:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[CaptainAmericka]

Belle petit carrière qu’il a fait ! Plutôt fidèle et bonne personne !

[Tiien]

Franchement oui, très belle carrière

[alexgavi]

Encore une recrue intéressante

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka @Tiien c’est un crack, mon gros regret c’est de pas l’avoir eu à Valladolid. J’avais adoré le peu que je l’ai eu en réserve du Sporting. Il a eu une super belle carrière et l’a encore. Aurait pu être encore mieux. Dommage qu’il ai pas percé en sélection.

@alexgavi c’est pas une recrue c’est un zoom sur la carrière d’un joueur de la game.

D’ailleurs @FC_Guimaraes j’ai crée un groupe avec les membres suivant ce récit. Si d’autres veulent rejoindre

Pour le prochain épisode quel joueur ayant croisé ou non la route d’Anibal Guimarães aimerait vous découvrir ?

- Sporting cumpre as expectativas -
- Le Sporting réponds aux attentes -

Après un mois d’Aout prometteur, le Sporting d’Anibal Guimarães entrait dans le vif du sujet. Avant de débuter la phase de championnat de Conference League les Leões devait faire face à trois journées de championnat. C’est d’abord chez Vizela que le Sporting s’est rendu. Ryuji Endo a rapidement ouvert le score avant que la légende Radojičić ne double la mise. En fin de match, le jeune Manuel Cruz a provoqué un troisième but, cette fois conte son camps de Brito. Quelques jours suivant, le SCP s’est imposé contre l’Academica Coimbra avec un doublé de Radojičić consécutif à un but de Léo.

Avant de débuter la Conference League, le Sporting a fait tomber Moreirense, Léo a de nouveau inscrit un pénalty provoqué par Infante. Le buteur portugais a trouvé la faille un peu plus tard avant qu’Endo à la demi heure n’ajoute un troisième but. Les débuts en Conference League se sont fait de façon naturelle en continuité avec le début de saison du Sporting. Les lusitanien se son en effet offert une victoire contre København à la faveur d’un doublé de João Infante et d’un but en toute fin de match de Tobias Palacio.

En allianz Cup, le Sporting a attaqué la phase de groupe en faisant tomber Belenenses avec un nouveau but de João Infante. En championnat, les hommes d’Anibal ont continué cette période doré avec une victoire contre Portimonense avec un but très précoce de Palacios suivis de trois autres buts en seconde période de Infante, Teopisto et Radojičić. Avant de recevoir Minsk en Conference, le Sporting a ensuite fait tomber Fafe grâce à sa jeunesse et Costa en troisième tour de Taça.

Les titulaires de retour en Conference se sont défait facilement de Minsk avec des buts d’Infante et Fierros. Lors de la neuvième journée Anibal s’est offert un succès de prestige contre le Gil Vicente de Carlos Tévèz avec des buts de Palacio et un doublé de Radojičić. Lors de la journée suivante, le Sporting est tombé contre le FC Porto malgré un but de Infante.

Avec cette belle période le Sporting s’installe sur le podium de la Liga Betclic mais ne peut pas grand chose face aux débuts de saison fou du FC Porto et du Benica.

		Date		Club	Score	Buteurs
	J5	4/9/2037		Vizela	0 - 3	R.Endo (10), M.Radojičić (25),A.Brito csc (90)
	J6	8/9/2037		Académica Coimbra	3 - 0	Léo (pen 23), M.Radojičić (32, 68)
	J7	11/9/2037		Moreirense	3 - 0	Léo (pen 3), J.Infante (20), R.Endo (31)
	M1	17/9/2037		FC København	3 - 1	J.Infante (7, 38), T.Palacio (90+6)
	M1	22/9/2037		Belenenses	1 - 2	J.Infante (44), F.Gonçalves csc (84)
	J8	9/10/2037		Portimonense	1 - 4	T.Palacio (2), J.Infante (62), M.Teopisto (81), M.Radojičić (83)
	T3	18/10/2037		Fafe	0 - 1	C.Costa (29)
	M2	22/10/2037		Dinamo Minsk	2 - 0	J.Infante (5), A.Fierros (18)
	J9	25/10/2037		Gil Vicente	3 - 0	T.Palacio (17), M.Radojičić (31, 64)
	J10	31/10/2037		Porto	2 - 1	J.Infante (31)

