:storygreen: :s22: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[VertPourToujours]

Et Boss…
T’aurais pas perdu qui fichier qui contenant les dernières saisons déjà écrites pour nous enfumer à l’eau de rose comme çà depuis 4 posts

[Manthyz]

[Rhino]

Voici en exclusivité les images du second enfant d’Anibal

[alexgavi]

Si Anibal avait seulement l’ombre d’un doute, est-ce qu’il subirait la situation de la sorte ? Si Lamar Jackson est le père, ça devrait se voir assez rapidement, en toute logique

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@FC_Guimaraes

@Sythax MDR réponse en fin de saison

@VertPourToujours Non non c’est le rythme que j’essaye de suivre de 4 articles entre chaque partie de saison

@Manthyz Lamar t’as une nouvelle zouz calme toi bro.

@Rhino Ce serait drôle. Enfin je sais pas si c’est le mot.

@alexgavi C’est une possibilité c’est sûr, sauf s’il décide de faire avec par amour.

- Uma aventura em taças -
- Une aventure en coupe -

Alors que Vianense restait sur une impressionnante série de six matchs sans défaite l’ayant permis de se positionner dans le ventre mou du classement de Liga, Vianense retomba dans ses travers contre Gil Vicente malgré un match serré avec une grande intensité. Mamadu frappa par deux fois mais cela ne suffit pas.

Quelques jours plus tard, Vianense s’imposa de nouveau contre l’Academica Coimbra, cette fois en championnat dans un match très sérré. Sergio Mata ouvrit rapidement le score. Mais à chaque but des cavaleiros, Coimbra répondit. D’abord a celui de Mata donc puis à celuid de Duarte et d’Almeida. Il fallut un énième sursaut de courage dans le temps additionnels de la seconde période pour voir João Carvalho revenu durant l’été d’un prêt réussit pour que Vianense ne s’impose non sans mal.

En Taça, Vianense hérita d’un tirage plus qu’abordable avec les amateurs de Fontinhas. Alors qu’Anibal aligna sa classe biberon. Vianense se qualifia quand même offrant un joli parcours à ses socios. Vitoriano Pignatelli, 16 ans marqua son premier but en pro pour sa première titularisation. Durant la prolongation, cette jeunesse remporta son pari à la faveur du premier but de la saison du jeune Clésio.

Dans la foulée, Vianense s’inclina par deux fois contre Estrela Amadora promu lui aussi et contre Arouca malgré un but de Gilson Silva. Mais le plus important arriva avec une nouvelle opposition contre le Sporting de Tévèz. Et une nouvelle fois l’Apache du s’incliner devant la supériorité tactique de son rival. Mamadu s’offrit un triplé pour répondre au triplé de Gbohuo. Mais Raimundo avait aussi scoré embrassant le blasson de Vianense devant son public provoquant l’ire de son club formateur. Carlos Simões aussi avait participé au chef d’oeuvre de ce début de saison de Vianense. Qualifié pour le prochain tour, Anibal se présenta tout sourire en conférence de presse avec une saillie désormais légendaire. « Carlos pense qu’il est un Homme parce qu’il gagne avec des millions, mais cela reste un enfant tactiquement. La jeunesse de Vianense l’a humilié lui et ses millions. Je sais d’ailleurs que Lamar était en tribune, il pourrait lui proposer un poste d’adjoint au moins Carlos pourrait se perfectionner. »

Vianense termina l’année contre la lanterne rouge qu’il fit tombé avec un nouveau but de Mané et un autre d’Antonio Carlos, jeune milieu du centre de formation. Avec cette victoire Vianense reste à bonne distance de la zone rouge.

