:storygreen: :s13: đŸ—Ÿ :grootnagoya: O LeĂŁo de Lisboa

C’est le cousin asiatique de Aya? :rofl:

3 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@Tilo82 Blah blah blah pookie :dsk:

- ăƒˆăƒšă‚żăŒă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ăšăăźćź¶æ—ă‚’æ”ŻæŽ -
- Anibal honorĂ© par l’AFC et la Comnebol pour son invincibilitĂ© de 100 matchs -

Alors que la tension monte Ă  Nagoya en vue de la finale de la Ligue des champions asiatiques contre Al Hilal, Anibal GuimarĂŁes a reçu un hommage inattendu mais mĂ©ritĂ©. À la veille de ce choc continental, l’AFC (ConfĂ©dĂ©ration asiatique de football) et la CONMEBOL (ConfĂ©dĂ©ration sud-amĂ©ricaine de football) ont fait un geste exceptionnel en se dĂ©plaçant au Japon pour cĂ©lĂ©brer un record historique : 100 matchs consĂ©cutifs sans dĂ©faite pour le coach portugais, une prouesse rĂ©alisĂ©e sur deux continents et dans trois compĂ©titions majeures.

Dans un cadre soigneusement amĂ©nagĂ© au Toyota Stadium, oĂč Nagoya Grampus Ă©volue, les reprĂ©sentants des deux confĂ©dĂ©rations, accompagnĂ©s de journalistes internationaux, ont assistĂ© Ă  une cĂ©rĂ©monie en l’honneur d’Anibal. Sur le podium trĂŽnait un trophĂ©e spĂ©cialement conçu pour l’occasion, un globe dorĂ© symbolisant son influence sur le football.

Keito Hiraoka, directeur sportif de Nagoya, ouvrit les festivitĂ©s “Anibal-san est plus qu’un entraĂźneur, c’est une inspiration. Ce record tĂ©moigne de sa capacitĂ© Ă  transcender les frontiĂšres et Ă  marquer l’histoire partout oĂč il passe.”

Le reprĂ©sentant de la CONMEBOL prit ensuite la parole, saluant le passage d’Anibal par Envigado et Palmeiras, deux clubs transformĂ©s sous sa direction “Avec Envigado, il a prouvĂ© qu’un club modeste pouvait conquĂ©rir un continent. Avec Palmeiras, il a dominĂ© comme personne avant lui. Aujourd’hui, nous cĂ©lĂ©brons un homme dont le travail est universellement reconnu.”

L’AFC conclut en soulignant l’impact immĂ©diat d’Anibal sur Nagoya “En seulement quelques mois, Anibal a fait de Nagoya un prĂ©tendant sĂ©rieux Ă  la suprĂ©matie asiatique. Ce record est une inspiration pour le football asiatique tout entier.”

Quand vint son tour de parler, Anibal monta sur scĂšne sous une ovation chaleureuse de ses joueurs, de sa femme Yessica, et des supporters venus assister Ă  cet instant historique. Il commença son discours d’une voix pleine d’émotion “Recevoir une telle distinction est un honneur que je n’aurais jamais imaginĂ©. Mais ce record n’est pas seulement le mien. Il appartient Ă  mes joueurs, Ă  mes staffs, et Ă  tous ceux qui ont cru en mes idĂ©es, mĂȘme dans les moments difficiles.”

Il poursuivit avec une note personnelle “Ce parcours de 100 matchs est une leçon d’humilitĂ©. À chaque Ă©tape, j’ai appris des cultures diffĂ©rentes, des philosophies variĂ©es. Et si j’en suis lĂ  aujourd’hui, c’est grĂące Ă  mes Ă©quipes, de MedellĂ­n Ă  Nagoya en passant par SĂŁo Paulo.”

L’hommage n’eut pas seulement pour effet de cĂ©lĂ©brer le coach, mais aussi de motiver ses joueurs. À l’issue de la cĂ©rĂ©monie, Javi Sanchez, fidĂšle adjoint d’Anibal, confia “Cette reconnaissance est une Ă©nergie supplĂ©mentaire. Si nous avions besoin d’une raison de plus pour nous surpasser demain, nous l’avons trouvĂ©e.”

