:storygreen: :s22: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[VertPourToujours]

Putain, ça en fait deux avec celui d’Anna

[CaptainAmericka]

Triste nouvelle… Mais il semble avoir un avenir tout tracé ici. Rentrer au pays est un risque de se perdre.

[Manthyz]

Cela commence a faire beaucoup de jeunes chez Anibal …

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino t’abuses dès qu’une femme pond un gosse c’est pas forcément le sien

@VertPourToujours Calmez vous déjà que Yessica et enceinte et qu’il va garder celui de Saldanha. Il a une villa pas un orphelinat

@CaptainAmericka c’est les aléas de la vie. Des fois une grande carrière t’attends et finalement elle a même pas le temps de démarrer

@Manthyz Lamar il s’y connait en pédophilie c’est ça que tu veux nous dire ?

- Lamine Dos Santos pisté en Premier League -

Le soleil se couchait lentement sur le centre d’entraînement de Vianense, dorant les murs du José Soares Vieira d’une lumière presque solennelle. Les entraînements touchaient à leur fin. Les corps fatigués s’étiraient en silence. Mais dans l’ombre, une autre agitation commençait à poindre. Pas sur le terrain. Mais dans les bureaux.

Depuis des semaines, le nom de Lamine Dos Santos circulait.

Pas dans les journaux portugais — trop timides, trop prudents. Non. Il circulait à Londres, à Liverpool, à Brighton, dans ces salons feutrés où des hommes en costume parlent de chiffres comme d’un jeu de cartes. Des émissaires s’étaient déplacés. Certains incognito. D’autres moins. Tous pour un même objectif : le latéral devenu joyau.

32 titularisations. 2 buts. 7 passes décisives. Et plus que les chiffres, il y avait l’allure.

Lamine, 21 ans à peine, formé entre deux clubs obscurs d’Alentejo, avait été repéré par le staff de Vianense un soir pluvieux d’hiver, lors d’un match de Coupe perdu dans les terres. Il jouait alors défenseur central, mais ses montées laissaient deviner autre chose. Un instinct offensif. Une capacité rare à casser des lignes, à sentir l’espace comme un attaquant.

À Vianense, Aníbal Guimarães avait rapidement vu clair.

Il le fit reculer, puis le laissa monter. Latéral hybride. Défenseur têtu. Leader silencieux. Il ne parlait pas beaucoup. Mais il courait pour deux. Il couvrait, il centrait, il jaillissait. Parfois, même, il marquait. Et chaque fois, il restait modeste. Presque gêné.

Mais désormais, les recruteurs ne passaient plus incognito.

Le Middlesbrough FC avait envoyé un dossier complet, déjà chiffré. Everton avait sondé ses agents. Brighton avait même proposé une visite privée des installations. Et Southampton, plus audacieux, avait transmis une offre préliminaire de 8 millions d’euros, avec primes à la revente.

« Il peut jouer central, latéral, voire en sentinelle. Un joueur moderne. Prêt. » C’est ce qu’avait écrit un recruteur anglais dans un mail intercepté par la presse.

Mais à Vianense , on gardait le silence. Pas par ignorance. Par respect.

Lamine, lui, ne disait rien. Il écoutait. Il réfléchissait. Il se souvenait d’où il venait. Des terrains brûlants du Sud. Des vestiaires sans eau chaude. Du regard d’Aníbal, posé sur lui un jour de janvier, avec cette phrase simple :

« Ici, tu n’es pas une surprise. Tu es une solution. »

Et maintenant ?

L’été approchait. Le marché aussi.

Lamine savait que son nom allait passer de table en table, de fax en fax, de promesse en pourcentage à la revente. Il savait qu’il allait devoir choisir. Partir ou grandir encore ici. Il savait que la Premier League faisait briller les yeux. Mais il savait aussi qu’à Viana, on n’était pas que des joueurs. On était des histoires.

La sienne, peut-être, s’apprêtait à changer de décor. Mais elle n’oublierait jamais le sol où elle avait germé.

