:storygreen: :s16: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[Sythax]

Le 5-1 contre Benfica fait quand même mal

[CaptainAmericka]

Des débuts intéressants car tu n’exploses pas tout tout de suite !

[celiavalencia]

bon petit début mais la défaite face à Benfica a du faire mal

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@volatil Il est remplaçant et il sait pourquoi Infante viens d’arriver mais c’est pas ma seule solution en attaque.

@Sythax j’ai encore mal au derch putain.

@CaptainAmericka ça peut pas fonctionner à chaque fois

@celiavalencia elle pique sec en effet.

- Boussemart veut retrouver sa place -

Le début de saison de Julien Boussemart, attaquant français du Sporting Clube de Portugal, était pourtant prometteur. Malgré un statut de remplaçant, il avait trouvé le chemin des filets à cinq reprises, espérant que ces performances lui permettraient de retrouver une place de titulaire. Mais en coulisses, les choses étaient bien différentes. Un entretien tendu avec Anibal Guimarães, l’entraîneur principal, a scellé le sort du joueur, déclenchant une série d’événements qui risquent de compromettre sa saison.

Conscient que son temps de jeu restait limité malgré ses performances, Boussemart avait sollicité un entretien avec Anibal, espérant clarifier sa situation. Mais la réponse de l’entraîneur fut sans appel. “Julien, le Sporting a construit son effectif pour avancer sans toi. Nous avons pris cette décision cet été, et ce n’est pas parce que tu marques en sortie de banc que tout change. À ce stade, tu devras te contenter des miettes… voire des tribunes.”

Ces mots eurent l’effet d’une douche froide pour Boussemart, qui s’attendait à plus de reconnaissance. Vexé, il perdit son sang-froid et quitta le centre d’entraînement dans une rage visible, sous les regards médusés de ses coéquipiers.

Le lendemain, le quotidien portugais Record publia un article incendiaire, dénonçant les méthodes d’Anibal Guimarães, qualifiées de “mafieuses”. L’article décrivait un entraîneur manipulateur, dictant ses choix en fonction d’intérêts personnels et rejetant des joueurs sans véritable justification. Bien que le texte ne cite pas directement Julien Boussemart, la coïncidence était surprenante.

Anibal, loin de s’en formaliser, accueillit cette sortie avec une sérénité déconcertante. Lors d’un appel à Hugo Viana, le directeur sportif du Sporting, il ne mâcha pas ses mots.

“C’est du Jorge Mendes tout craché, Hugo. Tu sais comment il fonctionne : pression médiatique pour essayer de forcer la main. Mais ça ne prend pas avec moi. Je ne veux plus d’un seul de ses joueurs dans mon effectif.”

La situation de Boussemart au Sporting était compliquée depuis plusieurs mois. Arrivé avec de grandes attentes en provenance de Rome, il n’avait jamais réussi à s’imposer comme un élément clé de l’équipe. Cet été, le club avait clairement communiqué sur sa volonté de s’en séparer, mais aucune offre concrète n’avait été formulée.

Malgré son bon début de saison, Anibal avait pris une décision stratégique : construire un effectif sans dépendre de joueurs liés à Jorge Mendes, réputé pour ses manœuvres en coulisses. Boussemart, pris dans cette logique, devenait une victime collatérale.

Pour Julien Boussemart, cette série d’événements risque de compromettre définitivement sa saison. Avec Anibal fermement campé sur ses positions, et un club qui a déjà tourné la page sur son avenir, il est peu probable qu’il revoie le terrain de sitôt, sauf en cas de circonstances extraordinaires.

De son côté, Anibal a réaffirmé sa volonté de privilégier les joueurs alignés avec son projet. “Le Sporting doit avancer avec des joueurs motivés et impliqués à 100%. Ceux qui n’entrent pas dans ce cadre n’ont pas leur place, c’est aussi simple que ça.”

Cette situation met en lumière les tensions inhérentes aux relations entre joueurs, agents, et clubs, notamment dans des périodes de transition. Pour Boussemart, c’est une leçon amère sur l’importance de la gestion de ses relations en interne. Quant à Anibal, il continue de montrer qu’il ne se laisse pas dicter ses choix, même face à des figures influentes comme Jorge Mendes.

Le Sporting, quant à lui, doit désormais gérer une situation délicate en coulisses, tout en maintenant le cap sur ses ambitions sportives. Et pour Julien Boussemart, la prochaine fenêtre de transfert en janvier sera probablement son unique porte de sortie.