Du cĂŽtĂ© des joueurs, l’impact Ă©tait palpable. Shogo Kumagai, milieu prĂȘtĂ© par Monaco, dĂ©clara “Avoir un entraĂźneur de ce calibre, qui marque l’histoire partout oĂč il passe, c’est une fiertĂ©. Nous allons tout donner pour lui offrir un nouveau trophĂ©e.”

Ce record de 100 matchs d’invincibilitĂ© est bien plus qu’un simple chiffre. Il incarne la philosophie d’Anibal : un football offensif, intelligent, et basĂ© sur une gestion humaine exemplaire. En rĂ©compensant cet exploit, l’AFC et la CONMEBOL ont montrĂ© qu’au-delĂ  des rĂ©sultats, c’est la vision et l’hĂ©ritage du coach portugais qui sont honorĂ©s.

Avec ce vent dans le dos, Nagoya Grampus semble prĂȘt Ă  dĂ©fier Al Hilal dans une finale qui pourrait renforcer encore un peu plus la lĂ©gende d’Anibal GuimarĂŁes.

- Chapitre 431 -
- Invaincu et en finale continentale -
- Chapitre 433 -
Coming SOON - 18/12
11 « J'aime »

HĂąte de le voir avec un club qui joue le maintien :sac:

2 « J'aime »

Prochaine étape, les 1000 matchs dans défaites !

1 « J'aime »

Récompense méritée ! Mais que les organisateurs préparent déjà le trophée pour les 200 matchs sans défaite, ça ne saurait tarder :pasrire:

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@toopil un jour prochain :wink:

@Manthyz ça me parait beaucoup :pasrire:

@CaptainAmericka :pasrire:

- ăƒˆăƒšă‚żăŒă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ăšăăźćź¶æ—ă‚’æ”ŻæŽ -
- Anibal remporte la Champion’s asiatique ! -

Dans une ambiance Ă©lectrique et sous le regard de milliers de fans saoudiens venus en masse au King Fahd International Stadium, la premiĂšre manche de cette finale promettait d’ĂȘtre intense. Al Hilal, grand favori de la compĂ©tition, affrontait le surprenant Nagoya Grampus d’Anibal GuimarĂŁes, invaincu depuis sa prise de fonctions au Japon.

Le dĂ©but du match fut totalement Ă  l’avantage d’Al Hilal, qui imposa un pressing asphyxiant dĂšs les premiĂšres minutes. À la 10Ăšme minute, leur domination paya : un corner bien tirĂ© par Salem Al-Dawsari trouva la tĂȘte de Hawsawi, qui s’éleva plus haut que tout le monde pour expĂ©dier le ballon dans la lucarne droite de Diego Callai, impuissant. (Al Hilal 1-0)

Nagoya, étouffé par le rythme imposé par les Saoudiens, peinait à sortir de son camp. Mais Anibal, connu pour sa résilience tactique, réorganisa son équipe. Les Japonais commencÚrent à exploiter les contres grùce à la vitesse de leur pistons Endo et Tanaka.

À la 42Ăšme minute, contre le cours du jeu, Nagoya Ă©galisa. Sur une interception au milieu de terrain, Endo s’élança dans une chevauchĂ©e fulgurante sur l’aile droite, Ă©liminant son vis-Ă -vis avant de centrer parfaitement en retrait pour Rafael, qui ajusta le gardien d’un plat du pied prĂ©cis. (1-1)

Dans la foulĂ©e, juste avant la pause, Nagoya frappa un grand coup. Shogo Kumagai, international japonais prĂȘtĂ© par Monaco, hĂ©rita du ballon Ă  l’entrĂ©e de la surface. Il effaça d’un crochet son dĂ©fenseur direct avant d’envoyer un sublime enroulĂ© du gauche en pleine lucarne. Une frappe parfaite qui laissa le King Fahd silencieux. (1-2 Nagoya)

Revenus des vestiaires avec une détermination renouvelée, les Saoudiens reprirent leur domination. Leur ténacité fut récompensée à la 56Úme minute. Sur un centre tendu de Victor Kristiansen, Hawsawi surgit une nouvelle fois dans la surface. Cette fois-ci, il dévia subtilement le ballon du bout du pied pour tromper Diego Callai et inscrire son deuxiÚme but de la soirée. (2-2)

Al Hilal continua de pousser, mais manqua de rĂ©alisme dans le dernier geste. De leur cĂŽtĂ©, les Japonais jouĂšrent avec pragmatisme, s’appuyant sur une dĂ©fense hĂ©roĂŻque menĂ©e par Kitamori, impĂ©rial dans les duels aĂ©riens.