- Chapitre 659 - - « Victor va devoir quitter le club »-	- Chapitre 661 - Coming SOON - 09/05

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@FC_Guimaraes alors que pensez-vous de cet arc ? J’ai chialé sur cet épisode

- « Anibal ? Ma fille vous avez écrit une lettre » -

Tbilissi, Géorgie. Neige fine, douleur épaisse.

L’avion privé atterrit en douceur sur le tarmac détrempé de l’aéroport international de Tbilissi. À bord, aucun mot n’avait été prononcé depuis plus d’une heure. Seuls les moteurs, les souffles longs et quelques regards volés vers le hublot.

Aníbal Guimarães, Rúben Amorim, Hugo Viana… et Victor Khutsishvili, le gamin de 14 ans qui, quelques jours plus tôt, rêvait encore de toucher les étoiles.

Il ne pleurait pas. Il ne parlait pas. Mais tout dans sa posture — la nuque basse, les poings serrés, les yeux rougis — criait une détresse plus profonde que tout ce que ces hommes de football avaient connu.

Sa mère venait de mourir. Et avec elle, peut-être, son avenir.

À la sortie de l’aéroport, une vieille femme l’attendait. Sa grand-mère maternelle. Robe noire, écharpe beige, des mains usées, un regard franc. Elle le prit dans ses bras sans un mot, simplement, comme si elle voulait absorber toute sa peine dans sa peau. Puis elle releva la tête vers les trois hommes, légèrement sur la défensive.

Mais lorsqu’Aníbal s’avança pour se présenter, quelque chose changea.

Elle le fixa. Longtemps. Les yeux plissés. Comme si un puzzle vieux de quinze ans venait soudain de s’emboîter.

« Vous êtes… Aníbal Guimarães ? »

Il acquiesça, surpris.

Elle hésita, se tourna discrètement vers l’une de ses filles, puis revint à lui dans l’intimité du salon familiale, bouleversée.

« Elle a laissé une lettre pour vous. Avant de… partir. Elle a demandé qu’on vous la remette si vous veniez. »

Il ne comprit pas. Ou plutôt : il ne voulut pas comprendre. Pas tout de suite.

Ce n’est qu’après la cérémonie, dans la chambre austère d’un hôtel sur les hauteurs de Tbilissi, qu’Aníbal ouvrit l’enveloppe.

L’écriture, fine et inclinée, était la sienne. Cette lettre était écrite de la main d’Anna.

Ani,

Si tu lis cette lettre, c’est que le temps m’a filé entre les doigts plus vite que prévu. Je pensais avoir encore quelques mois. Juste assez pour parler à Victor. Pour lui dire la vérité. Pour te l’annoncer autrement, j’ai essayé avant Noël mais je n’ai pas eu la force.

La maladie a été plus forte. Comme souvent dans ma vie, j’ai perdu à la dernière minute.

Je ne t’ai jamais parlé de lui. Parce que, quand je suis tombée enceinte, tu étais ailleurs. Tu étais dans ton rêve, dans ton monde. Le football, les voyages, la fuite en avant. Moi, je voulais de la stabilité. Et je savais que tu ne pouvais pas encore la donner. Alors je suis partie. J’ai gardé ça pour moi. J’ai fait au mieux. Peut-être mal, peut-être bien, je ne sais pas.

Victor est né à Valladolid, en Juillet 2027. Tu étais encore là, quelque part, sur un banc de touche ou sur une route vers un nouveau contrat. Je t’avais suivi après ton départ de Vianense dans l’espoir de… J’ai finalement accouché seule. Mais je ne t’en ai jamais voulu.

Victor a commencé à s’intéresser au football à mon grand désarroi. Les chiens ne font pas des chats comme on dit. Je l’ai alors inscrit à l’école de football de Viana, sans savoir que tu y reviendrais un jour. Victor ne sait rien. Je comptais lui parler. Mais pas encore. Pas alors que je n’étais pas sûre de ce que tu aurais fait. Mais aujourd’hui… aujourd’hui, je veux te demander une seule chose :

Ne le laisse pas tomber.

Aime-le comme tu aurais aimé le connaître.

