:storyblue: :s14: :spain: :villarreal: The Last Ride of Riquelme

[center][img_size, width=400]http://image.noelshack.com/fichiers/2015/25/1434547870-01-provoque-le-destin3.png[/img_size]

[justify]Nous y voila donc, la Coupe du Monde 2026 au Etats-Unis. Longtemps l’Argentine avait rêvé la remportée. Ce reve s’est accompli en 2018 lorsque la génération Messi-Aguero apporté à l’albiceleste sa troisième étoile. 4 ans plus tard au Qatar pour sa dernière compétition majeure Leo Messi butait en finale sur la nouvelle Roja. Cette année emmené depuis 3 ans désormais par Juan-Roman Riquelme s’en va dans l’objectif d’obtenir sa quatrième étoile. Cette génération n’as pas de prodige mondiale Ocampos brille mais n’égale pas les Messi, Ronaldo, Hazard ou Myhre. Le plus grand talent de cette sélection est l’ailier droit Gonzalo, le cadet des Riquelme agé d’a peine 18 ans. Promis au firmament du football mondial il est couvé par son père et par Fabregas à Villarreal.

Juan Roman a lutté pour faire sa sélection pour ce mondial ou il est notamment privé de Giovanni Simeone et de Erik Lamela ou encore de Luciano Vietto.

Il a donc choisi les 23 hommes suivants.[/justify]

Jeronimo Rulli - Ignacio Basualdo - Axel Werner

Hugo Gutierrez - Osvaldo Rickemberg - Paul Arduino - Nahuel Riquelme - Emmanuel Mammana - Facundo Pardo - Jonathan Silva - Alfredo Navarro

Alejandro Buzzini - Martin Sassone - Lucas Romero - Gaston Gil Romero - Walter Plaza - Fabian Caser - Ariel Caballero

Gonzalo Riquelme - Lucas Ocampos - Angel Correa - Federico Vietto - Barrios Alfonso

[justify]Afin de préparer ce Mondial qui verra l’albiceleste défier l’Australie, le Cameroun et la Suède, Juan Roman a choisi de disputer trois matchs amicaux. L’Argentine ira d’abord défier la Serbie de Luka Jovic avant de s’étalonner contre la Corée du Sud pour finir par s’acclimater au climat américain contre les U.S.A.

Pour le premier de ses trois matchs Riquelme a fait une revue d’effectif avec une Equipe pour chaque mi-temps. En manque de forme par rapport a son adversaire l’albiceleste a rapidement encaissé un premier but de Vasic. Si en début de seconde période Guillermo Barrios Alfonso a fêté sa première cape avec un joli but, Basualdo a permis aux serbes de s’imposer en laissant Djuricic inscrire le but de la victoire.

Pour le second match on a choisi d’aligner la meilleure équipe possible contre les coréens. On ne les as pas vu du match, Angel Correa a vite ouvert le score avant que Federico Vietto ne double la mise avant la pause. En seconde période Lucas Ocampos a montré qu’il était en grande forme en inscrivant un triplé. Gonzalo Riquelme s’est fait remarqué en inscrivant lui aussi un joli but et en délivrant 3 passes décisives.

Enfin pour notre premier match aux USA, on défier les patriotes US. Ocampos sur son nuage y allais de son triplé tandis que Federico Vietto inscrivait un nouveau but.

A l’issue de cette préparation une composition se dégage :

[tac4231]Rulli, Riquelme Jr, Navarro, Mammana, Silva, Lucas Romero, Buzzini, Riquelme Jr, Angel Correa, Lucas Ocampos, Federico Vietto[/tac4231]

