:storygreen: :s20: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[CaptainAmericka]

C’est pas finit c’est pas finit… on peut pas en dire autant pour tout le monde !

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Tiien non non malheureux.

@Heisen Faut savoir tomber pour remonter

@Sythax

@VertPourToujours oh t’abuseeeeeee, nous verrons. On peut aussi faire un saut dans le temps.

@CaptainAmericka ah ça pour elle c’est sur c’est foutu a moins que je fasse un délire de vampire

- Dans le deuil, Anibal se retire à Viano de Costelo -

Anibal Guimarães, autrefois au sommet de son art en tant qu’entraîneur, se trouve désormais confronté à une spirale descendante tant sur le plan personnel que professionnel. Après avoir perdu sa mère, il a pris conscience que rester à Turin était devenu insupportable. Les paparazzi, qui le suivaient sans relâche, lui rappelaient constamment ses échecs récents et alimentaient sa souffrance.

Turin, autrefois un symbole de réussite, était désormais une prison de verre où chaque moment d’intimité était scruté, analysé, et souvent déformé.

Face à cette pression incessante, Anibal a décidé de faire un choix radical : quitter la ville italienne et se retirer dans un lieu plus serein, loin des projecteurs. Son choix s’est porté sur Viana do Castelo, un petit village côtier au nord du Portugal, où il avait déjà passé de nombreux étés durant le début de sa carrière. L’air marin, l’atmosphère médiévale, et la chaleur des habitants étaient des éléments qui lui apportaient une tranquillité d’esprit qu’il n’avait pas ressentie depuis longtemps.

Loin de la frénésie de Turin, Viana do Castelo offre à Anibal un anonymat bienvenu. Ici, il n’est plus le coach déchu, mais simplement un homme parmi tant d’autres. Les habitants, bien que conscients de sa notoriété, respectent sa vie privée, lui permettant de se reconnecter avec des souvenirs plus simples et de retrouver un certain équilibre. Il redécouvre les petites joies du quotidien, comme les promenades le long de la plage ou les discussions avec les anciens du village. Pourtant, malgré ce cadre idyllique, la dépression rôde.

La douleur de ses pertes est profonde. Le poids du deuil, de l’échec et de l’incertitude quant à son avenir pèse lourdement sur ses épaules. Les nuits sont longues, les pensées incessantes. Malgré le calme de Viana do Castelo, l’esprit d’Anibal reste tourmenté. La pression de son ancien monde le hante encore, les souvenirs des succès passés et des décisions qui l’ont conduit à cette situation ne cessent de revenir, amplifiant son malaise.

Il sait qu’il doit se battre pour ne pas sombrer, mais la route vers la guérison est longue et semée d’embûches. Le soutien de sa femme Yessica est essentiel, mais même elle peine parfois à briser la carapace de tristesse qui l’enveloppe. La décision de s’isoler à Viana do Castelo est peut-être une manière pour Anibal de trouver un semblant de paix, mais elle témoigne aussi d’un homme en quête de réponses, d’un homme qui cherche à retrouver un sens à sa vie dans un monde qui l’a laissé derrière.

Seul le temps dira si ce retrait sera salvateur ou s’il marquera la fin d’une carrière autrefois si prometteuse. Pour l’instant, Anibal Guimarães tente de reconstruire les morceaux de sa vie brisée, loin de la gloire et de la pression du football européen, dans un coin reculé du Portugal, où l’air salin et les vagues de l’Atlantique sont ses seuls témoins.

- Chapitre 314 - - Anibal touche le fond -	- Chapitre 316 - Coming SOON - 01/10

[CaptainAmericka]

@Groot

tétexte en grasmoigne

(Petite coquille mon lapinou en sucre )

Bon, c’est pas la meilleure des périodes pour Anibal, mais vas-y mon vieux, faut remonter la pente ! Sinon t’as plusieurs solutions : la corde - la mer - la grève de la faim - un coup de fusil ?

