:storygold: :s23: đŸ‡”đŸ‡č :fpf: :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

mais euh !!
pas gentil, tu fais espérer pour tout casser

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C’était sĂ»r ce revirement de situation :rofl::rofl:
On sait que tu n’aimes pas la MLS pour sa complexitĂ© rĂ©glementaire (Ă  juste titre :sweat_smile:)

Dommage c’est un championnat qui demande Ă  ĂȘtre dĂ©couvert !

En attendant, Yessica a dĂ» prendre une belle clim :smiling_face_with_tear:

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Réponses aux lecteurs

@forumeurs bonne année à tous mes shegueyyyyyyy

@Manthyz :pasrire:

@celiavalencia :hoho: tu seras pas déçus promis.

@CaptainAmericka j’avoue le call Ă©tait connu d’avance vu mes prĂ©fĂ©rences :pasrire:

- Aston Villa piste Ani pour remplacer Paul Warne -

Quelques jours seulement aprĂšs le coup dur de l’affaire Inter Miami, une nouvelle opportunitĂ© frappait Ă  la porte d’Anibal GuimarĂŁes. Cette fois, c’est Thiago Scuro, le directeur sportif ambitieux d’Aston Villa, qui voyait en lui le potentiel pour guider le club vers une nouvelle Ăšre.

Aston Villa, malgrĂ© une dĂ©cennie ponctuĂ©e de succĂšs europĂ©ens – une victoire en Conference League en 2024 et une finale en Europa League en 2029 – peinait Ă  s’installer durablement parmi les Ă©lites de la Premier League. Avec un effectif talentueux mais en quĂȘte de leadership, le club cherchait l’homme capable de transformer son ambition en rĂ©sultats concrets. Anibal, connu pour sa capacitĂ© Ă  construire des Ă©quipes compĂ©titives et Ă  rĂ©vĂ©ler des talents, semblait ĂȘtre l’entraĂźneur idĂ©al.

Le projet d’Aston Villa s’appuyait sur une nouvelle gĂ©nĂ©ration prometteuse, Ă  commencer par Angel Callewaert, un attaquant formĂ© au club, dĂ©sormais Ă©toile montante de la sĂ©lection anglaise. À 24 ans, Callewaert combinait technique, puissance, et instinct de buteur, incarnant l’avenir d’Aston Villa. Autour de lui, un noyau de jeunes joueurs talentueux cherchait Ă  s’imposer, mais l’équipe manquait encore de direction et de constance.

Pour Anibal, habituĂ© aux projets de reconstruction et Ă  la gestion de talents Ă©mergents, l’idĂ©e d’un dĂ©fi Ă  long terme dans un championnat aussi prestigieux que la Premier League Ă©tait irrĂ©sistible. Bien que le club ne soit pas qualifiĂ© pour les compĂ©titions europĂ©ennes cette saison, l’opportunitĂ© de construire un effectif et une identitĂ© compĂ©titive Ă  partir de zĂ©ro reprĂ©sentait un dĂ©fi taillĂ© sur mesure pour lui.

AprĂšs des nĂ©gociations rapides et fructueuses menĂ©es par son agente, Rafaela, un accord contractuel avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© trouvĂ©. De plus, Yessica, sa femme, enthousiaste Ă  l’idĂ©e de vivre en Angleterre tout en restant proche de ses projets aux États-Unis, avait donnĂ© son feu vert. Pourtant, Thiago Scuro, soucieux d’établir une connexion personnelle avec son futur entraĂźneur, insista pour qu’Anibal le rencontre avant de finaliser l’engagement.

Pour cela, Scuro invita Anibal Ă  assister au derby de Birmingham en FA Cup, un match qui promettait une ambiance Ă©lectrique et une opportunitĂ© de comprendre l’essence du club et de ses supporters. La rencontre Ă©tait prĂ©vue pour janvier 2037, au lĂ©gendaire Villa Park, oĂč Aston Villa affronterait son rival historique, Birmingham City.

Lorsqu’Anibal arriva Ă  Birmingham, accompagnĂ© de Rafaela, il fut immĂ©diatement plongĂ© dans l’atmosphĂšre passionnĂ©e d’un jour de derby. Villa Park, avec ses tribunes pleines Ă  craquer et ses supporters bruyants, vibrait d’une Ă©nergie contagieuse. Thiago Scuro accueillit Anibal personnellement et lui fit visiter les installations du club avant de l’installer dans la tribune prĂ©sidentielle.

“Je voulais que tu ressentes ça,” expliqua Scuro en dĂ©signant la foule. “C’est plus qu’un club. C’est une communautĂ©, une histoire. Et nous avons besoin de quelqu’un qui comprend cela.”

Pendant 90 minutes, Anibal observa attentivement l’équipe, prenant des notes mentales sur le jeu, les forces et les faiblesses du collectif, et l’attitude des joueurs. Aston Villa l’emporta dans un match Ăąprement disputĂ©, avec un but de la tĂȘte d’Angel Callewaert Ă  la 85e minute qui dĂ©clencha une explosion de joie parmi les supporters.

AprĂšs le match, Anibal et Thiago Scuro se retrouvĂšrent dans une salle privĂ©e du stade pour discuter en profondeur du projet. “Je ne vais pas te mentir,” commença Scuro. “Nous avons un noyau prometteur, mais il nous manque un leader. Un visionnaire qui peut donner Ă  cette Ă©quipe une identitĂ© claire et transformer ce potentiel en trophĂ©es. Et je crois que tu es cet homme, Anibal.”

Le Portugais, impressionnĂ© par la sincĂ©ritĂ© et la clartĂ© de Scuro, rĂ©pondit avec enthousiasme “Ce que j’ai vu aujourd’hui me donne envie de faire partie de cette aventure. Mais je suis direct : pour rĂ©ussir, j’ai besoin de temps, de ressources et de libertĂ© pour construire une Ă©quipe Ă  ma maniĂšre. Si tu es prĂȘt Ă  m’offrir cela, alors je suis prĂȘt.”

