:STORYRED: :s15: 🇪🇷 :procida_calcio: Les Jumeaux de la Mer rouge

Réponses aux commentaires

Si tu le trouvais long, tu va me détester sur celui-ci :smiley:
en ce qui concerne Mahmud, oui, une belle carrière. Les deux frères se sont vraiment tenus en ce qui concerne leur carrière. Quand Mahmud réussissait dans de plus gros. clubs, Russom a monté les échelons. Puis Russom a commencé vite en équipe nationale mais Mahmud a finalement eu plus de sélections. Mahmud a eu vite des transferts mais Russom est finalement parti au Real, etc.

Oups, bon heu… fallait que raccroche avec les débuts de la story.
Disons qu’il a pris le pognon des saoudiens pour aider plein d’autres gens ? :smiley:

Merci !
Et niveau hommage, j’ai fait encore pire ici, j’ai pas réussi à m’arrête d’écrire. Je sais pas si qqn lira tout :stuck_out_tongue:


Autour du monde : 2023 Ă  2046

:europeanunion: En Europe
Cliquez sur les mots en jaunes pour avoir plus d’informations

En Champion’s League, les dix premières années se sont partagées entre des victoires du PSG (5), Porto (3), Liverpool (2) et le Real Madrid (1). Par la suite, commence le règne de Liverpool qui en a gagné 6 sur 8, laissant juste la place à Arsenal et Man City. En 2042/2043, le Real réussit à soulever le trophée. Et l’année suivante, surprise, c’est Newcastle qui crée la surprise. Ces deux dernières années, sous la houlette de Vincent Kompany, l’AS Roma est sorti vainqueur deux fois d’affilée. On retrouve quelques deuxièmes insolites, tous italiens, comme la Lazio en 2034, Brescia en 2040 et Sassuolo en 2043.

Pour l’Europa League, c’est évidemment plus varié, mais les gagnants restent des clubs du top européen : Pays-Bas (PSV), Angleterre (Aston Villa, Tottenham, Newcastle, Chelsea), Italie (AS Roma, Brescia, Juventus, Lazio, Atalanta), Allemagne (RB Leipzig, Wolfsburg), France (Nice, Lyon, Lille, Monaco), Espagne (Villareal, Athletic Bilbao). En Conference League, c’est aussi un peu la même. chose avec aussi de plus petits clubs qui ont atteint la victoire finale : Bournemouth, Saint-Etienne, Sassuolo ou le Vitoria de Guimaraes. En deuxième, le plus suprenant est sûrement le club suisse d’Yverdon qui a atteint la finale en 2033, Sturm Graz en 2040 et encore plus étonnant, le Viktoria Plzen, club tchèque, en 2046.

Petit détour côté joueur, au Ballon d’Or, les premières années, on été trustées par Kylian Mbappé (PSG) avant de laisser la place à Jude Bellingham (Real Madrid) mais entrecoupés de victoires de Yeremy Pino (Villareal), Evan Ferguson (Real Madrid) et Tommaso Baldanzi (AS Roma). A partir de 2037, ça a été le règne de Lamine Yamal (Barcelona) qui l’a gagné trois fois d’affilée ! Par la suite, un joueur de Porto, Eliseo Avramides remporte la mise. Il laisse sa place à Lucas Quinteros de la Lazio avant de retrouver le titre. Ensuite, ça sera enfin un joueur belge qui remporte le graal : Gaetan Clement a contribué aux belles performances de Sassuolo. Cette dernière année c’est Bruno Rosa du Milan AC qui l’a emporté.

Du côté des championnats, en France, pas de surprises, le PSG a dominé et domine toujours son championnat. Entre 2023 et 2046, ils n’ont pas faiblit une seule fois. En Espagne, si on excepte la victoire de l’Atletico en 2037, le Barça et le Real se sont partagés les titres : 6 pour les Catalans et le reste pour les Madrilènes. En Allemagne, même top avec une nette domination du Bayern et 4 victoires de Dortmund. En Belgique, si au début l’Union Saint-Gilloise et le Club Brugge étaient les meilleurs, par la suite ça a bougé avec un net avantage pour l’Antwerp qui gagne 11 titres ! Gent et Anderlecht en prendront chacun deux, le Standard un seul comme deux autres équipes inattendues : Courtrai et Beveren. Terminons avec l’Angleterre. Et ici aussi, très peu de surprises car les trois premières places ont été que pour quelques clubs : Man City, Arsenal, Liverpool, Chelsea et Newcastle.

