En fait la monotonie et le monde des Bisounours emmerde sĂ©vĂšre le AnibalâŠ
Je peux comprendre la frustration dâAnibal mais en mĂȘme temps, il faut sây attendre. Des dĂ©parts comme ça, il y en aura dâautres
Il nây aura malheureusement pas de la place pour tous⊠Faudrait partir sur une stratĂ©gie pure et dure de ne sâappuyer que sur la formation pour quâils restent tous mais ce nâest pas la direction prise.
Ce nâest pas ce lĂ©ger souci qui doit embĂȘter Anibal, il faut continuer Ă aller de lâavant.
RĂ©ponses aux lecteurs
@gwendil35 mĂȘme pas câest du classique en vrai dans le monde du foot, ça arrive souvent que des mecs signent pas pro dans leur club. Et on a tous dĂ©jĂ eu le message dans FM quâun club Ă chiper un jeune du centre de formation. Mais lĂ trois dâun coup je me suis dit ça vaut un article.
@Rhino oui voilĂ juste ça Ă©nerve le personnage car on lui vends un projet sur la formation et les jeunes se cassent AprĂšs on sait pas ce quâils valaient ces cons lĂ .
@CaptainAmericka ah clairement, un club comme le Sporting ne peux se le permettre. DĂ©jĂ quâon mise bcp plus sur eux un peu comme le fait le PSG câest beau dans des clubs de ce niveau.
La sueur perle encore sur le front dâAnibal alors quâil pousse la porte de leur maison, une villa nichĂ©e entre les falaises et les plages dorĂ©es de lâAlgarve. Son sac de sport glisse de son Ă©paule dans un bruit sourd. La maison est calme, baignĂ©e de cette lumiĂšre douce de fin dâaprĂšs-midi que seul le Portugal sait offrir. Dans le salon, il aperçoit Yessica, assise sur le canapĂ©, un scĂ©nario Ă la main et une tasse de thĂ© tiĂ©die Ă cĂŽtĂ© dâelle.
Le sourire qui se dessine sur son visage disparaĂźt vite quand il voit son regard distrait et son air absent. Leur fille, Isabella, joue dans le coin avec une pile de blocs colorĂ©s, sa voix joyeuse rompant la tension latente dans la piĂšce. Yessica lĂšve enfin les yeux en lâentendant entrer. « Salut », murmure-t-elle sans grand enthousiasme.
Anibal sâapproche, dĂ©pose un baiser sur son front et jette un coup dâĆil au scĂ©nario. « Toujours rien ? » demande-t-il, sa voix pleine de cette douceur prudente quâil utilise quand il sent que la conversation peut basculer.
Yessica soupira et reposa les pages sur la table basse. « Rien. Des personnages creux, des intrigues recyclées⊠Rien qui me fasse vibrer. »
Elle marque une pause, comme si elle hĂ©sitait Ă aller plus loin. Mais les mots finissent par jaillir. « Tu sais, les plateaux de tournage me manquent. LâadrĂ©naline, les longues journĂ©es, les nuits dâĂ©criture improvisĂ©es⊠Depuis quâon est revenus ici, je me sens⊠bloquĂ©e. Comme si ma vie Ă©tait en suspens. »
Anibal sâassis alors Ă cĂŽtĂ© dâelle. Il savait que ce moment allait venir, quâil flottait dans lâair depuis des semaines, voire des mois. Il choisit ses mots avec soin. « Yessica, je comprends, vraiment. Mais ici, on a trouvĂ© une stabilitĂ© qui nous fuyait. Pour Isabella, pour nous. Tu sais que je ne peux pas me permettre de repartir en AmĂ©rique. Pas avec ce qui sâest passé⊠»
Il ne pu terminer sa phrase. Les souvenirs sont encore trop lourds, les Ă©chos des scandales qui lâont poussĂ© Ă quitter sa carriĂšre de coach lĂ -bas pour revenir en Europe. Yessica, cependant, ne lui laissa pas le luxe de lâesquive. « Oui, je sais. Mais Anibal, est-ce que tu te rends compte que je mets tout en pause pour toi ? Ma carriĂšre, mes rĂȘves⊠Tu penses que ça peut durer Ă©ternellement ? »
Sa voix monta, lĂ©gĂšrement tremblante, trahissant Ă la fois la colĂšre et la tristesse quâelle avait contenues trop longtemps. "Je ne veux pas ĂȘtre juste la mĂšre dâIsabella ou la femme dâAnibal. Jâai travaillĂ© dur pour arriver lĂ oĂč jâen suis. Et je refuse de laisser ça disparaĂźtre."
