:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@volatil Il est remplaçant et il sait pourquoi Infante viens d’arriver mais c’est pas ma seule solution en attaque.

@Sythax j’ai encore mal au derch putain.

@CaptainAmericka ça peut pas fonctionner à chaque fois

@celiavalencia elle pique sec en effet.

- Boussemart veut retrouver sa place -

Le début de saison de Julien Boussemart, attaquant français du Sporting Clube de Portugal, était pourtant prometteur. Malgré un statut de remplaçant, il avait trouvé le chemin des filets à cinq reprises, espérant que ces performances lui permettraient de retrouver une place de titulaire. Mais en coulisses, les choses étaient bien différentes. Un entretien tendu avec Anibal Guimarães, l’entraîneur principal, a scellé le sort du joueur, déclenchant une série d’événements qui risquent de compromettre sa saison.

Conscient que son temps de jeu restait limité malgré ses performances, Boussemart avait sollicité un entretien avec Anibal, espérant clarifier sa situation. Mais la réponse de l’entraîneur fut sans appel. “Julien, le Sporting a construit son effectif pour avancer sans toi. Nous avons pris cette décision cet été, et ce n’est pas parce que tu marques en sortie de banc que tout change. À ce stade, tu devras te contenter des miettes… voire des tribunes.”

Ces mots eurent l’effet d’une douche froide pour Boussemart, qui s’attendait à plus de reconnaissance. Vexé, il perdit son sang-froid et quitta le centre d’entraînement dans une rage visible, sous les regards médusés de ses coéquipiers.

Le lendemain, le quotidien portugais Record publia un article incendiaire, dénonçant les méthodes d’Anibal Guimarães, qualifiées de “mafieuses”. L’article décrivait un entraîneur manipulateur, dictant ses choix en fonction d’intérêts personnels et rejetant des joueurs sans véritable justification. Bien que le texte ne cite pas directement Julien Boussemart, la coïncidence était surprenante.

Anibal, loin de s’en formaliser, accueillit cette sortie avec une sérénité déconcertante. Lors d’un appel à Hugo Viana, le directeur sportif du Sporting, il ne mâcha pas ses mots.

“C’est du Jorge Mendes tout craché, Hugo. Tu sais comment il fonctionne : pression médiatique pour essayer de forcer la main. Mais ça ne prend pas avec moi. Je ne veux plus d’un seul de ses joueurs dans mon effectif.”

La situation de Boussemart au Sporting était compliquée depuis plusieurs mois. Arrivé avec de grandes attentes en provenance de Rome, il n’avait jamais réussi à s’imposer comme un élément clé de l’équipe. Cet été, le club avait clairement communiqué sur sa volonté de s’en séparer, mais aucune offre concrète n’avait été formulée.

Malgré son bon début de saison, Anibal avait pris une décision stratégique : construire un effectif sans dépendre de joueurs liés à Jorge Mendes, réputé pour ses manœuvres en coulisses. Boussemart, pris dans cette logique, devenait une victime collatérale.

Pour Julien Boussemart, cette série d’événements risque de compromettre définitivement sa saison. Avec Anibal fermement campé sur ses positions, et un club qui a déjà tourné la page sur son avenir, il est peu probable qu’il revoie le terrain de sitôt, sauf en cas de circonstances extraordinaires.

De son côté, Anibal a réaffirmé sa volonté de privilégier les joueurs alignés avec son projet. “Le Sporting doit avancer avec des joueurs motivés et impliqués à 100%. Ceux qui n’entrent pas dans ce cadre n’ont pas leur place, c’est aussi simple que ça.”

Cette situation met en lumière les tensions inhérentes aux relations entre joueurs, agents, et clubs, notamment dans des périodes de transition. Pour Boussemart, c’est une leçon amère sur l’importance de la gestion de ses relations en interne. Quant à Anibal, il continue de montrer qu’il ne se laisse pas dicter ses choix, même face à des figures influentes comme Jorge Mendes.

Le Sporting, quant à lui, doit désormais gérer une situation délicate en coulisses, tout en maintenant le cap sur ses ambitions sportives. Et pour Julien Boussemart, la prochaine fenêtre de transfert en janvier sera probablement son unique porte de sortie.

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