- Chapitre 518 - - um início prometedor -	- Chapitre 520 - Coming SOON - 04/02

[Sythax]

Pour le coup, Anibal a quand même manqué de diplomatie en le faisant jouer puis lui dire de manière brute qu’il irait en tribune quoiqu’il fasse

[volatil]

Bref, si t’es pas dans les petits papiers et que tu passes pas la savonnette au coach, la réalité du terrain n’a plus aucun sens. J’ai mal à mon football.

[CaptainAmericka]

Ouais là pour le coup, c’est moyen de la part du Coach ! Si vraiment il n’en veut plus depuis le début, autant ne pas faire appel à lui… Quand bien même il se montre performant.
Là je comprends qu’il ait repris espoir

[alexgavi]

Grosse avancée ! Début de saison plutôt convainquant, tout se passe comme prévu. Benfica a mis une belle fessée, qui sera vengée tôt ou tard
Anibal reste fidèle à ses convictions, même si il faut se mettre quelques joueurs à dos. Le fait qu’il s’agisse d’un joueur représenté par Mendes pèse lourd dans la balance

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Sythax Qui te dit qu’il ne lui a pas dit

@volatil L’important c’est le groupe.

@CaptainAmericka C’est surtout le joueur qui a demandé à partir.

- « Gestifute n’est pas le bienvenu au Sporting ! » -

Dans une conférence de presse inattendue et explosive, Anibal Guimarães, entraîneur principal du Sporting Clube de Portugal, a décidé de répondre publiquement aux critiques et aux polémiques qui entourent son retour en Europe. L’entraîneur portugais a notamment dénoncé ce qu’il appelle une “campagne de diabolisation” orchestrée par Jorge Mendes, célèbre agent de joueurs, et son agence Gestifute.

Anibal a ouvert la conférence par un rappel des faits entourant Jorge Mendes, suspendu pour 10 ans de toute activité liée au football après avoir été reconnu coupable de fraudes massives.

“Je m’étonne qu’en 2038, après tout ce qui a été dévoilé, on donne encore du crédit à un homme comme Jorge Mendes. Cet individu a construit un empire sur des pratiques douteuses, et aujourd’hui, il utilise son réseau pour tenter de me discréditer, simplement parce que je ne fais pas partie de ses plans.”

Anibal a ensuite évoqué les récents articles de presse et les déclarations publiques qui, selon lui, font partie d’une campagne bien organisée.

“Depuis mon retour en Europe, il y a une campagne claire pour m’isoler, pour m’attaquer personnellement. Ces attaques ne viennent pas par hasard. Elles viennent d’un système qui ne tolère pas que quelqu’un comme moi refuse de se plier à ses règles.”

L’entraîneur n’a pas manqué de réagir aux propos récents de José Mourinho, qui avait critiqué sa nomination au Sporting. Anibal, visiblement agacé, n’a pas mâché ses mots.

“José Mourinho, que j’ai respecté pendant des années, se permet de me critiquer publiquement. Pourtant, il n’a rien à dire sur les véritables scandales qui gangrènent notre football. Son silence sur les agissements de Jorge Mendes est assourdissant. Peut-être que lui aussi préfère protéger ses intérêts plutôt que défendre l’intégrité de ce sport. C’est sûr que c’est plus facile de prendre un chèque que de s’affirmer ! Croyez moi après avoir passer des années en Colombie, au Brésil ou au Mexique je sais de quoi je parle.”

Lancé dans une diatribe dont il a le secret, Anibal en profita pour recadrer un autre coach talentueux qui viens de mener Wrexham au titre de champion en Angleterre.

J’ai eu vent des propos de Lamar Jackson (@manthyz), s’il réalise des prouesses avec Wrexham, il devrait rester dans son domaine. Il parle de financements étrangers à Valladolid mais mélange Qatar et Arabie Saoudite. J’imagine que pour un américain soumis à divers traumas cranien, un arabe reste un arabe ? Remettre en cause ma probité en revanche… Qu’il gagne le titre national et la coupe continental avec un rival d’Envigado et on en reparlera. Puis bon rappelez moi combien a payé Wrexham pour Glenn Williamson ? (rofl) Jack Pierce ? (rofl) Combien de ses joueurs ont un salaire d’1M€/mois ? 6, 7 ? Désolé mais on ne fait pas le même métier.

Anibal évoqua ensuite le complexe dossier Julien Boussemart qui défraye la chronique depuis la fermeture du mercato.

