:storygreen: :s19: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Quel match :hot_face: Anibal, à jamais une légende de Valladolid

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La fin de zinzin en championnat, la finale de zinzin en C1, chapeau jeune homme! Vous ĂȘtes le roi de Valladolid :index_pointing_at_the_viewer:

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Réponses aux lecteurs

@Manthyz :wink:

@Rhino finale de folie avec le doublĂ© d’Infante pour m’abattre :fap:

@toopil Fin de saison de folie pour un final en apothéose. Bon courage au successeur :rofl:

- Anibal honoré par la Pucela ! -

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Quelques jours aprĂšs la grande fĂȘte cĂ©lĂ©brant la victoire historique en Ligue des Champions, le cheikh Al-Fayed a organisĂ© une commĂ©moration somptueuse pour rendre hommage Ă  l’entraĂźneur Anibal GuimarĂŁes. C’était une soirĂ©e riche en Ă©motions, dĂ©diĂ©e Ă  un homme qui a marquĂ© de son empreinte l’histoire du Real Valladolid.

Devant une assemblĂ©e de joueurs, de membres du staff, de supporters et de personnalitĂ©s du monde du football, le cheikh Al-Fayed a pris la parole pour un discours Ă©mouvant. Il a retracĂ© le parcours extraordinaire d’Anibal au club, soulignant ses succĂšs retentissants et son impact indĂ©lĂ©bile.

"Anibal GuimarĂŁes est plus qu’un entraĂźneur, c’est un architecte de succĂšs, un visionnaire qui a transformĂ© ce club," a dĂ©clarĂ© le cheikh. « Sous sa direction, Valladolid a remportĂ© 13 trophĂ©es, dont deux Ligas, deux Copa del Rey, trois Supercoupes d’Espagne, une Conference League, une Europa League, et, couronnement de tous, une Ligue des Champions. Â»

Le cheikh a Ă©galement mis en lumiĂšre les statistiques impressionnantes d’Anibal au club. En cinq ans, Anibal a dirigĂ© 275 matchs, avec un bilan de 197 victoires et plus de 600 buts inscrits par ses joueurs. Ces chiffres tĂ©moignent de la constance et de l’efficacitĂ© de son management.

Parmi les joueurs, Joao Infante se dĂ©marque particuliĂšrement. Sous la tutelle d’Anibal, Infante a marquĂ© 138 buts en 245 matchs, devenant l’un des attaquants les plus redoutables d’Europe. Le cheikh a Ă©voquĂ© la relation spĂ©ciale entre Anibal et Infante, soulignant comment l’entraĂźneur a su tirer le meilleur de son joueur vedette.

« Joao Infante est le reflet du travail d’Anibal. Leur partenariat sur le terrain a Ă©tĂ© phĂ©nomĂ©nal et a inspirĂ© des gĂ©nĂ©rations de fans et de jeunes joueurs, Â» a ajoutĂ© le cheikh.

Alors que Valladolid se prĂ©pare Ă  tourner la page, Anibal GuimarĂŁes s’apprĂȘte Ă  relever un nouveau dĂ©fi avec la Juventus. Le cheikh Al-Fayed a exprimĂ© sa gratitude et ses meilleurs vƓux pour l’avenir de l’entraĂźneur.

« Nous savons qu’Anibal continuera Ă  exceller et Ă  inspirer oĂč qu’il aille. La Juventus gagne non seulement un excellent entraĂźneur, mais aussi un homme de grande valeur, Â» a-t-il conclu.

Pour immortaliser l’impact d’Anibal, le cheikh Al-Fayed a fait une annonce spĂ©ciale : une statue en bronze de l’entraĂźneur sera Ă©rigĂ©e sur le parvis du nouveau stade de Valladolid. « Cette statue sera un symbole Ă©ternel de sa contribution inestimable Ă  notre club. Elle rappellera Ă  tous les fans et visiteurs les exploits incroyables rĂ©alisĂ©s sous sa direction, Â» a dĂ©clarĂ© le cheikh.

Anibal, visiblement Ă©mu, a pris la parole pour remercier le club, les joueurs, et les supporters pour ces cinq annĂ©es incroyables. « C’est avec une grande Ă©motion que je quitte ce club que j’ai appris Ă  aimer profondĂ©ment. Je me souviens lorsque Ronaldo et Luis avait choisit de me faire confiance alors que j’étais encore au Portugal. On a construit un effectif tous ensemble et on a su renverser des montagnes. Valladolid restera toujours dans mon cƓur. Et je tiens Ă  dire aux fans, ne soyez pas triste l’avenir du club sera radieux. Aimer le prochain coach autant que vous m’avez aimĂ© et croyez moi, vous ne serez pas déçu. Â» a-t-il dit.

La soirĂ©e s’est terminĂ©e par une standing ovation de tout un stade pour Anibal, un tĂ©moignage de l’amour et du respect que toute la communautĂ© de Valladolid lui porte. Le dĂ©part d’Anibal marque la fin d’une Ăšre dorĂ©e pour le club, mais laisse Ă©galement un hĂ©ritage de succĂšs et d’inspiration pour les annĂ©es Ă  venir.

- Chapitre 270 -
- Ani, légende éternel du Zorilla -
- Chapitre 272 -
Coming SOON - 31/08
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Eh bah bon Hunger Games au nouveau coach hein
 Passer derriĂšre tout ça, ça ne va pas ĂȘtre de la tarte !

Deux points :

  • Ca serait vraiment chouette que Infante suive son coach mĂȘme si tu n’es pas fan de reprendre des anciens joueurs, mais pour l’histoire ça serait beau !
  • on veut absolument suivre l’évolution du club, l’ùre aprĂšs-Anibal ! Savoir si ça gagne, si c’est dur, si ça a pris un nouveau tournant etc


Jolie fin en tout cas :purple_heart::white_heart:

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Purée, quelle fin de saison dantesque. Je ne pensais pas que tu irais rechercher le Real.
En LDC, le 5-0 infligĂ© Ă  City est d’une violence.
Brava coach, on va voir maintenant si ça sera pareille histoire du cÎté de Turin !

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Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka :hoho: Pour Infante, je peux dĂ©jĂ  le dire mais il viendra pas Ă  Turin, du moins pas de suite. L’avenir on verra bien. Pour le suivi c’est prĂ©vu comme tu le dĂ©couvriras. Y’aura dĂ©jĂ  un point a la fin de la saison 10 :hoho: et c’est des sujets qui reviendront de temps en temps.

@Nehoc Fin de saison de porc, on espére que du cÎté de Turin ce sera aussi fun.

- PEP, futur gourou du zorilla ! -

Dans une annonce qui a fait l’effet d’une bombe dans le monde du football, le cheikh Al-Fayed a confirmĂ© que Pep Guardiola, l’illustre entraĂźneur catalan, rejoindra le Real Valladolid la saison prochaine. Guardiola quitte le Paris Saint-Germain, oĂč il a rĂ©cemment remportĂ© la Ligue des Champions, pour relever un nouveau dĂ©fi en Espagne.

Lors de la confĂ©rence de presse, le cheikh Al-Fayed n’a pas cachĂ© son enthousiasme quant Ă  l’arrivĂ©e de Guardiola. « Nous sommes extrĂȘmement honorĂ©s d’accueillir Pep Guardiola Ă  Valladolid. Sa vision du jeu, son palmarĂšs impressionnant et son expĂ©rience seront des atouts inestimables pour notre club, Â» a-t-il dĂ©clarĂ©.

Le cheikh a Ă©galement tenu Ă  souligner la lourde succession que laisse Anibal GuimarĂŁes, qui a transformĂ© Valladolid en une Ă©quipe redoutable. « Anibal a Ă©tĂ© un pilier fondamental dans les succĂšs rĂ©cents du club. Relever ce dĂ©fi ne sera pas facile, mais si quelqu’un peut continuer sur cette lancĂ©e, c’est bien Pep, Â» a ajoutĂ© Al-Fayed.

Prenant la parole, Pep Guardiola a rendu un vibrant hommage Ă  son prĂ©dĂ©cesseur. « Anibal a accompli un travail extraordinaire ici Ă  Valladolid. Ce sera un honneur de suivre ses pas et de travailler avec cette Ă©quipe talentueuse qu’il a construite, Â» a dĂ©clarĂ© Guardiola.

Il a Ă©galement exprimĂ© son excitation Ă  l’idĂ©e d’imposer sa propre patte sur l’équipe : « J’espĂšre pouvoir apporter ma vision et continuer Ă  remporter des trophĂ©es avec la Pucela. Le dĂ©fi est grand, mais c’est ce qui rend le football passionnant. Â»

Le dĂ©part d’Anibal GuimarĂŁes marque la fin d’une Ăšre prolifique pour le Real Valladolid, avec pas moins de 13 trophĂ©es remportĂ©s sous sa direction. Cependant, l’arrivĂ©e de Guardiola promet une continuitĂ© dans l’excellence, avec de nouvelles stratĂ©gies et ambitions.

Les supporters de Valladolid, bien que tristes de voir Anibal partir, sont impatients de voir ce que Guardiola apportera au club. Le cheikh Al-Fayed a conclu la confĂ©rence en affirmant : « Nous entrons dans une nouvelle Ăšre. Avec Pep Ă  la barre, nous visons encore plus haut. Â»

Relever le flambeau aprĂšs un entraĂźneur aussi couronnĂ© de succĂšs qu’Anibal GuimarĂŁes est une tĂąche colossale, mais Guardiola, avec son palmarĂšs et son expĂ©rience, semble ĂȘtre l’homme idĂ©al pour ce dĂ©fi. Les attentes sont Ă©levĂ©es, mais l’enthousiasme et l’optimisme rĂšgnent Ă  Valladolid.

Le Real Valladolid se prĂ©pare donc Ă  une nouvelle saison sous la houlette de l’un des plus grands entraĂźneurs de l’histoire du football, avec l’espoir de continuer Ă  Ă©crire des pages glorieuses dans les annales du club.

- Chapitre 271 -
- Anibal honoré par la pucela -
- Chapitre 273 -
Coming SOON - 31/08
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Les supporters qui voient arriver Guardiola aprĂšs Anibal:
im horny jack nicholson GIF

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Comme a dit Thierry Roland: " Aprùs avoir vu ça on peut mourir tranquille
 "

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Il n’y avait pas meilleur choix comme successeur


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Ca c’est de la succession

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Réponses aux lecteurs

@toopil sitÎt parti et déjà oublié :sadpepe:

@VertPourToujours Restes encore un peu avec nous :rofl:

@CaptainAmericka ça m’a surpris en vrai qu’il quitte le PSG pour Valladolid.

@Rhino en effet.

-BILAN DE LA SAISON-
un Quintuplé pour ne jamais quitter la légende

:grootsc: :grootchampions: :grootcomnebol: :liga_easport: :copa_del_rey: :supercopa_espagnola:
:grootsc: :grootchampions: :grootcomnebol: :liga_easport: :copa_del_rey: :supercopa_espagnola:
Supercoupe
d’Europe
Champion’s
League
Club Challenge
UEFA - Comnebol
Liga
EA Sport
Copa de su
majestad el rey
Supercopa EspaÔla
:trophy: :trophy: :trophy: :trophy: 1/4 :trophy:
-
MJ V N D %V BP BC Diff BP/M BC/M
60 46 7 7 77% 139 43 +98 2.32 0.72

- Anibal dans la légende du real valladolid -

Guimaraes_Valladolid

MATCHS JOUES 275 BUTS MARQUES 613
MATCHS GAGNES 197 BUTS ENCAISSES 232
MATCHS NULS 41 DIFFERENCE DE BUTS +383
MATCHS PERDUS 38 POURCENTAGE DE VICTOIRES 72%

Ce fut une nouvelle annĂ©e extraordinaire pour Anibal et la Pucela. TerminĂ© les alĂ©as extrasportif. Pour sa cinquiĂšme saison au sein des blanquivioletas, Anibal a rĂ©ussit un quintuplĂ© lĂ©gendaire. Le club espagnol a en effet rĂ©ussit l’exploit de remporter une nouvelle fois la Liga. C’est le second sacre consĂ©cutif de la Pucela en Liga. Si le club a vu son parcours de double tenant du titre en Copa del Rey s’arrĂȘter en quart de finale, Valladolid a toutefois remportĂ© sa troisiĂšme Supercoupe et la seconde consĂ©cutive.

Mais Valladolid a rĂ©ussit bien plus en remportant dĂšs l’étĂ© deux trophĂ©es continentaux avec la Supercoupe d’Europe et le Club Challenge UEFA- Comnebol. Enfin aprĂšs avoir remportĂ© la Conference League puis l’Europa League, Anibal et ses hommes ont su dĂ©jouĂ© tout les pronostics en soulevant la Champion’s League il y a quelques semaines.