Nan plus sérieusement, c’est dur mais c’est le temps de s’y faire…

[VertPourToujours]

Un bon bol d’air ne peut pas lui faire de mal.
S’occuper des petits jeunes de Vianense bénévolement lui ferait du bien peut être…

[Rhino]

Il va finir par devenir moine à ce rythme là

[celiavalencia]

ça pourrait , c’est assez catholique par las bas

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka J’ai choisit une autre option Téma la qualité de la prochaine illustration

@VertPourToujours et pourquoi pas.

@Rhino nan il aime trop le sexe

@celiavalencia et sa femme on en fait quoi la pauvre

- Anibal sombre dans la drogue -

Anibal, autrefois au sommet de sa carrière d’entraîneur, se trouve désormais confronté à une solitude écrasante à Viana do Castelo, un village paisible du Portugal où il a cherché refuge après une série de coups durs personnels et professionnels. Yessica, son épouse, est retournée temporairement en Colombie pour régler des affaires familiales, laissant Anibal seul face à ses démons. Privé de son soutien le plus précieux, Anibal commence à sombrer dans une spirale destructrice.

C’est dans cet état de désespoir que Javi Sanchez, son ancien adjoint à la Juventus et capitaine de son équipe à Valladolid, le retrouve. Arrivé à l’improviste, Javi découvre Anibal étendu sur un transat dans son jardin, l’air absent et le regard perdu, visiblement sous l’emprise de substances. Cette scène choqua profondément Javi, qui réalisa immédiatement l’urgence de la situation. L’homme qu’il connaissait comme un mentor et un ami, autrefois fort et déterminé, est désormais plus que l’ombre de lui-même.

Plutôt que de céder à la panique ou au désespoir, Javi agit rapidement. Il savait qu’Anibal avait besoin de soutien, d’une main tendue pour l’aider à sortir de ce gouffre. Avec douceur mais fermeté, il réveilla son ancien coach et l’aida à se redresser. Javi ne chercha pas à juger Anibal. Au contraire, il lui parla avec compassion, reconnaissant la douleur immense qu’il a dû ressentir ces derniers mois. Il lui rappella qui il est, ce qu’il a accompli et surtout, ce qu’il peut encore accomplir.

Anibal, bouleversé par cette intervention, finit par éclater en sanglots. Le poids de la culpabilité, de la honte et de la tristesse qu’il portait en silence se libèrait enfin. Javi l’écouta, sans interrompre, permettant à Anibal de verbaliser ses peurs et ses regrets. C’est le premier pas vers la guérison.

Conscient que la route vers la sobriété et la reprise en main sera longue et difficile, Javi décida de ne pas laisser Anibal seul. Il s’installa temporairement chez lui à Viana do Castelo pour l’aider à surmonter ses difficultés. Ensemble, ils mettent en place un plan de reconstruction. Javi contacta un centre de désintoxication réputé à Porto et convainc Anibal d’y entrer pour un traitement intensif. Le centre offrait un environnement sécurisé où Anibal peut se concentrer sur son rétablissement, entouré de professionnels spécialisés.

Pendant ces semaines de réhabilitation, Javi resta en contact constant avec Anibal. Il l’encouraga, lui rend visite régulièrement et s’assura qu’il ne se sente jamais abandonné. Il travailla également en étroite collaboration avec Yessica, qui, même à distance, apporta tout son soutien moral à son mari. Ensemble, ils construisent un réseau de soutien solide, comprenant la famille, des amis et d’anciens collègues.

Après plusieurs semaines de traitement, Anibal sorti enfin du centre de réhabilitation. Il est plus fort, plus lucide et prêt à affronter ses problèmes avec une nouvelle détermination. Javi l’encouragea à reprendre des activités physiques légères pour renforcer son corps et son esprit. Petit à petit, Anibal retrouva une routine saine. Il se remis au sport, commença à méditer et à lire, renouant avec ses passions d’antan. L’analyse tactique redevient aussi une échappatoire, lui permettant de mettre ses pensées en ordre et de faire face à ses démons intérieurs.