Protège-le, même s’il ne sait pas encore qui tu es. Attends le bon moment pour lui raconter son histoire.

Tu n’as jamais été parfait, Ani. Mais tu as toujours été loyal à ce en quoi tu croyais.

Et lui, c’est toi. Il le porte dans ses yeux. Dans sa façon de courir. vous aurez beaucoup à apprendre l’un de lautre.

Tu verras.

Anna.

Aníbal resta longtemps assis, la lettre dans les mains.

Pas d’explosion. Pas de larmes. Juste un vertige.

Puis il se leva, descendit dans le salon de l’hôtel où Hugo et Rúben l’attendaient.

Il parla d’une voix calme. Brisée, mais droite.

Victor… est mon fils. Depuis tout ce temps. Et je n’en savais rien.

Personne ne répondit. Même Rúben, pourtant rarement à court de mots, garda le silence.

Après un long moment, Hugo prit la parole.

Alors il va avoir besoin de toi. Encore plus qu’avant.

Le lendemain, une réunion fut organisée avec la famille. La grand-mère, digne, écouta en silence. Les tantes opinèrent. Une larme coula sans bruit.

Aníbal s’engagea. Solennellement. À prendre sa place. À ne rien brusquer, mais à être là.

Toujours.

Ils se mirent d’accord.

Victor ne saurait rien pour l’instant. Il fallait du temps. Du calme. Du deuil.

Ils lui diraient tout à la fin de la saison, lorsqu’il serait prêt. Lorsqu’il pourrait accueillir cette vérité comme une promesse, et non comme une tempête.

Et dans l’avion du retour, Victor s’endormit pour la première fois depuis trois jours. La tête posée contre le bras d’Aníbal. Sans savoir. Mais sans crainte.

Et Aníbal, les yeux fixés sur les nuages, comprit une chose :

Parfois, les rêves que l’on pensait perdus… reviennent sous une autre forme.

- Chapitre 660 - - Lamine dos Santos pisté en PL -	- Chapitre 662 - Coming SOON - 10/05

[Tiien]

Ça va être sympa aussi de l’annoncer à Madame…

[RedM1nd]

Le CHOC pour Ani
Bon, au moins il sait à ce stade qu’au moins 2 des enfants qu’il élèvera seront de lui
La réaction de Yessica va être importante pour la suite du couple.

[celiavalencia]

je me demande quelle sera la reaction de Yessica

[VertPourToujours]

La famille s’agrandit… Comment va se passer la gestion ? j’espère qu’ils ont une grande maison, Béatriz le futur bébé, Victor et le fils de Saldanha…
Ça commence à faire du monde

[alexgavi]

Pauvre garçon qui pense être orphelin, et qui va découvrir que son père est juste là à côté de lui.
Ça va être sympa de suivre la réaction de Yessica. Après, Anibal ne le lui a pas caché non plus

[CaptainAmericka]

Anibal va ouvrir des chambres d’hôtes à force !

Sacrée nouvelle putain… Bon, maintenant il va devoir garder un œil sur lui et sa carrière. Mais aussi l’annoncer à Madame. Elle risque de prendre une bonne grosse claque dans la gueule mais quelque chose me dit qu’elle va l’accepter car le passé reste le passé et elle a un grand cœur malgré tout !

Moi j’ai une question : dans le jeu, Victor est le fils de ton coach ou c’est juste pour l’histoire ?

Enfin, chapitre très bien écrit !!

[Akasha]

@Groot

• « Anibal ? Ma fille vous avez écrit une lettre » -

Le psychopathe de l’écriture qui dort en moi, fait des bons en voyant « avez » au lieu de « avait ».

[gwendil35]

Cela me rassure que je ne sois pas le seul qui a eu les yeux qui saignent… @Akasha

[VertPourToujours]

J’avais remarqué que le boss était pas le meilleur en conjugaison…

[VertPourToujours]

Toi tu es méchant… fais gaffe, le boss va te radier à vie

[gwendil35]

Bof, c’est pas la 1ère que je me taille le boss !

