:storygreen: :s20: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Félicitations pour ce dernier titre qui parachÚve une saison exceptionnelle en Colombie ! :clap:

Maintenant, il va falloir trouver un moyen de se barrer en emmenant Anaya tout en Ă©vitant les Ă©ventuelles repraisailles, sachant qu’Anibal ne peut toujours pas Ă©voluer en Europe


Donc, le continent amĂ©ricain, c’est mort, l’Europe aussi 
 Il reste l’Asie pour devenir l’un des rares a gagner un trophĂ©e continental sur trois continents diffĂ©rents.

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Et l’Afrique? Et l’OcĂ©anie? :sac:

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Il me semble que ces fĂ©dĂ©rations s’étaient alignĂ©es sur la dĂ©cision de l’UEFA, donc pas possible

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Eh bien, le salaud ! Il est venu, il a tout raflé et il repart tout tranquillement ! :joy:
Et désormais, il se barre ! :laughing:

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Bien jouĂ© pour ces titres ! Mais est-ce qu’il n’a pas Ă©tĂ© aidĂ© dans son dos par les cartels ?

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Superbe saison !

Maintenant hùte de voir Anibal aller se foutre dans la merde sur un éniÚme continent. :sac:

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HĂ© HĂ©, je l’avais dis


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Bravo pour le titre

Et maintenant on se casse !

Travel Driving GIF by Bouygues Telecom

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Réponses aux lecteurs

@Manthyz Merci frĂ©rot. En effet quelle saison. J’en parlais avec @Akasha quand j’ai jouĂ© la saison. Autant j’y aller pour casser des culs en attendant un retour en Europe dans ma storyline autant j’ai Ă©tĂ© choquĂ© par comment j’ai trĂšs rapidement archi dominĂ© la scĂšne locale. Pour le dĂ©part Ă  voir, comme tu vas le comprendre ça ne va pas ĂȘtre si simple. Et en effet encore 2 ans loin de l’Europe Ă  faire.

@toopil Pourquoi pas mais j’ai pas beaucoup de championnats actifs sur ces continents. De plus comme le rappel @Manthyz en soit il ne peut y aller.

@CaptainAmericka on est venu, on a vu, on a pété des culs :sac:

@Sythax c’est une bonne question. Autant j’ai des echos de malversations et de trucs chelous sur les transferts (encore :sac:) autant sur les matchs aucune idĂ©e.

@Malakai :pasrire: tout de suite. Cet homme a le droit à un peu de tranquilité aussi :no:

@VertPourToujours :sac:

@celiavalencia et si ? :sac:

- E.Cortes : « Tout faire pour garder Anibal Â»-

Envigado FC est Ă  son apogĂ©e. Le club colombien, souvent relĂ©guĂ© au second plan dans l’ombre des gĂ©ants du pays, est aujourd’hui au sommet. Sous la houlette d’Anibal GuimarĂŁes, le club a remportĂ© coup sur coup les deux tournois nationaux (Ouverture et ClĂŽture), la prestigieuse Copa Betplay, et surtout, la Copa Sudamericana, un trophĂ©e continental majeur. Jamais dans son histoire Envigado n’avait rayonnĂ© avec autant d’éclat.

Mais malgrĂ© ce succĂšs retentissant, une question brĂ»le les lĂšvres de tous les supporters et des mĂ©dias : Anibal GuimarĂŁes restera-t-il Ă  la tĂȘte du club dans un contexte de plus en plus dĂ©licat ?

Un contexte compliqué

Anibal, aprĂšs avoir menĂ© Envigado vers des sommets inespĂ©rĂ©s, est dans une position dĂ©licate. DerriĂšre les succĂšs sportifs, une ombre plane toujours sur le club : celle d’Ezekiel Reyes, influent personnage mĂȘlĂ© au cartel Gallindo. Reyes continue d’exercer une pression silencieuse, rendant l’atmosphĂšre pesante pour l’entraĂźneur portugais.

Eusebio Cortes, le prĂ©sident du club, est bien conscient des difficultĂ©s. Depuis des semaines, il manƓuvre en coulisses pour garantir l’avenir de son entraĂźneur. Envigado possĂšde une option pour prolonger le contrat d’Anibal, mais Cortes sait que cela ne suffira pas. Il faut convaincre Anibal de rester, non pas par obligation contractuelle, mais par dĂ©sir.