Le coup de sifflet final scella un match nul spectaculaire. Si Nagoya Grampus a montré un esprit combatif et une grande efficacité, Al Hilal a dominé dans le jeu et reste légÚrement favori avant le retour au Japon.

Anibal GuimarĂŁes, toujours invaincu depuis son arrivĂ©e, sait qu’un exploit sera nĂ©cessaire pour soulever le trophĂ©e. Mais avec des joueurs comme Rafael et Kumagai, tout semble possible pour le club japonais.

Club
:grootchampionsafc: Finale :grootchampionsafc:
King Fahd
International Stadium
102852
2 - 2
1191
AL HILAL
Nagoya
Grampus
:but: :but:a.Hawsawi (10’, 56’) Rafael (42’) :but:
S.Kumagai (45+2’) :but:

Le Toyota Stadium de Nagoya vibrait d’impatience Ă  l’approche du coup d’envoi de la finale retour de la Ligue des champions asiatiques. OpposĂ©s au gĂ©ant saoudien Al Hilal, tenu en Ă©chec 2 - 2 Ă  l’aller, les joueurs du Nagoya Grampus savaient qu’ils avaient une montagne Ă  gravir. Sous la houlette d’Anibal GuimarĂŁes, leur entraĂźneur portugais, ils Ă©taient prĂȘts Ă  tout donner.

FidĂšles Ă  leur rĂ©putation, les Saoudiens commencĂšrent le match en imposant un pressing Ă©touffant et un jeu physique. Nagoya peinait Ă  trouver des solutions, acculĂ© dans sa moitiĂ© de terrain. À la 48Ăšme minute, Al Hilal concrĂ©tisa sa domination : sur une combinaison rapide, Salem Al-Dawsari trouva Ali Abdullah Ă  l’entrĂ©e de la surface. Ce dernier dĂ©clencha une frappe croisĂ©e imparable qui trompa Diego Callai, ouvrant le score pour les visiteurs et les plaçant dans une position presque intouchable avec un score cumulĂ© de 3-2.

Loin d’abandonner, Anibal exhorta ses joueurs Ă  maintenir leur foi et Ă  chercher le moindre espace. Le dĂ©clic vint Ă  la 56Ăšme minute. Sur un contre Ă©clair initiĂ© par le box to box Genta Nakamura, le ballon trouva Surat Srijan dans la profondeur. Le ThaĂŻlandais tenta sa chance, mais sa frappe, pourtant anodine, fut mal captĂ©e par le gardien vĂ©tĂ©ran Gianluigi Donnarumma, qui fit une incroyable faute de main, envoyant le ballon dans son propre but.

Le Toyota Stadium explosa. Ce but contre son camp, certes chanceux, donna une nouvelle Ă©nergie aux Japonais, qui commencĂšrent enfin Ă  croire en l’exploit.

RevigorĂ©s, les joueurs de Nagoya trouvĂšrent leur rythme. À la 76Ăšme minute, une combinaison millimĂ©trĂ©e entre Hiroshi Ono et Surat Srijan dĂ©stabilisa la dĂ©fense d’Al Hilal. Le ThaĂŻlandais, lancĂ© sur le cĂŽtĂ© gauche, repiqua dans l’axe et dĂ©cocha une frappe puissante qui laissa Donnarumma sans rĂ©action. Avec ce deuxiĂšme but, Nagoya prenait l’avantage sur l’ensemble des deux matches.

Mais les Japonais n’étaient pas venus pour se contenter de prolongations. À la 87Ăšme minute, sur une erreur de relance de Theate, dĂ©fenseur d’Al Hilal, Hiroshi Ono rĂ©cupĂ©ra le ballon Ă  l’entrĂ©e de la surface. Avec sang-froid, il glissa le ballon dans le petit filet, offrant un double avantage Ă  Nagoya Ă  quelques minutes de la fin de la finale.

Le coup de grĂące vint Ă  la 91Ăšme minute, lorsque Surat Srijan, en feu, conclut un contre supersonique en dribblant deux dĂ©fenseurs avant de marquer d’une frappe placĂ©e dans le coin gauche. Le Toyota Stadium explosa dans une euphorie indescriptible.