« Concernant Julien, je vais faire quelque chose que je n’aime pas faire mais je vais défendre mon intégrité. Lors de mon arrivée au club, deux joueurs dont Julien ont demandé un entretien express pour demander à partir. J’ai tenté de les raisonner, mais leur agent dont je ne dirais pas le nom a insisté sur cette voie. Avec Hugo nous avons été clair avec eux. S’ils continuaient sur cette voie à la mi-Aout, il n’y aurait pas de retour en arrière car nous construisons un groupe. Thierno est arrivé, João est revenu, un joueur est parti, Julien n’a pas eu d’offres. Il m’a alors sollicité le 31/08 pour retrouver sa place de titulaire. Je lui ai calmement expliqué en présence d’Hugo que nous avions un accord et qu’il n’y aurait pas de retour en arrière, ce ne serait pas honnête envers des joueurs qui nous ont rejoint. Son agent a décidé de parler dans la presse… Que dire, vous travailler pour votre joueur ou dans votre interet ? Julien aura du temps de jeu, mais je ne compte pas sur lui. »

Dans un geste qui a surpris les journalistes présents, Anibal a annoncé une décision ferme concernant les joueurs représentés par Gestifute, l’agence de Jorge Mendes. “Je veux être clair : tant que je serai au Sporting, aucun joueur représenté par Gestifute ne signera au club. Les joueurs actuellement sous contrat avec eux, comme Julien Boussemart, ne seront pas prolongés. Et tout joueur qui décide de signer avec cette agence sait qu’il n’aura pas d’avenir ici.”

Cette position radicale est une réponse directe à ce qu’Anibal perçoit comme une tentative de déstabilisation orchestrée par Mendes et ses alliés.

Anibal a conclu la conférence en s’adressant aux supporters du Sporting et à la direction du club. “Je sais que cette position peut paraître risquée, mais je crois profondément que le Sporting doit être un club qui défend des valeurs. Nous ne pouvons pas nous compromettre avec des pratiques qui nuisent au football. Mon objectif est de construire une équipe compétitive, loyale, et fidèle à l’identité de ce club historique.”

La déclaration d’Anibal a immédiatement déclenché un torrent de réactions. Si certains louent son courage et sa volonté de s’attaquer à des pratiques qu’ils jugent nuisibles pour le football, d’autres critiquent une décision jugée trop radicale, qui pourrait limiter les opportunités de recrutement du Sporting.

Un ancien joueur du Sporting, resté anonyme, a déclaré “C’est audacieux, mais Anibal n’a jamais eu peur de défendre ce qu’il croit juste. Il met en place un projet qui correspond à ses valeurs, et c’est ce qu’il a toujours fait, où qu’il soit.”

Avec cette conférence de presse, Anibal a envoyé un signal clair : il ne tolérera aucune interférence de Jorge Mendes ou de ses alliés dans la gestion du Sporting. Si cette décision peut provoquer des tensions, elle illustre également la détermination d’Anibal à faire du Sporting un club indépendant, centré sur ses valeurs et sur son identité.

Pour les supporters, ce geste renforce l’idée qu’Anibal est prêt à se battre pour protéger le Sporting et ramener le club au sommet, même au prix de conflits avec certaines figures influentes du football. Le Sporting entre donc dans une ère marquée par des choix forts, et tous les regards seront désormais tournés vers Anibal et son équipe pour voir si cette stratégie portera ses fruits.

- Chapitre 519 - - Boussemart veut retrouver sa place -	- Chapitre 521 - Coming SOON - 05/02

[Manthyz]

Sur Mendes et son agence, au moins c’est clair et net !!! Par contre, Anibal devrait s’attendre à recevoir rapidement une réponse venant du Pays de Galles …

[alexgavi]

Bouillant l’Anibal ! Et tant mieux ! De temps en temps, il faut mettre un coup de pied dans la fourmilière
Et si en plus, on a un petit crossover, c’est génial

[volatil]

Comment ne pas devenir fan de ce fou furieux ? ! Je suis curieux de voir la réponse de Gros Melon Jackson !

[CaptainAmericka]

Wouah Anibal a lui aussi tiré à belles réelles !
Chacun en a pris pour son grade !

[Sythax]

Anibal répond sur tous les sujets sans tabous ! Jorge devrait faire attention à un mec qui a affronté les cartels

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Manthyz Anibal n’a peur de rien

@alexgavi Oui il a plus de temps à perdre avec les parasites.

@volatil ah ça y’est tu retournes ta veste ?

@CaptainAmericka pas de temps à perdre.