Bien qu’il reste encore du chemin à parcourir, Anibal commence à envisager un retour sur les bancs de touche. Mais cette fois, il sait que pour réussir, il doit être mentalement et émotionnellement stable. Javi le soutient dans cette démarche, l’aidant à rester concentré et à ne pas retomber dans ses anciennes habitudes.

Grâce au soutien indéfectible de Javi, d’Yessica et de ses proches, Anibal parvient à se reconstruire. Le temps qu’il a passé à Viana do Castelo, loin des projecteurs et des attentes du monde du football, lui a permis de retrouver un équilibre perdu. Il sait désormais que pour être un bon entraîneur, il doit d’abord prendre soin de lui-même.

Alors qu’il envisage son retour dans le monde du football, Anibal se sent plus sage, plus humble et surtout, plus résilient. Il n’est plus uniquement motivé par la victoire, mais par le désir de transmettre des valeurs de persévérance et de résilience à ses joueurs. Le chemin vers la rédemption est encore long, mais Anibal est prêt à l’emprunter, déterminé à prouver à lui-même et au monde qu’il peut se relever, peu importe les obstacles.

- Chapitre 314 - - anibal se retire à Viana do Costelo -	- Chapitre 316 - Coming SOON - 01/10

[Rhino]

Il nous fera passer par toutes les émotions cet Anibal

[VertPourToujours]

Il faut parfois se laisser couler pour prendre appui sur le fond de la piscine pour revenir plus fort.
Bravo Anibal

[CaptainAmericka]

Ah ouais il est parti loin le pépère là !
Ça va, on n’a pas eu le temps d’apprendre qu’il était parti à la chasse aux papillons sur un éléphant rose !

Sympa que Javi soit revenu lui prêter main forte !

(Psst… Javi ! Vérifie dans le tiroir de la table de nuit, y a un double fond, sait-on jamais s’il reste quelques petites pilule ou encore un peu de substance pour planer )

[alexgavi]

Monstrueux ce récit ! N’étant pas un commentateur habituel, il faut avouer que le travail abattu est colossal. J’avoue avoir mis plus d’une semaine à tout voir en lisant en diagonal par moments.

Autant, d’habitude, je suis plutôt adepte des stats, résultats, évolutions des joueurs, et moins des récits à côté. Mais là, j’ai vraiment tout adoré. Le scénario passe au premier plan, et les résultats paraissent quelques peu secondaires.

Des débuts au Sporting où Anibal se fait jeter injustement, au développement de Vianense, puis à l’apothéose de la Pucela, jusqu’à la chute à la Juve, c’est un sacré parcours.
T’as créé de sacré antagonistes

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino ah ça sacré garnement.

@VertPourToujours ah bah là il a bien coulé le con.

@CaptainAmericka Je voulais pas non plus faire dans la glorification de la drogue, faut pas déconner. Javi un vrai gars sûr.

@alexgavi merci de ton commentaires frérot. J’espère que la suite te plaira.

- Ilaix Moriba dédie son but à la mère d’Anibal -

Anibal se sentait enfin prêt à renouer avec le monde du football. Après des mois de tourments personnels et de remise en question, il avait commencé à retrouver goût à la vie, notamment grâce au soutien indéfectible de ses proches. Désormais, il aspirait à renouer avec la passion qui l’avait toujours animé : le football. Pourtant, il n’était pas encore prêt à revenir sur les bancs de touche. Il souhaitait avant tout assister à un match sans aucune pression, simplement pour le plaisir.

C’est ainsi qu’il se rendit à Saint-Étienne pour assister au derby entre l’ASSE et l’Olympique Lyonnais. Ce choix pouvait surprendre, mais il avait une raison bien particulière : voir jouer son ancien protégé, Ilaix Moriba, qui avait rejoint les Verts durant l’été. Anibal n’était pas là pour envisager un futur poste ou pour surveiller des talents ; il voulait simplement revoir ce joueur qui avait marqué son parcours d’entraîneur.