Avec cette victoire 4-1 (6-3 au score cumulĂ©), Nagoya Grampus dĂ©crocha son premier titre continental, gravant son nom dans l’histoire du football asiatique. Anibal GuimarĂŁes, fidĂšle Ă  sa rĂ©putation, cĂ©lĂ©bra avec une intensitĂ© rare, galvanisant ses joueurs et le public.

En conférence de presse, le coach portugais rendit hommage aux efforts de son équipe :

“Nous avons affrontĂ© une grande Ă©quipe d’Al Hilal. Ils ont eu de nombreuses occasions, mais mes joueurs ont montrĂ© un cƓur immense. Ce titre, c’est leur victoire.”

Cependant, lorsqu’un journaliste lui demanda s’il comptait revenir en Europe aprùs ce triomphe, Anibal esquiva habilement la question, souriant simplement :

“Aujourd’hui, nous parlons de Nagoya et de ce que nous venons d’accomplir. Le reste viendra en temps voulu.”

Avec ce triomphe asiatique, Anibal GuimarĂŁes ajouta une nouvelle ligne Ă  son palmarĂšs exceptionnel. Si l’avenir du technicien portugais reste incertain, une chose est sĂ»re : son passage au Japon restera dans les annales, et l’Europe semble dĂ©jĂ  l’attendre avec impatience.

Club
:grootchampionsafc: Finale :grootchampionsafc:
Toyota
Stadium
1191
4 - 1
102852
Nagoya
Grampus
AL HILAL
:but: G.Donnarumma (56’) CSC A.Abdullah (48’) :but:
:but: :but: S.Srijan (76’, 90+1’)
:but: H.Seto (87’)
- Chapitre 432 -
- L’invincibilitĂ© d’Anibal honorĂ© -
- Chapitre 434 -
Coming SOON - 19/12
11 « J'aime »

Je ne savais pas que ça se jouait en aller-retour pour la finale. Un choix curieux pour notre regard europĂ©en mais pourquoi pas. Ca a quand mĂȘme jouĂ© Ă  se faire peur au match aller chez les japs. Mais le retour, rien Ă  voir. Bravo pour cette nouvelle grande victoire coach

1 « J'aime »
4 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@Rhino J’ai dĂ©couvert ça aussi. J’ai suĂ© du cul deux fois du coup :rofl:

@Sythax j’ai la ref vieux fou

- ăƒˆăƒšă‚żăŒă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ăšăăźćź¶æ—ă‚’æ”ŻæŽ -
- Anibal découvre le Mont Fuji avec Hiraoka -

Lorsque Anibal GuimarĂŁes arriva au Japon pour prendre les rĂȘnes de Nagoya Grampus, il n’avait pas encore pleinement mesurĂ© l’impact qu’il aurait sur le club. Mais il avait une chose : la confiance. Cette confiance inĂ©branlable, nourrie par des annĂ©es de succĂšs en Europe, en AmĂ©rique du Sud et au BrĂ©sil, l’avait dĂ©jĂ  conduit Ă  relever des dĂ©fis impossibles.

C’est lors de l’un de ses premiers Ă©changes avec Keito Hiraoka, le directeur sportif de Nagoya, que cette b s’exprima. AprĂšs seulement deux entraĂźnements, Anibal, en observantb et l’expĂ©rience de ses cadres, lança un pari presque irrĂ©flĂ©chi. “Keito-san, ce groupe va remporter la Ligue des champions asiatique cette annĂ©e.”

Keito fut sceptique voir mĂȘme amusĂ© par cette affirmation. “Vous avez l’Ɠil, coach, mais cela semble trĂšs ambitieux voir mĂȘme arrogant. Les clubs corĂ©ens, saoudiens
 c’est un autre monde.”

Anibal (souriant) Ă©tait sur de son coup, il avait le feeling avec ce groupe. “Ambitieux, oui. Mais rĂ©aliste. Et si on gagne, vous me devez quelque chose.” Keito surpris se demanda ce qu’avait en tĂȘte le portugais. “Et que voulez-vous, Ani-san ?”

Anibal avait lui une idĂ©e en tĂȘte, elle lui avait Ă©tĂ© sussurĂ© par Hiroto son ancien joueur. “Une randonnĂ©e au Mont Fuji. Pour y voir le lever de soleil. Et vous m’accompagnerai.”