Anibal ferma les yeux, passa une main sur son visage. Il savait quâelle avait raison, quâelle avait sacrifiĂ© bien plus quâelle ne lâaurait dĂ». Mais il Ă©tait pris dans ce dilemme quâil nâavait jamais su rĂ©soudre : comment ĂȘtre lâhomme stable dont il rĂȘve de devenir, tout en laissant Yessica sâenvoler Ă nouveau ? « Quâest-ce que tu veux faire ? » finit-il par demander, sa voix basse.
« Je veux retourner à Los Angeles, au moins pour quelques mois. Rencontrer des gens, me replonger dans cet univers. Mais je veux aussi que tu sois à mes cÎtés, que tu ne sois pas juste celui qui reste derriÚre. » lui répondit-elle.
Il hocha la tĂȘte lentement. Il savait que la conversation Ă©tait loin dâĂȘtre finie, que leurs dĂ©sirs opposĂ©s risquait de crĂ©er encore bien des tempĂȘtes. Mais il aimait Yessica, plus que tout, et il savait quâil devrait trouver une solution. Pour elle, pour leur fille, pour eux.
Alors quâIsabella venait se blottir contre lui avec un sourire innocent, il sentit le poids de leurs choix sur ses Ă©paules. Le Portugal Ă©tait leur refuge, mais pouvait-il aussi ĂȘtre leur prison ?
Ca va, ils ont lâargent pour faire les allers-retours, que chacun vive sa passion !
Câest qui la star dans le couple hein ?
2 grandes carriĂšres qui ne peuvent pas se passer au mĂȘme endroit , situation compliquĂ©eâŠ
EUH ??? On est dans une autre dimension ? Depuis quand Beatriz a changé de prénom ???
Il manque pas un mot dans le titre ?
LA = Los Angeles
ah bah oui, mais comme tout est en majuscule, jâĂ©tais du-per.
Un peu dâeau dans le gaz. Il doit bien y avoir des solutions. Mais ça va ĂȘtre chaud pour la garde alternĂ©e
Jâai rattrapĂ© tout mon retard
Tu mâas tuĂ© Bien vu !!
Je suis dâaccord avec ce qui a Ă©tĂ© dit plus haut, ils ont lâargent pour pouvoir vivre ce genre de vie, Ă aller et revenir au besoin ! Quâils ne se privent pas et vivent leur vie Ă fond !
Résumé
@Sythax pense Ă lâempreinte carbone enfin
@volatil hum niveau prime actuelle câest peut etre plus Yessica quand mĂȘme.
@celiavalencia oui câest pas Ă©vident. Peut ĂȘtre quâelle a bafouillĂ©
@Akasha tu deviens gateux frérot.
@celiavalencia yâa au moins quelquâun qui suit.
@Akasha tâes surtout PRESBITE
@alexgavi lâavenir nous le dira.
@toopil et tâa kiffĂ© ?
@CaptainAmericka chut ! a fond la chatte
La nouvelle tombe un matin dâhiver, secouant les fans de Gil Vicente : Silas nâest plus lâentraĂźneur du club. Les performances dĂ©cevantes de lâĂ©quipe, en dĂ©pit dâune ambition affichĂ©e de qualification europĂ©enne, ont poussĂ© Pablo Aimar, le directeur sportif, Ă prendre une dĂ©cision radicale. Il fallait un Ă©lectrochoc, quelquâun capable de transformer un vestiaire dĂ©moralisĂ© en une machine Ă gagner.
Quelques heures plus tard, un communiqué officialise la nouvelle : Carlos Tevez est le nouvel entraßneur de Gil Vicente.
Carlos Tevez, le lĂ©gendaire âApacheâ, arrive Ă Barcelos avec un mĂ©lange dâexcitation et de dĂ©fi. Depuis quâil a quittĂ© Gremio aprĂšs leur titre au BrĂ©sil, il attendait lâopportunitĂ© de prouver quâil pouvait rĂ©ussir en Europe, non plus comme joueur, mais comme stratĂšge. Il a refusĂ© plusieurs propositions en AmĂ©rique du Sud, cherchant un projet qui lui permettrait de sâimposer dans un football diffĂ©rent, exigeant et technique.