Pour commencer ce mondial on affronté donc les kangourous Australiens. Petit poucet du mondial, leurs seul joueur connu en Europe est le gardien de Derby County Simon Evans. Pour autant leur équipe est homogène et a remporté la dernière Coupe d’Asie contre le Japon. Le match fut lent a démarrer, c’est finalement sur une accélération de Lucas Ocampos que l’on ouvrait le score. Le monégasque dribblé deux joueurs avant de venir ajuster Evans du droit. 10 minutes plus tard Ryan Williams permis aux Socceroos de revenir dans le match sur leur premier tir. Peu avant la mi-temps Lucas Ocampos nous remettais sur le devant de la scène en lobant astucieusement Evans trop avancé. Mais les australiens revinrent revigorès a la pause et Burgess permis aux siens de recoller une nouvelle fois. Les occasions en notre faveur se succédèrent mais il fallu attendre le dernier quart d’heure pour voir Federico Vietto nous donner définitivement la victoire sur un centre de Riquelme. On commençais ainsi idéalement avec une victoire durement acquise contre une vaillante équipe australienne.[/justify]

La Cameroun nous attendais ensuite sur notre route vers les huitième. Les camerounais n’avais pas le droit a l’erreur après leur défaite initial contre les suédois. Emmené par Embolo et Olinga cette génération camerounaise a de l’avenir mais sa très jeune défense semble trop inexpérimenté pour mener loin les lions indomptables. Les lions ont d’ailleurs finis dompté par les Argentins surmotivé. En 4 minutes Angel Correa puis Lucas Ocampos allait faire craquer la défense africaine. Elle ne s’en remettra pas et encaissera deux nouveaux buts, un tir en finesse d’Angel Correa juste après la pause et un missile d’Ocampos à l’heure de jeu. A l’issue de ce match le Cameroun est eliminé et l’Argentine verra les huitièmes. Dans l’autre match l’Australie a fait tomber la suede.

Enfin on finissait la phase de poule contre les suédois. On aura vite fait la différence contre les scandinaves entrainé par la légende Zlatan Ibrahimovic. Angel Correa ouvrait les hostilités d’un plat du pied après seulement 13minutes de jeu. Avant la pause Mammana sur corner puis Gonzalo Riquelme allait donner de l’ampleur au score. Si Rulli concédait un but sur un corner suédois Ocampos ajouta dans la foulée son cinquième but du Mondial. En huitième de finale on retrouva la France d’Anthony Mounier.

Emmené par une génération dorée composée de Zouma, Varane, Umtiti, Lemina, Kondogbia, Martial ou encore Facon, Jean , Laporte mais avec un Pogba affaibli, les français sont toujours a la recherche de trophées avec cette génération brillante. Malheureusement Areola craqua deux fois juste avant la pause sur deux accélérations de Riquelme qui catapulta deux missiles dans les buts du gardien du PSG. En seconde période les français démobilisé et privé de Varane et Kondogbia sur blessure encaissèrent un dernier but du cadet des Riquelme. Les Argentins verront donc les quarts ou ils retrouveront la Hollande de Memphis Depay.

On retrouvais donc les Pays Bas avec quelques connaissances de Riquelme. En effet le coach argentin a déjà eu sous ses ordres Memphis Depay et Trindade de Vilhena, on l’as d’ailleurs vu discuter longuement avec eux avant le match. Cette fois c’est Gonzalo Riquelme qui a mis l’albiceleste sur la voie en ouvrant le score d’un maître coup franc qui nous replonge 20 ans en arrière lorsque son père écumait les terrains de football. En seconde période Correa, Ocampos et Riquelme allais envoyé les argentins en demi finale du Mondial américains avec des buts tous plus beau les uns que les autres. Mais la fin fut stressante lorsque Jonathan Silva dégoupilla et provoqua un penalty sur Depay que Ovono allais transformé plein de sang froid. Presque dans la foulée Lugens rappelais aux argentins de rester concentré jusqu’au bout. l’Albiceleste de Riquelme a tremblé mais verra quand même le dernier carré ou la Turquie l’attend.

En demi finale on retrouvais la compact équipe turc et le 5-3-2 rigide de son sélectionneur. Dans ce match cadenassé mais globalement maîtrisé il fallu attendre un éclair de génie de Riquelme pour mettre sur orbite Lucas Ocampos pour l’ouverture du score. Peu avant la pause le monégasque scellait déjà la victoire argentine en transformant un penalty obtenu par Vietto. Les Turcs inoffensifs ne bousculeront jamais la défense argentine. Et en finale ce sera donc le Mexique emmené par Carlos Fierro qui attend les hommes de Riquelme.