En Italie, les titres ont été partagés essentiellement entre l’Inter, le Milan AC et l’AS Roma. Seuls Napoli et la Lazio ont réussi à grappiller les miettes. Dans les deux places suivantes, on ne verra pointer que l’Atalanta et Sassuolo. Mais étonnamment, aucun trace de la Juventus dans les trois premières places. Le club a vraiment perdu sa puissance mais retrouve quelques couleurs ces dernières années en étant plutôt bon sur la scène européenne. En Coppa Italia, c’est à peu près pareil, seul Bologna et Brescia ont réussi à se glisser en finale.

Du côté de Procida, en Serie A, après le risque de descente en 2033 lors de la première saison dans l’élite, le club est resté stable et s’est imposé comme un club solide du ventre mou. Le club a surtout surpris son monde en 2040, 2043 et 2046 en finissant 8ème. Cela a permis au club de participer à la Conference League où ils n’ont pas été ridicules en atteignant deux fois les demi-finales en 2041 (défaite contre Valencia) et en 2044 (défaite contre Boavista). Du côté de la Coppa Italia, on se souvient qu’Ambrosino avait atteint les Quarts en 2031 avant de perdre contre la Roma. Mais le club a à nouveau réitéré la performance en 2036 mais s’est finalement incliné contre la Lazio. Mais la meilleure saison a été celle de 2038/2039 où ils ont atteint la demi-finale où ils se sont inclinés face à l’Atalanta.

Depuis le départ de Massimiliano Ambrosino, le club a du mal à conserver ses entraîneurs sur la longueur. Il ne reste que deux ans dans le meilleur des cas, une seule saison le reste du temps. Le club a vu passé deux grands noms : Xavi et Steven Gerrard mais si le premier est parti de lui-même, l’autre a été licencié, comme tous les autres entraîneurs par la suite.

Si on retrouve l’entraîneur Massimiliano Ambrosino comme légende au Panthéon du club, on y retrouve aussi le trio offensif magique des plus belles années de Procida : Russom Keflezighi, Hamad Tesfaye et Luca Quirino. On retrouve aussi Andrea Bonarrigo, un jeune ailier gauche arrivé qu’en 2043 au club mais qui réalise de très bonnes bonnes performances. Dans les records, on se rappelle de belles choses. Evidemment, l’attaquant Giacomo Cobianchi, resté toutes ces années au club est devenu le meilleur buteur du club devant des anciennes stars comme Giovanni Cozzolino (qui garde le record du plus grand nombre de buts marqués en un match), Diego Gambale (qui garde le record de plus grand nombre de buts inscrits sur une saison) ou Hamad Tesfaye. Russom Keflezighi est le clubman le plus impressionnant avec 471 apparitions en championnat. Luca Quirino garde encore deux records : la meilleure note moyenne du club et le plus grand nombre de passes décisives en une saison.

On peut aussi évoquer le nom des meilleurs buteurs et en dehors des trois cités plus haut, on se rappelle la première saison exceptionnelle de Danson Michael et la première saison difficile en Serie A où Dario Mannella avait fini meilleur buteur qu’avec 9 pions. C’était juste avant que Giacomo Cobianchi explose et juste après le départ à la retraite de Diego Gambale. Pour les meilleurs passeurs, la grande vedette a été bien sûr Luca Quirino avant de laisser la place, au fur et à mesure qu’on montait de divisions à ses copains, Russom Keflezighi et Hamad Tesfaye. On trouve quand même au milieu, Biagio Cibelli, l’ancienne star du club et Dario Mannella qui en plus de ses 9 buts lors de la saison 2032/2033, a aussi délivré 7 passes décisives. En ce qui concerna la meilleure note moyenne, c’est bien sûr Danson Michael qui a ouvert le bal avant de laisser sa place à Luca Quirino. biagio Cibelli le remporte aussi l’année où il a pété le compteur de passes décisives, de même que Dario Mannella qui s’est illustré au milieu de la saison difficile où on a découvert la Serie A. Il reste enfin, le titre de joueur de l’année des supporters. La logique est la même que précédemment : Danson Michael, Luca Quirino, Biagio Cibelli. Russom Keflezighiet Hamad Tesfaye l’ont aussi décroché par deux fois. Et pour le Onze de légende du club, on retrouve encore quelques têtes connues malgré les années : le gardien Robin Jego, les défenseurs Matias Carboni, Matteo Bianco et Gianmarco Di Biasi ; les milieux Russom Keflezighi, Hamad Tesfaye et Luca Quirino ; et en attaque, Diego Gambale. Sur le banc des remplaçants, on retrouve aussi les milieux centraux Federico Tote et Gaetano Marchetti et l’attaquant Gaicomo Cobianchi.