A la vue de la carriĂšre d’Anibal, le coach portugais connait un passage lĂ©gendaire renforçant sa propre lĂ©gende en terminant avec 275 matchs dirigĂ©s pour 197 victoires. Il sera difficile pour lui ou son successeur de faire mieux.

- Point sur les rivalités -

Cette saison Anibal n’a pas vraiment pu entretenir ses rivalitĂ©s sur la scĂšne national. En effet Victor ValdĂšs est actuellement au chomage tandis que Ruben Amorim est en Allemagne et que Xavi a rejoint Manchester City. Ces rivalitĂ©s se sont Ă©tendus sur la scĂšne continentale ceci dit.

- Rivalités -

:portugal: Ruben amorim

8872115

RUBEN AMORIM
MATCHS JOUES 8 BUTS MARQUES 12
MATCHS GAGNES 4 BUTS ENCAISSES 9
MATCHS NULS 1 DIFFERENCE DE BUTS +3
MATCHS PERDUS 3 POURCENTAGE DE VICTOIRES 50%
Club L Score Buteurs
:germany: :wolfsburg: VFL Wolfsburg :grootchampions: 0 - 2 A.Luengo (15’), I.Di Giacobbe (77’)

MalgrĂ© le dĂ©part du coach portugais pour l’Allemagne, les deux rivaux ont pu se retrouver sur la scĂšne continentale. La Pucela irresistible s’est facilement imposĂ© avec notamment un coup franc de 30m de son gardien de but italien.

:spain: Xavi Hernandez

4200583

XAVI HERNANDEZ
MATCHS JOUES 9 BUTS MARQUES 11
MATCHS GAGNES 3 BUTS ENCAISSES 15
MATCHS NULS 0 DIFFERENCE DE BUTS -4
MATCHS PERDUS 6 POURCENTAGE DE VICTOIRES 33%
Club L Score Buteurs
:england: :mancity: Manchester City :grootchampions: 2 - 0 -
:england: :mancity: Manchester City :grootchampions: 0 - 5 S.Moya (12’), T.Rubio (29’), J.infante (33’),
F.Benaïssa (45’), A.Luengo (85’)
:england: :mancity: Manchester City :grootchampions: 2 - 1 D.imparato (46’), F.Benaïssa (66’)

Les deux clubs se sont rencontrĂ©s trois fois. Si durant la phase de championnat beaucoup ont cru que Xavi avait gardĂ© l’ascendant sur le portugais, la phase finale a prouvĂ© le contraire avec notamment un carton en quart de finale aller de la Champion’s League.

:portugal: paulo Fonseca

824039

Víctor Valdés
MATCHS JOUES 4 BUTS MARQUES 6
MATCHS GAGNES 4 BUTS ENCAISSES 1
MATCHS NULS 0 DIFFERENCE DE BUTS +5
MATCHS PERDUS 0 POURCENTAGE DE VICTOIRES 100%
Club L Score Buteurs
:spain: :atletico: Atletico Madrid :liga_easport: 0 - 1 D.imparato (44’)
:spain: :atletico: Atletico Madrid :copa_del_rey: 1 - 0 T.Rubio (89’)

Toujours Ă  la tĂȘte de l’Atletico Madrid, Paulo Fonseca a toujours autant de mal contre Anibal avec encore deux dĂ©faites cette saison dans l’opposition entre les deux.

- Une équipe légendaire -

Pour sa cinquiĂšme et derniĂšre saison avec la Pucela, le coach GuimarĂŁes a pu compter sur une Ă©quipe Ă  un niveau rarement vu jusqu’ici. Son Real Valladolid restera comme l’un des plus beau collectif du football espagnol. Pourtant la plupart des observateurs semble lui prĂ©fĂ©rais sa version 2030/2031. Mais cette saison il aura pu compter sur un Di Giacobbe infranchissable avec seulement 26 buts encaissĂ©s en Liga. Une dĂ©fense avec un Gilson toujours plus offensif et un Luengo toujours plus fiable. Imparato, PeixĂŁo et Hiraoka ont rĂ©gnĂ© en maĂźtre derriĂšre. Le duo Diego Mauricio - Fares BenaĂŻssa a Ă©tĂ© incroyable de rĂ©gularitĂ© alors que devant Simon Moya a rayonnĂ© en duo avec Thiago Rubio. Devant l’inoxydable JoĂŁo Infante a encore fait des miracles et contre des clubs d’un calibre fou qui restera dans la lĂ©gende pour son doublĂ© Liga - Champion’s League

- João Infante nommé joueur de la saison par le public ! -

Les saisons passent et se ressemble. A la fin c’est JoĂŁo Infante qui est Ă©lu joueur de la saison par les supporters de la Pucela. Chaque saison les spĂ©cialistes pensent que le portugais va afficher ses limites et perdre sa palce et chaque saison il n’en est rien. Cette annĂ©e il aura marquĂ© prĂšs de 25 buts dont un doublĂ© en finale de Champion’s League.

Capable de marquer du gauche, du droit et de la tĂȘte, le buteur est polyvalent en plus d’ĂȘtre rĂ©aliste comme peu. Toujours boudĂ© par la sĂ©lection portugaise, il ne cesse de confirmer qu’on peut compter sur lui.

Son but du titre en Liga et son doublĂ© en Champion’s League et une nouvelle saison abouti ont attirĂ© les appĂ©tits. On dit que cette saison plusieurs clubs anglais s’intĂ©ressent Ă  lui, une rumeur l’envoie aussi rejoindre la Juventus qui a signĂ© Anibal. Le club italien pense que s’offrir Infante pourrait permettre de de dĂ©buter de façon idĂ©ale le passage du portugais dans le piemont. Lui possĂšde encore un an de contrat. Le joueur ne souhaite cependant pas bouger et devrait rapidement prolonger d’une nouvelle saison avec son club.


2000188449 9_Infante

- - - JoĂŁo
Infante - - -
Âge 26
Club Formateur :portugal: :sporting_portugal: Sporting CP
Nationalité :portugal: Portugais
Sélections/Buts 14 SEL / 6 buts (U19)
Apparitions 246 APP
Buts / Passes D 141 B / 16 P.D
ANNEES INFOS CLUB APP BUTS PASSES
:spain: 27-28 :liga_hypermotion: :real_valladolid: Real Valladolid 46 (2) 23 4
:spain: 28-29 :liga_easport: :real_valladolid: Real Valladolid 39 17 2
:spain: 29-30 :liga_easport: :real_valladolid: Real valladolid 42 (8) 30 2
:spain: 30-31 :liga_easport: :real_valladolid: Real Valladolid 55 (1) 48 4
:spain: 31-32 :liga_easport: :real_valladolid: Real Valladolid 50 (3) 23 4
2027-2032 TOTAL - - - - - - - - - - - - - - - 246 141 16

Quel avenir pour cette équipe ?

L’effectif de la Pucela s’est stabilisĂ© avec l’arrivĂ©e de Michael Edwards. Dans le jeu aussi on sent une Ă©quipe Ă  maturitĂ© qui rĂ©ponds parfaitement aux souhaits de son coach. Leur guide ayant dĂ©cidĂ© de passer le relai il conviendra d’attendre l’arrivĂ©e de Pep Guardiola avant de spĂ©culer sur l’avenir de ces joueurs.

- Bilan Financier -

On constate que les finances progressent encore avec la Champion’s League. Le stade JosĂ© Zorrilla est toujours aussi plein et commence mĂȘme Ă  ĂȘtre petit. Le seul pĂŽle financier qui ne progresse pas Ă  ce jour est celui des revenus de jours de matchs malgrĂ© des parcours de folie dans toutes les compĂ©titions.

Légende 31/32 30/31 29/30 28/29 27/28 Tendance
31/32 30/31 29/30 28/29 27/28 Tendance
club :real_valladolid: :real_valladolid: :real_valladolid: :real_valladolid: :real_valladolid:
Partenariats 63.92M€ 63.05M€ 74.3M€ 14.77M€ 3.44M€ :chart_with_upwards_trend:
Evùnements d’Entreprise 2.93M€ 2.72M€ 2.48M€ 1.73M€ 9.27K€ :chart_with_upwards_trend:
Finances - Jour de Matchs 1.85M€ 1.85M€ 1.9M€ 1.28M€ 1.3M€ :chart_with_downwards_trend:
Revenus de diffusion 62.67M€ 53.89M€ 44.82M€ 41.51M€ 23.37M€ :chart_with_upwards_trend:
Primes de CompĂ©titions 52.44M€ 24.55M€ 16.32M€ - - :chart_with_upwards_trend:
Nombre d’AbonnĂ©es 25 125 24 925 24 925 24 925 24 189 :chart_with_upwards_trend:
Nombre de Spectateurs 27 034 27 034 26 825 26 568 24 494 :chart_with_upwards_trend:
Nombre de Followers 2.9M 2.3M 1.2M 983,4K 855.6K :chart_with_upwards_trend:
Ventes de produits dĂ©rivĂ©s 5.2M€ 3.01M€ 2.63M€ 2.46M€ 2.14M€ :chart_with_upwards_trend:
Vente de maillots 20 457 18 779 18 053 16 894 13 570 :chart_with_upwards_trend:

- Affluences -

On connais de bons chiffres avec un taux de remplissage qui rĂ©compense notre bonne saison et qui est exceptionnel pour un club qui est rĂ©cent en Liga. Il y a une base solide pour prĂ©parer l’avenir. et cela progresse toujours.

Année Club Afflu + Faible Afflu + Elevée Record de Recette Afflu Moyenne Taux de Remplissage
31/32 :real_valladolid: 27 098 :inter: 27 618 :bilbao: 956k€ :inter: 27 363 99%

- Point sur les temps de jeu -

-
Nat Nat Prénom Nom MJ Buts P.Dec
:italy: Ivano Di Giacobbe 54 1 0
:portugal: JoĂŁo Infante 50 (3) 23 4
:colombia: :spain: SimĂłn Moya 46 (5) 17 15
:netherlands: :algeria: Fares BenaĂŻssa 44 (6) 12 11
:argentina: :spain: Thiago Rubio 46 (3) 12 13
:brazil: :portugal: PaixĂŁo 46 (3) 10 4
:japan: :germany: Hiroto Hiraoka 47 (1) 2 3
:brazil: :portugal: GĂ­lson Bressan 44 (4) 3 11
:brazil: :spain: Diego MaurĂ­cio 41 (6) 11 10
:italy: Domenico Imparato 43 (3) 9 1
:spain: Alberto Luengo 42 (4) 5 11
:spain: Antoni Granell 9 (30) 12 4
:argentina: :italy: JoaquĂ­n FernĂĄndez 13 (20) 6 2
:argentina: :italy: Marcelo CorbalĂĄn 13 (18) 2 1
:tr: Serkant SĂŒtcĂŒ 16 (15) 0 6
:brazil: :spain: Auribertinho 19 (11) 4 7
:spain: :pais_vasco: Javi LĂłpez 18 (10) 0 5
:guinea: :spain: Ilaix Moriba 7 (20) 4 6
:spain: José Manuel 14 (12) 0 0
:argentina: :italy: Mauricio Acosta 9 (15) 3 3
:portugal: VĂ­tor Ricardo 13 (6) 1 1
:spain: Javi SĂĄnchez 10 (8) 0 0
:spain: Juli Luque 2 (14) 0 2
:germany: :albania: Erjon Dalipi 7 (2) 0 0
:colombia: :spain: Juan Diego Castillo 6 0 0
:spain: RaĂșl Ruiz 0 (1) 0 0
:saudi_arabia: Abdullah Al-Dossari 3 (11) 0 0

- Hall of Fame -

- Joueurs les plus capés -

-
Nat Nat RAnk Identité APP buts
:spain: 10 → 4 Javi Sanchez 386 15
:portugal: - → 17 João Infante 245 141

Javi Sanchez s’arrĂȘte donc finalement Ă  la quatriĂšme place du classement. Cette saison il a Ă©videmment moins jouĂ© avec l’ñge mais a bien rempli son palmarĂšs de lĂ©gende du club. JoĂŁo Infante s’installe au 17Ăšme rang et peut espĂ©rer intĂ©grer le TOP 10 en fin de saison prochaine Ă  ce rythme.

- Meilleurs buteurs -

-
Nat Nat RAnk Identité APP buts
:portugal: 7 → 1 João Infante 245 141
:colombia: :spain: → 16 Simon Moya 141 39
:argentina: :spain: - → 17 Thiago Rubio 158 38
:guinea: :spain: 18 → 20 Ilaix Moriba 162 31

CĂŽtĂ© buteur JoĂŁo Infante rentre un peu dans le rang cette saison malgrĂ© 23 buts inscrits. Il conforte sa place de meilleur buteur de l’histoire du club. Simon Moya et Thiago Rubio intĂ©gre le TOP20 grĂące Ă  leurs bonne saison. Ilaix reste dans le TOP 20 malgrĂ© une saison blanche cĂŽtĂ© buts.