		Date		Club	Score	Buteurs
	J11	3/11/2040		Gil Vicente	2 - 3	M.Mané (5, 89)
	J12	12/11/2040		Académica Coimbra	3 - 4	S.Mata (9), E.Duarte (36), L.Almeida (39), J.Carvalho (90+3)
	1/16	25/11/2040		Fontinhas	1 - 2 p	V.Pignatelli (6), Clésio (95)
	J13	1/12/2040		Estrela da Amadora SAD	0 - 1	-
	J14	10/12/2040		Arouca	1 - 3	G.Silva (68)
	GS	20/12/2040		Sporting CP	5 - 3	M.Mané (1, 17, 62), B.Raimundo (3), C.Simões (43)
	J15	31/12/2040		Tondela	0 - 2	M.Mané (54), Antônio (90+4)

- Classificação -
- Classement -

Clt			Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er			Porto	15	12	2	1	38	10	+28	38
2e			Sporting CP	15	11	4	0	40	16	+24	37
3e			Benfica	15	7	8	0	37	16	+21	29
4e			Gil Vicente	14	7	5	2	24	17	+7	26
5e			Farense	14	7	4	3	31	20	+11	25
6e			União de Leiria	15	7	1	7	18	23	-5	22
7e			Vitória de Guimarães	15	6	3	6	16	21	-5	21
8e			Estrela da Amadora SAD	14	4	7	3	16	14	+2	19
9e			Estoril Praia	14	6	1	7	16	18	-2	19
10e			Vianense	14	5	3	6	27	24	+3	18
11e			Portimonense	14	4	5	5	18	23	-5	17
12e			Braga	14	4	3	7	15	23	-8	15
13e			Arouca	14	4	2	8	16	22	-6	14
14e			Académica Coimbra	14	4	1	9	14	36	-22	13
15e			Boavista	14	3	3	8	16	23	-7	12
16e	B		Famalicão	15	2	5	8	15	30	-15	11
17e			Casa Pia	14	1	6	7	11	20	-9	9
18e			Tondela	14	1	5	8	12	24	-12	8

- Classificação dos goleadores -
- Classement des buteurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Mamadú	Mané	18 (1)	15	1
			Carlos	Simões	19	5	1
			Elton	Duarte	12 (7)	4	4
			Luís	Almeida	19	3	6
			João	Carvalho	5 (9)	2	0

- Classificação dos colonos -
- Classement des passeurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Nhlanhla	Gertse	7 (12)	0	6
			Luís	Almeida	19	3	6
			Sérgio	Mata	13	1	4
			Gilson	Silva	14 (2)	2	4
			Belarmino	Raimundo	16	2	4

- Chapitre 651 - - Derrière les rumeurs, le coeur d’un homme -	- Chapitre 653 - Coming SOON - 04/05

[CaptainAmericka]

Eh bien c’est du tout bon pour Vianense et Anibal en ce moment !
Le bébé et les bons résultats, ça fait plaisir !

[VertPourToujours]

Tevez doit se morfondre d’être humilié comme ça…

[Rhino]

Pour un promu, ça se passe vraiment pas mal

[toopil]

@CaptainAmericka

Le bébé et les bons résultats, ça fait plaisir !

Les bons résultats, il y est pour quelque chose. Le bébé…

[RedM1nd]

La pique gratuite pour Lamar en tribune… un indicateur de la paternité du futur enfant de Yessica ?

Sinon sur le plan sportif c’est dommage ces défaites contre Amadora et Arouca avec ces 6 points, l’équipe pourrait prétendre à l’Europe.

[alexgavi]

Le mot « saillie » n’est pas usurpé
Vianense est bien installé dans le milieu du tableau, ça se passe assez bien

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka On se fait plaisir en ce moment avec un bon parcours en coupe qui fait plaisir.

@VertPourToujours CHEH pour lui.

@Rhino oui c’es très satisfaisant. Après 7 points d’avance sur le barragiste ça peut aller vite.

@toopil c’est la grande question. La couleur à la sortie

@RedM1nd Je l’ai plus écrit comme une pique pour Tévèz mais on prends On perds contre des concurrents c’est vraiment dommage. C’est peut etre un poil tôt pour l’Europe.