[justify]Lors d’une chaude après midi à Los Angeles c’est donc l’Argentine du jeune Gonzalo Riquelme qui allais triomphé du Mondial américain dans un match épique qui restera dans les annales du Mondiale.
C’est le capitaine du LOSC Lille Métropole Agustin Ruiz qui a lancé cette finale après neuf minutes ou lancé dans la profondeur il allait crucifié Rulli. Quelques minutes plus tard les Argentins allait réagir par l’intermédiaire d’Angel Correa.

Peu avant la mi-temps c’est Miguel Lozano qui allait redonner l’avantage aux mexicains inaltérable offensivement depuis le début de ce mondial. La seconde période voyait l’Argentine se remettre pour revenir dans le match mais la défense mexicaine tenait bon. C’est finalement sur une frappe désespérée que Lucas Ocampos permettait au peuple argentin d’y croire a nouveau a 5 minutes de la fin du match.

Emmené en prolongation cette finale prenait une tournure inattendue lorsque l’arbitre décida d’expulsé Jonathan Silva pour une charge inopportune. Riquelme remania sa défense en passant a trois derrière avec Mammana en axe gauche Navarro en libéraux et Nahuel Riquelme en axe droit. A peine 5 minutes plus tard c’est le milieu mexicain Ocampo qui rejoignais les vestiaires pour un tacle trop énergique. Mais la cartonite aigu de l’arbitre ne s’arrêta pas et il expulsa ensuite Lucas Romero.

A 9 contre 10, Riquelme choisit de continuer a attaquer fidèle a sa réputation construite au fil de ses années en Espagne à Villarreal
Malgré cette évidente envie cela ne suffira pas et les deux équipes allait jouer ce mondial au tirs au but pour la seconde fois après 2006. Les tireurs particulièrement enjoué réussirent chacun leur tentative. Seul Ocampos rata côté argentin pour sa seconde tentative. Alors que le Mexique était a un tir au but du titre le portier mexicain rata sa tentative… Les tireurs se succéderent de nouveau. Trulli transforma sa seconde tentative devenant le premier gardien de l’histoire a inscrire deux tirs au buts en finale de Coupe du Monde. Dans la foulée le défenseur mexicain Luis Alfonso Alvarez ratais sa tentative et offrais le titre aux argentins. Riquelme finit donc sa carrière sur une victoire en Coupe du Monde, ultime étape d’une carrière longue de 12 ans.[/justify]


Récompenses :

Gonzalo Riquelme : Meilleur Jeune du Mondial, Meilleur Joueur du Mondial, 3eme meilleur buteur (7 buts), 2eme Meilleur passeur (6 passes), Membre de l’équipe du Tournoi.

Lucas Ocampos : Second Meilleur buteur du Mondial (9 buts)

Oswaldo Rickembreg, Emmanuel Mammana, Nahuel Riquelme, Angel Correa : Membres de l’equipe du Tournoi
Lucas Romero, Lucas Ocampos et Jeronimo Rulli : Remplaçant dans l’équipe du Tournoi[/center]

Que de bons souvenirs sur cette story! Une des plus aboutis que j’ai pu lire :wink:

Ouais une tuerie :slight_smile:

:es: Coming Soon

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Jeu de chaises musicales sur les bancs.


Tout commence un matin de Juillet 2026, Juan Roman Riquelme viens de remporter la Coupe du Monde comme coach de l’Albiceleste. 12 ans après ses débuts comme entraineur joueur a Villarreal l’entraineur argentin est au top de sa carrière, il a réussi ce que personne avant lui n’avais réussi être aussi bon en club qu’en sélection.