Une rencontre décisive

Dans son bureau Ă  MedellĂ­n, Eusebio Cortes observe Anibal, assis en face de lui. L’entraĂźneur semble fatiguĂ©, les cernes sous ses yeux trahissant des mois de stress et de pression constante. La saison a Ă©tĂ© longue, et bien que victorieuse, Anibal semble au bord de l’épuisement mental.

« Écoute, Anibal
 » commence Eusebio d’un ton calme. « Je ne vais pas te mentir, on a fait quelque chose de grand ici. Ce club n’a jamais Ă©tĂ© aussi fort, jamais aussi respectĂ©. Et c’est toi qui nous as emmenĂ©s jusque-lĂ . Mais je sens que tu doutes. Alors je vais ĂȘtre franc : on a une option pour prolonger ton contrat, mais je ne veux pas te forcer. Je veux que tu restes parce que tu le veux, pas parce que tu y es obligĂ©. »

Anibal hoche la tĂȘte, pensif.

« Je ne suis pas sĂ»r de ce que je veux, Eusebio
 J’aime ce club, j’aime ces joueurs, mais la situation avec Reyes
 ça me pĂšse. J’ai donnĂ© tout ce que j’avais, mais je ne peux pas ignorer le danger qui plane. »

Eusebio se penche en avant, la voix plus ferme.

« Reyes ne dicte pas la loi ici. Pas tant que je suis prĂ©sident. Je vais m’assurer qu’il n’ait plus aucun contrĂŽle sur quoi que ce soit. Mais on a besoin de toi, Anibal. Sans toi, ce club risque de retomber dans l’anonymat. Tu as rĂ©ussi Ă  nous sortir de l’ombre, mais tu es aussi le seul Ă  pouvoir nous y maintenir. Et puis
 tu n’es pas seul dans cette bataille. Il y a moi, il y a les joueurs, il y a Rafaela. »

Un long silence s’installe. Anibal semble peser chaque mot.

« Je ne peux pas te promettre que je vais rester, Eusebio. Mais une chose est sĂ»re : je veux que les choses changent ici. Je ne suis pas venu pour fuir, mais je dois protĂ©ger ma famille. J’ai besoin de garanties. »

Eusebio acquiesce, conscient que ce moment est crucial pour l’avenir du club.

« Tu auras toutes les garanties que tu veux. Je te le promets, Anibal. Je vais m’assurer que Reyes et ses sbires n’aient plus aucune emprise. Mais ce que je te demande, c’est encore une saison. Juste une de plus. On peut faire encore plus grand, on peut aller plus loin. Mais seulement avec toi. »

L’incertitude persiste

Si Anibal semble pour l’instant prĂȘt Ă  envisager de continuer l’aventure Ă  Envigado, la question de son avenir reste en suspens. Les paroles de l’entraĂźneur montrent bien que la situation est loin d’ĂȘtre simple. Les menaces constantes du cartel, la pression extĂ©rieure et la nĂ©cessitĂ© de protĂ©ger sa famille pĂšsent lourd dans la balance.

D’un autre cĂŽtĂ©, le groupe de joueurs qu’il a façonnĂ© est une source d’inspiration pour lui. Des jeunes talents comme Juan-Sebastian Anaya, Santiago Castillo ou Luis-Angel Diaz sont devenus des Ă©lĂ©ments clĂ©s dans le succĂšs du club. Anibal est particuliĂšrement attachĂ© Ă  ces jeunes, qu’il voit comme la pierre angulaire du futur d’Envigado.

Les rumeurs de dĂ©part du coach portugais ne s’arrĂȘteront pas, mais pour l’instant, une chose est certaine : Anibal est lĂ  pour gagner. Jusqu’à quand ? C’est toute la question. Le prĂ©sident Cortes fait tout ce qui est en son pouvoir pour retenir l’homme qui a changĂ© l’histoire d’Envigado, mais le destin du club reste incertain.

- Chapitre 348 -
- Saison parfaite pour un retour -
- Chapitre 350 -
Coming SOON - 23/10
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Cortes me fait penser à Dalida


Paroles et paroles et paroles en encore des paroles


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Mais qu’il se casse de ce merdier !

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Je ne vois pas l’intĂ©rĂȘt de rester dans un climat de peur, surtout que dans certains pays d’AmĂ©rique du Sud ou Central, tu as beau tout faire, la sĂ©curitĂ© n’est pas garantie Ă  100% loin de là


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Il a tout gagnĂ© ! S’il reste, il a tout Ă  perdre.