@alexgavi j’avoue

@FC_Guimaraes

- Raimundo annoncé à Wrexham cet hiver -

Le matin s’était levé comme un murmure sur les bords du Lima. La brume légère qui serpentait au-dessus du terrain d’entraînement n’était pas la seule chose difficile à saisir ce jour-là. Dans l’air, quelque chose vibrait, indéfinissable. Ce n’était pas le vent. C’était la rumeur.

Elle avait commencé à enfler doucement, comme toujours, au détour d’un tweet énigmatique, d’un regard capté en tribunes, d’un nom chuchoté dans les couloirs d’un aéroport privé. Et le nom, cette fois, n’était plus une promesse. Il était devenu certitude. Évidence.

Raimundo. À vingt ans à peine, le gamin de Caminha, formé à Vianense, titulaire indiscutable au milieu depuis près de six mois, était devenu plus qu’un joueur. Il était le métronome. Le cœur. Le souffle même de l’équipe. Un segundo volante moderne, à la fois sentinelle et architecte. Il ne faisait pas que jouer : il révélait le jeu des autres.

Chaque match était une démonstration. Et les projecteurs ne pouvaient plus l’ignorer.

« 50 millions. » C’est le chiffre qui s’échappa dans la presse britannique. Wrexham AFC, l’autre bras sportif de Ryan Reynolds, serait prêt à l’investir pour faire venir Raimundo. Un chiffre d’un autre monde, pour un club naguère habitué aux divisions inférieures, aujourd’hui gonflé aux ambitions hollywoodiennes.

À Vianense, on ne commenta pas. Le silence fut total. Calculé. Presque théâtral.

Mais dans les bureaux, les visages restaient calmes. Car ici, on savait. On savait ce que valait Raimundo — et pas qu’en millions. On savait aussi que tout homme, fût-il un génie du ballon, avait encore besoin de grandir là où il avait ses racines.

Ryan Reynolds, dans une rare sortie médiatique depuis Los Angeles, lâcha une phrase qui suffit à enflammer toutes les rédactions :

« Ce serait une bonne idée de garder les meilleurs éléments du groupe… dans le groupe. »

Un clin d’œil, sans doute. Mais un clin d’œil lourd de sens.

Et Lamar Jackson, coach énigmatique de Wrexham, ancien quarterback devenu stratège de l’ombre, se contenta d’un commentaire aussi bref que glaçant :

« Raimundo ? C’est un joueur pour dix ans. Où qu’il soit. »

À Viana, Raimundo, lui, continuait de s’entraîner. Comme s’il n’entendait rien. Comme si la rumeur ne le concernait pas. Mais ceux qui le connaissaient savaient lire dans son attitude : il n’était pas indifférent. Il était concentré.

Car Raimundo n’avait jamais joué pour l’argent, ni pour la gloire. Il jouait pour sa mère, qui vendait encore des pastéis au marché de Caminha. Pour son oncle, qui l’amenait gamin sur son scooter pour les entraînements de poussin. Pour Aníbal, surtout, qui avait parié sur lui quand d’autres l’envoyaient sur le banc.

Alors, les millions pouvaient bien attendre. L’histoire, elle, n’était pas encore finie.

Et pendant que les journalistes s’épuisaient à spéculer sur l’avenir, Raimundo préparait son prochain match.

Comme si le plus grand défi, ce n’était pas de partir. Mais de rester.

- Chapitre 652 - - Uma aventura em taças -	- Chapitre 654 - Coming SOON - 05/05

[CaptainAmericka]

Forcément un talent comme lui est observé. Mais il semble avoir la tête bien vissée sur les épaules, et attaché au club. Je ne le vois pas bouger de suite.

[VertPourToujours]

Il faut qu’il reste… encore un peu

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka C’est normal qu’il soit observé. Après dans l’idée j’aimerais qu’un joueur fasse au moins 3 saisons pleines avant d’envisager un départ. Après pour les valeurs je sais pas, il s’est barré du Sporting à 15 ans donc bon ^^

@VertPourToujours espérons.