Après une conférence de presse aux allures d’adieux au monde du foot. Les rumeurs les plus folles courèrent sur sa succession. Pendant Longtemps Gabriele Batistuta était le favori des Hinchas. Mais c’est finalement Tata Martino sélectionneur de l’Espagne qui allais une nouvelle fois succéder à Riquelme (Il lui avais déjà succéder à la tête de l’Espagne. C’est alors que le prometteur Cesc Fabregas fut choisi pour prendre la tête de la Roja, avec comme objectif l’Euro 2028. Avec Villarreal, l’ex adjoint de Juan Roman a notamment gagné en deux ans deux Liga, 1 Coupe du Roi, deux Supercoupe et une Ligue des Champions.

Villlarreal entama donc la saison sans coach fixe, Ikechukwe Uche légendaire buteur du sous-marin en intérimaire. Plusieurs coaches refusèrent le poste par peur de ne pas réussir après plus d’une décennie de succès du club valencien. José Mourinho, Pep Guardiola et Laurent Blanc refusèrent le poste les uns après les autres. Le début de saison fut dur pour les Amarillos 16ème après 4 journées en l’absence de leur prolifique buteur Kristian Myhre blessé.

On apprit finalement le 14 Octobre que le futur coach avait signé un contrat de deux ans. Les hinchas de Villarreal s’enflammèrent lorsque surprise elles apprirent que leur légendaire coach Juan Roman Riquelme avais accepté de revenir dans son club deux ans après son retrait. Riquelme reviens donc avec l’ambition de maintenir Villarreal au sommet et surprends son monde avec ce retour inespéré.

Riquelme a passé un peu plus de dix ans à Villarreal comme entraineur. Le club a franchi un cap durant cette période et s’est installé comme un club important remportant six Champion’s League, une Europa League, six Supercoupe d’Europe, 7 Liga, 7 Coupe du Roi et 7 Supercoupe d’Espagne ainsi qu’un mondial des clubs. Avec une cellule de recrutement digne de Luis Campos il a fait émergé des talents par dizaine. Nombre de records ont été battu par le Villarreal de Riquelme.

Riquelme ne sera toutefois pas dépaysé en regardant son effectif. Le portier argentin Segovia est toujours la de même que sa défense composé de Olivares, Angel (devenu titulaire sous Fabregas) ainsi que ses deux fils Maximiliano et Nahuel. Au milieu le jeune Torrents s’est imposé comme la meilleure sentinelle. Devant lui Riquelme retrouveras Pajares et le jeune Vicente Sancho devenu titulaire. Le trio d’attaque est composé de Miquel du troisième fils Gonzalo tout jeune champion du monde et de l’inarrétable Kristian Myhre. Le banc semble par contre très limité avec de très jeune élements toutefois des jeunes révélés ici par Riquelme aurais annoncé leurs envies de collaborrer a nouveau avec le phénomène argentin.

Le retour sur les bancs espagnols est prévu pour le match contre l’Espanyol Barcelone au l’Estadio Juan Roman Riquelme qui affiche d’ores et déjà complet avec 108 000 places vendus.
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C’est donc le 18 Octobre que Juan-Roman Riquelme fit officiellement son retour dans le stade portant son nom. La Liga avait mis les petits plats dans les grands planifiant le match en mondovision. Pour cette évenement le stade Juan Roman Riquelme affichais donc complet avec plus de 108 000 billets vendus pour la première fois depuis le départ de son entraineur.

Pour ce retour c’etait donc Malaga, équipe du ventre mou de Liga qui se présenter dans l’antre du sous marin jaune. Son entraineur Juan-Carlos Mandia avait tenté toute la semaine de faire passer cet évenement pour un non evenement. Mais c’est compliqué d’occulter le retour de l’entraineur aux six Champion’s League.

Pour son retour et avec seulement trois jours de travail avec son groupe, Riquelme avais choisit une équipe relativement habituel pour les fans du sous marin. Même si Fabregas était plus adepte du 532 lors de son mandat.

Riquelme a donc choisit de remettre Rafael Segovia dans les cages, lui qui avait démarré la saison sur le banc. En défense on retrouve donc Angel à gauche. une défense centrale composé de la mythique paire Olivares - Riquelme. Sur le côté droit c’est le cadet des Riquelme qui officie donc.