- Classificação -
- Classement -

Clt			Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er			Porto	11	10	1	0	30	9	+21	31
2e			Benfica	10	8	2	0	29	7	+22	26
3e			Sporting CP	10	8	0	2	27	9	+18	24
4e			Famalicão	10	6	2	2	14	7	+7	20
5e			Portimonense	11	6	1	4	23	19	+4	19
6e			Boavista	11	5	3	3	11	9	+2	18
7e			Vitória de Guimarães	11	5	2	4	20	14	+6	17
8e			Salgueiros	9	5	1	3	15	12	+3	16
9e			Tondela	10	5	1	4	12	18	-6	16
10e			Casa Pia	10	5	0	5	12	14	-2	15
11e			Braga	10	4	2	4	14	11	+3	14
12e			Gil Vicente	8	3	0	5	12	13	-1	9
13e			Rio Ave	10	2	1	7	13	29	-16	7
14e			Moreirense	10	2	1	7	13	21	-8	7
15e			Arouca	9	2	1	6	6	19	-13	7
16e	B		Académica Coimbra	11	1	3	7	8	20	-12	6
17e			Vianense	11	1	3	7	8	18	-10	6
18e			Vizela	10	0	2	8	5	23	-18	2

- Classificação dos goleadores -
- Classement des buteurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			João	Infante	15	9	1
			Marko	Radojičić	13 (2)	8	4
			Julien	Boussemart	4 (13)	5	0
			Andre	Fierros	15 (1)	4	2
			Tobías	Palacio	13 (3)	3	0

- Classificação dos colonos -
- Classement des passeurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
				Costinha	10 (3)	0	5
				Léo	13 (5)	2	5
			Martim	Teopisto	16 (1)	2	5
			Marko	Radojičić	13 (2)	8	4
			Gonçalo	Inácio	15 (2)	1	4

- Guess who’s back - - Rodrigo Ribeiro -	- Chapitre 526 - Coming SOON - 07/02

[toopil]

Heureusement qu’il y a Porto pour te ramener sur terre

[VertPourToujours]

Ahhhh enfin un peu de résistance, et tout qui ne tourne pas comme prévu. Il avait perdu l’habitude ça va mettre du piment dans un pays ou il n’y a pas de mafia…
A part peut-être celle de Jorge Mendes

[volatil]

Ça tourne quand même sévèrement bien.

[Tiien]

Ca déroule mais comme le Benfica, Porto te tape

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@toopil Les gros chocs sont pas évidents en effet.

@VertPourToujours je t’avais dit que ce serait pas forcément si simple. Mendes faut s’en méfier de ce chien.

@volatil mouais on céde déjà des points.

@Tiien ils sont intouchables pour l’instant.

- Les Tempêtes Invisibles -

Le Sporting Clube de Portugal traverse une de ses meilleures saisons récentes sportivement parlant. Sous la houlette d’Anibal, le coach charismatique, et d’un collectif solide, l’équipe occupe les premières places du championnat. Les tribunes vibrent à chaque match, les supporters rêvent de titres, et la presse encense les performances des joueurs. Mais derrière cette façade dorée, une ombre grandit, menaçant de tout engloutir.

Hugo Viana, directeur sportif du Sporting, passait une énième soirée dans son bureau, les yeux rivés sur des chiffres qui refusent de s’additionner correctement. Les finances du club, déjà fragiles, ont atteint un point critique. Les dettes s’accumulent, les créanciers s’impatientent, et les sponsors hésitent à renouveler leurs engagements.

La situation atteint son paroxysme lorsqu’il reçoit un appel glaçant : le jet privé du club a été saisi et sera bientôt vendu aux enchères pour éponger une partie des dettes. Cette décision est symbolique, presque humiliante, mais elle est surtout le reflet d’une réalité qui devient impossible à cacher.

Le lendemain matin, Viana convoque Anibal et quelques cadres de l’équipe dans une salle de réunion discrète. L’atmosphère est pesante, les sourires habituels sont absents. « Messieurs », commence Viana, « je vais être direct. Le club traverse une période financière extrêmement difficile. Nous allons devoir réduire drastiquement les coûts, et cela commence dès aujourd’hui. »

Il marqua une pause, cherchant ses mots. « Le jet privé n’est plus à notre disposition. À partir de maintenant, nous voyagerons en train et en bus pour les déplacements. De plus, il est possible que certains salaires soient versés avec un léger retard ce mois-ci. »

Le silence qui suit fut assourdissant. Anibal croisa les bras, son regard fixé sur Viana. Il est connu pour sa franchise, et il ne tarda pas à réagir. « Hugo, on peut comprendre que le club ait des problèmes financiers. Mais ces retards de salaire… Ça va affecter le vestiaire, la dynamique, tout ce qu’on a construit. »

« Je le sais, Anibal », répondit Viana d’une voix lasse. « Mais nous n’avons pas le choix. Nous avons besoin que toi, en tant que coach, aidiez à maintenir le groupe soudé. »

Les nouvelles circulèrent vite. Les joueurs, initialement concentrés sur leurs performances, commencèrent à murmurer dans les couloirs. Certains, notamment les jeunes, s’inquiètèrent pour leur avenir. Les étrangers, habitués à des standards élevés, peinèrent à accepter ces changements.