Gil Vicente, un club aux ambitions modernes, semblait ĂȘtre lâendroit parfait. Aimar lâa convaincu en lui prĂ©sentant un projet clair : redonner une identitĂ© Ă lâĂ©quipe, construire un style de jeu offensif et passionnĂ© qui reflĂ©terait la ferveur locale. Le budget Ă©tait limitĂ©, mais Tevez voyait cela comme un dĂ©fi, pas une contrainte.
Lors de sa prĂ©sentation officielle, Tevez entra dans la salle de presse vĂȘtu dâun costume impeccable, mais avec lâaura de guerrier quâil nâa jamais quittĂ©e. Il pris le micro avec ce sourire en coin qui a marquĂ© sa carriĂšre. « Je suis ici parce que je crois en ce club », dit-il dâun ton dĂ©terminĂ©. « Gil Vicente a un potentiel immense, et je suis convaincu que nous pouvons inverser la tendance. Il sâagit de construire quelque chose de grand, pas seulement pour cette saison, mais pour lâavenir. »
Ses paroles frappĂšrent juste. Les supporters, sceptiques au dĂ©part, se mirent Ă rĂȘver. Tevez incarne cette Ă©nergie brute, cette rage de vaincre, qui manque Ă lâĂ©quipe.
DĂšs les premiers entraĂźnements, il imposa sa patte. Fini les longues sessions tactiques qui noyaient les joueurs sous les consignes. Tevez privilĂ©gie des exercices simples mais intenses, oĂč lâeffort collectif prime. Il parle directement aux joueurs, les encourageant Ă prendre des risques et Ă jouer avec passion.
Dans le vestiaire, il rencontra les leaders de lâĂ©quipe. Il Ă©changa longuement avec le capitaine et les cadres, cherchant Ă comprendre la dynamique du groupe. Il identifia rapidement les forces et les faiblesses : un manque de confiance dans les moments clĂ©s et une attaque trop prĂ©visible. Il dĂ©cida dây remĂ©dier en expĂ©rimentant un systĂšme de jeu basĂ© sur la vitesse et les transitions rapides, un style inspirĂ© de son propre parcours de joueur.
Le premier match sous ses ordres fut un dĂ©placement compliquĂ© contre le Sporting Braga. Personne ne donnait une chance Ă Gil Vicente, mais Tevez parvient Ă galvaniser ses joueurs. Dans les derniĂšres minutes, alors que le score est de 1-1, lâĂ©quipe dĂ©clenche un contre fulgurant qui se conclut par un but magistral.
Le coup de sifflet final retentit, et les supporters présents dans le stade rival explosÚrent de joie. Tevez, les poings serrés, se tourne vers ses joueurs, le visage illuminé par cette premiÚre victoire.
Les jours passĂšrent, et le club commença Ă se transformer. LâĂ©quipe retrouvit une identitĂ©, un souffle nouveau. Tevez nâhĂ©sita pas Ă donner leur chance Ă de jeunes talents du centre de formation, tout en demandant Ă Aimar des renforts ciblĂ©s lors du mercato dâhiver. Lâalchimie avec le directeur sportif Ă©tait Ă©vidente : deux anciens numĂ©ros 10 qui partagent la mĂȘme vision du football.
Les mĂ©dias europĂ©ens commencent Ă parler de Gil Vicente. âLe pari Tevezâ intrigue, tandis que ses confĂ©rences de presse, mĂȘlant sincĂ©ritĂ© et franchise, attirĂšrent lâattention.
Pour Tevez, ce nâĂ©tait pas seulement une mission professionnelle, mais un voyage personnel. Loin de lâAmĂ©rique du Sud, il dĂ©couvrait une nouvelle culture, un nouveau rythme. Il savait que tout ne serait pas facile, mais chaque match, chaque entraĂźnement Ă©tait une Ă©tape vers son rĂȘve : devenir lâun des grands noms du coaching europĂ©en.
Et Ă Barcelos, un petit club rĂȘve dĂ©sormais Ă ses cĂŽtĂ©s.
Avant ou aprĂšs lâerreur de prĂ©nom sur la gamine qui fait soupçonner un trafic dâenfant?