Scuro acquiesça. “C’est exactement ce que nous avions en tĂȘte.”

Alors que la rencontre touchait Ă  sa fin, Anibal sentit qu’il avait trouvĂ© son prochain dĂ©fi. Aston Villa n’était pas seulement une opportunitĂ© professionnelle ; c’était un projet oĂč il pouvait construire une Ă©quipe en profondeur, renouer avec le football europĂ©en, et travailler dans un environnement oĂč il serait soutenu.

Quelques jours aprĂšs le derby, les discussions contractuelles furent finalisĂ©es, et tout ce qu’il restait Ă©tait l’officialisation de son arrivĂ©e. Villa Park s’apprĂȘtait Ă  accueillir un homme qui avait tout Ă  prouver, et Anibal, lui, voyait en Aston Villa une chance de redĂ©finir sa carriĂšre.

Une nouvelle aventure en Premier League était sur le point de commencer.

- Chapitre 457 -
- la MLS bloque l’arrivĂ©e d’Anibal -
- Chapitre 459 -
Coming SOON - 01/01
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Punaise t’as rĂ©ussit Ă  Ă©crire un chapitre sans que l’on ressente les effluves de la soirĂ©e d’hier ? :rofl: :rofl: :rofl:

Ca fait plaisir si Anibal va en Premier League ! C’est clairement le championnat qu’il lui faut !
Ce qui serait bien, c’est qu’il parvienne Ă  se poser dans un club et qu’il y reste une paire d’annĂ©es tout de mĂȘme. Depuis Valladolid, il bouge pire qu’un nomade :sac:

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Oh oui, la Premier League (et Aston Villa) ! :heart_eyes:

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Comment le mec ose @ tout le monde sur son propre rĂ©cit, j’hallucine
Tout ça pour qu’on voit son espĂšce de skin « personnalisĂ© Â»

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka Non non c’est Ă©crit depuis un bon moment je suis pas fou :pasrire: Te rĂ©jouis pas trop vite :hoho: Lui aussi espĂšre se poser quelques temps.

@Heisen Ce serait sympa en vrai.

@Loozar Alors non mĂȘme pas, de base je voulais le mettre dans un autre sujet mais j’ai merdĂ© cette nuit et c’est restĂ© :sac: J’ai pas eu de demandes de skin perso sur un recit sur cet opus hormis @Rhino et @Irons du coup voila ^^

- Une désillusion au goût amer pour Anibal -

AprĂšs avoir Ă©tĂ© sĂ©duit par le projet d’Aston Villa, Anibal GuimarĂŁes avait commencĂ© Ă  tourner une nouvelle page de sa carriĂšre. Suite Ă  son expĂ©rience enthousiasmante lors du derby de Birmingham, il avait pris la dĂ©cision de s’installer Ă  Birmingham, emportant avec lui sa belle-famille et sa fille, tout en organisant les derniers dĂ©tails pour gĂ©rer la villa familiale Ă  Viana do Castelo. Tout semblait prĂȘt pour son retour en Europe, oĂč un dĂ©fi Ă  la hauteur de ses ambitions l’attendait.

Mais ce qui s’annonçait comme un nouveau dĂ©part bascula rapidement en une dĂ©sillusion brutale.

Le jet privĂ© affrĂ©tĂ© par Thiago Scuro, directeur sportif d’Aston Villa, transportait Anibal vers Londres pour finaliser son contrat et entamer sa nouvelle aventure. Pourtant, Ă  peine descendu sur le tarmac, il fut confrontĂ© Ă  une scĂšne inattendue : un groupe de supporters en colĂšre de Villa l’attendait.

Les fans, visiblement mĂ©contents de la nomination imminente d’Anibal, brandissaient des pancartes dĂ©nonçant son passĂ© controversĂ© et criant des slogans hostiles. Ils mettaient en avant les affaires judiciaires et les polĂ©miques liĂ©es Ă  son passage en Colombie au BrĂ©sil et au Japon, estimant que son arrivĂ©e ne correspondait pas aux valeurs du club.

Pour aggraver la situation, aucun reprĂ©sentant d’Aston Villa n’était prĂ©sent pour accueillir Anibal, et aucun transport n’avait Ă©tĂ© organisĂ© pour lui. LivrĂ© Ă  lui-mĂȘme, il dut trouver un taxi pour rejoindre Birmingham, le tout sous le regard des camĂ©ras et des flashs des journalistes, qui amplifiĂšrent encore plus l’incident.

Une fois arrivĂ© au siĂšge du club, Thiago Scuro, visiblement embarrassĂ©, l’informa de la situation. Le grand patron d’Aston Villa, Nassef Sawiris, avait pris une dĂ©cision de derniĂšre minute, cĂ©dant Ă  la pression des supporters et des mĂ©dias locaux. Au lieu de confirmer Anibal comme entraĂźneur principal, Sawiris avait dĂ©cidĂ© de nommer Jack Grealish, enfant du club et figure emblĂ©matique, au poste de coach principal.

Grealish, aprĂšs une expĂ©rience rĂ©ussie Ă  la tĂȘte du MK Dons, avait gagnĂ© en crĂ©dibilitĂ© en tant qu’entraĂźneur. Son retour Ă  Villa, cette fois en tant que leader du banc, Ă©tait perçu comme une dĂ©cision populaire, apaisant les tensions et rĂ©pondant aux attentes des supporters.

Thiago Scuro, dĂ©solĂ© pour la situation, s’efforça de prendre ses responsabilitĂ©s face Ă  Anibal. Il s’engagea Ă  couvrir tous les frais engagĂ©s par le coach portugais pour son dĂ©mĂ©nagement et son installation avortĂ©e.