Le stade Geoffroy-Guichard était en effervescence pour ce derby tant attendu. Les supporters des Verts remplissaient les tribunes, créant une atmosphère électrique. Anibal, installé discrètement en tribune, observait le terrain avec un mélange de nostalgie et de sérénité. Loin de la frénésie des projecteurs, il savourait l’instant, bien décidé à profiter de ce match.

Dès les premières minutes, l’ASSE montra une détermination sans faille, prenant rapidement l’ascendant sur un OL en difficulté. Ilaix Moriba, au cœur du jeu stéphanois, se montrait particulièrement inspiré. À la 25e minute, il ouvrit le score d’une frappe imparable qui laissa le gardien lyonnais sans réaction. Le stade explosa de joie, mais ce fut la célébration d’Ilaix qui attira l’attention. Le joueur leva les mains vers le ciel, puis dévoila une bandelette cachée sous son maillot. On pouvait y lire :

« Pour Beatriz. On pense à vous !. »

Anibal fut profondément ému par ce geste. Les larmes lui montèrent aux yeux alors qu’il réalisait l’importance de ce message. Sa mère, qui avait tant compté pour lui, n’était plus là, mais Ilaix venait de lui rendre un hommage vibrant. Ce moment de grâce rappela à Anibal pourquoi il aimait ce sport : pour ces instants de sincérité, de partage, de communion.

Le match se poursuivit, et l’ASSE continua de dominer. En seconde période, Ilaix inscrivit un deuxième but après un magnifique mouvement collectif. Cette fois-ci, il ne leva pas les mains vers le ciel. Il croisa les bras, adoptant sa célébration traditionnelle, puis tourna son regard vers la tribune où se trouvait Anibal. Leur connexion était palpable, comme si ce simple geste exprimait une demande silencieuse : celle que justice soit faite pour son mentor.

Le match se termina sur une victoire éclatante de l’ASSE, 3-0. Les Verts avaient remporté le derby, et Ilaix Moriba en était le héros. Mais pour Anibal, ce derby avait une signification bien plus profonde. Il repartit de Saint-Étienne avec un sentiment nouveau, celui de l’espoir. L’hommage d’Ilaix lui rappelait que, malgré les injustices et les épreuves, il restait entouré de personnes qui croyaient en lui.

Ce soir-là, en quittant le stade, Anibal savait qu’il n’en avait pas fini avec le football. La route serait encore longue, mais avec le soutien de ceux qui l’aimaient, il se sentait prêt à relever tous les défis.

- Chapitre 315 - - Anibal sombre dans la drogue -	- Chapitre 317 - Coming SOON - 02/10

[CaptainAmericka]

Oh c’est beau ça ! J’espère qu’ils se retrouveront à nouveau tous les deux dans le même club, peu importe où Anibal reprendra ! L’histoire serait belle.

[Sythax]

Classe le gars !

[VertPourToujours]

Il n’y a que Le Chaudron pour donner tant d’émotion. J’ai une petite larme au coin de l’oeil tiens.
Que c’est beau une victoire 3 - 0 contre les banlieusards…

[Manthyz]

Beau geste de la part du joueur envers son entraîneur qui montre a quel point ce dernier avait réussi a créer des liens forts avec certains de ses anciens joueurs.

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka L’avenir nous le dira.

@Sythax On veut des hommes nous ^^

@VertPourToujours

@Manthyz yep grosse proximité avec ses groupes

- Rafaela et José propose une solution à Anibal -

Anibal était dans une impasse. Depuis des semaines, il retournait la situation dans tous les sens, cherchant désespérément une issue à son cauchemar juridique. Suspendu pour trois ans de toutes activités liées au football, il voyait son avenir sombrer dans l’incertitude.

Mais malgré les ténèbres qui l’entouraient, une lueur d’espoir subsistait, incarnée par Rafaela Pimienta, son avocate, et José Soares, son ancien agent. Ensemble, ils avaient peut-être trouvé la solution à son dilemme, une solution qui serait leur dernière chance.

Un soir, Anibal retrouva Rafaela et José dans un petit café discret de Lisbonne. L’atmosphère était lourde de tension. Rafaela, habituellement si assurée, avait le visage fermé, tandis que José paraissait inquiet. Anibal sentait que cette discussion serait cruciale.

« Anibal, commença Rafaela, je vais être franche avec toi. Nous avons épuisé presque tous les recours. La situation est délicate, mais il nous reste une dernière carte à jouer. » Anibal, le regard plongé dans son café, acquiesça silencieusement.

José prit la parole à son tour. « La décision du tribunal est claire, et les charges contre nous sont lourdes, surtout pour moi. Mon rôle de validateur des contrats me lie directement à Mendes, et je sais que mon avenir dans ce milieu est compromis. Mais toi, Anibal, tu n’es pas directement impliqué dans ces pratiques. Rafaela a une idée qui pourrait te sortir de là. »

Anibal redressa la tête, attentif. Rafaela poursuivit : « J’y pense depuis des semaines. Le seul recours qu’il nous reste, c’est de faire appel au Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Le problème, c’est que ce genre de recours est long, complexe, et rarement couronné de succès. Mais je crois que tu as une chance, Anibal, une vraie chance. »

« Comment ? » demanda Anibal, le regard perçant.

« La clé, c’est de montrer que tu as été trompé, manipulé. Ton parcours dans le football est atypique, tu n’as pas grandi dans ce milieu. Tu viens d’un univers différent, tu n’avais pas la connaissance profonde des rouages du football professionnel. C’est sur cet argument que nous devons nous appuyer. »

José hocha la tête. « Rafaela a raison. Le témoignage de Ruben Amorim sera essentiel. S’il confirme que Mendes et Campos ont délibérément cherché à te tromper, cela pourrait jouer en ta faveur. Tu n’étais pas au courant des manigances, tu étais un pion dans leur jeu. »

Anibal écoutait attentivement, son esprit en ébullition. Il voyait enfin une porte s’entrouvrir, une possibilité de laver son nom. « Et toi, José ? » demanda-t-il.

José baissa les yeux. « Mon cas est plus compliqué. Je savais certaines choses, même si je n’en étais pas l’instigateur. Mon avenir dans ce métier est compromis. Mais toi, tu as encore une chance, Anibal. Ne la laisse pas passer. »

Rafaela reprit : « Il faudra aussi jouer sur l’aspect humain. Ta sincérité, ta méconnaissance des rouages à l’époque des faits, ton parcours atypique. Nous allons préparer un dossier solide, mais cela prendra du temps. Il ne faut pas se voiler la face, ce sera long et éprouvant. »

Un silence pesant s’installa. Anibal réfléchissait, pesant le pour et le contre. Le chemin s’annonçait difficile, mais c’était peut-être sa seule chance de revenir un jour sur un banc de touche. « Très bien, » dit-il enfin, d’une voix résolue. « Préparons ce dossier. Je suis prêt à me battre. »

Rafaela lui sourit, un sourire encourageant. « Je savais que tu dirais ça. Nous allons tout faire pour que la vérité éclate. »

José posa une main amicale sur l’épaule d’Anibal. « Nous sommes avec toi, jusqu’au bout. »

Ce soir-là, Anibal quitta le café avec un sentiment nouveau : l’espoir. La route serait longue, semée d’embûches, mais il n’était pas seul. Rafaela et José croyaient en lui, et avec leur aide, il se sentait prêt à affronter l’avenir.

- Chapitre 316 - - Ilaix rends hommage à la mère d’Ani -	- Chapitre 127 - Coming SOON - 02/10

[Rhino]

J’espère que son ancien mentor ne lui jouera pas un sale tour

[CaptainAmericka]

Ouais, faut maintenant compter sur le témoignage sincère d’Amorim. Les derniers échanges laissent penser que ça va le faire… Mais attendons-nous au pire !

[Nehoc]

Si je comprends bien, tout repose sur Ruben Amorin. J’espère pour notre Anibal qu’il ne retournera pas sa veste…

Petite pensée aussi pour l’ami José qui semble être une bonne personne