- Meilleurs Passeurs -

-
Nat Nat RAnk Identité APP Assists
:argentina: :spain: 1 → 1 Thiago Rubio 158 58
:brazil: :portugal: 2 → 2 Gilson Bressan 212 55
:colombia: :spain: 10 → 3 Simon Moya 141 34
:spain: 8 → 4 Alberto Luengo 174 34
:brazil: 9 → 7 Diego Maurício 156 29
:netherlands: :algeria: - → 9 Fares Benaïssa 104 24
:guinea: :spain: 12 → 11 Ilaix Moriba 189 24
:spain: :pais_vasco: 14 → 13 Javi López 154 21
:portugal: 20 → 16 João Infante 286 18
:japan: :germany: - → 23 Hiroto Hiraoka 212 14

S’il est plus dĂ©licat de tirer des conclusions cĂŽtĂ© passeurs cette statistiques ayant commencĂ© Ă  ĂȘtre comptabilisĂ© par Opta dans les annĂ©es 2000. Beaucoup de mouvements cĂŽtĂ© passeurs. Thiago Rubio et Gilson prennent un peu plus leur envol en tĂȘte du classement. Simon Moya se place dans le TOP 3 tandis que Alberto Luengo et sa rĂ©gularitĂ© se positionne au pied du podium. Diego Mauricio monte un peu dans le classement tandis que Fares BenaĂŻssa intĂ©gre directement le TOP10. Ilaix et Javi Lopez monte d’une place. Joao Infante se rapproche du top 15.

- Meilleurs buteurs en Coupes d’Europes -

J.Infante 24 Buts
S.Moya 12 Buts
T.Rubio 11 Buts
F.BenaĂŻssa 9 Buts
M.Al-Ali 8 Buts
Ilaix 6 Buts
PaixĂŁo 5 Buts
A.Luengo, A.Granell 4 Buts
D.Imparato, D.Mauricio, Gilson, EstevĂŁo, X.Gonzalez 3 Buts
I.Di Giacobbe, R.Lopes, Albis,
Valverde, Alberto, Juan Carlos, D.Muller
2 Buts
H.Hiraoka, J.Sanchez, M.Corbalan, V.Ricardo, J.Fernandez, M.Acosta
T.Araujo, C.Echeverri, Ayarza, Hidalgo, Moya, Edu
Manga, Da Silva, Moré,
1 But

Nom de joueur - évolue toujours au club.

Avec une nouvelle campagne historique qui voit la Pucela inscrire son nom au palmarĂšs des vainqueurs de la prestigieuse Champion’s League, plusieurs joueurs ont intĂ©grĂ©s le classements des meilleurs buteurs de l’histoire du club en coupe d’Europe. JoĂŁo Infante a encore accentuer son avance au classement et on retrouve loin derriĂšre Simon Moya qui passe devant Thiago Rubio. Fares BenaĂŻssa passe devant Al-Ali tandis que Ilaix, PaixĂŁo et Alberto Luengo monte dans le classement.

- Chapitre 272 -
- Pep, futur gourou du Zorrilla -
- Chapitre 274 -
Coming SOON - 01/09
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- Statistiques du récit -
- Real Valladolid cf -

- joueurs les plus capés -

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Club Nat Prénom Nom App Buts Passes
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:real_valladolid: :italy: Ivano Di Giacobbe 199 5 0
:real_valladolid: :guinea: :spain: Ilaix Moriba 189 31 24
:real_valladolid: :spain: Alberto Luengo 174 6 34
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NOM – ENCORE AU CLUB
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:real_valladolid: :spain: Alberto Luengo 174 6 34
:vianense: :portugal: Pedro AraĂșjo 102 5 32
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:real_valladolid: :brazil: :portugal: EstĂȘvĂŁo 100 36 23
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:vianense: :real_valladolid: :portugal: Tiago AraĂșjo 138 27 20
:vianense: :portugal: JoĂŁo VigĂĄrio 75 1 20
:real_valladolid: :argentina: :italy: Claudio Echeverri 121 32 19
:vianense: :portugal: André Gonçalves 35 11 19
:sporting_portugal: :vianense: :real_valladolid: :portugal: JoĂŁo Infante 286 158 18
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NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- chapitre 273 -
- Statistiques du récit -
- Chapitre 275 -
Coming SOON - 03/07
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- O LeĂŁo do Lisboa - Acte IV-

- Juventus turin football club -

SerieA
Juve

-
FONDATION 1897
PRÉSIDENT
:italy:
Gianluca Ferrero
DIRECTEUR SPORTIF
:czech_republic:
Pavel Nedved
Responsable recrutement
:italy:
alessandro del piero
ENTRAINEUR
:portugal:
Anibal GuimarĂŁes
entraineur adjoint
:tr:
Yusuf Yazici
DIVISION
:italy: :seriea:
Liga Hypermotion
FINANCES Stable
MEILLEUR BUTEUR
:italy:
Alessandro Del piero - 290 buts
JOUEUR LE PLUS CAPÉ
:italy:
Alessandro Del Piero - 705 matchs

- Création du club -
1897-1900

En 1896, un groupe de lycĂ©ens turinois du Liceo Massimo d’Azeglio dont certains rentrent d’Angleterre, pratiquent le jeu de la barre puis, plus tard, le football, au Duca di Genova, l’aprĂšs-midi en dehors des cours et se rĂ©unissent autour d’un banc (existant encore aujourd’hui), sur lequel sera créé le futur club. Parmi cette quinzaine d’étudiants figurent les frĂšres Eugenio et Enrico Canfari. C’est dans la boutique de leur pĂšre qu’ils tiennent avec leurs amis et camarades la premiĂšre rĂ©union constitutive concernant la crĂ©ation d’un club multisports.

C’est ainsi que le 1er novembre 1897 est fondĂ© officiellement par les Ă©lĂšves du LycĂ©e classique Massimo d’Azeglio le « Sport Club Juventus ».

Le mot « Juventus » (signifiant jeunesse en latin, en rĂ©fĂ©rence Ă  la jeunesse de ses crĂ©ateurs et joueurs), fait partie d’un des nombreux noms que les jeunes Ă©tudiants dĂ©cident d’approuver. Le club fonctionne au dĂ©part grĂące Ă  une contribution de chaque joueur, que beaucoup se refusent Ă  payer, abandonnant donc le club.

Les premiĂšres couleurs que choisit le club pour jouer sont une chemise rose avec une cravate noire, ainsi qu’un pantalon de golf noir, tenue que les Ă©tudiants utilisent durant les heures d’éducation physique. Il faut savoir qu’à l’époque, les clubs de football n’ont pas d’entraĂźneur officiel, et que de facto, tous les protagonistes de l’équipe sont Ă  la fois les associĂ©s, techniciens et joueurs de l’équipe. Ce sont tout d’abord les frĂšres Canfari qui se chargent de s’occuper de la direction et des finances du club. Eugenio, l’aĂźnĂ©, est le premier prĂ©sident du club (de 1897 Ă  1898) et choisit Enrico Piero Molinatti (Ă©galement un des crĂ©ateurs du club) comme secrĂ©taire. Au bout d’une annĂ©e, il passe la prĂ©sidence Ă  son frĂšre cadet Enrico.

« L’ñme juventina est une maniĂšre complexe de sentir, un mĂ©lange de sentiments, d’éducation, de bohĂȘme, de joie et d’affection, de foi Ă  notre volontĂ© d’exister et de continuellement nous amĂ©liorer. » - Enrico Canfari

Le club abandonne dĂ©finitivement sa section omnisports pour se consacrer uniquement au football et change son nom en « Foot-Ball Club Juventus » en 1899 et s’installe ensuite au Stadio Piazza d’Armi pour ses matchs. Le premier match amical connu de l’histoire de la Juve est une victoire 2 buts Ă  1 contre le Football Club Torinese jouĂ© le 3 dĂ©cembre 1899.

- Débuts en compétition officielle -
1900-1923

AprĂšs la fondation de la FIGC en 1898 et l’instauration du premier championnat d’Italie de football en 1898 (appelĂ© Ă  l’époque Campionato Federale), les Canfari dĂ©cident d’inscrire leur Ă©quipe et disputent donc leur premiĂšre compĂ©tition officielle lors du championnat 1900.

Le Foot-Ball Club Juventus dispute donc son premier match officiel le dimanche 11 mars 1900.

C’est durant la saison 1903 que le club dĂ©cide de se doter d’un nouvel Ă©quipement et de nouvelles couleurs, le rose n’étant plus considĂ©rĂ© comme assez viril. Ils abandonnent donc leur traditionnelle tenue rose et jouent dĂ©sormais avec une tenue Ă  rayures blanches et noires, tenue encore d’actualitĂ©. C’est un Anglais, nĂ©gociant en gros et joueur du club, du nom de John Savage, originaire de Nottingham, qui apporte les nouveaux maillots au club, identiques Ă  ceux de l’équipe anglaise du Notts County FC, Ă©quipe qu’il supporte. Ce nouveau maillot ainsi que leurs nouvelles couleurs sont perçues comme un symbole de « simplicitĂ©, d’austĂ©ritĂ©, d’agressivitĂ© et surtout, de pouvoir.

En 1905, et ce pour la premiĂšre fois de la courte histoire du club, un Ă©tranger (un Suisse du nom d’Alfred Dick) prend la prĂ©sidence du club. Riche industriel travaillant dans le textile, il apporte une grande aide financiĂšre au club, et commence Ă  faire venir de nombreux joueurs Ă©trangers au club (surtout des Suisses et des Britanniques dont quelques-uns travaillent dans son usine).

La Juve Ă©volue donc dĂ©sormais dans une nouvelle enceinte, au Stadio Motovelodromo Umberto I depuis 1904, et c’est prĂ©cisĂ©ment lors de la saison 1905 que les bianconeri remportent leur premier Scudetto de Prima Categoria, aprĂšs seulement huit ans d’existence, tandis que sa rĂ©serve (Juventus II) remporte de son cĂŽtĂ© la Seconda Categoria. Le club juventino finit son annĂ©e 1905 en beautĂ© en remportant en plus la Coppa Luigi Bozino (qu’elle remporte Ă©galement l’annĂ©e suivante).

Un an plus tard, Ă  la fin de la saison 1906, le club est finaliste du championnat mais manque de disparaĂźtre. On parle alors de le transfĂ©rer de Turin vers la Suisse selon les souhaits du prĂ©sident suisse de l’époque, Alfred Dick, et de l’appeler le Jugend Fußballverein, sans aucune consultation ni discussion avec les autres membres juventini. Alfred Dick est stoppĂ© Ă  temps dans ses dĂ©marches et est contraint de dĂ©missionner de son poste mais reste Ă  Turin en fondant son propre club, le Foot-Ball Club Torino (l’intense rivalitĂ© des deux clubs pour la suprĂ©matie sur la ville de Turin existe dĂšs cette date et le premier match entre les deux Ă©quipes) créé le 3 dĂ©cembre 1906. C’est donc alors que le dĂ©fenseur turinois (et l’un des crĂ©ateurs du club) Carlo Vittorio Varetti prend le contrĂŽle du club et y reste jusqu’en 1910.

Durant plusieurs annĂ©es, l’aprĂšs-Alfred Dick est dur Ă  digĂ©rer pour la Juve, diminuĂ©e financiĂšrement et amputĂ©e de certains de ses cadres, partis rejoindre le nouveau club de leur ancien prĂ©sident au FCB Torino. C’est un peu moins d’un an plus tard, lors des Ă©liminatoires rĂ©gionales du championnat d’Italie 1907, que se tient le premier match le 13 janvier entre les deux clubs de Turin, le Foot-Ball Club Juventus et le Foot-Ball Club Torino, premier derby d’une longue sĂ©rie entre les deux Ă©quipes (le match entre la Juve et le Torino est appelĂ© le Derby della Mole).

En octobre 1907, la FIGC interdit aux joueurs Ă©trangers de participer au championnat. Un tournoi parallĂšle est alors créé, le Campionato Federale F.I.F., tandis que le second championnat, la Prima Categoria, se tient Ă©galement la mĂȘme annĂ©e.

À la suite de cette dissidence avec la fĂ©dĂ©ration, quelques Ă©quipes dĂ©cident de faire partie de ce Campionato Federale F.I.F., dont la Juventus qui remporte les championnats fĂ©dĂ©raux de 1908 et 1909 qui sont non reconnus officiellement par la FIGC.

Le dimanche 14 novembre 1909 a lieu pour la premiĂšre fois de l’histoire un match entre les bianconeri et le nouveau club milanais du Foot-Ball Club Internazionale (actuel Inter), créé un an plus tĂŽt en 1908. La Juventus remporte le match, premier d’une longue sĂ©rie, et entame par la mĂȘme occasion le dĂ©but d’une longue rivalitĂ© entre les deux clubs nord-italiens, aujourd’hui appelĂ© le Derby d’Italie.