“Anibal, je suis profondĂ©ment dĂ©solĂ©,” dit-il, visiblement embarrassĂ©. “Cette dĂ©cision ne reflĂšte pas ce que je souhaitais pour le club, ni la vision que nous partagions pour ce projet. Mais la pression Ă©tait trop forte. Je prends la responsabilitĂ© de cette situation et veillerai Ă  ce que tu sois indemnisĂ©.”

Malgré ces excuses, le mal était fait. Anibal, qui avait déjà été échaudé par des situations similaires par le passé, voyait une fois de plus sa carriÚre mise à mal par son image publique controversée.

La dĂ©sillusion Ă©tait profonde pour Anibal. AprĂšs avoir organisĂ© son dĂ©mĂ©nagement et rĂȘvĂ© d’un nouveau dĂ©part en Premier League, il se retrouvait Ă  nouveau sans club, victime des jugements liĂ©s Ă  son passĂ©.

Lors d’une interview improvisĂ©e Ă  son hĂŽtel, il exprima sobrement sa dĂ©ception :

“Je respecte la dĂ©cision d’Aston Villa et de ses dirigeants. Mais je suis déçu de voir que, malgrĂ© tout ce que j’ai accompli ces derniĂšres annĂ©es, mon passĂ© continue de me dĂ©finir. Je crois en mes compĂ©tences et en ma capacitĂ© Ă  rĂ©ussir. Je vais rebondir, comme toujours.”

Pour l’heure, Anibal retournait Ă  la case dĂ©part. Son agente, Rafaela, se remit immĂ©diatement au travail pour trouver une nouvelle opportunitĂ©. Cependant, le constat Ă©tait clair : bien que son talent soit indĂ©niable, son image restait un obstacle majeur.

Pour Anibal, une chose Ă©tait certaine : il ne baisserait pas les bras. Chaque revers avait Ă©tĂ© pour lui l’occasion de prouver sa rĂ©silience. Et si ce nouveau coup dur laissait un goĂ»t amer, il nourrissait aussi une dĂ©termination renouvelĂ©e Ă  retrouver le sommet.

- Chapitre 458 -
- Villa piste Ani pour remplacer warne -
- Chapitre 460 -
Coming SOON - 01/01
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D’un cĂŽtĂ©, tant mieux pour Anibal de ne pas avoir Ă©tĂ© pris par ces clubs. A coup sĂ»r, il y aurait eu des ingĂ©rences Ă  la moindre difficultĂ© :confused:

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Son passĂ© pĂšse lourd il faut peut-ĂȘtre jouer la dessus pour amĂ©liorer son image. Mais je suis sur que tu as dĂ©jĂ  trouver la solution :wink:

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C’est triste pour Anibal mais aston villa ne me disait rien

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Putain on peut jamais ĂȘtre tranquille dans cette sĂ©rie !!! Je n’sais pas qui sont les scĂ©naristes mais bordel ils sont chiants :rofl: :rofl: On n’a donc pas le droit au bonheur
? :sac:

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Dommage pour Anibal mais je suis pas fan de la premier league ! Il trouvera mieux ailleurs.

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Réponses aux lecteurs

@alexgavi c’est sĂ»r. AprĂšs c’est pas plus mal. y’a d’autres dĂ©fis plus sexy :dsk:

@VertPourToujours tu le découvriras bien vite.

@celiavalencia j’espùre que le choix fait te plaira.

@CaptainAmericka le bonheur arrive chef.

@Lincoln6Echo le défi te plait il plus ?

- L’offre surprise d’Hugo Viana -

AprĂšs une sĂ©rie de dĂ©ceptions et d’occasions manquĂ©es en Europe, Anibal GuimarĂŁes se retrouvait Ă  une croisĂ©e des chemins. Alors que la pĂ©riode des transferts hivernaux battait son plein, il savait que son retour sur le Vieux Continent ne se ferait pas immĂ©diatement. En attendant, il savourait ses journĂ©es aux cĂŽtĂ©s de Beatriz, sa fille, tout en rĂ©flĂ©chissant Ă  l’idĂ©e de rejoindre Yessica Ă  Los Angeles pour une pause bien mĂ©ritĂ©e. Mais, comme souvent dans la vie d’Anibal, le destin avait d’autres plans.

Un aprĂšs-midi tranquille fut brusquement interrompu par une sonnerie familiĂšre. À l’autre bout du fil, une voix qu’Anibal connaissait bien : celle de Hugo Viana, directeur sportif du Sporting Portugal et ami fidĂšle depuis plus d’une dĂ©cennie.

“Hugo, tu sais que je t’apprĂ©cie, mais je suis Ă  la maison, pas encore prĂȘt pour un autre projet chaotique,” plaisanta Anibal.

Mais Hugo avait une autre idĂ©e en tĂȘte. Il lui parla d’une discussion rĂ©cente avec Arturo Gomez, collĂ©gue directeur sportif. Arturo venait tout juste de limoger son entraĂźneur, le club Ă©tant engagĂ© dans une lutte acharnĂ©e pour le championnat et encore en lice en Ligue des Champions.

“Anibal, Ă©coute-moi,” insista Hugo. “Ce n’est pas l’Europe, mais c’est un dĂ©fi unique au Mexique. Arturo te respecte et pense que tu es la personne idĂ©ale pour redresser la situation. Six mois, avec une option pour une saison supplĂ©mentaire. Qu’en dis-tu ?”

Anibal, d’abord dĂ©concertĂ©, fut intriguĂ©. Tijuana, un club situĂ© Ă  la frontiĂšre entre le Mexique et les États-Unis, n’était pas l’Europe, mais l’idĂ©e avait du potentiel. Avec un contrat court et des objectifs clairs, c’était une opportunitĂ© idĂ©ale pour lui de rester actif tout en se rapprochant de Yessica, qui travaillait Ă  quelques heures de lĂ , Ă  Los Angeles.