Sergi Torrents est positionné devant la défense avec Vicente Sancho devant lui. Miquel occupe toujours le côté droit et Gonzalo Riquelme tout frais champion du monde le gauche. Domingo évolue toujours en soutien du légendaire Kristian Myhre.

Après un échauffement qui a vu Juan-Roman rester dans le vestiaire de l’antre des Amarillos, le coach argentin sorti finalement du tunnel sous une ovation a peine croyable. Le tifo etait magnifique couvrant le stade d’un voile jaune moutarde avec écrit en bleu Royal “Son Todos Riquelme”. Les deux équipes avait reservé une haie d’honneur pour le légendaire coach. L’hymne argentin puis l’hymne espagnol retentirent et le président de la Liga vint remettre le trophée d’entraineur de l’année que Riquelme n’étais pas venue chercher lors de sa dernière saison.

Dans une ferveur incroyable le match débuta. Pas le temps de niaiser ou de verser dans le mélo qu’après seulement trois minutes Nahuel Riquelme lançais Miquel sur son flanc droit, ce dernier élimina son vis à vis pour servir Myhre sur un plateau. Le buteur norvégien ne se fit pas prier pour ouvrir le score. Il se rendit instinctivement vers le banc comme pour tomber dans les bras de son coach.

En ce début de match Villarreal poussais fort et Malaga tentais de repousser les assauts de son hôte mais la défense andalouse craqua à nouveau au quart d’heure de jeu quand Domingo remonta le terrain pour décocher un missile plein axe. Malaga ne vit pas le jour que Myhre ajoutais un troisième but. Miquel confirma ce score juste avant la pause en transformant un coup franc.

La seconde période fut plus relax et Domingo puis Myhre ajouta deux nouveaux buts comme pour annoncer que le sous marin etait de nouveau passé en mode nucléaire. Si la prudence restais de mise le retour de Riquelme s’annonçais flamboyant…

Estadio Juan-Roman Riquelme 18 Octobre 2026 Liga BBVA - 7ème Journée
6 Buts 0
Villarreal CF 65% Possession 35% Malaga FC
Myhre (3, 24, 76)
Domingo (17, 79)
Miquel (41)
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@david90 oups :hoho:

3648 heures? Ouf, avec mes 600 heures je suis sauf. RIP, je sais ce que c’est de retomber dans un ancien Fm (après j’ai perdu mes saves du 17 donc)

Je sauvegarde toujours précieusment les saves liés a mes récits :hoho:

Bon Chilavert pas sur que je l’ai encore en revanche :sac:

Ben moi j’avais confié mon PC a un inforamaticien pour qu’il nettoie mon disque C et a son retour genre 2 mois plus tard je veux revenir sur une save avec un 192 de regen et la… Mes saves ont disparues!

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:hoho:

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quelle story magique

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Ai-je bien lu? Groot en train de répondre? Tu vas quand meme pas… Reprendre cette story? Si?

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tu as surement mal vu :shocked:

Je decelle une certaine ironie, Groot…

Cette story est magique !
C’était un bonheur de lire cela !
Tu as une belle palanquée de regens et de futurs ballons d’Or (notamment Gonzalo Riquelme qui sera la relève de Myhre)

Tu as tout gagné !
Félicitations :wink:

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Return
OctobreRiquelme

Après ces retrouvailles contre Malaga Juan Roman retrouvais le banc de Villarreal en Champion’s League. Le club espagnol vainqueur du trophée à cinq reprises est de nouveau en campagne. Leader de son groupe, il se rends à Istanbul pour défier Galatasaray… Akhan ouvrit le score surprenant les joueurs de Riquelme. Mais l’armada Amarilla déroula ensuite. C’est l’ailier Miquel arrivé très jeune de Barcelone qui égalisa. Le plus jeune fils de Juan-Roman se chargea du reste. Gonzalo inscrivit son premier but sur coup franc direct avant de passer en revue la défense stambouliote. L’ailier argentin termina le travail de la tête en fin de match s’offrant un joli triplé. En toute fin de match Aleix Olivares inscrivit un nouveau but sur corner.