Tevez, le mec va encore prendre branlĂ©e sur branlĂ©e aprĂšs lâavoir ouvert devant la presseâŠ
Tevez au pays, une bonne occasion de lui faire dégonfler son melon à chaque rencontre
Ca va encore ĂȘtre rigolo entre Anibal et Carlos
(et ce montage !!! il mâa tuĂ© )
Et la planĂšte ??
Oh, lui il vient pour prendre des fessĂ©esâŠ
RĂ©ponses aux lecteurs
@toopil peut ĂȘtre un enfant cachĂ© et un lapsus
XD Il a un effectif pas dégeu en vrai.
@alexgavi jâespĂšre bien oui.
@Sythax ravi que cela te plaise
@volatil nique le bilan carbone
@CaptainAmericka toi aussi coquin.
ANNEES | CLUB | ![]() |
![]() |
![]() |
||||
![]() |
19/25 | [U19] | ![]() |
Sporting CP | 15 | 7 | 2 | |
![]() |
19/25 | ![]() |
[B] | ![]() |
Sporting CP B | 38 | 10 | 3 |
![]() |
19/25 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Sporting CP | 12 | 2 | 0 |
![]() |
23/24 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Penafiel | 14 | 6 | 0 |
![]() |
24/25 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Nacional Madeira | 26 | 10 | 2 |
![]() |
25/26 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Sunderland AFC | 49 | 19 | 4 |
![]() |
26/38 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Bayer 04 Leverkusen | 455 | 254 | 33 |
![]() |
25/36 | ![]() |
[A] | ![]() |
Portugal | 30 | 4 | 4 |
19-38 | TOTAL - - - - - | 556 | 291 | 39 |
FormĂ© Ă lâacadĂ©mie du Sporting
NĂ© Ă Viana do Castelo, Rodrigo Ribeiro rejoint trĂšs jeune lâacadĂ©mie du Sporting Portugal. Il signe professionnel Ă 16 ans et cotoie rapidement le groupe professionnel. Il fera une dizaine dâapparitions avec lâĂ©quipe premiĂšre. En 2023, il effectue un excellent dĂ©but de saison avec la rĂ©serve du Sporting oĂč Anibal GuimarĂŁes voit en lui un talent supĂ©rieur.
Hugo Viana dĂ©cide alors de le prĂȘter sur les conseils de Ruben Amorim. Il finis alors la saison au Penafiel. Ribeiro montre alors ses qualitĂ©s de buteurs puis enchaĂźne un second prĂȘt Ă Madeire. Il atteint cette fois la barre des 10 buts.
lâexplosion Ă Sunderland
Ne souhaitant pas sâaccomoder dâun rĂŽle de doublure de Gyokeres, Ribeiro demande Ă nouveau Ă ĂȘtre prĂȘtĂ©. Il rejoint cette fois Sunderland en Championship. Rodrigo est alors un cadre de lâeffectif qui obtient la montĂ©e en Premier League, il marque presque 20 buts et marque les esprits.
Durant lâĂ©tĂ© qui suit les nĂ©gociations battent leur plein mais Sunderland ne convainc pas le Sporting avec son offre de 10MâŹ. Leeds a les faveurs du club portugais jusquâa ce que le Bayer Leverkusen sâintĂ©resse au joueur et pose 15M⏠pour boucler le dossier.
une légende de Leverkusen
Au Bayer, Rodrigo devient vite le fer de lance de lâattaque du Bayer. En 12 saisons jusquâa prĂ©sent, Rodrigo Ribeiro compte avec le club allemand 455 apparitions pour 254 buts et une trentaine de passes. Devenu capitaine, il est le joueur de lâeffectif comptant le plus dâanciennetĂ©.
Avec le Bayer, Rodrigo remporte deux fois la Bundesliga ainsi que trois fois la DFB Pokal et 2 Supercoupe remplissant son armoire Ă trophĂ©es personnelles. Sâil joue moins depuis le dĂ©but de saison il demeure une solution de remplacement plus quâintĂ©ressante.
une solution de rotation avec la seleçao
Durant sa carriĂšre, Rodrigo a jusquâa prĂ©senter portĂ© le maillot de la Seleçao portugaise Ă une trentaine de reprises pour 4 buts inscrits. Il nâa que rarement Ă©tĂ© titulaire avec la sĂ©lection hormis durant la Nations League 2035 que remporte le Portugal. Il nâa plus connu la sĂ©lection depuis prĂšs de 18 ans et la finale de Nations League.