Pendant la PremiÚre Guerre mondiale, à la suite du décret de mobilisation du gouvernement italien, la FIGC ordonne la suspension du championnat. Les bianconeri cessent ensuite toute activité pendant trois ans.

Au sortir du conflit (pĂ©riode durant laquelle de trĂšs nombreux joueurs de la sociĂ©tĂ© juventina durent partir au front en tant que soldats ou gradĂ©s, et en ressortirent parfois dĂ©corĂ©s, ou parfois tuĂ©s, c’est Corrado Corradini qui prend les rĂȘnes du club, pĂ©riode durant laquelle on note une lĂ©gĂšre amĂ©lioration des rĂ©sultats du club en championnat.

- Les dĂ©buts de l’ùre Agnelli -
1923-1944

« Je suis reconnaissant d’avoir acceptĂ© comme un honneur la prĂ©sidence, mais j’espĂšre ne pas vous dĂ©cevoir en vous confessant que je n’ai aucunement l’intention de juste l’accepter en tant que titre honorifique [
]. Nous devons nous efforcer de bien faire, mais en nous rappelant qu’une chose bien faite peut toujours ĂȘtre mieux faite. » Extrait du discours d’Edoardo Agnelli au moment d’ĂȘtre Ă©lu prĂ©sident de la Juventus. Turin, 24 juillet 1923

Un tournant marqua l’histoire du club pour toujours durant le dĂ©but de l’entre-deux-guerres. L’industriel Edoardo Agnelli de la famille Agnelli rachĂšte le club le 24 juillet 1923. Assurant les joueurs du club d’ĂȘtre rĂ©guliĂšrement payĂ©s avec en prime une automobile de la firme italienne, l’équipe voit alors plusieurs grands noms du football italien rejoindre le club piĂ©montais (comme Virginio Rosetta, qui fut le premier joueur professionnel du club, au centre de l’Affaire Rosetta durant la saison 1923-24). Edoardo se nomme lui-mĂȘme prĂ©sident du club, et c’est cette annĂ©e-lĂ  que l’on voit apparaĂźtre pour la premiĂšre fois un entraĂźneur professionnel (souhait d’Agnelli voulant une structure plus organisĂ©e), dont les premiers en date furent les Hongrois JenƑ KĂĄroly entre 1923 et 1926 puis JĂłzsef Viola de 1926 Ă  1928.

Il fit construire un nouveau stade et aida financiĂšrement cette nouvelle et ambitieuse Juve Ă  remporter son deuxiĂšme Scudetto seulement 2 ans aprĂšs son rachat lors de la saison 1926, en Ă©crasant ses adversaires sans perdre Ă  domicile, et avec la meilleure attaque et meilleure dĂ©fense du tournoi. C’est cette victoire historique, qui lança vĂ©ritablement un fort Ă©lan de popularitĂ© pour le club dans la ville de Turin et ses environs. Pour la premiĂšre fois, sur la tunique bianconera est ensuite cousue l’écusson du scudetto (que les Ă©quipes championnes en titre portent sur leur maillot).

À partir de la saison 1930-31, le FBC Juventus rĂ©alise une des plus grandes performances du football italien, et sans doute une des plus belles pĂ©riodes de son histoire, en remportant cinq scudetti d’affilĂ©e sur une pĂ©riode de 5 saisons (de 1930 Ă  1935), pĂ©riode qui sera surnommĂ©e le Quinquennio d’oro. Premier Ăąge d’or pour la Juve, le club enchaĂźne alors les victoires et les records, mais devient surtout le premier de l’histoire Ă  remporter 5 titres consĂ©cutifs, grĂące Ă  son fameux « Style Juventus » (considĂ©rĂ© comme un modĂšle de rigueur, de discipline et de stabilitĂ©, Ă©tablie par Edoardo Agnelli, et symbolisĂ© par les Trois S (SimplicitĂ©, Serieux, SobriĂ©tĂ©), ainsi que par un important soutien des tifosi dans tout le pays). C’est grĂące Ă  une nouvelle tactique instaurĂ©e par l’entraĂźneur Carlo Carcano, et au renforcement de l’effectif avec les arrivĂ©es de Giovanni Ferrari, Luigi Bertolini et Giovanni Vecchina, venus complĂ©ter une Ă©quipe dĂ©jĂ  expĂ©rimentĂ©e, que la Juventus remporte le premier scudetto de sa sĂ©rie en 1930-31.

La saison suivante, la Dame sort de son centre de formation Felice Borel, alors ĂągĂ© de 18 ans, qui deviendra par la suite un des meilleurs joueurs de l’histoire du club. À la suite d’une phase retour mĂ©morable, la Juve est couronnĂ©e pour la troisiĂšme fois consĂ©cutive championne d’Italie, avec notamment ses 16 victoires Ă  domicile sur 17 matchs, record du football italien.

En 1933-34, les bianconeri emmĂ©nagent dans une nouvelle enceinte moderne, le Stadio Benito Mussolini. Le triple champion national remporte son quatriĂšme trophĂ©e de suite, grĂące Ă  Borel, qui termine pour la seconde fois d’affilĂ©e meilleur buteur du tournoi avec 31 rĂ©alisations.

Lors de la derniĂšre saison de ce quinquennat, c’est le milieu gauche Carlo Bigatto et BenĂš Gola qui prennent le relais de Carcano sur le banc Ă  la mi-saison, dans un effectif d’expĂ©rience, mais qui sort tout de mĂȘme des jeunes formĂ©s au club, Guglielmo Gabetto et Pietro Rava, ajoutĂ©s Ă  l’achat du jeune prometteur Alfredo Foni. Les bianconeri remportent leur 5e scudetto consĂ©cutif lors de la derniĂšre journĂ©e.

« Le lien entre la famille Agnelli et la Juventus, joints par cinq scudetti au dĂ©but des annĂ©es trente, ont posĂ© les bases de ce qui sera le football italien dans la seconde moitiĂ© du dernier siĂšcle. Il fera simplement de l’équipe bianconera la fiancĂ©e d’Italie, la reine indiscutĂ©e de notre football, aimĂ©e par des millions de tifosi du nord au sud de la pĂ©ninsule [
]. » — Guido Luguori et Antonio Smargiasse

Ce fut Ă  partir de cette pĂ©riode que l’équipe, dĂ©sormais la plus soutenue de la pĂ©ninsule, commença Ă  ĂȘtre surnommĂ©e la Vecchia Signora (la Vieille Dame).

Lors de la saison 1936-1937, le club change pour la seconde fois de son histoire son nom, en passant de Foot-Ball Club Juventus Ă  la simple Juventus.

La saison suivante, le club termine second de Serie A mais remporte au mois de mai 1938 la premiĂšre Coppa Italia de son histoire, en battant son vieil ennemi du Torino en finale (1-3 puis 2-1). À la suite de cette coupe d’Italie, le club termine ensuite pour sa premiĂšre saison de Seconde Guerre mondiale Ă  la 3e place du championnat, Ă©galement la premiĂšre saison du jeune du centre de formation Carlo Parola, future lĂ©gende du club.

Pour la saison 1941-1942, la Vieille Dame emmenĂ©e par son entraĂźneur-joueur Giovanni Ferrari et dotĂ©e d’un effectif talentueux comme Vittorio Sentimenti III, Ugo Locatelli, l’albanais Riza Lushta ou encore RaĂșl Banfi, gagne sa seconde Coupe d’Italie contre le Milan en finale.

La saison suivante, Felice Borel devient le 6e entraĂźneur du club en 7 ans au cours d’une saison mouvementĂ©e. En effet, Ă  la suite des consĂ©quences de la guerre dans laquelle l’Italie fasciste Ă©tait impliquĂ©e, la ville de Turin est fortement bombardĂ©e par les AlliĂ©s durant l’hiver 1942. La Juventus, pour pouvoir continuer Ă  s’entraĂźner en sĂ©curitĂ©, fut alors transfĂ©rĂ©e Ă  Alba, ville du sud du PiĂ©mont dans la province de Coni, et ce jusqu’à la fin du printemps 1943. Dans cette ville, la Juventus change alors de nom, la sociĂ©tĂ© bianconera se faisant dĂ©sormais appeler la Juventus-Cisitalia, rĂ©fĂ©rence Ă  la marque d’automobile Cisitalia créée par le pilote automobile et prĂ©sident du club depuis 1941 Piero Dusio.

- L’aprùs-guerre et le renouveau -
1945-1971

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la sociĂ©tĂ© rechange Ă  nouveau de patronyme pour adopter en 1945 le nom de Juventus Football Club, toujours utilisĂ© actuellement, son stade changeant quant Ă  lui Ă©galement son nom, dĂ©laissant l’appellation de Stadio Benito Mussolini pour le dĂ©sormais Stadio Communale.

Lors de la saison suivante, en 1947-1948, c’est le jeune Gianni Agnelli dit « l’Avvocato » (fils d’Edoardo, Ă©galement supporter et propriĂ©taire du club), qui reprend la tĂȘte de la Juventus en tant que prĂ©sident pour le cinquantenaire de l’équipe.

Un an plus tard dĂ©barquent dans l’effectif les premiers joueurs scandinaves du club, avec les danois Johannes PlĂžger et surtout John Hansen (future lĂ©gende bianconera). C’est lors de la saison 1949-1950, avec l’anglais Jesse Carver sur le banc et son jeu orientĂ© vers l’offensif, que la Vieille Dame remporte Ă  nouveau un titre de champion d’Italie, son 8e scudetto. En outre, dans le cadre des retransmissions expĂ©rimentales de la RAI (qui Ă©mettront officiellement le 3 janvier 1954), la rencontre de Serie A de la saison 1949-50 Juventus FC — AC Milan du 5 fĂ©vrier 1950 fut l’objet du premier direct tĂ©lĂ©visĂ© national.

La Juve gagne un nouveau titre de champion national en 1951-1952 pour la 50e édition du championnat, puis atteint le podium lors de sa premiÚre participation à la Coupe Latine, le tout sous la direction du hongrois György Sårosi.

Les années suivantes furent pourtant difficiles pour la Juventus, pour une saison avec comme résultat final une décevante 7e place.

La saison suivante, le frĂšre cadet de Gianni, Umberto Agnelli, reprend la tĂȘte du club et devient le plus jeune prĂ©sident de l’histoire de la Juventus . Cette saison, avec un record de 17 matchs nuls, fit terminer le club entraĂźnĂ© par Sandro Puppo Ă  la 12e place du classement, le club continuant mĂȘme sur sa sĂ©rie noire lors de la saison d’aprĂšs (9e place).

« Ici il faut toujours lutter et quand tout semble perdu, y croire encore, la Juve ne se rend jamais. » — Omar SĂ­vori

Umberto Agnelli décide alors de réagir et de redresser sa Juve en crise, et, lors de la saison 1957-1958, investit sérieusement dans le secteur offensif.

Le yougoslave LjubiĆĄa Broćić dĂ©barque sur le banc, secondĂ© car ne parlant pas l’italien par l’ex-milieu bianconero Teobaldo Depetrini. Un nouvel attaquant argentin en provenance de River Plate, est alors acquis, avec l’arrivĂ©e de l’oriundo Omar SĂ­vori achetĂ© pour une somme Ă  l’époque record de 160 000 lires. Le deuxiĂšme gros transfert est ensuite fait avec l’arrivĂ©e de l’attaquant gallois John Charles, achetĂ© 65 000 ÂŁ Ă  Leeds United.

Cette nouvelle paire offensive, ajoutĂ©e Ă  l’expĂ©rience du capitaine juventino Giampiero Boniperti, formĂšrent dĂšs lors un des plus cĂ©lĂšbres et efficaces trios offensifs de l’histoire du football, appelĂ© le « Trio magique », Ă©galement appelĂ© le Trio Boniperti-Charles-SĂ­vori.

Le trio s’illustre dĂšs sa premiĂšre saison et remporte aprĂšs des annĂ©es sans titres le scudetto de saison 1957-1958 Ă  8 points de la Fiorentina, le 10e du club (« scudetto de la premiĂšre Ă©toile »), synonyme d’une Ă©toile Ă  coudre sur le maillot bianconero (la Vieille Dame fut la premiĂšre Ă©quipe au monde Ă  arborer une Ă©toile sur son maillot, synonyme d’un certain nombre de victoires).

La saison suivante, l’effectif termine Ă  la 4e place de la Serie A 1958-1959, mais participe pour la premiĂšre fois Ă  la C1. Le Ballon d’or 1958 voit lui pour la premiĂšre fois de l’histoire du club plusieurs joueurs bianconeri finir dans le classement final, John Charles terminant Ă  la 4e place, Bruno NicolĂš et Giampiero Boniperti finissant eux respectivement aux 19e et 25e place. C’est au cours de cette saison que le Trio magique termine l’annĂ©e avec un second titre en deux ans, la Coupe d’Italie en battant l’Inter 4-1 en finale.