@Sythax normal

- Zidane offre un tirage accessible au Sporting ! -

Le retour d’Anibal Guimarães sur la scène européenne est marqué par un défi qu’il connaît bien : la Conference League, une compétition qu’il avait brillamment remportée en 2029 avec le Real Valladolid. Cette année, il a l’occasion de guider le Sporting Clube de Portugal dans cette aventure, et le tirage au sort, réalisé sous la supervision de Zinédine Zidane, semble prometteur.

Le Sporting se retrouve avec un calendrier où l’adversité semble largement à sa portée, du moins sur le papier. Voici les équipes que le Sporting affrontera lors de cette phase de groupes :

Le FC Kobenhavn (Danemark), un club solide, habitué des compétitions européennes, mais qui manque de la constance pour inquiéter un club portugais sur la durée. Les portugais iront aussi en Slovquie défier Slovacko, une équipe méconnue à ce niveau, qui jouera probablement le rôle d’outsider.

Le Dinamo Minsk (Biélorussie). Un adversaire rigoureux défensivement, mais limité en termes de profondeur d’effectif. Le Steaua Bucarest (Roumanie) Ancien grand d’Europe, le Steaua reste dangereux, mais loin de ses années fastes.

Le Levski Sofia (Bulgarie), une équipe talentueuse mais irrégulière, qui pourrait poser des problèmes si elle évolue à domicile.

Et enfin le Zeljeznicar Sarajevo (Bosnie-Herzégovine), un club au parcours respectable, mais dont l’effectif semble insuffisant pour rivaliser avec le Sporting.

Pour Anibal, ce tirage est une excellente occasion de construire une dynamique positive avec son groupe tout en intégrant ses principes tactiques sur la scène européenne.

Fort de son passé victorieux en Conference League, Anibal sait mieux que quiconque que ces compétitions, bien qu’abordables sur le papier, peuvent réserver des surprises. À Valladolid, il avait affronté des adversaires de calibre similaire et avait su élever le niveau de son équipe pour triompher. Cette année, il est déterminé à reproduire cet exploit avec le Sporting.

Lors d’une conférence de presse post-tirage, Anibal s’est montré optimiste mais réaliste “Le tirage est intéressant, mais rien n’est jamais acquis en Europe. Chaque équipe que nous affronterons mérite notre respect. Ce sera une excellente occasion pour nous de continuer à progresser en tant que groupe et de montrer que le Sporting a sa place sur la scène européenne.”

Pour le Sporting, cette édition de la Conference League est l’opportunité de redorer son blason européen. Avec un groupe composé d’équipes moins prestigieuses, le club a toutes les cartes en main pour viser la première place et se positionner comme un sérieux prétendant au titre.

Les fans du Sporting espèrent que cette campagne européenne permettra au club de retrouver la ferveur des grandes soirées européennes. Sur les réseaux sociaux, de nombreux supporters ont salué le tirage, certains prévoyant déjà une qualification sans accroc pour la phase éliminatoire.

Le Sporting Portugal a les moyens de survoler ce groupe et de se hisser facilement en phase éliminatoire. Toutefois, Anibal a bien conscience que rien n’est jamais simple en football. Avec sa rigueur tactique et son expérience, il devra non seulement assurer des résultats, mais aussi inculquer à son groupe l’état d’esprit nécessaire pour aller loin dans cette compétition.

Pour le Sporting, cette Conference League pourrait bien être l’occasion de marquer un tournant dans sa saison et, pourquoi pas, de viser un nouveau trophée européen sous la houlette d’Anibal Guimarães.

- Chapitre 520 - - « Gestifute n’est pas le bienvenu ici » -	- Chapitre 522 - Coming SOON - 05/02

[CaptainAmericka]

Oh ça faisait longtemps qu’on avait pas eu ce genre de chapitre : présentation rapide de chaque adversaire en Coupe d’EUROPE !!! Ca fait plaisir de retrouver ces équipes d’EUROOOOPE !!!

Ceci dit, il doit faire un sans faute, non négociable !

[celiavalencia]

Anibal le maitre !
il a raison de ne pas se laisser par les escrocs.

Beau tirage pour la conf. largement faisable

[volatil]

@Groot L’important, c’est d’être toujours du bon côté !

Mais on ne peut pas nier le charisme de l’Anibal, même si je critique sa manière de gérer le cas Boussemart.

[alexgavi]

Bon ça va, le tirage n’est pas violent, ça devrait le faire en jouer avec sérieux

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka tu l’a voulu tu l’a eu C’est sur que vu le tirage et vu la stature du Sporting on passe pour des peintres si on se qualifie pas

@celiavalencia on va pas toujours se faire niquer quoi. Tirage easy oui.

