:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

il marque encore pas mal Infante !!

le club est toujours bon au classement

Porto est une grande Ă©quipe
 donc perdre peut ĂȘtre normal mais il n’y a q’un but d’écart

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@FC_Guimaraes vous reprendrez bien un petit drama.

@volatil il est chaud le lascar

@VertPourToujours j’espùre bien.

@CaptainAmericka oui je suis content qu’il ai prolongĂ© d’une saison.

@RedM1nd on espùre qu’il va pas se blesser ce cochon.

@celiavalencia oui rien d’infamant Ă  perdre contre Porto on est encore jeune et inexperimentĂ© ça va venir.

- Elton Duarte quitte le club en douce pour rejoindre la sélection -

Alors que les internationaux de Vianense Ă©taient attendus jeudi en sĂ©lection nationale, le staff du club portugais a Ă©tĂ© surpris d’apprendre qu’Elton Duarte Ă©tait parti avec deux jours d’avance pour le Cap-Vert, sans l’autorisation du club.

D’abord gĂ©rĂ©e en interne par la direction, l’affaire a rapidement pris une toute autre ampleur lorsque des photographies du joueur Ă  l’aĂ©roport du Cap-Vert ont commencĂ© Ă  circuler dans la presse lusophone.

Un dĂ©part non justifiĂ©, qui pose une nouvelle fois la question de l’attitude du latĂ©ral prometteur, dĂ©jĂ  pointĂ© du doigt pour son comportement ces derniers mois.

Elton Duarte, jeune latĂ©ral de 20 ans, est considĂ©rĂ© comme l’un des joueurs les plus talentueux de sa gĂ©nĂ©ration au club, mais son tempĂ©rament explosif commence Ă  agacer en interne.

Selon plusieurs sources proches du club, ce n’est pas la premiùre fois qu’il outrepasse les rùgles.

“Elton est un joueur au potentiel Ă©norme, mais il a parfois des attitudes de diva,” aurait confiĂ© un membre du staff sous couvert d’anonymat.

Cette fois, le départ anticipé du joueur pour le Cap-Vert serait la goutte de trop pour certains dirigeants.

DĂšs la rĂ©vĂ©lation de son dĂ©part prĂ©maturĂ©, la direction de Vianense a tentĂ© d’éteindre l’incendie en interne.

Mais la diffusion des clichĂ©s du joueur Ă  l’aĂ©roport, largement repris par la presse lusophone, a mis le club dans une position dĂ©licate.

Les journalistes ont immĂ©diatement cherchĂ© Ă  obtenir des rĂ©actions d’Anibal GuimarĂŁes et Hugo Viana, mais les deux hommes ont prĂ©fĂ©rĂ© Ă©viter tout commentaire.

“Nous gĂ©rons cette situation en interne,” a simplement dĂ©clarĂ© un porte-parole du club, sans donner plus de dĂ©tails.

Une stratĂ©gie qui pourrait Ă©viter d’attiser davantage les tensions, mais qui ne suffira pas Ă  Ă©touffer la polĂ©mique.

Si aucune dĂ©cision officielle n’a Ă©tĂ© annoncĂ©e, plusieurs options sont dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©es en interne :
‱ Une amende financiùre pour manquement au rùglement.
‱ Une mise Ă  l’écart temporaire Ă  son retour de sĂ©lection.
‱ Une sanction plus lourde, voire une rĂ©flexion sur son avenir au club.

Certaines voix au sein du club réclament des mesures strictes, alors que Vianense veut conserver une image de rigueur et de professionnalisme.

Si Elton Duarte est indĂ©niablement un joueur d’avenir, son manque de discipline pourrait compromettre sa progression.

“Il doit comprendre que le talent seul ne suffit pas,” glisse un observateur du football portugais. “Si Vianense vise l’élite, ils ne peuvent pas se permettre de tolĂ©rer ce genre de comportement.”

Cette affaire pourrait bien ĂȘtre un tournant dans la carriĂšre du joueur, et sa gestion par le club pourrait dĂ©finir son avenir Ă  Vianense.

Une chose est sûre : Anibal Guimarães ne laissera pas passer un autre faux pas.