- « Ani, nous devons prêter Afonso » -

Sur le terrain annexe du centre d’entraînement de Vianense, le vent sifflait entre les pins, froissant les filets comme s’il voulait annoncer quelque chose. Rúben Amorim, mains dans les poches, observait en silence. À ses côtés, Aníbal Guimarães gardait la même posture figée, ce mélange subtil de contrôle et de contemplation qu’on lui connaissait.

Devant eux, les U19 affrontaient Braga dans un match sans enjeu apparent — sauf pour ceux qui savaient regarder.

Et Rúben, lui, avait vu.

Il l’avait vu dès la 6e minute, quand Afonso Ferreira dévora l’espace dans le dos de la défense et termina d’un plat du pied aussi froid qu’un soir d’hiver. Il l’avait revu à la 33e, sur un appel diagonal millimétré et une reprise croisée pleine de naturel. Puis encore à la 58e, quand il avait déposé deux défenseurs d’un crochet sec pour finir dans un angle fermé.

Triplé. Sans un cri. Sans un geste de trop.

Le gamin avait seize ans. À peine. Mais il jouait comme si son corps connaissait déjà le futur. Fin, rapide, les appuis courts, les instincts affûtés. Avec ce triplé, il portait son total à 19 buts cette saison chez les U19. Une métrique, mais surtout une évidence.

« Il doit jouer plus », glissa Rúben, sans détour, les yeux encore fixés sur le terrain.

Aníbal resta un instant silencieux. Il connaissait ce ton chez son mentor. Il le reconnaissait. Le même qu’il utilisait lui-même, autrefois, quand il croyait dur comme fer à un joueur que personne n’avait vu venir.

Mais aujourd’hui, le choix était déjà fait.

« J’ai misé sur Mamadu pour succéder à Infante. Il me l’a bien rendu. Quinze buts en dix-huit matchs. Je vais pas lui retirer ça. »

Ce n’était pas une justification. C’était une conviction.

Mamadu Mané, repêché l’été dernier malgré une saison moyenne, avait surgi comme une évidence au poste d’avant-centre. Grand, solide, humble, il incarnait la fiabilité. Et à Vianense, on respectait les trajectoires. On ne jetait pas les hommes parce qu’un autre brillait derrière. Même à 16 ans. Même avec 19 buts.

Mais Rúben insista.

« On ne parle pas de le brûler. Juste… de lui donner de l’air. De l’expérience. Un prêt. Pas en U23. Pas en Liga 3, pas encore. Mais en D2. Un club stable. Un coach qui aime les jeunes. »

Aníbal ne répondit pas tout de suite. Il regarda Afonso, qui descendait du bus avec les autres, sac sur le dos, écouteurs sur les oreilles, la démarche encore adolescente mais les gestes déjà précis.

Puis il nota quelque chose dans son carnet. Une phrase. Un lieu. Peut-être un club.

« Tu penses à la Liga Meu Super ? »

« Un club de milieu de tableau. Un qui sait ce qu’il est. Où il ne sera pas une curiosité, mais une solution. »

Aníbal hocha la tête, lentement. Il pensait encore à Mamadu, à la balance fragile entre développement et confiance, à l’éternel pari de l’instant contre l’avenir.

Mais il pensait aussi à Afonso. Et à la manière dont il effaçait les défenses comme on rature une faute.

Et ce soir-là, à Viana, sous les lampadaires déjà allumés, un plan commença à naître. Pas une décision. Une direction.

Car les grands clubs ne se contentaient pas de garder leurs pépites. Ils apprenaient à les laisser partir. Au bon moment.

- Chapitre 653 - - Raimundo annoncé à Wrexham cet hiver -	- Chapitre 655 - Coming SOON - 05/05

[VertPourToujours]

Gros dilemme…
Laisser partir qui, Mané ou Ferreira ??
En prêt ou un transfert ?
Sinon les deux seraient incompatible ensemble ?

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@VertPourToujours Bah Ferreira, Mané cartonne. Et en prêt evidemment. Je joue pas avec deux buteurs

@FC_Guimaraes un triangle amoureux ça vous dit ?

- Anna - « Assieds toi, nous devons parler » -

Les phares découpaient la nuit tombante, filant le long des routes sinueuses qui bordaient le Lima. Aníbal Guimarães, au volant de son Aston Martin sombre comme une promesse tenue, quittait le centre d’entraînement. La journée avait été longue, faite de détails tactiques, de sourires forcés devant les caméras, de décisions silencieuses qu’un coach traîne parfois comme un sac de sable.

Dans l’habitacle, la playlist tournait en sourdine — du fado doux, un choix involontaire de son assistant, mais qui semblait convenir à cette fin de journée glacée.

Puis, le téléphone vibra.

Un simple appel, mais avec ce genre de vibration différente. Presque viscérale.

Il activa l’IA de son iPhone, par paresse plus que par confort.

« Réponds en haut-parleur. »

Et une voix surgit. Féminine. Claire. Franche.

— « Ani… c’est Anna. Je sais que ça fait des années, mais… il faut que je te parle. »

Il freina, sans y penser.

Pas un arrêt sec. Un ralentissement naturel. Comme si son corps, avant même son esprit, avait compris que quelque chose venait de s’ouvrir. Un tiroir qu’il pensait verrouillé. Une boîte qu’il n’avait pas rouvert depuis longtemps.

Anna. Le prénom résonnait. Vieux écho d’un passé enfoui sous les couches d’ambition, de conférences de presse et de contrats en triple exemplaire. Il resta figé un instant, le regard perdu dans le reflet tremblant des lumières de Noël, suspendues aux réverbères de Viana.

Anna. Celle qu’il avait connue bien avant Yéssica, avant Isabella. Bien avant la gloire.

Elle était entrée dans sa vie comme une saison trop courte. Étudiante en psychologie, pleine de principes, de silences puissants, de cette beauté sans mise en scène. Elle avait aimé Aníbal, mais pas sa trajectoire. Elle avait fui l’instabilité chronique, les départs en avion, les retours épuisés à l’aube, les soirées de défaites, les dimanches sans tendresse.

Et elle était partie. Un mot sur un carnet.

Un au revoir sans drame.

Il ne l’avait pas revue depuis.

Ce soir-là, il ne dormit presque pas. Pas par colère, pas par peur. Mais parce qu’une question tournait en boucle, impossible à évacuer :

« Pourquoi maintenant ? »

Yéssica dormait à ses côtés, le ventre arrondi par l’enfant à venir. La maison était calme. Trop calme. Et dans cette tranquillité surgie comme une mer d’huile, l’appel d’Anna résonnait comme une pierre lancée en plein milieu.

Le lendemain, très tôt, alors que la lumière bleutée de l’hiver filtrait à peine à travers les stores, le souvenir d’Anna s’imposa à lui. Les cafés à Viana. Les balades au bord du Douro. Les discussions infinies sur la vie, sur ce qu’il aurait pu être s’il n’avait pas tout misé sur un ballon.

Il sourit, un sourire triste.

Elle ne voulait pas d’un homme de passage. Et lui, à l’époque, n’était que ça.

Et maintenant ?

Que voulait-elle dire, exactement ?

Le téléphone resta muet les jours suivants. Et Aníbal, entre deux séances d’entraînement, jeta parfois un œil vers l’écran. Rien. Pas de second message. Pas de suite.

Juste une parenthèse. Ou peut-être… un prélude.

- Chapitre 654 - - « Ani, nous devons prêter Afonso » -	- Chapitre 656 - Coming SOON - 06/05

[VertPourToujours]

Pourquoi avoir attendu plus de 10 ans pour lui annoncer qu’il est père ?

[Manthyz]

J’en connait une qui risque de pas apprécier la nouvelle si c’est bien ce que tout le monde pense !

[CaptainAmericka]

Oh, tiens, le retour des PROBLEEEEEEEMES !!!