@volatil c’est pas faux. Y’a toujours deux lectures, mais je comprends ton avis.

@alexgavi easy tkt

- Un Exode de Talents qui Secoue le Sporting -

Dans un contexte financier délicat, le Sporting Clube de Portugal traverse une crise interne inattendue. Alors qu’Anibal Guimarães et Ruben Amorim planifiaient soigneusement l’intégration des jeunes talents issus du centre de formation dans l’équipe première, le club fait face à une fuite massive de talents. Pas moins de 10 jeunes prometteurs ont choisi de signer leur premier contrat professionnel avec d’autres clubs, fragilisant davantage un projet déjà soumis à des contraintes budgétaires.

Les destinations des joueurs sont variées, mais elles accentuent le malaise, le FC Porto et Benfica, rivaux historiques du Sporting, ont récupéré chacun deux joueurs. Plus surprenant, des clubs comme Boavista et même Vianense, des clubs moins prestigieux mais en croissance, ont également signé plusieurs jeunes du centre de formation lisboète.

Cette nouvelle a fait les choux gras de la presse portugaise, qui s’interroge sur la capacité du Sporting à maintenir son projet sportif dans de telles conditions.

Dans le bureau d’Anibal, Ruben Amorim est venu lui-même lui annoncer la nouvelle. La discussion, bien que cordiale, était empreinte de tension. “Anibal, il faut que tu sois au courant. On a perdu plusieurs jeunes du centre. Dix, pour être précis. Porto, Benfica… mais aussi Boavista et même Vianense. Ils ont signé ailleurs. On n’a pas pu les retenir.”

Anibal, d’abord silencieux, marqua une pause, visiblement décontenancé. Puis, le ton monta légèrement. “Dix joueurs, Ruben ? Comment a-t-on pu en arriver là ? On savait que la situation financière était compliquée, mais laisser partir autant de talents, c’est un coup dur pour le projet.”

Ruben, cherchant à calmer la situation, répondit avec pragmatisme. “Certains n’avaient pas la patience d’attendre. Ils voulaient des garanties qu’on ne pouvait pas leur offrir tout de suite. Et franchement, Anibal, si ces gamins n’ont pas la passion pour l’emblème du lion, alors ils n’ont pas leur place ici.”

Mais Anibal, visiblement frustré, n’était pas entièrement convaincu. “Je comprends ton point de vue, Ruben, mais ce n’est pas seulement une question de passion. C’est aussi une question de gestion. Ces joueurs, on les forme depuis des années. Perdre autant de talents d’un coup, c’est affaiblir nos bases pour l’avenir.”

La nouvelle de cet exode a rapidement circulé dans les médias. Les commentateurs sportifs et les supporters n’ont pas tardé à exprimer leurs inquiétudes sur l’avenir du Sporting, déjà fragilisé par des contraintes financières.

Certains analystes soulignent que cette fuite pourrait saper les efforts du club pour reconstruire sur une base locale et jeune, un pilier central du projet d’Anibal et Ruben.

Interrogé sur cette affaire, Hugo Viana, directeur sportif, a refusé de confirmer l’ampleur des départs, se contentant de déclarer “Le Sporting continue de travailler pour intégrer les meilleurs talents dans son projet. Ces départs ne changent rien à notre vision à long terme.”

Ruben Amorim, plus direct, a tenu des propos qui ont divisé “Si ces joueurs choisissent d’aller ailleurs, c’est qu’ils n’ont pas ce qu’il faut pour réussir ici. Le Sporting est un club qui demande de la patience, du dévouement et de l’amour pour ce maillot. Ceux qui partent ne nous manqueront pas.”

Malgré sa frustration, Anibal reste focalisé sur son projet. Lors d’une réunion avec Hugo Viana et Ruben Amorim, il a insisté sur la nécessité d’une stratégie plus proactive pour éviter d’autres départs similaires.

“Nous devons réagir maintenant. Il est hors de question de perdre d’autres jeunes de cette façon. Si nous voulons construire un Sporting compétitif et durable, il faut renforcer le lien entre le centre de formation et l’équipe première. Et cela passe aussi par un meilleur accompagnement des jeunes.”

Cet exode de talents est un coup dur pour le Sporting, mais le club peut encore redresser la situation grâce à l’expérience et à la détermination de son staff. Anibal et Ruben, malgré leurs divergences de vues, partagent un objectif commun : ramener le Sporting au sommet.

- Chapitre 521 - - le tirage clément de Zidane -	- Chapitre 523 - Coming SOON - 05/02