- Chapitre 610 -
- Um ataque em grande forma -
- Chapitre 612 -
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Faut pas se laisser marcher sur les pieds

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Le comportement de diva peut nuire sur l’ensemble du groupe. Le groupe est plus important qu’un joueur et ceux malgrĂ© un talent indĂ©niable

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Le Cap-Vert est un super sélection. Il a bien raison de forcer le passage pour profiter du pays (et de sa famille). Détends-toi Anibal :smiley:

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C’est pas comme si il allait faire la chouille non plus. Et le gars ne se cache pas sur le terrain Ă  en croire ses stats. C’est un gamin rĂ©solu avec un fort caractĂšre. Il va falloir un peu de doigtĂ© et pas aller au clash. Mais avec ce bourrin d’Anibal, ça risque d’ĂȘtre compliquĂ© :rofl:

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Mince, dommage cette dĂ©faite contre l’Estrela Amadora, qui influe grandement le classement. Par contre s’il y en a un qui est en forme, c’est Infante !

Par contre, Duarte a l’air d’avoir un bon caractùre pourri, il ne sera pas simple à canaliser :sweat_smile:

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Il faut vite lui expliquer la vie au garçon. Une grosse amende puis un petite mois en Ă©quipe 2 et s’il refait le guignol sur la liste des transfert avec une mise Ă  pied.

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Un peu vulgaire quand mĂȘme, ce vilain doigt tendu en l’air :smiley:

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@Rhino c’est rien de mĂ©chant et c’est gĂ©rĂ© en interne :hoho:

@Waffle68 c’est clair pour ça que le staff a gĂ©rĂ© ça en interne.

@toopil il a bien raison de jouer pour sa sĂ©lection. Mais il doit accomplir ses obligations tout de mĂȘme.

@volatil heuresement il a pas raté de matchs en club mais il devrait juste respecté un peu plus son club. En soit personne lui interdira de rejoindre sa sélection.

@alexgavi Oui la dĂ©fait fait mal au classement. Mais la forme d’Infante fait plaisir.

@VertPourToujours il a pris une belle amende et remise en place devant le groupe à son retour. Le sanctionner par une suspension serait idiot car il a pas raté de matchs.

@Sythax j’étais fier du rendu via l’IA pour une fois sur les mains :hoho:

- SimÔes Un Nouveau Leader pour les Palancas Negras ? -

Un coup de tonnerre dans le football lusophone : Carlos SimĂ”es, l’un des plus grands espoirs du football portugais, a dĂ©cidĂ© de reprĂ©senter l’Angola au niveau international.

Alors qu’il comptait cinq sĂ©lections avec les Espoirs portugais, le jeune dĂ©fenseur central de 17 ans, formĂ© Ă  Vianense, a finalement optĂ© pour la sĂ©lection angolaise, oĂč il espĂšre jouer un rĂŽle clĂ© dans les annĂ©es Ă  venir.

Un choix fort et engagé, qui marque un tournant dans la carriÚre du joueur.

Carlos SimĂ”es, nĂ© au Portugal mais originaire d’Angola par ses parents, a longtemps hĂ©sitĂ© entre ses deux patries.

Le Portugal, qui l’a vu grandir et progresser dans le football professionnel, lui offrait une trajectoire classique vers le haut niveau. Mais son cƓur battait pour l’Angola, le pays de sa famille, celui qui reprĂ©sentait son hĂ©ritage et son identitĂ© profonde.

“J’ai beaucoup rĂ©flĂ©chi, et au final, mon cƓur m’a guidĂ©,” a-t-il confiĂ© dans une interview aprĂšs sa dĂ©cision. “J’ai parlĂ© avec ma famille, avec mes proches
 J’ai ressenti que je devais reprĂ©senter mon pays d’origine et contribuer Ă  son dĂ©veloppement footballistique.”

L’élĂ©ment dĂ©clencheur ? Le discours de Clinton Mata, ancien international angolais dĂ©sormais sĂ©lectionneur, qui a su le convaincre qu’il pouvait ĂȘtre une piĂšce centrale du projet de la sĂ©lection.

“Carlos, on ne veut pas juste que tu joues pour l’Angola. On veut que tu sois un leader, un symbole pour cette gĂ©nĂ©ration.”

Ces mots ont rĂ©sonnĂ© en SimĂ”es. Et il n’a pas hĂ©sitĂ© plus longtemps.

Si certains remettaient en question son choix, Carlos SimÔes a rapidement fait taire les doutes.