Le match suivant fut simple avec un déplacement à Anoeta qui fut un temps un bastion imprenable. Coach Riquelme fut survolté tout le match sur son banc comme si ce n’était que sa première année comme entraineur. Le match débuta idéalement Sasueta donnant un penalty et l’ouverture du score à l’inarrétable Kristian Myhre. Gonzalo Riquelme trouva la faille juste avant la pause pour doubler la mise et mettre Villarreal à l’abri. En seconde période le sous-marin jaune se transforma en véritable rouleau compresseur. Miquel puis Serrano allais alourdir la note. Myhre intenable s’offrit pour la postérité un doublé puis un triplé sur des occasions franches créées par Domingo.

Contre Eibar, Riquelme fit tourner mais cela n’empêcha pas le sous-marin de planter un 3-0 net. Serrano qui a récemment perdu sa place au profit de Gonzalo trompa Aréola avant que Myhre n’ajuste le portier français. En toute fin de match, l’international espagnol Maximiliano Riquelme clôtura les débats en perforant la défense sur un coup franc idéalement placé.

Pour le dernier match de ce mois du retour, Riquelme voyais son Villarreal allais défier le grand Real Madrid. Les merengues leader de la Liga Santander sont arrivés la peur au ventre à l’Estadio Juan Roman Riquelme. La casa blanca sait le potentiel de cette équipe qui plus est sous les ordres de son magicien. L’intermède de Fabregas fut glorieux mais le sous-marin semblait moins puissant que sous l’ère Riquelme.

L’entrée sur la pelouse donna le ton. Un stade plein, bouillant avec plus de 108 000 spectateurs. Un tifo monumental reprenant le maillot Amarillo avec comme Flocage « Mata Lo » (Tue le en espagnol) flanqué du numéro 10. Et le moins que l’on puisse dire c’est que les hommes de Riquelme ont bien saisi le message de leur coach et du public. Il ne fallut que 4 minutes pour voir Gonzalo Riquelme délivrer un caviar à Kristian Myhre. Les hostilités furent lancées. A la demi-heure de jeu le jeune Vicente Sancho délivra le stade en doublant la mise sur une remise de Domingo. A partir de là Villarreal ne s’arrêta plus. Domingo d’abord signa le but du 3-0 avant que Miquel ne signe le quatrième juste avant la pause.

A peine le temps de souffler que les merengues se retrouvais déjà en apnée. En trois minutes l’attaque de feu ajusta ses torpilles. Par Riquelme d’abord à la 52ème. Puis par Kristian Myhre à la 53ème. Le buteur norvégien claqua finalement un triplé à la 54ème disposant d’un Real KO debout. Le match se calma quelque peu le temps pour Santiago de sauver l’honneur d’un Real balbutiant. Puis Villarreal replaça un coup d’accélérateur. Gonzalo Riquelme par deux fois ajouta de l’ampleur et de la magie. Maximiliano Riquelme autre fils du coach inscrivit le dernier but de son équipe en toute fin de match.

Sonné et abasourdi par la débâcle et les 10 buts encaissés. Victor Peña capitaine de la Casa Blanca annonça ne plus vouloir porter le brassard symbole de cette défaite humiliante. L’entraineur le français Rudi Garcia posa sa démission dans la soirée malgré la volonté du président Sergio Ramos de le retenir. Le Real Madrid jusque-là leader du championnat venais de se faire humilier.
Au classement Villarreal remonte à la seconde place derrière le Real Madrid. Myhre est déjà loin au classement des buteurs suivis par Gonzalo Riquelme.

Octobre
OctobreB
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Il l’a pas fait! C’est pas possible! Je lis

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Au passage Groot, si tu as tes PSD je les voudrais bien en inspiration pour ma story. Sinon super retour, la gifle a Madrid impressionant

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tout dépends quel psd t’intéresse :hoho:

Je vais essayer de maintenir les stories de front mais ça en fait 3-4 soyez pas trop exigeant sur les délais :sac: