:storygreen: :s23: đŸ‡”đŸ‡č :fpf: :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

La série de victoires! Tu es chaud :hot_face:

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Porto marche bien aussi en ce dĂ©but de saison. Ça promet un duel sympa

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Trùs trùs gros rythme pour Vianense. Il faut un rouge pour permettre à l’Inter de gagner !
MĂȘme en Ligue des Champions, l’équipe est largement au niveau :smiley:

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Porto est chaud en championnat, vivement la confrontation.

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Wow la sĂ©rie de victoire !! :hot_face: Mec t’es trop hot :heart_eyes:

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On sent que l’équipe a dĂ©bloquĂ© un niveau, ca promet un sacrĂ© duel avec Porto !!

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Réponses aux lecteurs

@FC_Guimaraes

@toopil @CaptainAmericka la saison prends une bonne tournure mais la vérité comme souvent ce sera le printemps.

@Rhino ce sont les seuls à suvire parmi les gros. On verra s’ils vont tenir. ils ont tendance à s’effondre un peu comme nous.

@alexgavi Pour l’instant c’est vrai qu’on est pas ridicule en Champion’s. L’important c’est de rĂ©ussir Ă  se hisser au moins en barrage. AprĂšs on verra le tirage, tour par tour.

@Tilo82 j’ai hĂąte aussi, faudra ĂȘtre fort.

@Manthyz on a une partie du groupe qui arrive Ă  maturitĂ© avec un niveau intĂ©ressant et la rotation fonctionne bien avec des jeunes assez prometteur. En vrai le dĂ©part de Ganso m’a un peu libĂ©rĂ© car il a rĂ©duit les choix Ă  faire.

- I ain’t afraid of no ghost -

L’automne 2045 avait apportĂ© plus qu’un changement de tempĂ©rature Ă  Viana do Castelo. Il avait ramenĂ© avec lui un fantĂŽme. Un gamin du club. Un frĂšre perdu.

Un nom que l’on n’osait plus prononcer qu’à voix basse, entre douleur, colĂšre et pitiĂ© :

Vitoriano Pignatelli.

Ce matin-lĂ , le centre d’entraĂźnement de Vianense baignait dans cette brume lĂ©gĂšre qui annonçait l’hiver. Les joueurs arrivaient un Ă  un, certains la tĂȘte encore dans la Ligue des Champions, d’autres concentrĂ©s sur le prochain dĂ©placement en championnat. Rien ne laissait prĂ©sager que la routine serait brisĂ©e.

Quand les portes vitrĂ©es du bĂątiment mĂ©dical s’ouvrirent, un silence presque irrĂ©el tomba sur les abords du terrain annexe. Un jeune homme avançait lentement, appuyĂ© sur une bĂ©quille, encore marquĂ© par les nombreuses opĂ©rations subies. Mais son visage, amaigri et tirĂ©, portait surtout une Ă©motion immense : la peur, la honte, et une forme de dĂ©livrance.

Pignatelli Ă©tait de retour. Les regards se tournĂšrent, les murmures parcoururent les groupes. MĂȘme les plus jeunes, qui ne l’avaient presque pas connu en Ă©quipe premiĂšre, savaient ce qu’il reprĂ©sentait. Un symbole. Un avertissement. Une tragĂ©die du football moderne.

Et c’est lĂ  que la silhouette d’AnĂ­bal GuimarĂŁes apparut, quittant le terrain principal. Pas un mot. Il marcha droit vers son ancien protĂ©gĂ©, l’air grave, les traits durcis par des mois de guerre mĂ©diatique, judiciaire et personnelle.

Vitoriano hĂ©sita, baissa la tĂȘte. Puis AnĂ­bal l’enlaça. Longuement. Puissamment.

Une Ă©treinte qui disait tout : la trahison forcĂ©e, la manipulation, les regrets, la souffrance vĂ©cue au Qatar, l’accident qui avait failli lui coĂ»ter la vie, et cette culpabilitĂ© qu’il portait comme une pierre dans sa poitrine.

Hugo Viana les rejoignit et posa une main lĂ©gĂšre sur l’épaule du garçon.

« Tu es chez toi, filho. Tu guériras ici. »

Il fallait se rappeler le contexte. Pignatelli, pur produit de Vianense, promis Ă  une carriĂšre immense, avait Ă©tĂ© arrachĂ© au club dans un transfert sordide orchestrĂ© dans l’ombre par Lamar Jackson. Un accord secret, des clauses verrouillĂ©es, un agent corrompu, un joueur pris au piĂšge. Puis l’enfer :

  • Wrexham qui l’utilisait comme une piĂšce politique.
  • Le transfert forcĂ© au Qatar pour masquer les manipulations.
  • L’accident routier, jamais totalement Ă©lucidĂ©, qui avait brisĂ© son genou et sa vie.

Sa prise de position courageuse, lorsqu’il avait dĂ©noncĂ© Jackson et fourni des preuves dĂ©cisives Ă  Interpol, l’avait condamnĂ© : il avait tout perdu, y compris son statut de joueur professionnel. Et pourtant, il Ă©tait vivant. Et il revenait lĂ  oĂč tout avait commencĂ©.

Les joueurs s’approchĂšrent un Ă  un. Certains timidement, d’autres avec la chaleur d’un frĂšre retrouvĂ©. Luis Almeida lui tapa sur la joue :

« On t’a jamais oubliĂ©, mano. »

Francisco Maior, plus discret, le serra contre lui sans un mot. MĂȘme les plus jeunes, qui l’avaient admirĂ© enfant, vinrent le saluer avec respect, presque religieusement.

Une atmosphÚre lourde mais belle, chargée de quelque chose de rare, de la compassion dans un milieu qui en manque souvent. Sans conférence de presse. Sans communiqué flamboyant. Sans un mot adressé au grand public.

AnĂ­bal et Hugo avaient dĂ©cidĂ© en silence. Pignatelli ferait sa rééducation au club, sous la responsabilitĂ© de l’équipe B. Sans pression. Sans obligations. Sans promesses impossibles.

Juste avec la dignitĂ© qu’on doit Ă  ceux que la vie a broyĂ©s. Pour l’instant, personne ne savait s’il recourrait un jour normalement, encore moins s’il rejouerait en professionnel. Un cartilage reconstruit, un nerf encore fragile, une mobilitĂ© incertaine
 Le chemin serait long, peut-ĂȘtre impossible.

Mais Ă  Vianense, il n’était plus le traĂźtre, l’ingrat, le vendu. Il redevenait Vitoriano. Le gamin du quartier. Le milieu dĂ©fensif Ă©lĂ©gant qui avait enchantĂ© Viana avant que le monde ne lui tombe dessus.

Dans le regard du coach portugais se lisait quelque chose que peu avaient dĂ©jĂ  aperçu de la tristesse, pure et simple. Sa voix, habituellement ferme, s’était adoucie quand il s’adressa au staff :

« Il a payĂ© pour des fautes qui n’étaient pas les siennes. Ici, il retrouvera au moins un peu de paix. »

Puis, en privé, à Hugo :

« On ne reconstruit pas une carriĂšre en quelques mois. Mais on peut reconstruire un homme. Et ça
 c’est suffisant pour commencer. »

Le soir mĂȘme, dans les rues de Viana, la rumeur se propagea. Non pas comme un scandale. Mais comme un soulagement.

Pignatelli est revenu., Aníbal l’a accueilli., Le club n’oublie pas les siens.

Les supporters déposÚrent une écharpe, une rose, un mot :

“Força Vitinho. O teu lar Ă© aqui.”

(Tiens bon, Vitinho. Ta maison est ici.)

Personne ne savait ce que l’avenir lui rĂ©servait. Mais pour la premiĂšre fois depuis des mois,le jeune homme ne marchait plus seul.