“Je n’ai mĂȘme pas besoin de rĂ©flĂ©chir,” rĂ©pondit-il Ă  Hugo. “Dis Ă  Arturo que j’accepte. Je ne connais pas l’équipe, je ne connais pas les joueurs, mais je suis prĂȘt.”

Quelques jours plus tard, Anibal atterrit Ă  Tijuana. À son arrivĂ©e, il fut accueilli par Arturo Gomez, un homme chaleureux mais pragmatique, qui exposa immĂ©diatement la situation.

“Nous sommes troisiĂšmes en championnat, Ă  un point du leader avec un match en retard. En Ligue des Champions de la CONCACAF, nous sommes qualifiĂ©s en barrage. C’est un projet intense, mais avec ton expĂ©rience, je suis convaincu que tu peux nous mener au bout.”

Anibal, habituĂ© aux dĂ©fis, sentit immĂ©diatement l’excitation monter. Le projet Ă©tait clair : terminer la saison en force, viser un titre, et dĂ©montrer une fois de plus qu’il Ă©tait capable de transformer une Ă©quipe.

En dĂ©couvrant les installations modernes de Tijuana et en rencontrant l’équipe, Anibal sentit qu’il pouvait faire la diffĂ©rence. L’effectif, bien que jeune, regorgeait de talents prometteurs. Parmi eux, le milieu crĂ©atif colombien Freyman Calvache prĂ©tĂ© par Envigado, et le lĂ©gendaire ailier belge Jeremy Doku, idolĂątrĂ© par les supporters.

Lors de sa premiÚre réunion avec les joueurs, Anibal posa le ton :

“Je suis lĂ  pour vous aider Ă  Ă©crire une histoire. Mais cette histoire, c’est vous qui allez la raconter sur le terrain. Vous avez le talent, et moi, j’ai les idĂ©es. Ensemble, nous pouvons tout accomplir.”

Le calendrier ne laissait aucune place Ă  l’erreur. Avec des matchs de championnat cruciaux et une double confrontation en Ligue des Champions Ă  venir contre Olympia, Anibal savait qu’il devait imprimer sa marque immĂ©diatement. Il passa ses premiĂšres nuits Ă  dissĂ©quer les vidĂ©os des matchs prĂ©cĂ©dents, construisant un plan tactique adaptĂ© aux forces et faiblesses de son Ă©quipe.

Mais au-delĂ  du terrain, il apprĂ©ciait l’aspect pratique de cette opportunitĂ©. SituĂ©e Ă  proximitĂ© de Los Angeles, Tijuana lui permettait de passer des week-ends avec Yessica, renforçant leur lien alors qu’elle poursuivait sa carriĂšre cinĂ©matographique.

Pour Anibal, ce dĂ©fi mexicain Ă©tait bien plus qu’un simple contrat. C’était une chance de prouver, une fois de plus, qu’il pouvait relever n’importe quel dĂ©fi, dans n’importe quel contexte. Si l’Europe semblait encore hĂ©siter Ă  lui ouvrir ses portes, il savait qu’un succĂšs retentissant avec Xolos Tijuana pourrait changer la donne.

Alors qu’il se tenait sur la ligne de touche pour son premier match, les supporters des Xolos remplissant le Estadio Caliente lui rappelĂšrent pourquoi il aimait ce mĂ©tier. La passion, l’intensitĂ©, et le dĂ©fi constant de dĂ©passer les attentes – c’est cela qui alimentait son feu intĂ©rieur.

Le Mexique Ă©tait peut-ĂȘtre une escale temporaire, mais pour Anibal, chaque Ă©tape de son parcours Ă©tait une opportunitĂ© de construire quelque chose d’inoubliable. Et Ă  Tijuana, l’histoire ne faisait que commencer.

- Chapitre 459 -
- Une désillusion amer pour ani -
- Chapitre 461 -
Coming SOON - 01/01
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Oui Oui, c’est un club qui peut ĂȘtre bien ( bon je ne le connais pas)
mais tu as Doku !

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Tijuana, l’une des pires villes criminelles et gangrĂ©nĂ©e par la drogue
 Super choix lol
AprĂšs faudra pas qu’il s’étonne d’avoir un passĂ© sulfureux qui le poursuit :wink:
Mais belle expérience sportive, certainement !

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Le type se plaint du manque d’adversitĂ© et du danger qui rode autour de lui mais il plonge la tĂȘte la premiĂšre dans un championnat du mĂȘme niveau que la Colombie et entourĂ© de gang :sac: En fait j’ai compris ! Anibal est sado c’est ça ? Il se nourrit du danger et de l’ennui dans son mĂ©tier :joy:

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Réponses aux lecteurs

@celiavalencia je me doutais que beaucoup ne connaitrais pas. Doku oui ça m’a surpris. aprĂšs tu vas dĂ©chanter en voyant sa fiche.

@Tiien c’est exactement le contexte :pasrire: mais bon vu les refus s’il voulait pas rester inactif il ne pouvait guùre faire le difficile.

@CaptainAmericka ça doit ĂȘtre ça :pasrire:

- Club Tijuana Xoloitzcuintles de Caliente -

LigaMX
Xolos

-
FONDATION 2007
PRÉSIDENT
:mexico:
Grupo Caliente
DIRECTEUR SPORTIF
:mexico:
Arturo Gomez
ENTRAINEUR
:portugal:
Anibal GuimarĂŁes
DIVISION
:mexico: :grootmx:
Liga MX
FINANCES Saines
MEILLEUR BUTEUR
:mexico:
Rodrigo GonzĂĄlez- 149 buts
JOUEUR LE PLUS CAPÉ
:mexico:
Rodrigo GonzĂĄlez - 445 matchs

Le Club Tijuana Xoloitzcuintles de Caliente est un club de football mexicain fondĂ© en 2007. Le club est prĂ©sidĂ© par le groupe de paris sportifs Caliente. Bien que rĂ©cent le club est l’une des valeurs montantes du football mexicain.
Il est entrainé depuis peu par Anibal Guimarães.

