:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Rhino J’ai dĂ©couvert ça aussi. J’ai suĂ© du cul deux fois du coup :rofl:

@Sythax j’ai la ref vieux fou

- ăƒˆăƒšă‚żăŒă‚ąăƒ‹ăƒăƒ«ăšăăźćź¶æ—ă‚’æ”ŻæŽ -
- Anibal découvre le Mont Fuji avec Hiraoka -

Lorsque Anibal GuimarĂŁes arriva au Japon pour prendre les rĂȘnes de Nagoya Grampus, il n’avait pas encore pleinement mesurĂ© l’impact qu’il aurait sur le club. Mais il avait une chose : la confiance. Cette confiance inĂ©branlable, nourrie par des annĂ©es de succĂšs en Europe, en AmĂ©rique du Sud et au BrĂ©sil, l’avait dĂ©jĂ  conduit Ă  relever des dĂ©fis impossibles.

C’est lors de l’un de ses premiers Ă©changes avec Keito Hiraoka, le directeur sportif de Nagoya, que cette b s’exprima. AprĂšs seulement deux entraĂźnements, Anibal, en observantb et l’expĂ©rience de ses cadres, lança un pari presque irrĂ©flĂ©chi. “Keito-san, ce groupe va remporter la Ligue des champions asiatique cette annĂ©e.”

Keito fut sceptique voir mĂȘme amusĂ© par cette affirmation. “Vous avez l’Ɠil, coach, mais cela semble trĂšs ambitieux voir mĂȘme arrogant. Les clubs corĂ©ens, saoudiens
 c’est un autre monde.”

Anibal (souriant) Ă©tait sur de son coup, il avait le feeling avec ce groupe. “Ambitieux, oui. Mais rĂ©aliste. Et si on gagne, vous me devez quelque chose.” Keito surpris se demanda ce qu’avait en tĂȘte le portugais. “Et que voulez-vous, Ani-san ?”

Anibal avait lui une idĂ©e en tĂȘte, elle lui avait Ă©tĂ© sussurĂ© par Hiroto son ancien joueur. “Une randonnĂ©e au Mont Fuji. Pour y voir le lever de soleil. Et vous m’accompagnerai.”

Pris au dépourvu, Keito, homme réservé et méthodique, accepta en riant, convaincu que ce pari resterait un défi théorique.

Au fil de la saison, la promesse devint un moteur pour l’équipe. Chaque victoire rapprochait Nagoya de son objectif, et dans les vestiaires, l’ascension du Mont Fuji devint un sujet de plaisanterie et de motivation.

Lors des quarts de finale contre Busan, l’un des favoris, Nagoya renversa un dĂ©ficit d’un but pour s’imposer lors d’une soirĂ©e mĂ©morable. Dans le vestiaire, Anibal, trempĂ© de sueur, se tourna vers Keito “PrĂ©parez vos chaussures de randonnĂ©e, Keito-san. Nous y sommes presque.”

En demi-finale, contre Pohang Steelers, un gĂ©ant corĂ©en, Nagoya fit preuve d’une rĂ©silience incroyable, Ă©liminant son adversaire sans sourciller. AprĂšs la victoire, Keito, toujours plus impressionnĂ©, rĂ©pondit Ă  Anibal “Vous avez gagnĂ© mon respect, coach. Mais si nous atteignons la finale, c’est vous qui devrez porter mon sac Ă  dos lors de l’ascension.”

La finale de la Ligue des champions asiatique opposa Nagoya à Al Hilal, un ogre saoudien redoutable. Anibal déploya tout son génie tactique, galvanisant ses joueurs. Rafael et Srijan, brillÚrent, tandis que la défense orchestrée par KItamori et Endo verrouilla les offensives adverses.

Au coup de sifflet final, Nagoya triompha 6-3 sur les deux matchs, offrant au club son premier sacre continental. Les joueurs, portĂ©s en triomphe, chantaient et riaient, tandis qu’Anibal se tournait vers Keito, un sourire malicieux sur le visage. “Alors, Keito-san, Mont Fuji, ça se prĂ©pare quand ?”

Quelques jours aprĂšs la victoire, fidĂšle Ă  sa promesse, Keito Hiraoka annonça qu’il avait planifiĂ© l’ascension du Mont Fuji. Anibal, excitĂ© comme un enfant, se prĂ©para avec minutie. Les deux hommes partirent Ă  la tombĂ©e de la nuit, Ă©quipĂ©s de sacs lĂ©gers et accompagnĂ©s d’un guide local.

Pendant l’ascension, ils discutĂšrent de la demi-saison Ă©coulĂ©e, des joueurs qui avaient marquĂ© la campagne et des dĂ©fis Ă  venir. “Vous savez, Ani-san, je ne pensais pas que nous serions ici. Mais vous avez une façon de rendre l’impossible
 possible.”

Anibal remercia quand Ă  lui son responsable du soutien tĂ©moignĂ© par tout le club depuis la premiĂšre minute de son arrivĂ©e. “Et vous, Keito-san, vous avez cru en moi. C’est tout ce dont un coach a besoin. Du soutien.”

ArrivĂ©s au sommet, juste avant le lever du soleil, ils s’assirent cĂŽte Ă  cĂŽte, en silence, contemplant l’immensitĂ©. Le ciel s’embrasa de teintes orangĂ©es et rosĂ©es, offrant un spectacle Ă  couper le souffle.

Pour Anibal, cette ascension symbolisait plus qu’un simple pari gagnĂ©. C’était un moment de rĂ©flexion, une maniĂšre de cĂ©lĂ©brer un parcours semĂ© d’embĂ»ches, mais toujours guidĂ© par la passion et la persĂ©vĂ©rance.

De retour Ă  Nagoya, les mĂ©dias capturĂšrent des images de l’entraĂźneur et de son directeur sportif, rayonnants et fatiguĂ©s, devant le Mont Fuji. Lors de la confĂ©rence de presse qui suivit, Keito, d’habitude si rĂ©servĂ©, fit une dĂ©claration inattendue “Ani-san ne se contente pas de construire des Ă©quipes. Il construit des rĂȘves, et il nous pousse tous Ă  les vivre.”

- Chapitre 433 -
- Anibal remporte la Champion’s asiatique -
- Chapitre 435 -
Coming SOON - 19/12
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