:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka Non non c’est écrit depuis un bon moment je suis pas fou :pasrire: Te réjouis pas trop vite :hoho: Lui aussi espère se poser quelques temps.

@Heisen Ce serait sympa en vrai.

@Loozar Alors non même pas, de base je voulais le mettre dans un autre sujet mais j’ai merdé cette nuit et c’est resté :sac: J’ai pas eu de demandes de skin perso sur un recit sur cet opus hormis @Rhino et @Irons du coup voila ^^

- Une désillusion au goût amer pour Anibal -

Après avoir été séduit par le projet d’Aston Villa, Anibal Guimarães avait commencé à tourner une nouvelle page de sa carrière. Suite à son expérience enthousiasmante lors du derby de Birmingham, il avait pris la décision de s’installer à Birmingham, emportant avec lui sa belle-famille et sa fille, tout en organisant les derniers détails pour gérer la villa familiale à Viana do Castelo. Tout semblait prêt pour son retour en Europe, où un défi à la hauteur de ses ambitions l’attendait.

Mais ce qui s’annonçait comme un nouveau départ bascula rapidement en une désillusion brutale.

Le jet privé affrété par Thiago Scuro, directeur sportif d’Aston Villa, transportait Anibal vers Londres pour finaliser son contrat et entamer sa nouvelle aventure. Pourtant, à peine descendu sur le tarmac, il fut confronté à une scène inattendue : un groupe de supporters en colère de Villa l’attendait.

Les fans, visiblement mécontents de la nomination imminente d’Anibal, brandissaient des pancartes dénonçant son passé controversé et criant des slogans hostiles. Ils mettaient en avant les affaires judiciaires et les polémiques liées à son passage en Colombie au Brésil et au Japon, estimant que son arrivée ne correspondait pas aux valeurs du club.

Pour aggraver la situation, aucun représentant d’Aston Villa n’était présent pour accueillir Anibal, et aucun transport n’avait été organisé pour lui. Livré à lui-même, il dut trouver un taxi pour rejoindre Birmingham, le tout sous le regard des caméras et des flashs des journalistes, qui amplifièrent encore plus l’incident.

Une fois arrivé au siège du club, Thiago Scuro, visiblement embarrassé, l’informa de la situation. Le grand patron d’Aston Villa, Nassef Sawiris, avait pris une décision de dernière minute, cédant à la pression des supporters et des médias locaux. Au lieu de confirmer Anibal comme entraîneur principal, Sawiris avait décidé de nommer Jack Grealish, enfant du club et figure emblématique, au poste de coach principal.

Grealish, après une expérience réussie à la tête du MK Dons, avait gagné en crédibilité en tant qu’entraîneur. Son retour à Villa, cette fois en tant que leader du banc, était perçu comme une décision populaire, apaisant les tensions et répondant aux attentes des supporters.

Thiago Scuro, désolé pour la situation, s’efforça de prendre ses responsabilités face à Anibal. Il s’engagea à couvrir tous les frais engagés par le coach portugais pour son déménagement et son installation avortée.

“Anibal, je suis profondément désolé,” dit-il, visiblement embarrassé. “Cette décision ne reflète pas ce que je souhaitais pour le club, ni la vision que nous partagions pour ce projet. Mais la pression était trop forte. Je prends la responsabilité de cette situation et veillerai à ce que tu sois indemnisé.”

Malgré ces excuses, le mal était fait. Anibal, qui avait déjà été échaudé par des situations similaires par le passé, voyait une fois de plus sa carrière mise à mal par son image publique controversée.

La désillusion était profonde pour Anibal. Après avoir organisé son déménagement et rêvé d’un nouveau départ en Premier League, il se retrouvait à nouveau sans club, victime des jugements liés à son passé.

Lors d’une interview improvisée à son hôtel, il exprima sobrement sa déception :

“Je respecte la décision d’Aston Villa et de ses dirigeants. Mais je suis déçu de voir que, malgré tout ce que j’ai accompli ces dernières années, mon passé continue de me définir. Je crois en mes compétences et en ma capacité à réussir. Je vais rebondir, comme toujours.”

Pour l’heure, Anibal retournait à la case départ. Son agente, Rafaela, se remit immédiatement au travail pour trouver une nouvelle opportunité. Cependant, le constat était clair : bien que son talent soit indéniable, son image restait un obstacle majeur.

Pour Anibal, une chose était certaine : il ne baisserait pas les bras. Chaque revers avait été pour lui l’occasion de prouver sa résilience. Et si ce nouveau coup dur laissait un goût amer, il nourrissait aussi une détermination renouvelée à retrouver le sommet.

- Chapitre 458 -
- Villa piste Ani pour remplacer warne -
- Chapitre 460 -
Coming SOON - 01/01
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