- HistĂłria -
Histoire

- Antecedentes -
Les prémices - 2005 à 2007

Au cours de la saison 2005-2006 de la Primera â€č A â€ș, il y avait une premiĂšre Ă©quipe appelĂ©e Club Tijuana, qui a Ă©mergĂ© aprĂšs que la franchise Pioneros de ObregĂłn a dĂ©mĂ©nagĂ© dans la ville. Mais l’équipe de Tijuana a Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  des problĂšmes d’infrastructure en raison de l’absence d’un stade pour le football.

L’installation habituelle pour les clubs de Tijuana, le stade Cerro Colorado, Ă©tait utilisĂ© par les Toros de Tijuana de la Ligue mexicaine de baseball, ce qui a forcĂ© l’équipe Ă  jouer Ă  l’UnitĂ© sportive CREA. Le club a obtenu de mauvais rĂ©sultats lors des tournois d’ouverture 2005 et de clĂŽture 2006, ce qui a entraĂźnĂ© sa relĂ©gation en deuxiĂšme division.

- Inicios -
Les débuts - 2007 à 2009

Pour le tournoi d’ouverture 2006, la FĂ©dĂ©ration mexicaine de football (FMF) a dĂ©cidĂ© que chaque Ă©quipe du circuit principal devait avoir une filiale dans la division de promotion. Un groupe d’hommes d’affaires de Tijuana dirigĂ© par le bookmaker Caliente a donc dĂ©cidĂ© de louer avec option d’achat la filiale des Gallos Blancos rĂ©cemment promus, afin de crĂ©er Ă  nouveau le Club Tijuana, cette fois avec le surnom de Gallos de Caliente, parce qu’il s’agissait d’une filiale de QuerĂ©taro et en raison du sponsor principal.

Pour le tournoi de clĂŽture 2007, le club a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© Ă  Celaya et a jouĂ© sous le nom de Club Celaya. Mais lors de ce mĂȘme tournoi, le club des Guerreros de Tabasco a Ă©tĂ© rachetĂ© par des hommes d’affaires de Tijuana et a rebaptisĂ© l’équipe Club Tijuana, changeant le surnom des Gallos Caliente en Xoloitzcuintles.

Lors du tournoi d’ouverture 2007, le Club Tijuana a inaugurĂ© son stade officiel le 11 novembre 2007, lors de la 15e journĂ©e, en accueillant les Pumas Morelos, affiliĂ©s Ă  l’Universidad Nacional. Le club s’est imposĂ© sur le score de 2-1. Diego Olsina a Ă©tĂ© le premier joueur Ă  marquer un but au stade Caliente Ă  la 22e minute, RaĂșl EnrĂ­quez a marquĂ© le deuxiĂšme et dernier but pour donner Ă  l’équipe frontaliĂšre sa premiĂšre victoire Ă  la 43e minute.

Lors du tournoi de clĂŽture 2008, l’équipe frontaliĂšre a Ă©tĂ© relĂ©guĂ©e en raison de mauvais rĂ©sultats lors de sa premiĂšre annĂ©e de compĂ©tition. MalgrĂ© cette relĂ©gation en deuxiĂšme division, la FĂ©dĂ©ration mexicaine de football (FMF) a dĂ©cidĂ© d’augmenter le nombre d’équipes en premiĂšre division « A “ de 24 Ă  26 Ă©quipes , avec lesquelles le Club Tijuana a de nouveau participĂ© au tournoi d’ouverture 2008 de la premiĂšre division ” A », atteignant les demi-finales contre les Gallos Blancos de QuerĂ©taro, qui se sont finalement inclinĂ©s sur un score cumulĂ© de 4 Ă  1.

Pour le tournoi de clĂŽture 2009, le club a Ă©tĂ© le plus performant avec 33 points, ce qui lui a permis de se qualifier pour la phase de groupes de la premiĂšre division « A » de ce tournoi. En quarts de finale, le club a affrontĂ© les Lobos de la BUAP. Au match aller, au stade CuauhtĂ©moc de Puebla, ils s’imposaient 3-1, tandis qu’au match retour, ils faisaient match nul 1-1, obtenant ainsi ce dont ils avaient besoin pour se qualifier pour les demi-finales.

DĂšs les demi-finales, ils affrontaient les Petroleros de Salamanca, la seule Ă©quipe restante qui ne pouvait pas ĂȘtre promue. Au stade OlĂ­mpico SecciĂłn 24 de Salamanque, le Club Tijuana a remportĂ© le match aller 2-0, ce qui lui a donnĂ© un bon avantage pour le match retour, qu’il a terminĂ© par une victoire convaincante 2-0, accĂ©dant ainsi Ă  la finale du tournoi de clĂŽture 2009, contre le MĂ©rida FC.

Lors du match aller de la finale, disputĂ© le jeudi 21 mai au stade Carlos Iturralde Rivero, siĂšge du MĂ©rida FC, ils s’inclinent 1-0 , mettant ainsi fin Ă  une sĂ©rie de 18 matches sans dĂ©faite, puis lors du match retour au stade Caliente le 24 mai, ils doivent s’imposer par un but d’écart, ce qu’ils ne parviennent pas Ă  faire, Le match s’est terminĂ© sur un score de paritĂ© de 0 but, ce qui a permis aux Venados de MĂ©rida d’ĂȘtre proclamĂ©s champions du tournoi et de disputer la finale pour la promotion, qu’ils ont jouĂ©e contre QuerĂ©taro, qui a remportĂ© le litige et est ainsi parvenu Ă  accĂ©der Ă  la premiĂšre division.