Petite dédicace à @Wasyl, dans nos anciens diables, seuls deux ont continué dans le football : Vincent Kompany, avec beaucoup de succès et Thomas Vermaelen qui entraîne les U20 belges.


:world: Dans le monde
Cliquez sur les mots en jaunes pour avoir plus d’informations

Le point principal, c’est bien sûr de connaître le palmarès de la Coupe du Monde ! En 2026, c’était assez classique avec une victoire de l’Angleterre et comme dauphins, le Portugal et l’Italie. En 2030, c’est la victoire de l’Argentine et l’Espagne qui finit deuxième. Mais surtout, les USA de Mahmud Keflezighi qui arrive à la troisième place. En 2034, première surprise avec la victoire de la Colombie, l’Espagne encore deuxième et le Danemark qui se hisse sur le podium. En 2038, toujours surprenant : la victoire du Mexique et toujours l’Espagne deuxième. En 2042, l’Espagne réussit enfin à reconquérir la Coupe en gagnant contre la Colombie, vengeance de 8 ans auparavant.

En Nation League, les gagnants sont restés les habituels : France, Espagne, Angleterre, Italie, Espagne, Portugal mais en 2046, la Belgique a réussi à remporter la compétition. Du côté des dauphins, on a eu quelques surprises : l’Autriche a eu une bonne équipe et finit deuxième en 2028 et troisième en 2032. La Suisse finira aussi deuxième en 2040, comme la Turquie en 2046. A l’Euro, la Belgique est aussi bien présente en remportant les éditions 2024 et 2032 (à domicile !). Entre les deux, c’est la France qui a obtenu le trophée. Ensuite, en 2036, il est allé à l’Allemagne, puis à la France, à nouveau en 2040 et l’Italie en 2044. Cette année-là, petite surprise, la Suède a réussit à finir finaliste de l’édition.

Sur les autres continents : en Copa America, l’Argentine est la meilleure en remportant trois éditions et le Chili a été la surprise en 2032. Autre particularité, les éditions 2036 et 2040 qui ont été remportées par les nations invitées ! Les USA de Mahmud pour la première et le Mexique pour la seconde. D’ailleurs, en Gold Cup, si les USA ont remporte deux éditions, c’est le Mexique qui est resté la nation majeure dans le Nord du continent américain. Petite surprise, en 2041, la Jamaïque a réussi à décrocher le titre. En Afrique, pour la CAN, que des grosses nations à la victoire finale : Maroc, Nigéria, Côte d’Ivoir, Sénégal, Afrique du Sud et le Mali. Et en Coupe d’Océanie, sans surprise, c’est une victoire totale de la Nouvelle-Zélande.

Si le Bhoutan de @Wasyl n’a pas vraiment brillé et pointe à la 203ème place mondiale, on va s’attarder un peu sur les performances de l’Érythrée. La sélection était interdite de toutes compétitions et le projet établi par Mohamed Saeid de créer une équipe nationale composés de joueurs émigrés a plutôt bien fonctionné. Malgré tout, si la FIFA a autorisé l’équipe à participer à la Coupe du Monde, elle n’a jamais pu participer à la CAN. Au classement mondial, l’évolution a été permanente : si en 2023 elle était 189ème, elle finit 23 ans plus tard à la 48ème position ! Après la première participation à la Coupe du Monde, en 2034, elle était 81ème et après la fameuse édition de 2038, 53ème ! Si elle a pu se rendre au tournoi en 2042, l’équipe nationale n’a pas passé la phase de groupes et a fini dernière après s’être fait battre à nouveau par les USA de Mahmud et l’Ecosse mais a réussi à décrocher un joli match nul contre le Chili. En 2046, elle a fini deuxième de son groupe qualificatif, derrière le Cameroun (à la différence de buts) et n’a pas réussi à l’emporter aux playoffs des meilleurs deuxièmes, la Guinée remportant le dernier ticket après une défaite contre le Mali.