Anibal, fidèle à son rôle de leader, tenta de calmer les esprits. Lors d’une réunion d’équipe improvisée, il pris la parole. « Écoutez, les gars, je sais que la situation n’est pas idéale. Mais ce n’est pas le moment de se désunir. Ce club, ces supporters, ils comptent sur nous. On doit continuer à donner le maximum sur le terrain. Si on se bat ensemble, on peut surmonter ça. »

Ses mots trouvèrent un écho chez certains, mais d’autres restèrent sceptiques. le milieu de terrain vedette, André Fierros par exemple, laissa entendre qu’il pourrait envisager un départ si les retards de salaire se prolongeaient.

Le premier déplacement en train fut un choc. Habitués au confort du jet privé, les joueurs découvrirent les longues heures de trajet, les gares bondées, et les retards imprévus. Pourtant, quelque chose d’inattendu se produit : ces moments partagés dans des conditions plus modestes resserrèrent certains liens. Les jeunes joueurs, en particulier, s’adaptèrent vite et prirent ces trajets comme une aventure.

Anibal s’efforçait de maintenir une ambiance positive, plaisantant sur leur “tour du Portugal en chemin de fer”. Mais il savait que l’enjeu est bien plus grand : chaque match gagné est une chance de garder l’équipe soudée et de convaincre les supporters que le club méritait leur confiance, même en temps de crise.

Sur le terrain, le Sporting continuait d’impressionner. Les joueurs, galvanisés par les discours d’Anibal et la volonté de prouver leur valeur, enchaînèrent les victoires. Mais en coulisses, la pression ne faisait que grandir. Des rumeurs de cession partielle du club aux investisseurs étrangers circulèrent, alimentant l’incertitude.

Lors d’une conférence de presse, Anibal est interrogé sur la situation financière. Son regard fut ferme, sa réponse claire « Ce qui se passe en dehors du terrain, ce n’est pas à nous de le contrôler. Notre travail, c’est de jouer, de gagner, et de défendre ce maillot. Tant qu’on le fera, rien ni personne ne pourra nous abattre. »

La saison avançait, et les performances sportives du Sporting attirèrent l’attention. Des investisseurs commencèrent à s’intéresser au club, séduits par le potentiel de l’équipe et la résilience qu’elle affiche. Un accord pourrait bientôt être trouvé pour redresser les finances mais la structure du club possédé par les socios compliqués les choses.

En attendant, Anibal et ses coéquipiers continuèrent leur mission. Ils saient que chaque match serait une bataille, non seulement pour des points, mais pour l’avenir du club. Et même si les tempêtes invisibles menacèrent de tout balayer, ils étaient déterminés à maintenir le cap, ensemble.

- Chapitre 525 - - Sporting cumpre as expectativas -	- Chapitre 527 - Coming SOON - 08/02

[CaptainAmericka]

Bon, t’as un peu de résistance mais pas des masses non plus… Il suffit de les taper une fois et tu reprends l’ascendant psychologique !!

Le sujet financier fait très mal, surtout pour un club comme le Sporting… Il va falloir faire des coupes budgétaires… ANIBAL FAIT CADEAU DE TON SALAIRE

[alexgavi]

Porto ne sera pas simple à rattraper, ils ne laissent pas beaucoup de points en route !
Heureusement, le Portugal n’est pas un pays immense, mais le temps de transport crée de la fatigue supplémentaire.
Du moment que ce n’est pas un cartel qui veut investir dans le club, ça le fait

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka ça fait longtemps que je me suis pas senti aussi impuissant pendant un match en vrai. Le contexte financier je le connaissais en arrivant ceci dit.

@alexgavi C’est le truc souvent au Portugal les 2 gros qui font des saisons canons, si tu laisses passer des occasions t’es mort.

- Hugo Viana en plein doute, le silence de Varandas -

Hugo Viana contemplait les dossiers éparpillés sur son bureau, chacun contenant un morceau de la catastrophe imminente. Les finances du Sporting Clube de Portugal sont à genoux. Les sponsors tardent à honorer leurs engagements, les créanciers frappent à la porte, et les joueurs commencèrent à murmurer dans le vestiaire. Plus inquiétant encore : Frederico Varandas, le président du club, a cessé de répondre à ses appels.

