor disparu. Son doigt effleura le cadre projetĂ©, comme une derniĂšre conversation jamais prononcĂ©e.
« Sensei⊠jâespĂšre que tu es fier. » murmura-t-il en portugais, avant de sortir vers les terrains oĂč lâattendaient dĂ©jĂ les prochaines batailles.
Dans lâair frais de Viana, quelque chose semblait avoir changĂ©.
On aurait dit que le vent portait une présence familiÚre, un souffle venu de Nagoya.
Et quelque part au Japon, un jeune gardien de 16 ans, Shinâya Saito, terminait son entraĂźnement en silence, conscient quâun nouveau chapitre sâouvrait pour lui, sous la lumiĂšre de deux maĂźtres quâil nâavait jamais rencontrĂ©s, mais qui guidaient dĂ©jĂ sa route.
Câest vraiment une bonne chose ça
Câest vrai que câĂ©tait chaud quand Pignatelli est parti de Vianense !
Cool cette passerelle avec le Japon, mĂȘme si le contexte de la mort dâHiroaka nâest pas Ă©vident.
Et puis, Anibal a dĂ» laisser de bons souvenirs lĂ -bas ![]()
Réponses aux lecteurs
@Rhino oh que oui.
@alexgavi oui ça avait Ă©tĂ© compliquĂ© mais espĂ©rons quâil puisse rejouer un jour. Oui Anibal demeure connectĂ© avec le Japon depuis son passage mĂȘme si on a perdu la trace dâIchiban avec les Ă©venements de la saison passĂ©e.
- - - |
- - - |
|---|---|
- - - Renato |
Pacheco - - - |
| Ăge | 19 |
| Nationalité | |
| apparitions | 52-72M⏠|
| buts | 139kâŹ/mois |
| assists | 30 Juin 2049 |
| ANNEES | CLUB | |||||||
| 40/41 | [U16] | SC Vianense | 25 | 7 | 14 | |||
| 40/41 | [U19] | SC Vianense | 14 | 0 | 1 | |||
| 41/42 | [U19] | SC Vianense | 27 | 3 | 4 | |||
| 41/42 | [PRO] | SC Vianense | 5 | 0 | 0 | |||
| 42/43 | [U19] | SC Vianense | 44 | 7 | 6 | |||
| 42/43 | [PRO] | SC Vianense | 30 | 3 | 6 | |||
| 43/44 | [U19] | SC Vianense | 41 | 19 | 15 | |||
| 43/44 | [PRO] | SC Vianense | 36 | 1 | 6 | |||
| 44/45 | [PRO] | SC Vianense | 59 | 5 | 16 | |||
| 45/46 | [PRO] | SC Vianense | 18 | 3 | 4 | |||
| 41/45 | [U21] | Portugal U21 | 9 | 0 | 6 | |||
| 40-45 | TOTAL - - - - - | 148 | 12 | 32 |
Membre clĂ© de Vianense depuis quelques saisons il sâest imposĂ© petit Ă petit comme un trĂšs grand milieu dĂ©fensif lâun des meilleurs segundo volante du monde. Il a pris une toute autre dimension depuis deux ans oĂč il est devenu titulaire en club et flirte avec la sĂ©lection portugaise. Retour en cinq anecdotes sur le parcours de ce jeune prodige.
Un fantĂŽme volontaire dans lâĂšre digitale
Au centre dâentraĂźnement de Viana, on racontait quâil fallait parfois appeler trois fois Renato pour quâil dĂ©croche, non parce quâil voulait se faire dĂ©sirer, simplement parce quâil vivait sans notifications, sans vibrations permanentes, sans regards extĂ©rieurs.
Il ne posta jamais une photo. Ne commenta jamais une polĂ©mique. Ne participa Ă aucune campagne dâimage. Lorsquâun jour une entreprise proposa un partenariat lucratif pour lâassocier Ă une marque de tĂ©lĂ©phones, il rĂ©pondit quâil nâen avait pas le besoin et quâil ne serait pas quoi en faire.
Son tĂ©lĂ©phone, un modĂšle archaĂŻque Ă touches, Ă©tait bien plus quâun outil : câĂ©tait un rempart. Un refus de lâexposition. Un refus du bruit.
Lâargent quâil rejetait comme un fardeau
Depuis sa signature pro, on vit sur les relevĂ©s bancaires que 50% exacts de son salaire Ă©taient versĂ©s mensuellement Ă lâorganisme de protection de lâenfance portugaise et cela, sans quâune seule virgule nâait jamais Ă©tĂ© modifiĂ©e, retardĂ©e, discutĂ©e.
CâĂ©tait un choix intime de sa part pour aider les familles dans le besoin, lui qui venait dâun quartier difficile de lisbonne.