Pris au dépourvu, Keito, homme réservé et méthodique, accepta en riant, convaincu que ce pari resterait un défi théorique.

Au fil de la saison, la promesse devint un moteur pour l’équipe. Chaque victoire rapprochait Nagoya de son objectif, et dans les vestiaires, l’ascension du Mont Fuji devint un sujet de plaisanterie et de motivation.

Lors des quarts de finale contre Busan, l’un des favoris, Nagoya renversa un dĂ©ficit d’un but pour s’imposer lors d’une soirĂ©e mĂ©morable. Dans le vestiaire, Anibal, trempĂ© de sueur, se tourna vers Keito “PrĂ©parez vos chaussures de randonnĂ©e, Keito-san. Nous y sommes presque.”

En demi-finale, contre Pohang Steelers, un gĂ©ant corĂ©en, Nagoya fit preuve d’une rĂ©silience incroyable, Ă©liminant son adversaire sans sourciller. AprĂšs la victoire, Keito, toujours plus impressionnĂ©, rĂ©pondit Ă  Anibal “Vous avez gagnĂ© mon respect, coach. Mais si nous atteignons la finale, c’est vous qui devrez porter mon sac Ă  dos lors de l’ascension.”

La finale de la Ligue des champions asiatique opposa Nagoya à Al Hilal, un ogre saoudien redoutable. Anibal déploya tout son génie tactique, galvanisant ses joueurs. Rafael et Srijan, brillÚrent, tandis que la défense orchestrée par KItamori et Endo verrouilla les offensives adverses.

Au coup de sifflet final, Nagoya triompha 6-3 sur les deux matchs, offrant au club son premier sacre continental. Les joueurs, portĂ©s en triomphe, chantaient et riaient, tandis qu’Anibal se tournait vers Keito, un sourire malicieux sur le visage. “Alors, Keito-san, Mont Fuji, ça se prĂ©pare quand ?”

Quelques jours aprĂšs la victoire, fidĂšle Ă  sa promesse, Keito Hiraoka annonça qu’il avait planifiĂ© l’ascension du Mont Fuji. Anibal, excitĂ© comme un enfant, se prĂ©para avec minutie. Les deux hommes partirent Ă  la tombĂ©e de la nuit, Ă©quipĂ©s de sacs lĂ©gers et accompagnĂ©s d’un guide local.

Pendant l’ascension, ils discutĂšrent de la demi-saison Ă©coulĂ©e, des joueurs qui avaient marquĂ© la campagne et des dĂ©fis Ă  venir. “Vous savez, Ani-san, je ne pensais pas que nous serions ici. Mais vous avez une façon de rendre l’impossible
 possible.”

Anibal remercia quand Ă  lui son responsable du soutien tĂ©moignĂ© par tout le club depuis la premiĂšre minute de son arrivĂ©e. “Et vous, Keito-san, vous avez cru en moi. C’est tout ce dont un coach a besoin. Du soutien.”

ArrivĂ©s au sommet, juste avant le lever du soleil, ils s’assirent cĂŽte Ă  cĂŽte, en silence, contemplant l’immensitĂ©. Le ciel s’embrasa de teintes orangĂ©es et rosĂ©es, offrant un spectacle Ă  couper le souffle.

Pour Anibal, cette ascension symbolisait plus qu’un simple pari gagnĂ©. C’était un moment de rĂ©flexion, une maniĂšre de cĂ©lĂ©brer un parcours semĂ© d’embĂ»ches, mais toujours guidĂ© par la passion et la persĂ©vĂ©rance.

De retour Ă  Nagoya, les mĂ©dias capturĂšrent des images de l’entraĂźneur et de son directeur sportif, rayonnants et fatiguĂ©s, devant le Mont Fuji. Lors de la confĂ©rence de presse qui suivit, Keito, d’habitude si rĂ©servĂ©, fit une dĂ©claration inattendue “Ani-san ne se contente pas de construire des Ă©quipes. Il construit des rĂȘves, et il nous pousse tous Ă  les vivre.”