Lors de la dernière assemblée générale, les socios, profondément frustrés par l’inaction de la direction, ont voté massivement pour des élections anticipées. Ce vote, un signal clair de défiance envers Varandas, plongeait le club dans une situation d’instabilité encore plus grande. Avec des finances exsangues et un président aux abonnés absents, Hugo Viana se retrouve en première ligne.

Le fonctionnement particulier du Sporting, basé sur le modèle des socios, complique encore les choses. Toute tentative de faire entrer des investisseurs extérieurs pour injecter des fonds devra passer par un vote des membres, et ceux-ci restent farouchement attachés à l’indépendance du club. Hugo sait qu’il devra convaincre, non seulement les éventuels investisseurs, mais aussi la base, cette armée de supporters qui voient dans le Sporting bien plus qu’un simple club de football.

Viana commença une série de réunions avec des hommes d’affaires et des fonds d’investissement. Parmi eux, certains se montrent intéressés, mais les conditions qu’ils imposent sont strictes : une restructuration complète, avec une prise de contrôle partielle ou totale des opérations. Ces propositions risquent de heurter la sensibilité des socios, et Viana le sait. Mais a-t-il vraiment le choix ?

Un soir, alors qu’il revient d’une de ces réunions, il reçu un message inattendu. C’est un simple SMS de Varandas « Hugo, je vais m’expliquer bientôt. Patiente encore un peu. »

Viana serra les dents. Ce “bientôt” sonne creux. Le temps pressait, et le président semblait plus préoccupé par sa propre survie politique que par celle du club.

Pendant ce temps, le club continuait à avancer, porté par des performances sportives solides. Mais en coulisses, les fissures s’élargissèrent. Les socios, informés par les médias des négociations en cours avec des investisseurs, se divisèrent en deux camps : ceux qui estiment que vendre une partie du club est un mal nécessaire pour sa survie, et ceux qui refusent catégoriquement tout compromis sur son indépendance.

Lors d’une réunion tendue avec certains cadres du comité directeur du club, Viana fit face à une question brûlante « Hugo, est-ce qu’on risque de perdre le contrôle du Sporting ? »

Il inspira profondément avant de répondre. « Je ne vais pas vous mentir. Si on continue comme ça, on risque de tout perdre, indépendance ou pas. Mon objectif est de trouver une solution qui respecte l’ADN du club, mais ça ne sera pas facile. »

Le jour de l’assemblée générale suivante, le stade José Alvalade était bouillonnant. Les socios se pressèrent dans les travées, certains avec des pancartes réclamant la démission immédiate de Varandas, d’autres appelant à l’unité. Viana, malgré son rôle, était vu par beaucoup comme un homme honnête pris dans une tempête qu’il n’a pas provoquée.

Lors de son discours, il joua cartes sur table. « Le Sporting est plus qu’un club, c’est une institution. Mais aujourd’hui, cette institution est en danger. Nous avons besoin de stabilité, de ressources, et de dirigeants qui agissent dans l’intérêt du club, pas de leur carrière. »

Sa déclaration fut accueillie par un mélange d’applaudissements et de sifflets. Mais au fond, tous savaient qu’il avait raison.

Alors que la crise avait atteint son paroxysme, une nouvelle surprenante tomba : un groupe d’investisseurs portugais, mené par un ancien joueur emblématique du Sporting, proposèrent un plan de sauvetage. Leur projet ? Injecter des fonds tout en maintenant le fonctionnement des socios. Ils demandèrent en échange des garanties sur la gestion financière future et une place au conseil d’administration.

Ce plan, présenté par Viana lors d’une réunion extraordinaire, divisa une fois de plus car laissant en place le président Varandas, mais il offrait une issue possible.

Les élections anticipées furent finalement convoquées. Varandas ne se présenta pas, laissant un vide à combler. Hugo Viana, bien qu’épuisé, était vu par beaucoup comme un homme qui a tenu le club à bout de bras pendant la tempête. Lors des derniers matchs de l’année, les supporters, malgré leurs inquiétudes, continuèrent de remplir les tribunes. Ils savaient que l’avenir du Sporting se jouer autant sur le terrain qu’en dehors.

- Chapitre 526 - - les tempêtes invisibles -	- Chapitre 528 - Coming SOON - 09/02

[Manthyz]

[volatil]

[CaptainAmericka]

Oh oh, sombre merde là tout de suite…

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Manthyz @volatil Ce sera pas facile mais on va le faire. Si on ramène le club en Champion’s ça ramenera de l’argent.