John Charles finit 3e au Ballon d’or 1959 avec 24 points, et Omar SĂ­vori termine avec ses 28 buts meilleur buteur du championnat, que la Juventus remporte avec succĂšs Ă  nouveau devant la Fiorentina. En plus de cette Serie A, la Juventus devient le second club de l’histoire du calcio (aprĂšs le Torino en 1942-1943) Ă  rĂ©aliser le doublĂ© Coupe-Championnat en une saison.

En 1960-1961, le club du Piémont, toujours aidé de son trio offensif trÚs prolifique, fait son retour en C1 et remporte à nouveau le scudetto .

Ce fut au terme de cette saison que le capitaine Giampiero Boniperti, dit Marisa, choisit de prendre sa retraite Ă  l’ñge de 33 ans, jouant son dernier match lors d’une victoire historique 9-1 sur son rival lombard de l’Inter le 10 juin 1961, avec un sextuplĂ© de SĂ­vori. Le dĂ©part de Boniperti (auteur de 181 buts toutes compĂ©titions confondues sous les couleurs de la Juve, qui resta le meilleur buteur de l’équipe pendant 45 ans) marqua donc la fin du Trio magique, l’un des plus cĂ©lĂšbres trios d’attaquants de tous les temps.

« Dans cette Ă©quipe, il y avait la puissance galloise de John, la fantaisie argentine de SĂ­vori et la sagesse tactique italienne de Boniperti. » — Mario Gherarducci.

La saison suivante, malgrĂ© des performances nationales mĂ©diocres, les juventini parviennent tout de mĂȘme jusqu’en quarts-de-finale de la Coupe des clubs champions, parvenant Ă  faire chuter le grand Real Madrid de Di StĂ©fano et PuskĂĄs chez lui Ă  Santiago BernabĂ©u devant plus de 100 000 spectateurs. C’est Ă©galement au cours de cette saison que la consĂ©cration individuelle arrive enfin, Omar SĂ­vori devenant le premier joueur de l’histoire du club Ă  recevoir le Ballon d’or, le 12 dĂ©cembre 1961.

Ce n’est que lors de la saison 1964-1965 que l’effectif, menĂ© sur le banc par l’inflexible et caractĂ©riel paraguayen Heriberto Herrera, remporte Ă  nouveau un titre avec une coupe d’Italie. Cette saison, la derniĂšre d’Omar SĂ­vori, voit ensuite les bianconeri pour la premiĂšre fois ĂȘtre finalistes de la Coupe des villes de foires (ancĂȘtre de la C3), premiĂšre finale continentale d’une compĂ©tition majeure. La Fidanzata d’Italia d’Herrera porte donc tout de suite ses fruits et remporte enfin un nouveau scudetto en 1966-1967, le premier depuis la fin de l’ùre Trio magique. Ce titre marque une page de l’histoire de l’équipe, dĂšs lors surnommĂ©e la « Juve Operaia ».

C’est donc Ă  partir de cette annĂ©e 1967 que se forgea la dĂ©sormais cĂ©lĂšbre et intense rivalitĂ© entre le club piĂ©montais et les lombards de l’Inter dans un match appelĂ© le derby d’Italia (les deux rĂ©gions du nord se partageant Ă  l’époque la suprĂ©matie sur le calcio).

- La Juve Ă  la conquĂȘte de l’Europe et du monde -
1971-1988

« À la Juventus, gagner n’est pas important. C’est l’unique chose qui compte. » — Giampiero Boniperti

Le 13 juillet 1971 a lieu un Ă©vĂšnement qui va changer l’histoire du club, avec l’arrivĂ©e au poste de prĂ©sident de l’ancienne gloire bianconera Giampiero Boniperti. RecrutĂ© pour son sĂ©rieux, son efficacitĂ© et sa passion, Boniperti, adepte du « Style Juventus », s’investit dĂšs lors grandement dans le club de son cƓur, inscrivant la Juve dans un nouveau cycle victorieux.

Le travail de Boniperti porte tout de suite ses fruits puisque les bianconeri terminent champions d’Italie de la Serie A 1971-1972, pour un nouveau trophĂ©e en vitrine attendu Ă  Turin depuis cinq ans.

La saison suivante reste Ă©galement trĂšs aboutie puisque la Juve, pour ses 75 ans et en plus d’ĂȘtre parvenue jusqu’en finale de la coupe, remporte sur le fil lors des derniĂšres minutes du match de l’ultime journĂ©e son second scudetto de suite Ă  un point du Milan.

Mais le principal fait marquant de cette saison reste sans conteste la premiĂšre qualification de l’histoire pour une finale de C1. Le 30 mai 1973 a donc lieu Ă  Belgrade la finale de la Coupe des clubs champions 1972-1973 contre la machine de l’Ajax et son « football total », une des plus talentueuses formations de l’histoire du football comptant parmi ses rangs quelques-uns des plus formidables joueurs de leur gĂ©nĂ©ration comme Neeskens ou Cruijff. C’est le nĂ©erlandais Rep qui inscrit l’unique but du match, donnant la victoire au club d’Amsterdam.

À la suite de cette premiĂšre grande finale europĂ©enne, la Juventus se rĂ©vĂšle enfin aux yeux de l’Europe, Ă©tant dĂ©sormais crainte et respectĂ©e sur la scĂšne continentale.

Aprùs deux demi-finales respectives (en coupe et en C3), la Goebba s’adjuge au mois de mai son 16e titre de champion national 1974-1975.

La saison 1976-1977 marque une nouvelle Ăšre dans l’histoire du club, avec l’intronisation sur le banc du jeune et ex-entraĂźneur du Milan Giovanni Trapattoni, inexpĂ©rimentĂ© mais trĂšs appreciĂ© de Boniperti.

Son Ă©quipe entre dans l’histoire, lorsque les 4 et 18 mai 1977, la Juventus Football Club remporte (quatre ans aprĂšs une premiĂšre finale europĂ©enne en C1) le premier titre international officiel de son histoire, avec la Coupe de l’UEFA 1976-1977, en battant les basques de l’Athletic Bilbao. La Vieille Dame, en plus d’ĂȘtre le premier club de l’histoire Ă  remporter une C3 avec un effectif composĂ© Ă  100 % de joueurs locaux, et Ă©galement le premier club italien Ă  gagner une coupe d’Europe avec uniquement des joueurs italiens devient surtout la premiĂšre Ă©quipe italienne Ă  remporter la C3.

« Dans la capitale de la Biscaye, la Juventus reprĂ©sentait l’Italie, aussi en tribune de presse nous nous sentions tous bianconeri. » — Elio Domeniconi.

Aussi quatre jours aprĂšs son succĂšs continental et l’affirmation internationale des clubs italiens en Europe, les juventini remportent un scudetto spectaculaire et mĂ©morable avec 51 points (un record pour la Serie A Ă  16 clubs), soit un de plus que leur rivaux du Torino.

C’est cette mĂȘme annĂ©e que l’international français Michel Platini rejoint le club et finira trois fois de suite Ballon d’or en 1983, 1984 et 1985. En l’espace de cinq ans, ils vont s’imposer comme le meilleur club europĂ©en. Ils perdront tout d’abord une seconde finale de Coupe des champions, face Ă  Hambourg SV en 1983, mais remporteront l’annĂ©e suivante la Coupe d’Europe des Vainqueurs de Coupe ainsi que la Supercoupe de l’UEFA et la Serie A.

L’équipe se montrera rapidement imbattable. Elle gagnera enfin sa premiĂšre Ligue des champions (1 Ă  0 face au Liverpool FC), dans l’épouvantable cauchemar du Heysel, oĂč 39 supporters italiens trouvĂšrent la mort, Ă©touffĂ©s lors d’échauffourĂ©es. Elle terminera l’annĂ©e 1985 en beautĂ© en remportant Ă©galement la Coupe intercontinentale, Ă©quivalent de la Coupe du monde des clubs.

Le 12 juillet 1988 Ă  GenĂšve, le prĂ©sident de l’UEFA de l’époque Jacques Georges remit au prĂ©sident de la Vieille Dame Giampiero Boniperti le trophĂ©e de la Plaque UEFA, titre honorifique rĂ©compensant le club pour avoir Ă©tĂ© le premier Ă  remporter les trois compĂ©titions majeures inter-clubs de l’UEFA : la Coupe des clubs champions, la Coupe des coupes et la Coupe UEFA.

Le dĂ©but des annĂ©es 1990 furent difficiles pour le club piĂ©montais, malgrĂ© quelques gros coups sur le marchĂ© des transferts comme l’attaquant international italien Roberto Baggio.

- La Triade, la deuxiÚme fois au sommet du monde, autres victoires et déclin -
1994-2006

La Vieille Dame ne reviendra au sommet de sa gloire qu’avec l’arrivĂ©e de Luciano Moggi comme directeur gĂ©nĂ©ral et de Marcello Lippi au milieu des annĂ©es 1990.

Ils rendront ses titres de noblesse Ă  la Juventus, notamment en remportant le Scudetto en 1995 et la Ligue des champions en 1996 avec les cadres Gianluca Vialli, Roberto Baggio, Ciro Ferrara ou encore le jeune Alessandro Del Piero. Ils prendront leur revanche puisque ce sera aux dĂ©pens de l’Ajax Amsterdam.

Le 26 novembre 1996, la Juve a remportĂ© sa deuxiĂšme Coupe intercontinentale. Ils arriveront en finale de la Ligue des champions en 1997 et 1998, et contribueront durant ces annĂ©es au succĂšs de grands joueurs comme ZinĂ©dine Zidane, Filippo Inzaghi, ou Edgar Davids. Ils gagneront Ă©galement le Scudetto en 1997 et 1998, ainsi que la supercoupe de l’UEFA 1996.

Signeront ensuite dĂšs le dĂ©but des annĂ©es 2000 Gianluigi Buffon, Pavel Nedvěd, Lilian Thuram, ou encore David Trezeguet, la Juve gagnant le Scudetto en 2002 et 2003, tout en atteignant la finale de la Ligue des champions en 2003 perdue aux tirs au but contre le Milan.

En mai 2006, la Juventus (avec la SS Lazio, l’ACF Fiorentina, le Milan AC et la Reggina) sera au centre d’un scandale majeur concernant la dĂ©signation des arbitres dans le championnat italien. Luciano Moggi dĂ©missionnera de son poste de directeur gĂ©nĂ©ral et sera mis en examen. Le tribunal requerra une relĂ©gation en Serie C (troisiĂšme division) ainsi qu’une pĂ©nalitĂ© de 6 points, puis sera finalement rĂ©trogradĂ©e en Serie B avec une pĂ©nalitĂ© de 17 points puis, finalement, de 9 points. Ses titres de champion des saisons 2004-05 et 2005-06 seront annulĂ©s, et le titre de la saison sera finalement attribuĂ© Ă  l’Inter de Milan. La suite de l’enquĂȘte sur Calciopoli montre plusieurs appels de Massimo Moratti, l’ancien dirigeant interiste Giacinto Facchetti, d’Adriano Galliani et d’autres dirigeants italiens Ă  des arbitres et membres de la fĂ©dĂ©ration italienne.

À la suite du dĂ©part de nombreux joueurs, notamment Gianluca Zambrotta qui fut rĂ©vĂ©lĂ© par la Juventus, Fabio Cannavaro, Patrick Vieira, Lilian Thuram et Zlatan Ibrahimović, Deschamps donne une chance Ă  des joueurs tels que Claudio Marchisio et Sebastian Giovinco qui reprĂ©sentent l’avenir de l’équipe mais aussi la qualitĂ© de son centre de formation.

Le 19 mai 2007, la Juventus remontera en Serie A et terminera championne de Serie B un an aprĂšs les rĂ©vĂ©lations qui dĂ©clenchĂšrent le scandale du Calciopoli. Le 26 mai Didier Deschamps dĂ©missionnera du poste d’entraĂźneur de la Juventus et sera remplacĂ© le 4 juin par Claudio Ranieri.

- Retour hasardeux en Serie A -
2007-2011

Lors du championnat 2007-2008, l’équipe se battra avec les meilleurs. De nouveaux talents Ă©cloront comme Antonio Nocerino ou Raffaele Palladino. Les anciens sont restĂ©s et une grande Ă©quipe est alors construite, capable de battre l’Inter de Milan, l’AC Milan ou l’AS Roma. Alessandro Del Piero, emblĂšme du club, devient le joueur ayant disputĂ© le plus de matches avec la Juventus.

La saison 2007-2008 voit la Juventus revenir dĂ©finitivement vers le podium. David Trezeguet, manifestement trĂšs efficace, devient le plus grand buteur français de l’histoire de la Serie A, passant devant Michel Platini. Pavel Nedvěd reste un terrible milieu offensif, et Del Piero, 34 ans, est au sommet de sa forme. Del Piero et Trezeguet, 21 et 20 buts, sont les deux meilleurs buteurs de Serie A. La Juventus finit troisiĂšme du Championnat, derriĂšre l’Inter et l’AS Roma, elle se qualifie donc pour le 3e tour prĂ©liminaire de la Ligue des champions.

En 2009-2010, malgrĂ© une Ă©quipe admirable sur le papier, la Juve finira 7e, une place indigne pour un tel club mais mĂ©ritĂ©e au vu des piĂštres performances de ses joueurs durant toute la saison. Seule une place pour le 3e tour de qualification de la Ligue Europa 2010-2011 sera la rĂ©compense d’une saison que les tifosi bianconeri prĂ©fĂšreront oublier.

La saison 2010-2011 marque un total renouveau pour la Juventus avec l’arrivĂ©e d’Andrea Agnelli aux commandes qui succĂšde Ă  Jean-Claude Blanc. MalgrĂ© de bons rĂ©sultats en premiĂšre partie de championnat, la Juventus reste fĂ©brile sur la scĂšne europĂ©enne et quitte prĂ©maturĂ©ment la Ligue Europa au stade de la phase de groupe, Ă©liminĂ©e par Manchester City et les Polonais du Lech PoznaƄ, deuxiĂšme. Le club enchaĂźne ensuite les mauvais rĂ©sultats, elle ne rĂ©ussira pas Ă  se qualifier pour la ligue des champions en terminant septiĂšme.

- Domination en Serie A et nouveau cycle européen -
2011 Ă  2023

Avec la saison 2011-2012, la Juventus entame un cycle de 8 Scudetti consĂ©cutifs. La Juventus attaque en effet la saison 2011-2012 avec un nouvel entraĂźneur, Antonio Conte, et recrute Andrea Pirlo. La Juventus remporte le championnat sans perdre le moindre match mais Ă©choue nĂ©anmoins en finale de la Coupe d’Italie, s’inclinant 2-0 contre Naples. Elle remporte le championnat avec 4 points d’avance sur le Milan AC et avec la meilleure dĂ©fense, rĂ©ussissant ainsi un retour au sommet aprĂšs les deux annĂ©es consĂ©cutives Ă  la septiĂšme place.

La Juventus remporte Ă  nouveau le championnat en 2013 et en 2014. Durant la saison 2013-2014, elle rĂ©alise un parcours dĂ©cevant en Ligue des champions, marquĂ© par la dĂ©faite face au Galatasaray. RepĂȘchĂ©e en Ligue Europa, la Juventus arrive jusqu’en demi-finale mais Ă©choue face au Benfica Lisbonne sur les scores de 2-1 au Portugal et de 0-0 au Juventus Stadium.

Lors de la saison 2014-2015, Antonio Conte laisse le banc du club en direction de la Nazionale, c’est alors Massimiliano Allegri, ex-entraĂźneur du Milan AC, qui reprend le banc des bianconeri. La Juventus remporte le championnat d’Italie et la Coupe d’Italie. Sur la scĂšne europĂ©enne, le club turinois s’incline en finale de la Ligue des champions contre le FC Barcelone (3-1) aprĂšs avoir notamment Ă©liminĂ© les champions en titre madrilĂšnes en demi-finale.

Lors de la saison 2015-2016, la Juventus parvient Ă  conserver le titre pour la cinquiĂšme saison consĂ©cutive, et ce malgrĂ© un dĂ©part ratĂ©, grĂące Ă  une sĂ©rie impressionnante de 25 victoires en 26 matchs, seulement entrecoupĂ©e d’un nul 0-0 Ă  Bologne. En Ligue des champions, la Juventus manque de peu de sortir le Bayern Munich en huitiĂšmes de finale. La Juve affronte Ă©galement l’AC Milan en finale de Coupe d’Italie le 21 mai, match qu’elle emporte 0-1 aprĂšs prolongation. Lors du mercato estival, elle vend Paul Pogba Ă  Manchester United pour une somme record de 105 millions + 5 millions de bonus.

La saison 2016-2017 est marquĂ©e par un changement de systĂšme avec notamment le passage de Mario MandĆŸukić en ailier. La Vieille Dame remporte Ă  nouveau le championnat et la coupe pour la troisiĂšme annĂ©e consĂ©cutive et parvient mĂȘme jusqu’en finale de Ligue des champions en ayant battu le FC Porto, Barcelone et Monaco. Cependant elle perd face au Real Madrid en finale sur le score sans appel de 4-1, 2 ans aprĂšs avoir battu cette mĂȘme Ă©quipe en demi-finale en 2015. Durant la saison, la sociĂ©tĂ© dĂ©cide de changer le logo de la Juventus et de donner un nom commercial Ă  son stade, appelĂ© Allianz Stadium.

Pour la campagne 2017-2018, la Juventus fait face Ă  la concurrence de Naples sur la scĂšne nationale. À la mi-saison, le Napoli vire en tĂȘte avec un point d’avance sur la Juve. Au soir de la 27e journĂ©e, les coĂ©quipiers de Marek Hamsik sont encore devant la Vieille Dame qui compte toujours un point de retard, mais avec un match en moins. En parallĂšle de la Serie A, les Bianconeri rĂ©alisent un parcours mouvementĂ© en Ligue des champions. En quart de finale, la Juventus retrouve le Real Madrid et va subir une leçon de la part du club madrilĂšne au match aller Ă  Turin, avec en apothĂ©ose un superbe ciseau retournĂ© de Cristiano Ronaldo, qui lui vaudra les ovations et les applaudissements lors de sa sortie. N’ayant plus rien Ă  perdre au match retour, les turinois sont proches de l’exploit de rĂ©ussir une improbable remontĂ©e Ă  Madrid, menant 3 Ă  0 dans les arrĂȘts de jeu, la Vieille Dame sera finalement Ă©liminĂ©e sur un penalty Ă  la derniĂšre seconde, trĂšs contestĂ© par les turinois et notamment son capitaine, Gianluigi Buffon.

Ce dernier, terminant sa grande carriĂšre en Italie sur un dernier doublĂ© national, quitte le PiĂ©mont pour le Paris SG. Une page se tourne avec le dĂ©part de son capitaine mais, durant l’étĂ©, les dirigeants de la Juventus parviendront Ă  chiper au Real Madrid, l’immense star et quintuple Ballon d’or, Cristiano Ronaldo pour environ 105 millions d’euros dans ce que les mĂ©dias italiens ont appelĂ©s « l’affaire du siĂšcle Â». Ce transfert est rĂ©alisĂ© alors que les recettes de la Juventus ont plus que doublĂ© en cinq ans (+107 %. Lors des huitiĂšmes de finale de la ligue des champions 2018-2019 battu 2-0 par l’Atletico Madrid au Wanda Metropolitano, un Cristiano Ronaldo des grands soirs permet Ă  la Juve de se qualifier sur le score de 3-0 au retour. Lors des quarts de finale, la Juve trouve les bourreaux du triple tenant du titre, l’Ajax Amsterdam, aprĂšs avoir accrochĂ© le match nul 1-1 Ă  la Johan Cruyff ArenA, les Bianconeri, bien qu’ayant ouvert le score, se font Ă©liminer par les Ajacides sur le score de 2-1.

En janvier 2023, lors de la saison 2022-2023, la Juventus est sanctionnĂ©e de 15 points de pĂ©nalitĂ© par la Cour d’appel de la FĂ©dĂ©ration italienne, en raison de fraudes comptables lors de transferts de joueurs entre 2018 et 2021 ; le club annonce faire appel. Le club est auditionnĂ© en avril 2023, et la pĂ©nalitĂ© de 15 points est suspendue. En mai 2023, La Juventus Ă©cope d’une pĂ©nalitĂ© de 10 points en raison de fraudes comptables.

- Déclin et retour à la normalité -
2023 - Maintenant

MalgrĂ© ces sanctions, la Juventus va rĂ©ussir Ă  finir la saison 2023/2024 sur le podium mais cette saison sera en rĂ©alitĂ© en trompe l’oeuil avec un Ă©limination dĂ©cevante en Coppa Italia. Le club va ensuite connaĂźtre des annĂ©es d’errances malgrĂ© des recrutements parfois onĂ©reux pour des rĂ©sultas dĂ©cevants. Pendant presque dix ans le club va vĂ©gĂ©tait entre la troisiĂšme et la cinquiĂšme place sans pouvoir inquiĂȘter le trio de tĂȘte formĂ© par le Napoli et les deux clubs de Milan. En Coppa Italia, le club se fera rĂ©guliĂšrement Ă©liminĂ© au stade des quarts de finale. La seule Ă©clairci de cette dĂ©cennie fut le sacre en EA Sport FC Supercup en 2029.

Sur la scĂšne europĂ©enne le club se hissera plusieurs fois en huitiĂšmes de finale de Champion’s League sans parvenir Ă  aller plus loin.

D’un point de vue technique Thomas franck remplaçera Massimo Allegri en 2027 sans toutefois noter une changement notable pour les performances sportives. En 2032, Andrea Agnelli retrouve enfin son poste de prĂ©sident et promet de ramener la Juventus Ă  une place plus conforme avec le statut du club. Il nomme Pavel Nedved au poste de directeur sportif et convainc le crack du coaching Anibal GuimarĂŁes de rejoindre le club. Une politique ambitieuse de recrutement accompagne ces signatures.

- riconoscimenti -
palmarĂšs

La Juventus est le club le plus titrĂ© d’Italie et de loin en ce qui concerne le championnat ou la Coppa Italia. Sur la scĂšne europĂ©enne, les deux clubs de Milan compte en revanche plus de sacres. Le club compte plus de 72 titres Ă  ce jour et rien que pour sa section professionnelle.

-
:fifa: :grootwc: Coupe Intercontinentale :trophy: 2 1985,1996
:uefa: :grootsc: Supercoupe d’Europe :trophy: 2 1984,1996
:uefa: :grootchampions: UEFA Champion’s League :trophy: 2 1985,1996
:uefa: :europa: UEFA Europa League :trophy: 3 1977,1990,1993
:uefa: Coupe d’Europe des vainqueurs de coupes :trophy: 1 1984
:italy: :seriea: Lega Serie A :trophy: 37 1905,1926,1931,1932,1933,1934,1935,
1950,1952,1958,1960,1961,1967,
1972,1973,1975,1977,1978,1981,
1982,1984,1986,1995,1997,1998,
2002,2003,2005,2012,2013,2014,
2015,2016,2017,2018,2019,2020
:italy: :serieb: Lega Serie B :trophy: 1 2007
:italy: :copa_italia: Coppa Italia :trophy: 14 1938,1942,1959,1960,1965,1979,1983,
1990,1995,2015,2016,2017,2018,2021
:italy: :supercopa_italiana: EASport FC Supercup :trophy: 10 1995,1997,2002,2003,2012,2013,
2015,2018,2021,2028

- identitĂ  di club -
Identité du club

Durant son histoire, le club a acquis un certain nombre de surnoms, dont la Vecchia Signora (« la Vieille Dame ») en est le meilleur exemple. Le mot « vieille » est un jeu de mots en rĂ©fĂ©rence Ă  la Juventus qui signifie « jeunesse » en latin, qui fut dĂ©rivĂ© ainsi Ă  cause de l’ñge des joueurs clĂ©s de la Juventus vers le milieu des annĂ©es 1930. Le mot « dame », quant Ă  lui, vient du fait de la grande affection que portaient les fans envers leur club dĂšs les annĂ©es 1920. On commença vĂ©ritablement Ă  appeler le club ainsi, en rĂ©fĂ©rence Ă  la longĂ©vitĂ© de la Juve (un des plus vieux clubs du pays), ainsi que par ses scudetti acquis durant les annĂ©es 1930 grĂące Ă  des trentenaires d’expĂ©rience (les joueurs Luigi Bertolini, Giovanni Ferrari et Luis Monti avaient tous plus de 30 ans).

Le club est aussi appelĂ© la Fidanzata d’Italia (La fiancĂ©e d’Italie), en rĂ©fĂ©rence Ă  l’époque oĂč l’équipe commença Ă  recevoir un fort soutien de la part des autres rĂ©gions d’Italie, surtout des immigrĂ©s venus du sud du pays (principalement de la Campanie et de Palerme), arrivĂ©s Ă  Turin pour travailler Ă  la FIAT depuis la dĂ©cennie 1930. Le surnom de fiancĂ©e d’Italie trouve son origine dans l’aspect social gĂ©nĂ©rĂ© aprĂšs le premier grand cycle de victoires du club (le Quinquennat d’or entre 1930 et 1935), pour les succĂšs juventini toujours de plus en plus soutenus dans la pĂ©ninsule, jusqu’à ce que le club devienne le plus supportĂ© du pays.

On surnomme Ă©galement l’équipe i Bianconeri (les blancs et noirs), ou encore le Zebre (les zĂšbres) en rĂ©fĂ©rence aux couleurs de la Juventus, ou encore i Gobbi (les bossus), Ă  cause des dos bossus des « vieilles dames ».

- emblema ufficiale -
emblĂšme officiel

L’emblĂšme officiel de la Juventus Football Club a changĂ© au fil de l’histoire, subissant quelques modifications depuis la dĂ©cennie 1920. L’avant-derniĂšre modification du logo de la Vieille Dame fut entreprise juste avant la saison 2004–05. Les deux animaux pouvant se raccorder comme emblĂ©matiques du club de la Juventus sont le taureau, symbole de la ville de Turin, ainsi que le zĂšbre, surnom des joueurs du club, en rĂ©fĂ©rence Ă  leurs maillots rayĂ©s en blancs et noirs.

Avant 2004, le club usait d’un emblĂšme quelque peu similaire, avec la silhouette d’un taureau noir superposĂ© sur un Ă©cu dorĂ©, surmontĂ© d’une couronne murale dorĂ©e, le tout entourĂ© d’or autour de l’écu, lui-mĂȘme surmontĂ© de deux Ă©toiles dorĂ©es.

Jusqu’en 2017, l’emblĂšme du club est un Ă©cu ovale divisĂ© en cinq bandes verticales, deux bandes blanches et trois bandes noires, Ă  l’intĂ©rieur duquel on trouve les Ă©lĂ©ments suivants : dans la partie haute, on peut voir le nom de la sociĂ©tĂ© (JUVENTUS) superposĂ© sur un rectangle convexe blanc, le tout au-dessus d’une courbure dorĂ©e (l’or signifiant l’honneur). La silhouette blanche d’un taureau cabrĂ©n se trouve dans la partie basse, superposĂ© sur un bouclier noir de type Ă©cu français, au-dessus duquel se tient une couronne noire.

Le 16 janvier 2017 Andrea Agnelli annonce un changement d’identitĂ© avec la prĂ©sentation d’un nouveau badge utilisĂ© dĂšs juillet 2017. Ce badge est formĂ© du mot « Juventus » surmontant un double « J ». Selon Agnelli, cette nouvelle identitĂ© capture l’ADN de la Juventus en rappelant les lignes noire et blanche du maillot, le scudetto de la victoire ainsi que la lettre « J » emblĂ©matique du club.

- Maglia ufficiale -
Maillots officiels

La Juventus joue lors de ses matchs à domicile sous un maillot à rayures noires et blanches, ainsi qu’un short et des chaussettes noires ou blanches, et ce depuis 1903.

À l’origine, elle Ă©volue tout d’abord avec un maillot rose Ă  cravate noire et un pantalon noir. Le pĂšre d’un des joueurs leur avait confectionnĂ© ces premiers jeux de maillots, perdant par la suite petit Ă  petit leur couleur d’origine, constamment dĂ©lavĂ©s aprĂšs chaque lavage.

C’est alors que la direction se dĂ©cida Ă  remplacer ses maillots. Selon la lĂ©gende, un Anglais du nom de John Savage, joueur de la Juventus et nĂ©gociant en gros de produits textiles Ă  Turin, vit les maillots de couleur rose pĂąle des joueurs, et leur proposa de changer leur uniforme, achetant en Angleterre un lot nouveau et plus complet de maillots roses avec bords blancs similaires Ă  ceux utilisĂ©s par le club de Notts County. Une fois le colis reçu, Savage se mit de suite en contact avec une fabrique de textile de Nottingham et commanda un nouveau lot de vieux maillots usĂ©s roses et noires. Il vit le maillot rose colorĂ©, avant de penser qu’il serait mieux en blanc et noir. Par chance, ces couleurs bianconere Ă©taient portĂ©es par le club nottinghamien et supportĂ© par un de ses amis de Notts County, une des plus vieilles Ă©quipes du championnat anglais de football et rivale historique des Garibaldi, et il pensa donc bien faire en faisant envoyer en Italie une dotation de maillots identiques Ă  ceux des Magpies.

À Turin, lorsque fut ouvert le gros paquet postal, les quinze maillots Ă  bandes verticales blanches et noires avec un col blanc ne plurent pas au dĂ©part, mais, avec le dĂ©but du championnat approchant, il n’y eut pas d’autres alternatives pour les juventini, et durent donc les porter avec des pantalons et chausettes de couleur noire, avec parfois des lacets Ă  la hauteur du col. Ce maillot dont on disait qu’il « portait bonheur » fut alors l’officiel de l’équipe turinoise, avant de devenir un des plus cĂ©lĂšbres au monde:

« [La] Juve porta les maillots [bianconeri] depuis lors, Ă©tant donnĂ© les couleurs agressives et fortes. Un exemple de comment le Notts a contribuĂ© Ă  modeller un des plus grands club au monde et la preuve de ceci est que le maillot de la Juventus est immĂ©diatement reconnaissable dans le monde entier. » — Partie de l’histoire officielle du Notts County.

Le club a conservĂ© ces couleurs jusqu’aujourd’hui, les considĂ©rant comme « agressives et synonymes de pouvoir ».

La formation juventina qui remporta son premier scudetto en 1905, deux ans aprĂšs l’abandon du maillot rose, portait sur la poitrine huit bandes qui changĂšrent successivement: avec un minimum de sept et un maximum de neufs comme durant les formations du mythique Quinquennio d’oro (de 1930-31-1934-35). Durant ces annĂ©es, le maillot subit une retouche: un col « V » qui remplace dĂ©sormais le col Danton. Les shorts deviennent blancs avec deux bandes blanches introduites sur les chausettes noires sous le genou.

Maillot Home Maillot Away Maillot Third
kit kit kit

- Stadio Juventus -
Le stade

Le Juventus Stadium, également connu sous le nom commercial Allianz Stadium, est un stade de football situé dans la ville italienne de Turin, dans le Piémont, qui accueille les matchs à domicile de la Juventus Football Club.

Avec 41 507 places, il est le huitiĂšme stade d’Italie en termes de capacitĂ©.

Le stade a ouvert ses portes pour la saison 2011-2012 et a une capacitĂ© de 41 000 spectateurs. Il est construit sur le site de l’ancien stade de la Juventus, le Stadio delle Alpi (dĂ©moli entre 2007 et 2008), propriĂ©tĂ© du club depuis juin 2002.

L’inauguration a eu lieu le 8 septembre 2011, de façon concomitante avec la cĂ©lĂ©bration du 150e anniversaire de l’UnitĂ© italienne.

La Juventus a vendu l’exclusivitĂ© du nom du stade Ă  Sportfive Italia jusqu’au 30 juin 2023. La Juventus recevra un minimum de 7 millions d’euros par an.

JuventusStadium

LÉGENDE
NOM Stadio Juventus
INAUGURATION 2011
TAILLE 41 507 Places
état Neuf

- Statistiche individuali -
Records individuels

Voici le Hall of Fame de la Juventus, au vu de la longue et riche histoire de la Juventus, il n’est pas aisĂ© de s’installer dans ces classements.

- giocatori piĂč utilizzati -
joueurs les plus capés

-
Nat Nat Identité APP buts
Nat Nat Identité APP buts
:italy: Alessandro del piero 705 290
:italy: Gianluigi Buffon 685 0
:italy: Giorgio Chiellini 561 36
:italy: Gaetano Scirea 550 32
:italy: Giuseppe Furino 528 19
:italy: Leonardo Bonucci 502 37
:italy: Roberto Bettega 482 179
:italy: Dino Zoff 473 0
:italy: Giampiero Boniperti 465 185
:italy: Sandro Salvadore 453 17
:italy: Federico Chiesa 449 123
:italy: Franco Causio 446 72
:italy: Manuel Locatelli 446 12
:italy: Antonio Cabrini 440 53
:italy: Antonello Cuccureddu 432 39
:italy: Fabio Miretti 423 26
:italy: antonio Conte 419 44
:france: Adrien Rabiot 416 40
:italy: :libya: Claudio Gentile 411 10
:italy: Alessio Tacchinardi 404 14
:unitedstatesofamerica: Weston McKennie 404 11
:italy: Niccolo Fagioli 403 33
:italy: :austria: Mario Varglien 401 17
:italy: Claudio Marchisio 389 37

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Capocannonieri -
Meilleurs buteurs

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Nat Nat Identité APP Buts
:italy: Alessandro del piero 705 290
:serbia: Dusan Vlahovic 334 244
:italy: Giampiero Boniperti 465 185
:italy: Roberto Bettega 482 179
:france: :argentina: David Trezeguet 320 171
:italy: :argentina: Omar Sivori 254 165
:italy: Felice Borel 287 154
:italy: Pietro Anastasi 308 130
:denmark: John Hansen 193 126
:italy: Federico Chiesa 449 123
:italy: Federico Munerati 255 118
:argentina: :italy: Paulo Dybala 293 115
:italy: Roberto Baggio 200 115
:wales: John Charles 182 105
:france: :italy: Michel Platini 223 104
:portugal: Cristiano Ronaldo 134 101
:italy: Guglielmo Gabetto 193 100
:italy: Filippo Inzaghi 165 89
:argentina: :italy: Raimundo Orsi 194 85
:italy: Moise Kean 336 79
:italy: Giovanni Ferrari 193 78
:italy: Ermes Muccinelli 251 73
:italy: Franco Causio 446 72

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- Migliori passatori -
Meilleurs Passeurs

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Nat Nat Identité APP P.D
:italy: Alessandro Del Piero 705 172
:czech_republic: :italy: Pavel Nedved 327 77
:italy: :argentina: Mauro Camoranesi 288 75
:colombia: :italy: Juan Cuadrado 314 65
:italy: Federico Chiesa 449 57
:italy: Fabio Miretti 423 56
:france: :algeria: Zinédine Zidane 212 50
:france: :italy: Michel Platini 223 49
:argentina: :italy: Paulo Dybala 293 48
:italy: Roberto Baggio 200 48
:serbia: Dusan Vlahovic 334 43
:italy: Claudio Marchisio 389 42
:italy: Angelo Di Livio 269 42
:france: :guinea: Paul Pogba 190 41
:bosnia_herzegovina: :luxembourg: Miralem Pjanic 178 41
:italy: Manuel Locatelli 446 41
:spain: Alvaro Morata 185 39
:italy: Andrea Pirlo 164 39
:france: :argentina: David Trezeguet 320 38
:italy: Gianluca Zambrotta 297 35
:italy: Niccolo Fagioli 403 34
:brazil: Alex Sandro 331 32
:switzerland: Stephan Lichtsteiner 258 31
:france: Adrien Rabiot 416 30
:norway: Sverre Nypan 291 29

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- La Primavera Juventini -
Centre de formation

Le centre de formation de la Juventus est reconnu comme l’un des meilleurs en Italie pour la formation de jeunes talents. Si tous les diplĂŽmĂ©s n’ont pas rĂ©ussi Ă  intĂ©grer l’équipe premiĂšre, beaucoup ont connu des carriĂšres fructueuses dans l’élite italienne. Sous la houlette de l’entraĂźneur Vincenzo Chiarenza, l’équipe Primavera (moins de 19 ans) a connu l’une de ses pĂ©riodes les plus fastes, remportant toutes les compĂ©titions de groupes d’ñge de 2004 Ă  2006. À l’instar du club nĂ©erlandais Ajax et de nombreux clubs de Premier League, la Juventus gĂšre plusieurs clubs satellites et Ă©coles de football Ă  l’étranger (États-Unis, Canada, GrĂšce, Arabie Saoudite, Australie et Suisse) ainsi que de nombreux camps dans la rĂ©gion locale afin de dĂ©velopper la recherche de talents. Le 3 aoĂ»t 2018, la Juventus a fondĂ© son Ă©quipe de rĂ©serve professionnelle, appelĂ©e Juventus U23 (rebaptisĂ©e Juventus Next Gen en aoĂ»t 2022), jouant en Serie C, qui a remportĂ© la Coppa Italia Serie C en 2020 Lors de l’UEFA Youth League 2021-22, l’équipe U19 a atteint les demi-finales, Ă©galant le meilleur classement de l’histoire de la compĂ©tition pour une Ă©quipe de Serie A.

Le systĂšme de jeunes est Ă©galement remarquable pour sa contribution aux Ă©quipes nationales italiennes senior et de jeunes. Gianpiero Combi, vainqueur de la Coupe du monde 1934, Pietro Rava, mĂ©daille d’or 1936 et vainqueur de la Coupe du monde 1938, Giampiero Boniperti, Roberto Bettega, Paolo Rossi, hĂ©ros de la Coupe du monde 1982, et plus rĂ©cemment Claudio Marchisio et Sebastian Giovinco sont autant d’anciens diplĂŽmĂ©s qui ont intĂ©grĂ© l’équipe premiĂšre et l’équipe d’Italie. RĂ©cemment les joueurs ayant eu le plus de rĂ©ussite en sortant du centre de formation de la Juventus sont Moise Kean, Niccolo Fagioli et Fabio Miretti. Le premier compte plus de 300 matchs avec la Vecchia Signora et fait partie du TOP 20 des meilleurs buteurs tandis que les deux autres ont dĂ©passĂ© les 400 apparitions en pro avec les bianconero et font partie du TOP 25 des joueurs les plus capĂ©s sous le maillot turinois.