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Quel bordel en Amsud, hĂąte de voir le prochain merdier en Asie. :laughing:

Félicitations pour cette saison de fou furieux ! Washington aura joué un grand rÎle, ses stats sont monstrueuses. :heart_eyes:

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Félicitations pour cette saison extraordinaire !

Comme le dit justement captain, Anibal a tout gagné mais si il reste, il a tout à perdre. De plus, avec cette insécurité permanente du cartel


Maintenant, si Anibal veut rester, je peux lui donner le numĂ©ro d’un ami qui se fera un plaisir de nettoyer tout ce merdier :wink:

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Réponses aux lecteurs

@VertPourToujours :pasrire:

@Sythax Sa femme te suis la dessus :hoho:

@Tiien C’est un peu ça aussi.

@CaptainAmericka exact.

@Heisen sa prochaine aventure sera peut etre calme.

@Nehoc a voir et pourquoi pas intégrer Rambo dans le staff :sac:

- Un entraineur convoité -

Anibal GuimarĂŁes se trouvait dans une phase de profonde rĂ©flexion. Depuis plusieurs semaines, il oscillait entre deux visions de son avenir. D’un cĂŽtĂ©, la tentation de retrouver une vie plus calme et sereine, entourĂ© de sa famille, loin des pressions et des dangers qui avaient marquĂ© son sĂ©jour en Colombie. De l’autre, le dĂ©sir de poursuivre l’aventure et de continuer Ă  bĂątir sur les bases solides qu’il avait Ă©rigĂ©es avec Envigado. Les succĂšs qu’il avait connus en Copa Sudamericana et dans les compĂ©titions locales rĂ©sonnaient encore dans l’esprit des supporters et des dirigeants. Il avait atteint des sommets avec le club colombien, mais Ă  quel prix ?

Assis dans sa villa isolĂ©e, un endroit oĂč il tentait de fuir les tumultes extĂ©rieurs, Anibal contemplait la mer qui s’étendait Ă  perte de vue. C’était ici, dans cette tranquillitĂ© apaisante, qu’il rĂ©flĂ©chissait Ă  ce qu’il voulait vraiment. La Colombie lui avait offert Ă  la fois le meilleur et le pire. D’un cĂŽtĂ©, la reconnaissance d’un peuple, la satisfaction d’avoir transformĂ© un petit club en gĂ©ant continental. De l’autre, l’ombre des cartels, les menaces sur sa famille et la peur omniprĂ©sente qui ne le quittait jamais vraiment.

Alors qu’il s’abandonnait Ă  ses pensĂ©es, son tĂ©lĂ©phone sonna, le sortant brusquement de sa rĂȘverie. C’était Rafaela Pimienta, son agente et fidĂšle conseillĂšre depuis le dĂ©but de ses dĂ©boires. Il savait que cet appel allait chambouler ses rĂ©flexions.

« Anibal, comment tu te sens ? » demanda-t-elle d’une voix douce mais dĂ©terminĂ©e.

« FatiguĂ©, Rafaela
 fatiguĂ© de tout ça. J’ai besoin de retrouver un peu de paix, de sĂ©rĂ©nitĂ©. Mais en mĂȘme temps, je ne peux pas m’empĂȘcher de penser Ă  tout ce qu’on a accompli en Colombie. Et tout ce qu’on pourrait encore faire. »

Rafaela marqua une pause avant de répondre. Elle connaissait Anibal mieux que quiconque, elle savait que derriÚre son envie de calme se cachait toujours cette flamme brûlante de compétition.

« Écoute, je comprends, vraiment. Mais tu sais aussi bien que moi que ce que tu as rĂ©alisĂ© cette annĂ©e ne passe pas inaperçu. Tu as marquĂ© les esprits, pas seulement en AmĂ©rique du Sud, mais dans le monde entier. »

Anibal écoutait, silencieux.

« Je ne veux pas te pousser dans une direction ou une autre, mais je dois te dire ce que j’ai appris. De nombreux clubs te veulent, et pas seulement en Colombie. Les grands d’Argentine et du BrĂ©sil s’intĂ©ressent sĂ©rieusement Ă  toi. L’intĂ©rĂȘt saoudien est toujours lĂ  aussi, tu n’es pas sans savoir que leurs moyens sont Ă©normes. Ils veulent construire un empire, et ils te voient comme l’un des piliers. »

Anibal ne rĂ©pondit pas tout de suite. Il avait dĂ©jĂ  entendu parler de l’intĂ©rĂȘt du Golfe, mais l’idĂ©e de s’engager dans cette direction ne l’avait jamais rĂ©ellement convaincu.