TitularisĂ© dĂšs son premier match avec l’Angola face Ă  l’ÉrythrĂ©e, il a signĂ© un dĂ©but fracassant, inscrivant un doublĂ© sur corner et permettant Ă  son Ă©quipe de s’imposer largement (4-0).

“C’est un rĂȘve qui devient rĂ©alitĂ©,” a-t-il dĂ©clarĂ© aprĂšs la rencontre. “Ce maillot me rend fier. Je veux aider l’Angola Ă  grandir et Ă  viser de grandes choses.”

Son aisance aérienne, sa puissance physique, et surtout son charisme naturel ont déjà séduit les supporters et le staff.

Si la fédération angolaise célÚbre cette victoire, la Fédération Portugaise de Football (FPF), elle, doit encaisser le coup.

Carlos SimÔes faisait partie des joueurs les plus prometteurs de sa génération, et son départ laisse un vide en défense.

“Le Portugal a fait de moi le joueur que je suis aujourd’hui,” a-t-il tenu Ă  prĂ©ciser. “Je n’oublierai jamais tout ce qu’il m’a apportĂ©. Mais l’Angola, c’est chez moi.”

Son cas rappelle d’autres joueurs binationaux qui ont choisi de reprĂ©senter leurs origines plutĂŽt que leur pays de formation.

Une dĂ©cision qui pourrait inspirer d’autres jeunes talents angolais nĂ©s Ă  l’étranger Ă  suivre le mĂȘme chemin.

Avec Carlos SimĂ”es, l’Angola tient peut-ĂȘtre son futur capitaine.

“Il a l’étoffe d’un leader,” a dĂ©clarĂ© Clinton Mata aprĂšs la rencontre. “Ce n’est que le dĂ©but d’une grande aventure pour lui.”

Une chose est sĂ»re : avec des dĂ©buts aussi explosifs, Carlos SimĂ”es est dĂ©jĂ  en train d’écrire l’histoire.

Et l’Angola se frotte les mains d’avoir remportĂ© ce duel face au Portugal.

- Chapitre 611 -
- Elton Duarte file en sélection en douce -
- Chapitre 613 -
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Si ça continue, ça va devenir une épidémie :smiley:

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Coucou @Sythax :sac:

Hahahaha !
J’ai galĂ©rĂ© contre l’Angola, ils ont l’air de rien mais comme le Cap Vert, avec leurs joueurs naturalisĂ©s, ils sont pas dĂ©gueus en Afrique.

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@Sythax vu le niveau de nos joueurs c’est assez logique de les voir choisir leurs sĂ©lections d’origine en vrai.

@toopil :hoho:

@Sythax ils ont clairement des effectifs boostés par les binationaux :hoho:

- « Le modĂšle de Vianense n’est pas viable Â» -

Le modĂšle 100% tournĂ© vers la formation du SC Vianense continue d’alimenter les dĂ©bats au sein du football portugais. Lors d’une confĂ©rence de presse, Bernardo Silva, fraĂźchement nommĂ© entraĂźneur du FC Porto, n’a pas manquĂ© d’émettre des doutes sur la viabilitĂ© du projet d’Anibal GuimarĂŁes.

Bernardo Silva - “Un ModĂšle Qui ConnaĂźtra ForcĂ©ment ses Limites”

L’ancien milieu de terrain de Manchester City, dĂ©sormais entraĂźneur du FC Porto, a Ă©tĂ© interrogĂ© sur l’approche de Vianense, qui repose uniquement sur le dĂ©veloppement de jeunes joueurs issus de son acadĂ©mie.

PlutĂŽt sceptique, Bernardo Silva a fait part de ses doutes :

“Le projet est intĂ©ressant, mais Ă  mon avis, il atteindra forcĂ©ment un plafond de verre. Vous ne pouvez pas tout miser sur la formation, parce qu’il y aura des manques, des trous Ă  certains postes.”

Puis, en illustrant son propos, il a ajouté :

“On ne sort pas un Erling Haaland de son centre de formation chaque annĂ©e. MĂȘme les meilleures acadĂ©mies du monde doivent complĂ©ter leur effectif par des recrues extĂ©rieures.”

Une vision pragmatique, qui souligne les difficultĂ©s potentielles d’un club qui refuse d’acheter des joueurs et privilĂ©gie exclusivement ses jeunes talents.