- La Ascencion -
La découverte du haut niveau - 2010 à 2012

L’équipe a Ă©tĂ© couronnĂ©e championne de l’Apertura 2010 aprĂšs avoir terminĂ© en tĂȘte du classement gĂ©nĂ©ral avec 38 points, ce qui lui a permis d’accĂ©der directement aux demi-finales. En demi-finale, ils ont affrontĂ© l’équipe de Veracruz, Albinegros de Orizaba, avec un score cumulĂ© de 0:0, mais en raison de leur position dans le tableau, ils se sont qualifiĂ©s pour la finale contre les Tiburones Rojos de Veracruz. Au match aller, les « Xolos » surprennent et s’imposent 0:2 au stade Luis « Pirata » Fuente de Veracruz, tandis qu’à domicile, au stade Caliente, ils s’imposent Ă  nouveau 1:0 et Tijuana obtient ainsi un demi ticket pour la premiĂšre division.15

La finale du tournoi de clĂŽture 2011 a Ă©tĂ© jouĂ©e entre le Club Tijuana et Irapuato le mercredi 11 mai au stade de Tijuana, oĂč le score Ă©tait de 1-1, pour le match retour jouĂ© Ă  Irapuato ; le Club Deportivo Irapuato a Ă©tĂ© couronnĂ© champion en gagnant 1-0. Les deux Ă©quipes se sont retrouvĂ©es avec un demi ticket pour la Primera DivisiĂłn, de sorte que la Final de Ascenso a dĂ» ĂȘtre jouĂ©e, avec deux matchs supplĂ©mentaires, parce que les clubs avaient Ă©tĂ© champions dans les tournois prĂ©cĂ©dents, l’Apertura 2010 et le Clausura 2011.

Le premier match a Ă©tĂ© jouĂ© Ă  Sergio LeĂłn ChĂĄvez, domicile du Club Deportivo Irapuato, le mercredi 18 mai et s’est terminĂ© sur un score de 0-0, pour le match retour, le Club Tijuana a Ă©tĂ© couronnĂ© champion sur un score de 2-1 Ă  l’Estadio Caliente le 21 mai. Il entre dans l’histoire comme la premiĂšre Ă©quipe non seulement de Tijuana mais de tout l’État de Basse-Californie Ă  monter en Primera DivisiĂłn Nacional. Le 4 juin 2011, le propriĂ©taire prĂ©sumĂ©, Jorge Hank Rhon, a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©, ce qui a entraĂźnĂ© sa dĂ©saffiliation par la FĂ©dĂ©ration mexicaine de football, mais un mois plus tard, il a Ă©tĂ© prouvĂ© qu’il n’était pas le propriĂ©taire.

L’équipe de Tijuana fait ses dĂ©buts en accueillant le Club AtlĂ©tico Monarcas Morelia lors de la premiĂšre journĂ©e, Ă  l’Estadio Caliente. Le match se termine sur un score de 1-2 en faveur de la monarchie, avec le premier but jamais marquĂ© par les Xolos, inscrit par l’AmĂ©ricano-mexicain Joe Corona Ă  la 44e minute avant la fin du match. AprĂšs une dĂ©faite, Monarcas a gĂąchĂ© les dĂ©buts de Tijuana en premiĂšre division, en accueillant pour la premiĂšre fois un match de premiĂšre division.

AprĂšs avoir fait salle comble pour la premiĂšre fois de son histoire, Xolos s’est inclinĂ© 1-2 face Ă  Monarcas, Luis Alonso Sandoval inscrivant le premier but de l’histoire du stade, Joe Corona marquant le premier but de Tijuana dans son stade, puis Miguel Sabah inscrivant le penalty Ă  la 84e minute. Trois matches plus tard, les Xolos ont remportĂ© leur premiĂšre victoire Ă  l’extĂ©rieur contre Santos Laguna (1-3) et leur premiĂšre victoire Ă  domicile contre Pachuca (3-2), ce qui leur a permis de se hisser Ă  la 15e place du tournoi. Cependant, lors des matches suivants, ils n’ont pu obtenir qu’une seule victoire, terminant le tournoi Ă  la 15e place sur 18 Ă©quipes, avec 18 points pour 3 victoires, 9 nuls et 5 dĂ©faites. Le 25 mars 2012, le club a rĂ©ussi Ă  rester en premiĂšre division mexicaine grĂące Ă  une victoire 2-0 sur le Club Atlas de Guadalajara.

Au dĂ©but du tournoi de clĂŽture 2012, le scĂ©nario Ă©tait diffĂ©rent pour les Canes Aztecas, car aprĂšs une saison mĂ©morable pour l’institution, au cours de laquelle ils ont rĂ©ussi Ă  battre leur propre record de points avec 28 et 7 victoires pour seulement 7 nuls et 3 dĂ©faites, le 29 avril 2012, ils sont entrĂ©s dans l’histoire en entrant dans leur premiĂšre Liguilla lors de leur premiĂšre annĂ©e de promotion avec un match nul 1-1 contre la UNAM sous la direction de l’entraĂźneur argentin Antonio Mohamed qui est retournĂ© au Mexique
 Ils ont ensuite Ă©tĂ© battus par Monterrey, perdant 1-2 Ă  l’aller et faisant match nul 2-2 au retour, ce qui a permis Ă  Monterrey de se qualifier directement pour les demi-finales.