- Chapitre 433 -
- Anibal remporte la Champion’s asiatique -
- Chapitre 435 -
Coming SOON - 19/12
10 « J'aime »

Bonjour, grand chef @Groot !
Profitant d’etre quelques jours en arrĂȘt, je me suis pris le temps de commencer ce rĂ©cit dont tu m’avais dĂ©jĂ  vantĂ© les mĂ©rites

Et que dire ? Une masterclass Ă  l’échelle mondiale, un talent d’écriture et un sans faute visuel, c’est un bonheur de lire ce genre de rĂ©cit !
Maintenant que j’ai tout rattrapĂ©, hĂąte de voir ce que l’avenir rĂ©serve Ă  notre Anibal de lĂ©gende !

1 « J'aime »

Bravo pour ce trophée !
bien fatigué et un grand paysage ne mémoire depuis la haut

1 « J'aime »

A 1-0 au retour, tu as dĂ» avoir la raie humide :sac:

FĂ©licitations quand mĂȘme :grin:

1 « J'aime »

Promesse tenue ! DĂ©jĂ  de conquĂ©rir le Mont Fuji ! Mais aussi de ne pas quitter le navire, avant d’avoir gagnĂ© la LDC, chose qui est faite dorĂ©navant :grin:

1 « J'aime »

Ça y est, ils partent en promenade maintenant !

1 « J'aime »

C’est beau ça, et quel endroit merveilleux !

1 « J'aime »
RĂ©ponses aux lecteurs

@thomasprlr oh comment tu vas ma couille ça fait un moment. Je savais que tu kifferais :slight_smile:

@celiavalencia une belle aventure :slight_smile:

@toopil clairement j’étais pas bien, heuresement Donnarumma fait une cagade et derriĂšre l’entrĂ©e de Srijan nous sauve :pasrire:

@alexgavi on tiens nos engagements ici ! Mais ne voit pas cette victoire en LDC comme un bon de sortie :pasrire:

@Sythax Faut bien diversifier un peu. Le cartel ça va 5 minutes :hoho:

@CaptainAmericka ravi que ça te plaise.

- ă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«äș‹ä»¶ăźć†ćŻ©ç†ă‚’æ‹’ćŠ -
- L’UEFA refuse de rejuger le dossier Anibal -

AprĂšs des semaines d’incertitudes et de spĂ©culations, la nouvelle tomba comme un couperet : l’UEFA refusait de statuer sur une rĂ©duction de la suspension d’Anibal GuimarĂŁes. Pour le coach portugais, cela signifiait que son retour en Europe devait encore attendre. Le Celtic Glasgow, qui avait placĂ© tous ses espoirs en lui pour relancer son projet, voyait son rĂȘve s’évanouir.

Ce fut Rafaela Pimienta, son agent de toujours, qui lui annonça la nouvelle. Elle appela Anibal dans la matinĂ©e, une voix empreinte de dĂ©ception. “Ani, l’UEFA refuse de statuer. Ils considĂšrent que ta suspension doit ĂȘtre purgĂ©e jusqu’au bout. Pas de raccourci.”

Un long silence s’installa au bout du fil. Mais contrairement Ă  ce qu’elle imaginait, Anibal n’explosa pas de colĂšre. “Je m’en doutais, Rafaela. Et pour ĂȘtre honnĂȘte, ça m’arrange.”

Rafaela fut dĂ©contenancĂ©e. Elle savait Ă  quel point l’idĂ©e de revenir en Europe fascinait Anibal, et l’intĂ©rĂȘt du Celtic n’avait fait qu’attiser ce dĂ©sir. “Que veux-tu dire ? Le Celtic Ă©tait prĂȘt Ă  se battre pour toi. C’était une opportunitĂ© en or.”

Anibal expliqua alors son Ă©tat d’esprit Ă  Rafaela. “C’était. Mais il y a deux semaines, j’ai dĂ©jĂ  donnĂ© ma rĂ©ponse Ă  leurs dirigeants. J’ai refusĂ© leurs avances.”

Cette rĂ©vĂ©lation surprit Rafaela, qui ne comprenait pas pourquoi Anibal avait volontairement fermĂ© cette porte. “Pourquoi, Ani ? C’était une chance unique de revenir en Europe plus tĂŽt.”

Anibal se sentait trop investi pour partir en pleine saison. “Je ne pouvais pas quitter Nagoya comme ça. Pas au milieu de la saison, pas avec ce que le club a investi pour me faire venir, pour accueillir ma famille. Je dois honorer mon engagement ici. C’est une question de respect, Rafaela.”