Si on a déjà vu dans le post précédent, les joueurs notables de la sélection, revenons sur la fiche des records. Russom Keflezighi reste le joueur érythréen le plus cher de tous les temps suite à son transfert pour 50 millions d’euros au Real Madrid. Ali Suleiman, le buteur de légende est toujours le meilleur buteur de tous les temps avec 75 buts même si on successeur, Ahmed Michael n’en est pas loin avec 71 buts et encore la possibilité de dépasser ce score dans l’avenir (il n’a que 31 ans). On retrouve aussi quelques autres têtes connues. Billy Ghirmay Russom est le plus jeune joueur sélectionné (15 ans et 169 jours) et Robel Teklemichael le plus âgé (37 ans et 259 jours). Robel est aussi le recordman de sélections : 114. Hamad Tesfaye est celui qui a marqué le plus de buts en un match (5), Russom Keflezighi celui qui a fait le plus de passes décisives en un an (9), Ayman Hamde celui qui a eu le plus de clean sheet (7), Jemal Kassa celui qui eu la meilleure note moyenne (8.60) et Ahmed Michael le plus grand nombre de titres de joueurs du match (3). Et enfin, le buteur le plus jeune a été Abel Keflezighi a 15 ans et 360 jours, le plus âgé Nahom Tesfom a 36 ans et 150 jours et le but le plus rapide est signé Alexander Andue, après seulement 34 secondes.

Le dernier point à aborder, c’est le Onze de légende de l’Érythrée. Au gardien, Ayman Hamde s’est imposé devant Kibrom Solomon, l’ancien. Pareil en attaque où Ahmed Michael est choisi alors qu’Ali Suleiman est sur le banc. En défense, étonnamment, Robel Teklemichael est aussi sur le banc avec Nahom Awet au profit d’Abdillahi Teklemichael à droite et Abiel Sequar et Mohamed Abraham (le défenseur-buteur) au centre. Au milieu, aussi quelques surprises : si on est content d’y retrouver Alexander Andue et Jemal Kassa ou même Abel Keflezighi, comment Hamad Tesfaye se retrouve sur le banc ? Pareil pour Mesud Daniel qui a été si important dans nos victoires. Heureusement, Russom Keflezighi et Nahom Tesfom sont bien dans le onze de départ. On retrouve aussi, sur le banc, Danson Michael qui n’a pas forcément brillé longtemps avec nous mais qui a été si important lors des débuts de la sélection.

Conclusion

Quelle aventure ! Depuis mon arrivée sur le forum, je tente toujours d’expérimenter différentes sortes de challenges. Si ma première story en Allemagne était plutôt classique, j’ai vite tenté l’originalité avec un voyage dans le temps pour faire gagner la Belgique. Je me suis aussi essayé à la story touristique en explorant ce pays qui me fait rêver, le Danemark. Ensuite, ça a été le succès avec une story communautaire dans le club de mon enfance. Et maintenant, la story built a nation où j’ai pris le parti que les érythréens fuyant leur pays (le plus fermé au monde) atterrissent dans leur ancienne colonie, l’Italie. En souvenir d’un maire italien ayant accueilli des réfugiés pour dynamiser sa commune, j’ai cherché une chouette île où il pourrait y avoir la même chose et ça a été Procida.

Du côté de Procida, tout s’est passé plus ou moins logiquement, on a gravi les étapes, en moyenne, en deux ans hormis la Serie D qui a été compliquée et a pris trois ans pour la passer. En Serie A, on a vraiment eu peur la première année mais on s’est ensuite installé dans le ventre mou et je ne pense pas que j’aurai pu rapidement faire mieux quand je vois qu’après mon départ, le jeu a fait plus ou moins la même chose.