Lors du tournoi d’ouverture 2012, Tijuana a rĂ©alisĂ© sa meilleure performance en Primera DivisiĂłn, terminant Ă  la deuxiĂšme place Ă  Ă©galitĂ© de points avec le Deportivo Toluca. En quarts de finale, ils affrontaient Ă  nouveau Monterrey, mais cette fois les Xolos parvenaient Ă  se qualifier pour les demi-finales avec un score cumulĂ© de 2:1. En demi-finale, Tijuana a affrontĂ© l’équipe sensationnelle du tournoi et son ancien rival en promotion, le Club LeĂłn. AprĂšs un match difficile, LeĂłn a battu Xolos 2:0 Ă  l’aller ; au retour, au stade Caliente, Tijuana a rĂ©alisĂ© l’une des meilleures performances de son histoire en battant les panzas verdes de LeĂłn 3:0. En finale, ils affrontaient le Deportivo Toluca. Au match aller, Tijuana s’imposait dans un match Ă  suspense sur le score de 2:1. Au match retour, au stade Nemesio Diez, le Club Tijuana a battu Toluca 0:2 grĂące Ă  des buts de Richard Ruiz et de Duvier Riascos Ă  l’extĂ©rieur, remportant ainsi son premier titre de Primera DivisiĂłn.

- CampeĂłn y descubrimiento del nivel continental y desierto-
Champion et découverte du niveau continental puis déclin - 2012-2027

AprĂšs un excellent Torneo Apertura 2012, il s’est qualifiĂ© pour la Copa Libertadores 2013 en terminant deuxiĂšme du classement gĂ©nĂ©ral avec 34 points, derriĂšre Toluca. Il s’est qualifiĂ© en tant que « Mexique 2 », terminant dans le groupe 5 aux cĂŽtĂ©s des Millonarios de Colombie, des Corinthians du BrĂ©sil et de San JosĂ© de Bolivie.

Ils se sont qualifiĂ©s pour les huitiĂšmes de finale en tant que meilleurs deuxiĂšmes de la compĂ©tition et ont jouĂ© contre l’équipe brĂ©silienne de Palmeiras, avec un score cumulĂ© de 2-1 (0-0 Ă  l’aller et 2-1 au retour) en faveur des Xolos.

En quart de finale, ils ont affrontĂ© l’équipe brĂ©silienne de l’AtlĂ©tico Mineiro, oĂč jouait Ronaldinho. Au match aller, disputĂ© Ă  Tijuana, le score s’est soldĂ© par un match nul 2-2. Bien que l’équipe de Tijuana ait pris l’avantage grĂące Ă  des buts de Riascos et Martinez, les BrĂ©siliens ont rĂ©ussi Ă  Ă©galiser Ă  la derniĂšre minute par l’intermĂ©diaire de Luan. Le match retour s’est dĂ©roulĂ© au BrĂ©sil et s’est terminĂ© sur un score de 1-1, mais grĂące aux deux buts marquĂ©s au Mexique, l’équipe brĂ©silienne s’est qualifiĂ©e pour les demi-finales.

L’équipe entraĂźnĂ©e par Antonio Mohamed a failli atteindre les demi-finales deux minutes aprĂšs le dĂ©but de la seconde pĂ©riode, lorsque le dĂ©fenseur paraguayen Pablo Aguilar a obtenu un penalty que le Colombien Duvier Riascos n’a pas rĂ©ussi Ă  transformer.

En tant que champion du tournoi d’ouverture de la Liga MX 2012, l’équipe a eu accĂšs Ă  la Ligue des champions de la CONCACAF 2013-14, oĂč elle a Ă©tĂ© classĂ©e dans le groupe 7, qu’elle partageait avec le Club Deportivo Luis Ángel Firpo du Salvador et le Club Deportivo Victoria du Honduras. Il remporte ce groupe et affronte en quarts de finale le Los Angeles Galaxy de la Major League Soccer, qu’il bat 4-2 sur l’ensemble des deux matches, avant d’ĂȘtre Ă©liminĂ© par le Cruz Azul FĂștbol Club en demi-finale, qui est finalement couronnĂ© champion de la compĂ©tition.

- Volver al nivel superior -
REtour au haut niveau - 2027 Ă  2033

Le club va connaitre un gros passage Ă  vide de 15 ans ne se remettant pas de son titre et de son parcours continental. Ce n’est qu’en 2027 que le club va reconquĂ©rir le titre en remportant le tournoi de cloture puis le Campeon de Campeones.

A dĂ©faut de performer en Ligue des champions, le club va remporter deux titres continentaux en remportant la Leagues Cup opposant les clubs mexicains et amĂ©ricains ainsi que la Campeones Cup qui l’oppose au champion de MLS.

Le club remporte Ă  nouveau la Leagues Cup en 2031 avant de remporter un nouveau tournoi clausura en 2033.

- Titulos -
palmarĂšs

Le palmarĂšs des Xolos de Tijuana est en construction pour un club qui n’a pas encore fĂȘtĂ© ses 30 ans


-
:concacaf: :leagues_cup: Leagues Cup 2 2028,2031
:concacaf: :campeones_cup: Campeones Cup 1 2028
:mexico: :grootmx: Liga MX Apertura 1 2012
:mexico: :grootmx: Liga MX Clausura 2 2027, 2033
:mexico: :groot_expansion: Liga MX Ascencion 1 2010
:mexico: :grootcampeones: Copa de Campeones 1 2027

- Identidade do clube -
Identité du club

Le logo du club représente initialement le chien du propriétaire présumé du club. Le chien est un Xolo, chien de race plutÎt rare de nos jours au Mexique. Le Logo a été retravaillé en 2030 avec une version plus stylisé du Xolo.

GĂ©nĂ©ralement le club Ă©volue en rouge Ă  domicile et en noir ou blanc Ă  l’exterieur. Le sponsor principal du club est le bookmaker Caliente depuis la crĂ©ation du club. Le club est actuellement Ă©quipĂ© par Adidas.