- Chapitre 273 -
- Statistiques -
- Chapitre 275 -
Coming SOON - 18/03
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- Anibal officiellement bianconero -

C’est un jour historique pour la Juventus de Turin. Lors d’une confĂ©rence de presse soigneusement orchestrĂ©e par Pavel Nedved, Anibal GuimarĂŁes a Ă©tĂ© officiellement prĂ©sentĂ© comme le nouvel entraĂźneur du club. La prĂ©sentation a eu lieu dans une salle de presse bondĂ©e du Juventus Stadium, avec des journalistes venus du monde entier pour assister Ă  cet Ă©vĂ©nement marquant.

Anibal GuimarĂŁes, connu pour ses succĂšs impressionnants avec le Real Valladolid, est apparu souriant et confiant, arborant fiĂšrement le nouveau maillot domicile de la Juventus, exceptionnellement rose pour cĂ©lĂ©brer le premier maillot de l’histoire du club.

« Rejoindre un club aussi mythique que la Juventus est un honneur immense, Â» a dĂ©clarĂ© Anibal. « Ce club a une histoire riche et des supporters passionnĂ©s. Je suis impatient de commencer cette nouvelle aventure. Â»

Visiblement Ă©mu, Anibal a partagĂ© une pensĂ©e pour sa mĂšre gravement malade, grande fan des Bianconeri. « Ma mĂšre a toujours Ă©tĂ© une fervente supportrice de la Juventus. Pouvoir rĂ©aliser ce rĂȘve et honorer sa passion pour ce club est un moment trĂšs spĂ©cial pour moi, Â» a-t-il confiĂ©, les larmes aux yeux.

Anibal a tenu Ă  exprimer sa gratitude envers le cheikh Al-Fayed et Michael Edwards pour leur comprĂ©hension et leur soutien. « Je tiens Ă  remercier le cheikh Al-Fayed et Michael Edwards de Valladolid pour avoir compris mon besoin de relever un nouveau dĂ©fi. J’ai vĂ©cu une aventure comme peu d’entraineurs en ont connu. Je souhaite le plus grand succĂšs Ă  Valladolid pour l’avenir, je serais toujours un supporters de ce club. Â» a-t-il ajoutĂ©.

La sĂ©ance de questions-rĂ©ponses a ensuite dĂ©butĂ©, offrant aux journalistes l’occasion d’interroger le nouvel entraĂźneur de la Juventus.

« Quels sont vos objectifs principaux avec la Juventus ? Â»

Anibal : « Mon principal objectif est de ramener la Juventus au sommet du football italien et europĂ©en. Nous voulons remporter des trophĂ©es et redevenir une force dominante en Serie A et en Ligue des Champions. Cette saison nous visons le podium et un bon parcours en Europa League et en Copa. Â»

« Comment comptez-vous gĂ©rer la transition aprĂšs votre succĂšs Ă  Valladolid ? Â»

Anibal : « Chaque club a ses propres dĂ©fis et opportunitĂ©s. À Valladolid, nous avons construit quelque chose de spĂ©cial, et je compte apporter cette mĂȘme Ă©nergie et cette mĂȘme passion Ă  la Juventus. Je crois en une transition en douceur, en tirant parti de l’expĂ©rience acquise. Â»

« Pouvez-vous nous parler de votre philosophie de jeu ? Â»

Anibal : « J’aime un football dynamique et offensif, avec une forte organisation dĂ©fensive. Nous devons ĂȘtre flexibles, capables de nous adapter Ă  diffĂ©rentes situations tout en restant fidĂšles Ă  notre style de jeu. Â»

« Y a-t-il des joueurs que vous envisagez d’amener Ă  la Juventus ? Â»

Anibal : « Pour le moment, je suis concentrĂ© sur l’évaluation de l’équipe actuelle. Nous avons des talents incroyables ici, et je suis impatient de travailler avec eux. Les dĂ©cisions sur les transferts seront prises en concertation avec la direction. Si cela peut vous rassurer je ne compte pas me servir Ă  Valladolid. DĂ©jĂ  car ce n’est pas moral. Ensuite car nous ne sommes pas dans le mĂȘme monde financier. Je retrouve toutefois Abdullah Al-Dossari ici avec son arrivĂ©e l’an passĂ©. Â»

« Un mot pour les fans de la Juventus ? Â»

Anibal : « Je suis honorĂ© de faire partie de cette grande famille. Ensemble, nous allons viser les sommets et vivre des moments inoubliables. Forza Juve ! Â»

Pavel Nedved a conclu la confĂ©rence en rĂ©itĂ©rant sa confiance en Anibal. « Nous sommes convaincus qu’Anibal est l’homme idĂ©al pour guider la Juventus vers de nouveaux succĂšs. Sa passion, son expĂ©rience et sa vision du jeu seront des atouts prĂ©cieux pour notre club. Â»

La confĂ©rence de presse s’est terminĂ©e par une sĂ©ance photo, Anibal posant fiĂšrement avec le maillot rose, symbole d’un nouveau chapitre excitant pour la Juventus de Turin.

- Chapitre 273 -
- Juventus Turin FC -
- Chapitre 275 -
Coming SOON - 02/09
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Je ne serais pas surpris de voir l’un ou l’autre joueur suivre la mĂȘme route que le coach

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Réponses aux lecteurs

@Rhino l’avenir nous le diras.

- La Légende Vlahovic choisit la retraite dorée -

AprĂšs 11 saisons remarquables avec la Juventus, Dusan Vlahovic a pris la dĂ©cision de quitter le club pour rejoindre Al-Ittihad en Arabie Saoudite. À 32 ans, le Serbe a choisi de rĂ©pondre Ă  une offre spectaculaire, triplant son salaire actuel et rapportant plus de 90 millions d’euros Ă  la Juventus.

Le nouveau coach de la Juventus, Anibal GuimarĂŁes, conscient de l’importance de Vlahovic pour l’équipe et les supporters, s’est personnellement dĂ©placĂ© Ă  Belgrade pour tenter de convaincre la lĂ©gende bianconera de rester une saison supplĂ©mentaire. Au cours de cette rencontre, Anibal a Ă©voquĂ© la possibilitĂ© pour Vlahovic de battre le record de buts de Del Piero s’il restait encore une annĂ©e. Il lui a Ă©galement parlĂ© de la rĂ©ussite d’un autre attaquant lĂ©gendaire, JoĂŁo Infante, sous ses ordres.

MalgrĂ© les arguments convaincants de GuimarĂŁes, Vlahovic a expliquĂ© que l**'opportunitĂ© de mettre sa famille et ses proches Ă  l’abri financiĂšrement** Ă©tait une offre qu’il ne pouvait refuser, surtout Ă  ce stade avancĂ© de sa carriĂšre. Le dĂ©part de Vlahovic marque la fin d’une Ă©poque pour la Juventus. Avec plus de 334 matchs et 244 buts Ă  son actif, il laisse derriĂšre lui un hĂ©ritage indĂ©lĂ©bile.

Vlahovic n’est pas le seul joueur emblĂ©matique Ă  quitter le club cet Ă©tĂ©. Federico Chiesa, avec 449 matchs, Fabio Miretti, qui a cumulĂ© 423 matchs, et Edmond Tapsoba, avec 278 apparitions, ont Ă©galement fait leurs adieux. Ces dĂ©parts signalent une transition significative pour la Juventus, qui devra dĂ©sormais se reconstruire sans ces piliers de l’équipe.

Les rĂ©actions au sein du club et des supporters sont mitigĂ©es. Si certains comprennent et respectent le choix de Vlahovic, d’autres regrettent profondĂ©ment son dĂ©part et celui des autres lĂ©gendes. Pour Anibal GuimarĂŁes, ce dĂ©part reprĂ©sente un dĂ©fi supplĂ©mentaire alors qu’il commence son mandat Ă  la Juventus. Cependant, il a exprimĂ© son optimisme quant Ă  l’avenir et son intention de bĂątir une nouvelle Ă©quipe compĂ©titive.

La Juventus entre dans une nouvelle Ăšre, avec l’espoir que sous la direction d’Anibal, le club puisse retrouver la voie du succĂšs et honorer les contributions de ses lĂ©gendes parties.

- Chapitre 274 -
- Anibal officiellement bianconero -
- Chapitre 275 -
Coming SOON - 03/09
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C’est bon ces dĂ©parts pour Anibal, il va pouvoir reconstruire comme il le souhaite. Ça va lui permettre de garder sa tactique gagnante


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Sacré parcours avec Valladolid, avec une belle Ligue des Champions pour conclure la belle histoire.

Maintenant j’espùre que tu ne gagneras aucun Scudetto et que tu termineras derriùre l’AC Milan. :sac:

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Réponses aux lecteurs

@VertPourToujours J’ai respectĂ© leurs volontĂ©s, le club a dĂ©jĂ  bien avancĂ© le recrutement, tu verras lors de la synthĂšse mais ma patte est in fine infime sur le groupe. Pour la tactique gagnante j’espĂšre :hoho:

@Malakai merci chef. AHAHA je savais que tu dirais ça, la suite va surement te plaire par passage. N’oublions pas que le coach est fan du Milan initialement :wink:

- Infante, refuse de prolonger ! -

Alors que la saison commence sans l’iconique Anibal GuimarĂŁes, une autre lĂ©gende de Valladolid pourrait Ă©galement quitter le club. JoĂŁo Infante, figure emblĂ©matique et attaquant vedette, semble hĂ©sitant Ă  prolonger son contrat, qui expire Ă  la fin de cette saison.

Le dĂ©part d’Anibal GuimarĂŁes pour la Juventus marque une fin de cycle pour Valladolid. Sous sa direction, le club a connu des succĂšs historiques, remportant plusieurs titres et Ă©tablissant de nouveaux records. Le vide laissĂ© par son dĂ©part est immense, tant pour les joueurs que pour les supporters.

JoĂŁo Infante, joueur clĂ© de l’ùre GuimarĂŁes, a Ă©tĂ© une pierre angulaire de la rĂ©ussite du club. Cependant, des rumeurs circulent selon lesquelles il ne serait pas convaincu par le discours et les plans de Pep Guardiola, le nouvel entraĂźneur. MalgrĂ© les efforts de Guardiola pour le persuader, Infante aurait refusĂ© de prolonger son contrat, laissant son avenir en suspens.

Les raisons de ce refus pourraient ĂȘtre multiples. Infante aurait des doutes sur la capacitĂ© de Guardiola Ă  maintenir le niveau de performance et le style de jeu instaurĂ©s par GuimarĂŁes. De plus, il pourrait ĂȘtre attirĂ© par de nouvelles opportunitĂ©s dans d’autres clubs europĂ©ens, oĂč il pourrait continuer Ă  briller et relever de nouveaux dĂ©fis.

Une chose est certaine, il ne rejoindra pas la Juventus de son mentor. « J’ai beaucoup de respect pour JoĂŁo et j’espĂšre l’entraĂźner Ă  nouveau Ă  l’avenir, mais ce ne sera pas Ă  Turin. Nous en avons discutĂ© ensemble et il aspire Ă  dĂ©couvrir un autre championnat plus accessible avec son profil. Â» a rĂ©cemment confiĂ© en confĂ©rence de presse le lĂ©gendaire coach portugais.

Les supporters de Valladolid sont sous le choc de cette nouvelle. La perspective de perdre une autre légende aprÚs Guimarães est difficile à accepter. Le club pourrait également se retrouver affaibli, perdant non seulement son entraßneur emblématique mais aussi son attaquant vedette.

Avec cette incertitude, Valladolid entre dans une pĂ©riode de transition dĂ©licate. Guardiola aura la tĂąche ardue de stabiliser l’équipe et de convaincre les autres joueurs de rester et de croire en son projet. Le dĂ©part potentiel d’Infante pourrait inciter le club Ă  chercher de nouveaux talents pour combler ce vide, mais il est clair que l’avenir du club est en jeu.

En conclusion, la nouvelle saison s’annonce pleine de dĂ©fis pour Valladolid. Le dĂ©part de GuimarĂŁes et les doutes autour de l’avenir d’Infante marquent un tournant dĂ©cisif. Seul le temps dira si le club parviendra Ă  surmonter ces Ă©preuves et Ă  continuer sur la voie du succĂšs.

- Chapitre 275 -
- Vlahovic choisit la retraite dorée -
- Chapitre 277 -
Coming SOON - 04/09
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Ohhhh il veut aller en Angleterre JoaĂŽ ?

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