Au niveau du centre de formation, ça n’a pas été totalement une réussite. Si au fur et à mesure, j’ai fourni assez de joueurs à l’équipe nationale, il n’y a pas vraiment eu de joueurs érythréens dans l’équipe première de Procida. Seuls Russom Keflezighi et Hamad Tesfaye ont réussi. Mais le premier était créé par mes soins et je savais qu’il serait une vedette (potentiel -10 lors de la création). Par contre, j’ai été surpris par le deuxième car il a été créé par le jeu lors de la première saison (j’ai dû rempli les équipes vides pour avoir assez de joueurs en Érythrée afin d’avoir accès à l’équipe nationale). Sinon, les deux vrais bons joueurs sortis de là étaient Ahmed Michael mais il n’avait pas le niveau suffisant pour la Serie A et Billy Ghirmay Russom mais, malgré son bon potentiel, il n’a pas brillé dans la partie et joue à présent à Ancona qui fait l’ascenseur entre la Serie A et la Serie B. Mais c’est dommage, alors que les infrastructures étaient proches du maximum, qu’on ait pas eu une grosse vedette qui est sortie de là.

Avec l’Érythrée, ça a été étonnant. Je reste convaincu que le classement si bas était dû aux problèmes dans le pays car il y a quand même des joueurs plutôt potables dans cette nation. Les anciens comme Saeid, Kassa, Andue, Sequiar, Teklemichael, Suleiman, etc. C’était quand même de gros morceaux et m’ont permis de vite gagner mes premiers matchs contre ceux qui avaient le même niveau. Et très vite, on est devenu imbattables par les équipes en-dessous de la 100ème place. Notre classement a mis du temps à évoluer car on était pas à la CAN et ça a parfois été un peu long de ne pas pouvoir jouer cette compétition. On se rappelle aussi qu’en Afrique, il y a la CHAN et c’est vraiment une plaie. La première fois, j’ai même pas réussi à changer l’équipe. Mais au final, avec deux participations à la Coupe du Monde et avec de belles surprises, y a de quoi être ravi ! Et je suis ravi de voir qu’après mon départ, ils ont à nouveau participé au tournoi en 2042 et en 2046, ils sont vraiment passés pas loin d’y aller.

Si en général, je sais que j’ai parfois du mal à faire plus de dix saisons, celle-ci, j’avais pas envie de m’arrêter. Mais j’ai eu des doutes, à un moment, j’avais l’impression que je mettais beaucoup d’énergie dans une story qui n’intéressait pas vraiment et j’ai un moment pensé à arrêter. Mais évidemment, vos derniers messages m’ont fait comprendre que ce n’était pas le cas. Mais le jeu a décidé de me la mettre à l’envers ! Le rachat de Procida par un homme d’affaire chinois cassait totalement avec ma story où le club avait gardé un ancrage local. Mais j’étais prêt à continuer avec l’équipe nationale mais les retraites farfelues ont tout tué. Déjà le départ d’Ali Suleiman, Robel Teklemichael ou Hamad Tesfaye avant une Coupe du Monde, je trouvais ça moyennement réalise et c’était surtout impossible à changer avec l’éditeur, mais le départ de Russom Keflezighi, héros de l’histoire, à 29 ans, m’a convaincu que ça devait être la fin.

Je me demande combien de personne auront tout lu jusqu’ici ! Merci si c’est le cas, j’ai vraiment écrit tout ça pour partager avec vous tout ce que j’ai vécu. Merci à tous les fidèles qui ont suivi depuis le début, ceux qui nous ont rejoint, même sur le retard et merci à tous ceux qui m’ont lu, même de manière silencieuse. C’est officiellement la fin.

Pour la suite, j’ai très envie de revenir à une story communautaire dont j’aime le principe et l’interaction. J’ai déjà une petite idée derrière la tête. Mais peut-être que je trouverai autre chose d’ici là ? Dans tous les cas, je vais me reposer un peu (même si je sais que ça ne dure jamais très longtemps, c’est dingue à quel point c’est dur de joueur à FM sans faire de story).


8 « J'aime »