Maillot Home Maillot Away Maillot Third
kit kit kit

- Estadio Caliente-
Le stade

L’Estadio Caliente, situĂ© dans le complexe de jeu HipĂłdromo de Aguacaliente, avait une capacitĂ© de 18 448 spectateurs. Il a Ă©tĂ© agrandi de 18 448 Ă  21 000. Tijuana a accueilli le championnat U-17 de la CONCACAF en avril 2009. Ce tournoi a dĂ» ĂȘtre suspendu en raison de l’épidĂ©mie de grippe dans le sud du pays.

Par la suite, des rĂ©novations ont Ă©tĂ© apportĂ©es Ă  sa conception finale, augmentant sa capacitĂ© pour accueillir la Coupe du monde U-17 de la FIFA en 2011, mais en octobre 2010, le stade a Ă©tĂ© refusĂ© par la FIFA pour accueillir la Coupe du monde, de sorte que l’Estadio Corregidora a Ă©tĂ© choisi comme stade de remplacement au cas oĂč il serait nĂ©cessaire pour les matches.

L’équipe Ă©volue aujourd’hui en premiĂšre division mexicaine et son stade a Ă©tĂ© agrandi, passant de 21 000 Ă  22 333 spectateurs, qui le remplissent rĂ©guliĂšrement tous les quinze jours. DotĂ© d’une pelouse synthĂ©tique ultramoderne, le football pratiquĂ© sur le gazon artificiel de l’Estadio Caliente est de trĂšs haut niveau.


Estadio_Caliente

LÉGENDE
NOM Estadio Caliente
INAUGURATION 2007
TAILLE 28 333 Places
PLACES ASSISES 28 333 Places
Ă©tat Bon État

- Registos individuais -
Records individuels

Voici le Hall of Fame du Xolos Tijuana, on y retrouve pas mal de joueurs formé au club. Quelques records semblent complexes à atteindre. Notamment le record de matchs joués de Paulo Gomes.

- Jogadores con mas partidos -
joueurs les plus capés

-
Nat Nat Prénom Nom APP buts Assist
:mexico: Rodrigo GonzĂĄlez 445 149 9
:chile: NicolĂĄs DĂ­az 517 7 22
:unitedstatesofamerica: :italy: Gianluca Busio 484 35 130
:colombia: Carlos GonzĂĄlez 407 53 17
:mexico: Diego Barbosa 398 9 34
:argentina: SebastiĂĄn Meza 356 0 0
:colombia: Christian Rivera 339 15 45
:mexico: Rodrigo Aguilar 337 24 36
:argentina: :mexico: Lucio Cruceño 303 5 35
:mexico: Juan Carlos Nuñez 300 4 2
:chile: :colombia: JoaquĂ­n Montecinos 295 27 21
:mexico: César Huerta 292 111 23
:mexico: Eduardo Venegas 285 21 37
:unitedstatesofamerica: :mexico: Joe Corona 237 18 2
:argentina: Javier Gondolfi 221 8 0
:mexico: José Antonio Rodríguez 220 0 0
:mexico: JesĂșs Diaz 218 38 40
:mexico: Richard Ruiz 218 18 4
:mexico: Jair DĂ­az 216 0 16
:mexico: Joshua Abrego 205 0 0

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Mejores Goleadores -
Meilleurs buteurs

-
Nat Nat Prénom Nom APP buts Assist
:mexico: Rodrigo GonzĂĄlez 445 149 9
:mexico: César Huerta 292 111 23
:mexico: Raul Enriquez 203 81 2
:canada: :argentina: Lucas Cavallini 146 66 10
:colombia: Carlos GonzĂĄlez 407 53 17
:colombia: Dayro Moreno 102 50 12
:scotland: :england: Oli McBurnie 130 49 8
:mexico: Jorge Alberto Bustamante 136 40 6
:mexico: JesĂșs Diaz 218 38 40
:unitedstatesofamerica: :italy: Gianluca Busio 484 35 130
:paraguay: Robert Morales 94 32 2
:colombia: Fidel Martinez 79 30 6
:argentina: :mexico: Lucas RodrĂ­guez 178 28 23
:chile: :colombia: JoaquĂ­n Montecinos 295 27 21
:mexico: Rodrigo Aguilar 337 24 36
:mexico: Eduardo Venegas 285 21 37
:unitedstatesofamerica: :mexico: Joe Corona 237 18 2
:mexico: Richard Ruiz 218 18 4
:mexico: Stephano Carrillo 83 17 1
:england: :nigeria: Samuel Edozie 170 16 18

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Mejores Pasadores -
Meilleurs Passeurs

-
Nat Nat Prénom Nom APP buts Assist
:unitedstatesofamerica: :italy: Gianluca Busio 484 35 130
:colombia: Christian Rivera 339 15 45
:mexico: JesĂșs Diaz 218 38 40
:mexico: Eduardo Venegas 285 21 37
:mexico: Rodrigo Aguilar 337 24 36
:argentina: :mexico: Lucio Cruceño 303 5 35
:mexico: Diego Barbosa 398 9 34
:mexico: César Huerta 292 111 23
:argentina: :mexico: Lucas RodrĂ­guez 178 28 23
:chile: :colombia: JoaquĂ­n Montecinos 295 27 21
:mexico: Leonel LĂłpez 135 4 21
:england: :nigeria: Samuel Edozie 170 16 18
:colombia: Carlos GonzĂĄlez 407 53 17
:mexico: Jair DĂ­az 216 0 16
:colombia: Dayro Moreno 102 50 12
:canada: :argentina: Lucas Cavallini 146 66 10

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Chapitre 460 -
- L’offre surprise d’hugo viana -
- Chapitre 462 -
Coming SOON - 02/01
10 « J'aime »

Quelques noms surprenants Ă  ĂȘtre passĂ©s par le club ! :blush:

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Portugal → Espagne → Italie → Colombie → BrĂ©sil → Japon → Mexique 


Le tour d’Europe du football qui bifurque salement en tout du monde des mafias
 Prochaine destination, la Russie !

J’adore le logo du club !

quel beau stade