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Tiien Chaque chose en son temps

@RedM1nd Ah bah clairement ça a du lui faire tout drôle. On verra pour le prochain si le sort lui est favorable.

@celiavalencia On le saura assez vite.

@VertPourToujours Bah tu sais vu l’argent amassé j’imagine que leur villa a plusieurs chambres et salles de bain. Après Saldanha en arrivant ira au centre de formation. Victor est au centre de formation de la fédération pour le moment. Y’aura bien que Beatriz et le futur bébé dans cette kasbah

@alexgavi A voir comment il prendra la chose le gosse. On verra leurs réactions. Après oui c’est sûr pour Anibal aussi c’est une découverte.

@CaptainAmericka On va suivre ça de près chef. Après Anibal lui même va devoir digérer la chose. Dans le jeu c’est bien le fils du coach né à Valladolid. Il est Espagnol et Portugais. Je lui ai juste ajouté la nationalité géorgienne pour le récit

@Akasha Wa ka té pet baboun ?

@gwendil35 oui je me relis pas assez je sais bien.

@VertPourToujours c’est faux Et t’inquiète pas je m’occupe de son cul

@gwendil35

@FC_Guimaraes

- Um regresso cruel à realidade! -
- Le cruel retour à la réalité ! -

Après un début d’année en fanfare et un nouveau titre conquis après la Liga Meu Super la saison passée, Vianense et Anibal semblait sur un nuage. Mais dans les coulisses le coach portugais semblait différent. Il était revenu marqué d’un voyage professionnel en Géorgie sans que personne n’en connaisse réellement la teneur. En championnat le club s’inclina contre Boavista malgré une belle qualité de jeu. Mais Boavista avait plus d’expérience et savait comment faire mal à son adversaire.

Les cavaleiros rebondirent rapdiement en Taça contre le FC Porto en quart de finale. Les hommes de Rafael Leão qui avait repris le club après son départ de la Seleçao avaient beau lutter pour le titre en championnat, en coupe ils semblaient moins concernés. Cela se confirma sur le terrain. A la demi heure de jeu Mamadú irrésistible trouva la faille sur un service de Raimundo. Le milieu défensif avait pris une autre dimension ces derniers mois. A l’heure de jeu il remis ça en servant idéalement Gilson Silva qui crucifia le portier du Dragão. Si Porto avais reduit l’écart par Santi c’était bien VIanense qui allais se qualifier en demi finale. João Carvalho dominant les airs pour ajouter un dernier but, celui de la qualification dans le temps additionnels sur un énième corner de Luis Almeida.

Mais cette débauche d’énergie en coupe, Vianense l’a paya en chamionnat. Le club enchaina avec un nul contre le Vitoria Guimarães. Une opposition aucours de laquelle Anibal perdit Mamadu Mané pour des douleurs aux ischios. Le buteur ne tenu pas plus de 10 minutes. Son remplaçant, le très jeune Rai Antruejo ne fit pas de complexe et marqua son premier but quatre minutes plus tard seulement. Désorienté l’équipe faiblit et concéda deux buts évitable. En seconde période Nhlanhla sauva le point du nul. En revanche contre Leiria, l’attaque ne pu rien faire. Et Vianense s’inclina de deux buts. Il y eu bien un léger sursaut contre Portimonense avec des buts de classe de Gilson Silva, Raimundo et Lamine dos Santos mais cela ne suffisait pas.

En Taça, Benfica ne se laissa pas surprendre cette fois et Benfica pris l’avantage dès le match aller. L’international anglais Wade Gaul arrivé en Janvier de Liverpool claque un doublé sublime. Raimundo aura réduit l’écart mais ne permet pas à son équipe toujours privé Mamadú. En championnat le club a continué sa série d’invincibilité contre le Sporting de Tevez en obtenant un nul grâce à Sergio Mata. Lors du match retour Benfica a de nouveau eu aucune pitié pour Vianense avec un nouveau doublé de Wade Gaul. Malgré tout Shevchenko a tenu a salué la performance de Vianense se présentant avec une équipe quasiment exclusivement formé dans son club.