- Chapitre 870 -
- Viana encontra o seu ritmo -
- Chapitre 872 -
Coming SOON - 24/11

Pour ceux qui ont pas la ref :

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Comment racheter toutes les fautes du passé en une décision ou presque

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Un club oĂč rĂšgnent des pourris, n’est-ce pas @Manthyz ? :sac:

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Je ne vois pas de quoi tu parles 


Embarrassed Exit Strategy GIF

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@FC_Guimaraes

@Rhino le fait qu’il ai dĂ©fendu le club surtout.

@toopil :hoho:

@Manthyz ouais fait l’innocent tiens :sac:

- Vianense ouvre l’acadĂ©mie Hiraoka ! -

La salle de presse de la citadelle des anges n’avait jamais connu une atmosphĂšre aussi solennelle. Ce n’était pas un trophĂ©e que l’on venait cĂ©lĂ©brer, ni une recrue multimillionnaire, ni mĂȘme une victoire historique.

Ce jour-là, Vianense honorait une mémoire. Une blessure. Une dette. Et un héritage.

Lorsque Hugo Viana prit la parole, la salle se tut immĂ©diatement. AnĂ­bal, debout Ă  ses cĂŽtĂ©s, avait ce visage fermĂ© qu’on ne lui connaissait qu’en de trĂšs rares occasions, celles oĂč la vie, et non le football, prenait le dessus.

Sur l’écran gĂ©ant apparut le visage de Keito Hiraoka, son sourire paisible, son regard de maĂźtre patient, cet homme qui avait marquĂ© Nagoya, formĂ© des gĂ©nĂ©rations de joueurs japonais
 et accompagnĂ© le jeune AnĂ­bal GuimarĂŁes dans ses aventures d’entraĂźneur lors de son passage au Japon.

Son assassinat brutal dans l’affaire Lamar Jackson avait laissĂ© une cicatrice profonde, presque intime, dans la vie d’AnĂ­bal.

Hugo reprit, la voix grave :

« Aujourd’hui, nous annonçons un partenariat officiel entre Vianense et l’acadĂ©mie du Nagoya Grampus, en hommage Ă  Keito Hiraoka, un Ă©ducateur d’exception, un homme de valeurs et un pilier du football japonais. »

Les flashs crĂ©pitĂšrent. Mais l’atmosphĂšre restait Ă©trangement silencieuse, respectueuse. AnĂ­bal s’avança alors vers le pupitre. Il posa les mains sur les cĂŽtĂ©s, inspira longuement.

« Keito Ă©tait plus qu’un mentor. C’était un guide. Un homme qui a façonnĂ© ma maniĂšre d’entraĂźner, de comprendre le football, mais surtout de comprendre les hommes. Je lui dois une partie de ce que je suis aujourd’hui. Il mĂ©ritait que quelque chose lui survive ici, Ă  Viana, lĂ  oĂč il aimait tant Ă©changer et apprendre. »

Il baissa lĂ©gĂšrement la tĂȘte, les yeux brillants, puis ajouta :

« Ce partenariat n’est pas un geste symbolique. C’est une promesse. Une passerelle entre deux cultures, deux visions du football, deux maisons. Keito aurait aimĂ© ça. »

AprÚs les hommages, Hugo Viana reprit la parole pour annoncer ce que les insiders avaient déjà flairé : le premier fruit du partenariat.

« Nous avons le plaisir de confirmer que le trĂšs jeune et trĂšs prometteur gardien japonais, Shin’ya Saito*, 16 ans, rejoindra Vianense dans les mois Ă  venir pour intĂ©grer notre acadĂ©mie. »*

Des murmures enthousiastes parcoururent la salle.

Shin’ya Saito, le prodige du Grampus, Ă©tait dĂ©jĂ  considĂ©rĂ© comme le futur numĂ©ro 1 de la sĂ©lection japonaise. Une dĂ©tente fĂ©line, un sang-froid glacial, une vision du jeu rare chez un adolescent
 et surtout une personnalitĂ© discrĂšte, presque ascĂ©tique. Le prototype mĂȘme du gardien nippon moderne.

Aníbal reprit la parole avec un léger sourire :

« Keito m’avait parlĂ© de Shin’ya il y a trois ans. Il disait qu’un jour, ce garçon pourrait devenir ‘le Mur du Japon’. Je crois que nous serons honorĂ©s d’accompagner sa progression. Et nous ferons tout pour le protĂ©ger, le dĂ©velopper et l’aider Ă  devenir l’homme que Keito imaginait. »

Le partenariat, détaillé ensuite par Hugo, était ambitieux :

  • Ă©changes rĂ©guliers de staff technique entre Vianense et Nagoya ;
  • stages croisĂ©s en Ă©tĂ© et en hiver ;
  • un programme d’accueil pour joueurs japonais en Europe ;
  • une prĂ©sence de Vianense dans plusieurs acadĂ©mies rĂ©gionales du Grampus.

Plus qu’un accord sportif, c’était un pacte culturel. Une maniĂšre de dire que Keito Hiraoka, mĂȘme mort, continuerait Ă  tendre la main.

À la fin de la cĂ©rĂ©monie, AnĂ­bal resta quelques instants seul devant la grande photo du mentor disparu. Son doigt effleura le cadre projetĂ©, comme une derniĂšre conversation jamais prononcĂ©e.

« Sensei
 j’espĂšre que tu es fier. » murmura-t-il en portugais, avant de sortir vers les terrains oĂč l’attendaient dĂ©jĂ  les prochaines batailles.

Dans l’air frais de Viana, quelque chose semblait avoir changĂ©.

On aurait dit que le vent portait une présence familiÚre, un souffle venu de Nagoya.

Et quelque part au Japon, un jeune gardien de 16 ans, Shin’ya Saito, terminait son entraĂźnement en silence, conscient qu’un nouveau chapitre s’ouvrait pour lui, sous la lumiĂšre de deux maĂźtres qu’il n’avait jamais rencontrĂ©s, mais qui guidaient dĂ©jĂ  sa route.

- Chapitre 871 -
- I ain’t afraid of no ghost -
- Chapitre 873 -
Coming SOON - 25/11
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C’est vraiment une bonne chose ça

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C’est vrai que c’était chaud quand Pignatelli est parti de Vianense !

Cool cette passerelle avec le Japon, mĂȘme si le contexte de la mort d’Hiroaka n’est pas Ă©vident.
Et puis, Anibal a dĂ» laisser de bons souvenirs lĂ -bas :smiley:

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@FC_Guimaraes

@Rhino oh que oui.

@alexgavi oui ça avait Ă©tĂ© compliquĂ© mais espĂ©rons qu’il puisse rejouer un jour. Oui Anibal demeure connectĂ© avec le Japon depuis son passage mĂȘme si on a perdu la trace d’Ichiban avec les Ă©venements de la saison passĂ©e.

-ZOOM-
5 choses Ă  savoir sur Renato Pacheco

- - -
- - -
- - - Renato
Pacheco - - -
Âge 19
Nationalité :portugal: Portugais
apparitions 52-72M€
buts 139k€/mois
assists 30 Juin 2049
ANNEES CLUB :groot_played: :groot_scored: :groot_assist:
:portugal: 40/41 [U16] :vianense: SC Vianense 25 7 14
:portugal: 40/41 [U19] :vianense: SC Vianense 14 0 1
:portugal: 41/42 [U19] :vianense: SC Vianense 27 3 4
:portugal: 41/42 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 5 0 0
:portugal: 42/43 [U19] :vianense: SC Vianense 44 7 6
:portugal: 42/43 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 30 3 6
:portugal: 43/44 [U19] :vianense: SC Vianense 41 19 15
:portugal: 43/44 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 36 1 6
:portugal: 44/45 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 59 5 16
:portugal: 45/46 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 18 3 4
:portugal: 41/45 :uefa: [U21] :grootportugal: Portugal U21 9 0 6
40-45 TOTAL - - - - - 148 12 32

Membre clĂ© de Vianense depuis quelques saisons il s’est imposĂ© petit Ă  petit comme un trĂšs grand milieu dĂ©fensif l’un des meilleurs segundo volante du monde. Il a pris une toute autre dimension depuis deux ans oĂč il est devenu titulaire en club et flirte avec la sĂ©lection portugaise. Retour en cinq anecdotes sur le parcours de ce jeune prodige.

Un fantîme volontaire dans l’ùre digitale

Au centre d’entraĂźnement de Viana, on racontait qu’il fallait parfois appeler trois fois Renato pour qu’il dĂ©croche, non parce qu’il voulait se faire dĂ©sirer, simplement parce qu’il vivait sans notifications, sans vibrations permanentes, sans regards extĂ©rieurs.

Il ne posta jamais une photo. Ne commenta jamais une polĂ©mique. Ne participa Ă  aucune campagne d’image. Lorsqu’un jour une entreprise proposa un partenariat lucratif pour l’associer Ă  une marque de tĂ©lĂ©phones, il rĂ©pondit qu’il n’en avait pas le besoin et qu’il ne serait pas quoi en faire.

Son tĂ©lĂ©phone, un modĂšle archaĂŻque Ă  touches, Ă©tait bien plus qu’un outil : c’était un rempart. Un refus de l’exposition. Un refus du bruit.

L’argent qu’il rejetait comme un fardeau

Depuis sa signature pro, on vit sur les relevĂ©s bancaires que 50% exacts de son salaire Ă©taient versĂ©s mensuellement Ă  l’organisme de protection de l’enfance portugaise et cela, sans qu’une seule virgule n’ait jamais Ă©tĂ© modifiĂ©e, retardĂ©e, discutĂ©e.

C’était un choix intime de sa part pour aider les familles dans le besoin, lui qui venait d’un quartier difficile de lisbonne.

Rodri, le maĂźtre invisible du jeu

À l’ñge oĂč beaucoup tapissaient leurs murs de posters de buteurs, de dribbleurs, de crĂ©ateurs flamboyants
 Renato contemplait Rodri.

L’Espagnol, pour lui, incarnait la noblesse cachĂ©e. L’art du placement plus que celui du geste. La pensĂ©e plus que la gesticulation. Il avait observĂ© ses champions de passage Ă  Viana. Les JoĂŁo Infante, Shaqkeem et autre Lee Ji-Han et pourtant, celui qui modelait le regard tactique de Renato Ă©tait le mĂ©diateur invisible de City.

« Rodri rendait les autres plus grands. C’est un rĂŽle bien plus difficile que de se rendre soi-mĂȘme brillant. »

Il voulait ĂȘtre ce joueur-lĂ , celui qui respire pour l’équipe et fait respirer l’équipe.

Le gamin qui croyait Ă  la magie

Ce qui surprenait souvent chez lui, c’était cette douceur presque enfantine lorsqu’il parlait de Harry Potter. Il en parlait avec une ferveur sĂ©rieuse, avec une fidĂ©litĂ© affective, presque sacrĂ©e.

Les autres riaient parfois mais doucement parce que Renato était respecté. Il était capable de réciter par coeur les répliques des livres et de connaßtre tout les détails de la légendaire série de HBO qui avait rythmés les décennies 2020 et 2030.

Le secret incandescent : 137 millions tombés du ciel

Le secret finit par filtrer d’abord comme une rumeur absurde, ensuite comme une rĂ©vĂ©lation stupĂ©fiante. À 18 ans, par un hasard cosmique, Renato avait gagnĂ© 137 millions d’euros Ă  l’EuroMillions.

La réaction attendue aurait été le vertige. Le changement de vie. Le yacht, la montre, la villa, les lunettes noires et les soirées privées avec DJ.

Mais Renato resta immobile. Il continua Ă  vivre chez sa mĂšre. À manger les mĂȘmes repas simples. À arriver au centre Ă  pied par beau temps. À s’asseoir au mĂȘme vestiaire, entre les mĂȘmes coĂ©quipiers.

Lorsque AnĂ­bal GuimarĂŁes, intriguĂ© par l’inhumanitĂ© de ce calme, lui demanda un jour :

Tu n’as rien dĂ©pensĂ© ?

Renato réfléchit une seconde.

Si. J’ai achetĂ© un piano Ă  ma sƓur
 et une bibliothĂšque. Une vraie.

Et le reste ? demande le mentor

J’ai donnĂ© la moitiĂ© Ă  diverses associations, pour le reste je ne sais pas encore.

En définitive, Renato Pacheco semblait plus grand que son ùge et moins préoccupé que son époque.

Il jouait comme il vivait : sans artifice, sans agitation, sans excĂšs. Et dans un monde saturĂ© d’images sa discrĂ©tion avait fini par devenir sa lĂ©gende.

- Chapitre 872 -
- L’acadĂ©mie Hiraoka -
- Chapitre 874 -
Coming SOON - 26/11
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Ça y est, j’ai tout rattrapĂ© ! :sob:

Bel hommage à Hiraoka cette académie, encore plus si les prochains talents nippons passent par le club !

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Alors, je peux toujours lui filer mon iban si l’envie est là de me faire un petit don :innocent:

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Résumé

@FC_Guimaraes

@CaptainAmericka tu avais pris beaucoup de retard ? :hoho:

@Rhino si seulement :hoho:

- Anibal imbatĂ­vel, Portugal no Mundial -
- Anibal invincible, le Portugal au Mondial -

DeuxiĂšme trĂȘve internationale de la saison et le Portugal se devait de tout donner pour valider sa qualification au Mondial 2046. Pour cela, Anibal avait revu un peu son groupe. Le lĂ©gendaire coach lusitanien a d’abord du faire face Ă  des blessures. Cela explique notamment les absences de Umaro BaldĂ©, Antoine Lepetit. Martim Rodrigues dĂ©cevant au dernier rassemblement n’a pas Ă©tĂ© rappĂ©lĂ© pas plus qu’Eli Patermeu qui connais un dĂ©but d’exercice un peu compliquĂ© Ă  Vianense. Si le vĂ©tĂ©ran Pol Bernard 35 ans, 106 sĂ©lections fait son retour, le groupe a aussi acceuilli trois petits nouveaux. Pedro Tiba qui fait un dĂ©but de saison solide du cĂŽtĂ© de Wolfsburg pourrait connaitre sa premiĂšre cape. C’est aussi le cas de Renato Pacheco, mĂ©tronome de Vianense mais aussi de Bruno BrĂĄs, incontournable avec le Borussia Dortmund.

Nat Nat Nom PrĂ©nom Âge Cap Buts Valeur Club
GB :portugal: Bruno Santana 21 6 0 43M € - 54M € :portugal: :vianense:
GB :portugal: Gil Cabrita Martins 25 15 0 93M € - 112M € :germany: :leipzig:
GB :portugal: Alexandre Ferreira 22 12 0 63M € - 74M € :netherlands: :feyenoord:
DD :portugal: Pedro Tiba 21 0 0 67M € - 97M € :germany: :wolfsburg:
DC :portugal: David Brás 32 116 6 43M € - 60M € :england: :liverpool:
DC :portugal: Bruno Brás 24 0 0 34M € - 48M € :germany: :dortmund:
D/AL (DG) :portugal: Bruno Ferreira 27 44 5 42M € - 51M € :england: :brighton:
D/AL (DG) :portugal: Manuel Cruz 24 49 2 146M € - 206M € :germany: :bayern:
MD :portugal: Gonçalo Sequeira 36 183 26 0,7M € - 3,8M € :england: :arsenal:
MD :portugal: :luxembourg: Pol Bernard 35 106 4 0,5M € - 5,4M € :italy: :inte:
MD :portugal: Salvador Pataca 22 14 1 124M € :england: :fulham:
MD :portugal: Renato Pacheco 19 0 0 53M € - 73M € :portugal: :vianense:
MD, MC :portugal: Francisco Maior 22 10 0 52M € - 57M € :portugal: :vianense:
M (D) :portugal: :guinea_bissau: Alfa Mendes 30 19 0 14M € - 17,5M € :spain: :real_valladolid:
M (D) :portugal: :france: Luís Nóbrega 21 2 0 66M € - 96M € :france: :monaco:
MC :portugal: Iuri Robalo 25 12 1 47M € - 66M € :germany: :bayern:
M (G) :portugal: João Grilo 26 33 10 69M € - 83M € :spain: :barcelona:
M/MO (DG) :portugal: Fábio Machado 31 108 18 83M € - 97M € :spain: :barcelona:
MO (D) :portugal: Ilídio Puga 29 97 26 114M € - 137M € :england: :arsenal:
MO (G) :portugal: :cape_verde: Adilson Cabral 24 13 5 72M € - 101M € :italy: :inter:
MO (DG) :portugal: João Vaz 25 46 0 123M € - 144M € :germany: :wolfsburg:
BTC :portugal: :ghana: Emmanuel Adjei 19 3 3 61M € - 84M € :portugal: :vianense:
BTC :portugal: :guinea_bissau: Emerson Camará 22 6 1 74M € - 106M € :england: :chelsea:

C’était donc les trois derniers matchs pour se qualifier pour le Mondial. Le Portugal a pliĂ© sa qualification en s’imposant contre l’AzerbaĂŻdjan sur la plus petite des marges Ă  la faveur d’un nouveau but d’Emmanuel Adjei, son quatriĂšme en autant de sĂ©lections. Plus dĂ©tendu, la seleçao s’est relachĂ© sur les deux derniers matchs. Avec les petits nouveaux Tiba, Bras et Pacheco titulaire, les hommes d’Anibal ont concĂ©dĂ© un nul contre une rugueuse Ukraine qui jouait sa qualification. Enfin cette campagne s’est terminĂ© sur une derniĂšre victoire contre la GĂ©orgie sur un but de JoĂŁo Vaz. Le Portugal et l’Ukraine disputeront ainsi le mondial l’étĂ© prochain.

Date Club Score Buteurs
:grootwcqualifier: M6 02/10/2045 :groot_azerbaidjan: Azerbaïdjan 1 - 0 E.Adjei (19’)
:grootwcqualifier: M7 09/11/2045 :groot_ukraine: Ukraine 0 - 0 -
:grootwcqualifier: M8 12/11/2045 :groot_georgia: GĂ©orgie 1 - 0 J.Vaz (21’)

- Classificação -
- Classement -

Clt
Équipe
J G N P Bm Be Diff Pts
1er :grootwordcup: :fpf: Portugal 8 7 1 0 15 2 +13 22
2Ăšme :grootwordcup: :groot_ukraine: Ukraine 8 5 1 2 17 7 +10 16
3Ăšme :groot_finland: Finlande 8 4 0 4 17 16 +1 12
4Úme :groot_georgia: Géorgie 8 3 0 5 9 14 -5 9
5Ăšme :groot_azerbaidjan: AzerbaĂŻdjan 8 0 0 8 5 24 -19 0
- Chapitre 872 -
- L’acadĂ©mie Hiraoka -
- Chapitre 874 -
Coming SOON - 26/11
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de bonnes victoires mais score tout mini

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Le job est fait. Difficile de demander plus Ă  ce stade-ci

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Renato est un envoyĂ© des cieux pour ĂȘtre aussi parfait :grin:
La sélection est moins dominatrice, mais toujours aucune défaite à signaler.

La vraie info, c’est que l’Ukraine existe toujours en 2045 !

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