Rodri, le maĂźtre invisible du jeu
Ă lâĂąge oĂč beaucoup tapissaient leurs murs de posters de buteurs, de dribbleurs, de crĂ©ateurs flamboyants⊠Renato contemplait Rodri.
LâEspagnol, pour lui, incarnait la noblesse cachĂ©e. Lâart du placement plus que celui du geste. La pensĂ©e plus que la gesticulation. Il avait observĂ© ses champions de passage Ă Viana. Les JoĂŁo Infante, Shaqkeem et autre Lee Ji-Han et pourtant, celui qui modelait le regard tactique de Renato Ă©tait le mĂ©diateur invisible de City.
« Rodri rendait les autres plus grands. Câest un rĂŽle bien plus difficile que de se rendre soi-mĂȘme brillant. »
Il voulait ĂȘtre ce joueur-lĂ , celui qui respire pour lâĂ©quipe et fait respirer lâĂ©quipe.
Le gamin qui croyait Ă la magie
Ce qui surprenait souvent chez lui, câĂ©tait cette douceur presque enfantine lorsquâil parlait de Harry Potter. Il en parlait avec une ferveur sĂ©rieuse, avec une fidĂ©litĂ© affective, presque sacrĂ©e.
Les autres riaient parfois mais doucement parce que Renato était respecté. Il était capable de réciter par coeur les répliques des livres et de connaßtre tout les détails de la légendaire série de HBO qui avait rythmés les décennies 2020 et 2030.
Le secret incandescent : 137 millions tombés du ciel
Le secret finit par filtrer dâabord comme une rumeur absurde, ensuite comme une rĂ©vĂ©lation stupĂ©fiante. Ă 18 ans, par un hasard cosmique, Renato avait gagnĂ© 137 millions dâeuros Ă lâEuroMillions.
La réaction attendue aurait été le vertige. Le changement de vie. Le yacht, la montre, la villa, les lunettes noires et les soirées privées avec DJ.
Mais Renato resta immobile. Il continua Ă vivre chez sa mĂšre. Ă manger les mĂȘmes repas simples. Ă arriver au centre Ă pied par beau temps. Ă sâasseoir au mĂȘme vestiaire, entre les mĂȘmes coĂ©quipiers.
Lorsque AnĂbal GuimarĂŁes, intriguĂ© par lâinhumanitĂ© de ce calme, lui demanda un jour :
Tu nâas rien dĂ©pensĂ© ?
Renato réfléchit une seconde.
Si. Jâai achetĂ© un piano Ă ma sĆur⊠et une bibliothĂšque. Une vraie.
Et le reste ? demande le mentor
Jâai donnĂ© la moitiĂ© Ă diverses associations, pour le reste je ne sais pas encore.
En définitive, Renato Pacheco semblait plus grand que son ùge et moins préoccupé que son époque.
Il jouait comme il vivait : sans artifice, sans agitation, sans excĂšs. Et dans un monde saturĂ© dâimages sa discrĂ©tion avait fini par devenir sa lĂ©gende.
Ăa y est, jâai tout rattrapĂ© ! ![]()
Bel hommage à Hiraoka cette académie, encore plus si les prochains talents nippons passent par le club !
Alors, je peux toujours lui filer mon iban si lâenvie est lĂ de me faire un petit don ![]()
- Anibal invincible, le Portugal au Mondial -
DeuxiĂšme trĂȘve internationale de la saison et le Portugal se devait de tout donner pour valider sa qualification au Mondial 2046. Pour cela, Anibal avait revu un peu son groupe. Le lĂ©gendaire coach lusitanien a dâabord du faire face Ă des blessures. Cela explique notamment les absences de Umaro BaldĂ©, Antoine Lepetit. Martim Rodrigues dĂ©cevant au dernier rassemblement nâa pas Ă©tĂ© rappĂ©lĂ© pas plus quâEli Patermeu qui connais un dĂ©but dâexercice un peu compliquĂ© Ă Vianense. Si le vĂ©tĂ©ran Pol Bernard 35 ans, 106 sĂ©lections fait son retour, le groupe a aussi acceuilli trois petits nouveaux. Pedro Tiba qui fait un dĂ©but de saison solide du cĂŽtĂ© de Wolfsburg pourrait connaitre sa premiĂšre cape. Câest aussi le cas de Renato Pacheco, mĂ©tronome de Vianense mais aussi de Bruno BrĂĄs, incontournable avec le Borussia Dortmund.
| Nat | Nat | Nom | PrĂ©nom | Ăge | Cap | Buts | Valeur | Club | |
| GB | Bruno | Santana | 21 | 6 | 0 | 43M ⏠- 54M ⏠| |||
| GB | Gil | Cabrita Martins | 25 | 15 | 0 | 93M ⏠- 112M ⏠| |||
| GB | Alexandre | Ferreira | 22 | 12 | 0 | 63M ⏠- 74M ⏠| |||
| DD | Pedro | Tiba | 21 | 0 | 0 | 67M ⏠- 97M ⏠| |||
| DC | David | Brås | 32 | 116 | 6 | 43M ⏠- 60M ⏠| |||
| DC | Bruno | Brås | 24 | 0 | 0 | 34M ⏠- 48M ⏠| |||
| D/AL (DG) | Bruno | Ferreira | 27 | 44 | 5 | 42M ⏠- 51M ⏠| |||
| D/AL (DG) | Manuel | Cruz | 24 | 49 | 2 | 146M ⏠- 206M ⏠| |||
| MD | Gonçalo | Sequeira | 36 | 183 | 26 | 0,7M ⏠- 3,8M ⏠| |||
| MD | Pol | Bernard | 35 | 106 | 4 | 0,5M ⏠- 5,4M ⏠| |||
| MD | Salvador | Pataca | 22 | 14 | 1 | 124M ⏠| |||
| MD | Renato | Pacheco | 19 | 0 | 0 | 53M ⏠- 73M ⏠| |||
| MD, MC | Francisco | Maior | 22 | 10 | 0 | 52M ⏠- 57M ⏠| |||
| M (D) | Alfa | Mendes | 30 | 19 | 0 | 14M ⏠- 17,5M ⏠| |||
| M (D) | LuĂs | NĂłbrega | 21 | 2 | 0 | 66M ⏠- 96M ⏠| |||
| MC | Iuri | Robalo | 25 | 12 | 1 | 47M ⏠- 66M ⏠| |||
| M (G) | João | Grilo | 26 | 33 | 10 | 69M ⏠- 83M ⏠| |||
| M/MO (DG) | Fåbio | Machado | 31 | 108 | 18 | 83M ⏠- 97M ⏠| |||
| MO (D) | IlĂdio | Puga | 29 | 97 | 26 | 114M ⏠- 137M ⏠| |||
| MO (G) | Adilson | Cabral | 24 | 13 | 5 | 72M ⏠- 101M ⏠| |||
| MO (DG) | João | Vaz | 25 | 46 | 0 | 123M ⏠- 144M ⏠| |||
| BTC | Emmanuel | Adjei | 19 | 3 | 3 | 61M ⏠- 84M ⏠| |||
| BTC | Emerson | Camarå | 22 | 6 | 1 | 74M ⏠- 106M ⏠|
CâĂ©tait donc les trois derniers matchs pour se qualifier pour le Mondial. Le Portugal a pliĂ© sa qualification en sâimposant contre lâAzerbaĂŻdjan sur la plus petite des marges Ă la faveur dâun nouveau but dâEmmanuel Adjei, son quatriĂšme en autant de sĂ©lections. Plus dĂ©tendu, la seleçao sâest relachĂ© sur les deux derniers matchs. Avec les petits nouveaux Tiba, Bras et Pacheco titulaire, les hommes dâAnibal ont concĂ©dĂ© un nul contre une rugueuse Ukraine qui jouait sa qualification. Enfin cette campagne sâest terminĂ© sur une derniĂšre victoire contre la GĂ©orgie sur un but de JoĂŁo Vaz. Le Portugal et lâUkraine disputeront ainsi le mondial lâĂ©tĂ© prochain.
| Date | Club | Score | Buteurs | |||
| M6 | 02/10/2045 | AzerbaĂŻdjan | 1 - 0 | E.Adjei (19â) | ||
| M7 | 09/11/2045 | Ukraine | 0 - 0 | - | ||
| M8 | 12/11/2045 | GĂ©orgie | 1 - 0 | J.Vaz (21â) |
- Classement -
| Clt | Ăquipe |
J | G | N | P | Bm | Be | Diff | Pts | ||
| 1er | Portugal | 8 | 7 | 1 | 0 | 15 | 2 | +13 | 22 | ||
| 2Ăšme | Ukraine | 8 | 5 | 1 | 2 | 17 | 7 | +10 | 16 | ||
| 3Ăšme | Finlande | 8 | 4 | 0 | 4 | 17 | 16 | +1 | 12 | ||
| 4Úme | Géorgie | 8 | 3 | 0 | 5 | 9 | 14 | -5 | 9 | ||
| 5Ăšme | AzerbaĂŻdjan | 8 | 0 | 0 | 8 | 5 | 24 | -19 | 0 |
de bonnes victoires mais score tout mini
Le job est fait. Difficile de demander plus Ă ce stade-ci
Renato est un envoyĂ© des cieux pour ĂȘtre aussi parfait ![]()
La sélection est moins dominatrice, mais toujours aucune défaite à signaler.
La vraie info, câest que lâUkraine existe toujours en 2045 !