Il continua “Et puis, ce n’est qu’une question de temps. En janvier, ma suspension sera levĂ©e. Plus rien ne pourra m’empĂȘcher de revenir. Si le Celtic me veut vraiment, ils attendront. Sinon, il y aura d’autres projets.”

Rafaela, bien que surprise, ne pouvait qu’admirer la loyautĂ© de son client.

Pour Anibal, Nagoya Grampus n’était pas seulement une Ă©tape dans sa carriĂšre. C’était une opportunitĂ© de renforcer son palmarĂšs, d’explorer une culture footballistique diffĂ©rente et de prouver qu’il pouvait rĂ©ussir partout, mĂȘme dans des conditions Ă©loignĂ©es de celles des grandes scĂšnes europĂ©ennes.

Avec une sĂ©rie d’invincibilitĂ© intacte et des performances impressionnantes en championnat et en Ligue des champions asiatique, il savait que son passage au Japon marquerait les esprits. Le prĂ©sident Jin Suzuki et le directeur sportif Keito Hiraoka lui avaient donnĂ© carte blanche pour construire une Ă©quipe capable de rivaliser avec les meilleurs clubs asiatiques.

Anibal expliqua vouloir marquĂ© les esprits pour son retour en Europe. “Quand je reviendrai en Europe, ce sera comme un conquĂ©rant. Je ne veux pas revenir par la petite porte. Je veux que le monde sache que je suis prĂȘt Ă  reprendre ma place.”

Pour l’heure, Anibal concentrait toute son Ă©nergie sur Nagoya. Avec un effectif en pleine confiance et des supporters acquis Ă  sa cause, il voulait offrir au club une saison historique, avec pourquoi pas un sacre en Ligue des champions asiatique en ligne de mire.

Mais cette nouvelle, bien qu’attendue, le rapprochait encore plus de son grand retour. Pour Anibal, janvier 2037 reprĂ©sentait une date clĂ©. Il savait que plusieurs clubs europĂ©ens le b et que les opportunitĂ©s ne manqueraient pas.

Dans une conversation avec Yessica, Anibal partagea ses rĂ©flexions. Elle lui demanda alors s’il avait dĂ©jĂ  rĂ©flechis Ă  l’aprĂšs saison ? “Alors, qu’est-ce que tu veux faire aprĂšs Nagoya ? Retourner en Europe ? Ou continuer ton aventure en Asie ?”

Anibal lui expliqua son envie d’Europe comme il en avait si souvent parler ensemble. “L’Europe, c’est lĂ  oĂč tout a commencĂ© pour moi. C’est lĂ  oĂč j’ai prouvĂ© ma valeur. Mais je veux partir d’ici en ayant accompli quelque chose de grand. Si je reviens, ce sera pour gagner. Pas pour reconstruire une Ă©quipe dans l’ombre des autres.”

Avec cette conviction, Anibal se prĂ©parait Ă  Ă©crire le dernier chapitre de son aventure japonaise. Mais au fond de lui, il savait que son grand retour sur le Vieux Continent n’était qu’une question de temps.

Pour l’instant, il restait concentrĂ© sur son objectif immĂ©diat : faire de Nagoya une Ă©quipe qui entrerait dans l’histoire du football asiatique. Et lorsque viendrait le moment de partir, il le ferait en hĂ©ros, prĂȘt Ă  reconquĂ©rir l’Europe.

- Chapitre 434 -
- Anibal découvre le Mt Fuji avec Hiraoka -
- Chapitre 436 -
Coming SOON - 20/12
10 « J'aime »

En effet, mieux vaut attendre encore quelques mois ! Ce n’est plus trĂšs long et puis, il a encore des branlĂ©es Ă  coller avant de rentrer ! Puisque Monsieur Anibal a dĂ©cidĂ© de ne rien laisser Ă  ses adversaires ! :relieved:

1 « J'aime »

C’est bien de vouloir terminer la saison et de ne pas partir comme un voleur

1 « J'aime »

Il a bien raison d’aller au bout des choses Anibal

1 « J'aime »

Top ! Anibal est un homme de valeur ! Il pourra partir du Japon l’esprit tranquille. A voir quel timing il choisira.
En attendant, il y a des choses Ă  finir :smiley:

1 « J'aime »