« Mais ce n’est pas tout, » poursuivit Rafaela. « La CONCACAF a statuĂ©. Tu es autorisĂ© Ă  entraĂźner en AmĂ©rique du Nord. Et lĂ -bas, ils sont prĂȘts Ă  te dĂ©rouler le tapis rouge. Les Pumas au Mexique, Atlanta aux États-Unis
 Ils veulent tous te rencontrer. Et j’ai eu des nouvelles de la fĂ©dĂ©ration qatarie, ils souhaitent faire de toi leur nouveau sĂ©lectionneur. Ils te voient comme l’homme capable de relancer leur Ă©quipe nationale avant la prochaine Coupe d’Asie et pourquoi pas, les mener au Mondial. »

Ces mots rĂ©sonnĂšrent dans l’esprit d’Anibal. Le coach portugais, qui avait rĂȘvĂ© de compĂ©titions mondiales toute sa vie, se retrouvait face Ă  une multitude d’options. Mais aucune n’était simple.

« Rafaela, je ne sais plus quoi penser. J’ai donnĂ© tellement cette annĂ©e, et ces derniers mois avec tout ce qu’il s’est passĂ© avec Reyes
 Je veux juste retrouver une vie normale. »

« Je comprends, Anibal, vraiment. Mais est-ce que tu peux vraiment t’éloigner du football ? Tu as encore tant Ă  donner. Et tu le sais. Peut-ĂȘtre que ce que tu cherches, ce n’est pas la retraite, mais un nouveau dĂ©fi. Un dĂ©fi qui ne te met pas en danger, mais qui te permettrait de retrouver cette flamme, sans avoir la pression des cartels ou des histoires sordides. C’est ça que tu dois chercher. »

Anibal soupira.

« Tu as raison, comme toujours. Mais je dois aussi penser Ă  ma famille. Je dois parler Ă  Yessica, voir ce qu’elle en pense. Je ne veux plus vivre dans la peur pour elle et pour notre futur enfant. »

« Bien sĂ»r. Prends le temps qu’il te faut. Mais n’oublie pas que ces opportunitĂ©s ne se prĂ©sentent pas deux fois. Il y a des options qui peuvent te permettre de continuer Ă  briller sans risquer ta sĂ©curitĂ© ou celle de ta famille. »

Anibal raccrocha, pensif. Il devait maintenant faire un choix. L’idĂ©e de diriger une sĂ©lection nationale comme le Qatar, ou de relever un dĂ©fi en AmĂ©rique du Nord, loin des tumultes de l’AmĂ©rique du Sud, Ă©tait tentante. Mais il savait que quelle que soit sa dĂ©cision, elle devait ĂȘtre celle qui lui permettrait de retrouver l’équilibre, de retrouver l’homme qu’il avait presque perdu dans cette annĂ©e folle.

Il se leva, se dirigea vers le jardin oĂč Yessica l’attendait. Ensemble, ils allaient prendre cette dĂ©cision. Anibal savait qu’il ne pouvait pas tout abandonner. Il avait encore beaucoup Ă  prouver. Mais il savait aussi que cette fois, il devait le faire dans des conditions qui garantiraient la sĂ©curitĂ© et la tranquillitĂ© de sa famille.

Les vacances Ă  Viana de Costelo qu’il avait imaginĂ©es comme reposantes Ă©taient tout sauf cela. Les propositions se multipliaient, les tentations aussi. Mais cette fois, Anibal ferait un choix qui serait dictĂ© par la raison et non par la passion.

- Chapitre 349 -
- E.Cortes : « Tout faire pour garder anibal Â» -
- Chapitre 351 -
Coming SOON - 24/10
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@groot a la tĂȘte d’une sĂ©lection nationale ? :smiley:

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Oh la vie aux États Unis
 :drooling_face::heart_eyes: Ça serait une chouette destination que de partir là-bas ! :fire:

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Anibal en MLS. :pray:

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S’il Ă©tait une femme, ce serait E.Cortes girl :sac:

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