@CaptainAmericka

- Javi Sanchez refléchit à prendre son envol -

Le stade résonne encore des chants des supporters. Une nouvelle victoire en Conference League venait d’ajouter un succès de plus à la saison du club. Dans le vestiaire, l’euphorie est palpable. Les joueurs rient, célèbrent, et partagent leurs moments de complicité, mais dans un coin du vestiaire, Javi Sánchez est pensif.

Depuis bientôt six ans, Javi est l’adjoint d’Anibal, son bras droit sur et hors du terrain. Ensemble, ils ont construit un collectif solide, traversé des tempêtes et célébré des triomphes. Mais ce soir, une envie qu’il garde en lui depuis quelque temps refait surface, plus forte que jamais. Alors que le calme revient et que les derniers joueurs quittent le terrain d’entrainement, Javi s’approche d’Anibal. « Coach, je peux te parler un moment ? » demande-t-il, un mélange de nervosité et de détermination dans la voix.

Anibal, encore plongé dans des notes tactiques, lève les yeux. « Bien sûr, Javi. Dis-moi tout. »

Javi pris une profonde inspiration, et se lança. « Anibal, ça fait presque six ans qu’on travaille ensemble. Et je veux que tu saches que ces années ont été incroyables. J’ai appris tellement de choses à tes côtés, sur le football, sur la gestion d’une équipe, et sur moi-même. »

Il marque une pause, cherchant ses mots. « Mais voilà, je ressens de plus en plus l’envie de devenir entraîneur principal. D’avoir ma propre équipe, de faire mes propres choix. »

Un sourire discret se dessine sur le visage d’Anibal. « Je m’en doutais, Javi. C’est naturel. »

« Tu es prêt » continua Anibal, sans hésiter. « Tu as toujours été plus qu’un simple adjoint. Tes idées, ta façon de parler aux joueurs, ta lecture du jeu… tout ça prouve que tu as tout ce qu’il faut pour réussir seul. »

Javi fut surpris par la réaction calme et encourageante d’Anibal. « Tu ne m’en veux pas ? » demanda-t-il.

« Bien sûr que non » répondit Anibal en riant doucement. « Écoute, Javi. Si quelqu’un veut voler de ses propres ailes, c’est normal. Je ne vais pas t’en empêcher, au contraire. Je suis passé par là aussi. Mais je vais te demander une chose. »

Javi se redressa, attentif.

« Attends la fin de la saison, sauf si une opportunité folle se présente. L’équipe est dans une bonne dynamique, et ta présence est essentielle pour finir ce que nous avons commencé. Je vais rapidement réfléchir à ton successeur à mes côtés. Je te consulterais surement. Nous sommes amis avant tout. Après ça, je te soutiendrai dans ta recherche d’un poste, peu importe où ça te mène. »

Javi hocha la tête, soulagé. « C’est tout ce que je voulais entendre. Merci, Anibal. Je ne te décevrai pas. »

« Tu ne l’as jamais fait, Javi » répondit Anibal avec un sourire. « Et je sais que tu ne le feras pas quand tu seras à la tête de ton propre projet. »

Les jours qui suivirent, Javi repris son travail avec un nouvel enthousiasme. Il observa Anibal avec encore plus d’attention, absorbant chaque détail de sa gestion, conscient que ces derniers mois à ses côtés seront précieux pour son propre futur.

De son côté, Anibal réfléchit aussi. Il savait que la perte de Javi sera un coup dur pour le staff, mais il était fier de voir son adjoint prêt à voler de ses propres ailes. Il commença à envisager comment préparer la transition, pour que le départ de Javi ne soit pas un choc mais une étape naturelle dans l’évolution de l’équipe.

La saison continua, et avec elle, le duo Anibal-Javi resta soudé. Mais à chaque victoire, à chaque décision prise ensemble, une certitude grandit : bientôt, ce sera à Javi de guider une équipe, de porter la pression, et de célébrer ses propres triomphes. Et Anibal, fidèle à son rôle de mentor, sera là pour l’encourager.

- Chapitre 527 - - Viana doute, Varandas silencieux -	- Chapitre 529 - Coming SOON - 09/02

[volatil]

Une future rivalité à naître !

[Rhino]

Ca promet de beaux duels une fois que Javi volera de ses propres ailes

[alexgavi]

Situation très compliquée au club. Il y aura forcément des déçus dans le lot.
Javi mérite de voler de ses propres ailes

[Manthyz]

Un départ inéluctable … Il se murmure qu’il pourrait peut-être arriver en terres galloises …