Suite à cette fin de parcours historique pour Vianense, le club n’a pas su trouvé de second souffle en championnat s’inclinant contre Porto malgré des buts de Gilson Silva et Raimundo. La semaine suivante Vianense a su obtenir le nul contre Benfica avec un but de Mata suivi d’un doublé de Mané de retour après six semaines d’absence. Le club a ensuite enchainé un sixième match sans victoire en s’inclinant lourdement à Braga.

Malgré cette série compliqué Vianense reste9ème du classement et semble voué au ventre mou étant à 8 points des places européennes et à 11 points de la place de barragiste.

		Date		Club	Score	Buteurs
	J20	2/2/2041		Boavista	2 - 0	-
	1/4	6/2/2041		Porto	1 - 3	M.Mané (36), G.Silva (55), J.Carvalho (90+3)
	J21	11/2/2041		Vitória de Guimarães	2 - 2	R.Antruejo (14), Nhlanhla (51)
	J22	16/2/2041		União de Leiria	2 - 0	-
	J23	23/2/2041		Portimonense	3 - 0	G.Silva (13), B.Raimundo (15), L.dos Santos (86)
	1/2	27/2/2041		Benfica	1 - 2	B.Raimundo (22)
	J24	2/3/2041		Sporting CP	1 - 1	S.Mata (22)
	1/2	6/3/2041		Benfica	2 - 0	-
	J25	9/3/2041		Porto	2 - 3	G.Silva (8), B.Raimundo (52)
	J26	16/3/2041		Benfica	3 - 3	S.Mata (16), M.Mané (18, 25)
	J27	23/3/2041		Braga	3 - 0	-

- Classificação -
- Classement -

Clt			Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er			Sporting CP	27	17	8	2	71	35	+36	59
2e			Porto	27	17	7	3	61	30	+31	58
3e			Benfica	27	15	11	1	72	25	+47	56
4e			União de Leiria	27	15	4	8	39	32	+7	49
5e			Farense	27	12	8	7	60	39	+21	44
6e			Gil Vicente	27	11	10	6	40	34	+6	43
7e			Estrela da Amadora SAD	27	9	10	8	30	38	-8	37
8e			Boavista	27	10	5	12	38	40	-2	35
9e			Vianense	27	9	8	10	48	42	+6	35
10e			Braga	27	9	6	12	31	40	-9	33
11e			Estoril Praia	27	8	7	12	27	32	-5	31
12e			Arouca	27	9	4	14	37	47	-10	31
13e			Vitória de Guimarães	27	7	9	11	29	44	-15	30
14e			Portimonense	27	6	8	13	32	47	-15	26
15e			Casa Pia	27	5	10	12	24	39	-15	25
16e	B		Académica Coimbra	27	7	3	17	28	60	-32	24
17e			Famalicão	27	4	11	12	26	48	-22	23
18e			Tondela	27	4	9	14	27	48	-21	21

- Classificação dos goleadores -
- Classement des buteurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Mamadú	Mané	32 (1)	25	1
			Gilson	Silva	27 (7)	9	7
			Sérgio	Mata	26 (4)	6	5
			Carlos	Simões	31	5	2
			Belarmino	Raimundo	29 (2)	5	5

- Classificação dos colonos -
- Classement des passeurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Luís	Almeida	31 (1)	5	15
			Gilson	Silva	27 (7)	9	7
			Lamine	dos Santos	32 (3)	2	7
			Nhlanhla	Gertse	18 (15)	1	6
			Elton	Duarte	20 (9)	4	6

- Chapitre 661 - - «Ma fille vous avez écrit une lettre» -	- Chapitre 663 - Coming SOON - 11/05

[celiavalencia]

ouille la laide période qui fait mal …

[RedM1nd]

Outch… la glissade. La douche est froide pour Ani et les siens. Pas de coupe, un rêve européen qui s’éloigne bien que mathématiquement encore possible.

[VertPourToujours]

Restons calme, le groupe est encore jeune. Une coupe européenne n’aurait-elle pas été un piège dès cette année ?