Sans surprise, Anibal GuimarĂŁes a Ă©tĂ© interrogĂ© Ă  son tour sur les remarques de son homologue. FidĂšle Ă  lui-mĂȘme, il n’a pas esquivĂ© la question, et a tenu Ă  dĂ©fendre son projet.

“Oui, c’est un dĂ©fi difficile. Mais ce n’est pas un modĂšle impossible.
L’histoire a dĂ©jĂ  montrĂ© que des clubs ont gagnĂ© avec cette approche.”

L’entraĂźneur de Vianense a citĂ© plusieurs exemples :

“Regardez le Barça de Guardiola, regardez le Bayern ou mĂȘme le Sporting ici au Portugal. Quand ils ont eu une gĂ©nĂ©ration dorĂ©e, ils ont su la faire grandir et gagner avec.”

Puis, avec un sourire, il ajouta :

“Bien sĂ»r, ce n’est pas facile. Il faut beaucoup de patience, du travail
 et un peu de chance aussi.”

Cette passe d’armes entre Bernardo Silva et Anibal GuimarĂŁes met en lumiĂšre deux visions opposĂ©es du football moderne :

  • Le modĂšle de Porto, basĂ© sur un savant mĂ©lange entre jeunes prometteurs et recrutements ciblĂ©s pour rester compĂ©titif immĂ©diatement.
  • Le modĂšle de Vianense, qui mise exclusivement sur son acadĂ©mie, quitte Ă  accepter un dĂ©veloppement plus long et plus risquĂ©.

Qui aura raison ?

Seul le terrain et les résultats à long terme apporteront une réponse.

En attendant, Vianense poursuit son aventure unique, et Anibal GuimarĂŁes reste fidĂšle Ă  ses convictions.

- Chapitre 612 -
- SimÔes leader des palancas negras ? -
- Chapitre 614 -
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Il va devenir trùs grand Simoes ! Choisir l’Angola lui assure un avenir international au moins.

Je suis un ferveur dĂ©fenseur des modĂšles qui s’appuient uniquement sur les centres de formation ! Et ça marche ! :relieved::smirk:

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Il est juste jaloux l’ami Silva :eyes:

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Anibal rend toujours jaloux les autres coachs !

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Réponse dans quelques saisons, lorsque Vianense aura rattrapé son retard sur Porto :grin:

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oui ça peut fonctionner si on laisse le temps à l’entraineur

L’ASSE d’Herbin de 72 Ă  77 Ă©tait composĂ©e comme ça (sauf Curkovic et Piazza) et tous les jeunes Ă©taient internationaux, mĂȘme les remplaçants comme Merchadier, Repellini ou Santini.

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@CaptainAmericka on l’espùre, je mise beaucoup dessus. oui ça foncitonne faut juste de la patience.

@rhino c’est certain.

@Sythax :pasrire:

@alexgavi inchallah on les poutre l’an prochain ces chiens.

@VertPourToujours bel exemple

-ZOOM-
5 choses Ă  savoir sur Antonio Frade

- - - Luis
Almeida - - -
Âge
19
Nationalité :cape_verde: :portugal: Cap-Verdien
valeur 0.6-0.8M€
Salaire 11.2k€/m
Fin de contrat 30 Juin 2044
:desktop_computer:
Titulaire Indiscutable :four_star: :four_star_half:
ANNEES CLUB :groot_played: :groot_scored: :groot_assist:
:portugal: 35/39 [U19] :vianense: SC Vianense 42 15 5
:portugal: 35/39 [B] :vianense: SC Vianense B 55 37 4
:portugal: 36/37 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 0 (3) 0 0
:portugal: 37/38 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 3 (1) 0 0
:portugal: 38/39 :ligaportugal2: [PRO] :vianense: SC Vianense 36 6 6
:cape_verde: 38/39 :caf: [A] :cape_verde: Cap Vert 7 6 0
36-39 TOTAL - - - - - 43 6 6

UN DESTIN ENTRE DEUX PAYS

Luis Almeida est nĂ© Ă  Praia, la capitale du Cap-Vert, mais il n’y a passĂ© que quelques mois avant d’ĂȘtre emportĂ© par le vent du destin. À seulement six mois, il quitte son Ăźle natale pour le Portugal, oĂč il grandira, ignorant presque tout de ses origines cap-verdiennes jusqu’a ce que sa famille adoptive retrouve ses grands parents quelques annĂ©es plus tard. Naturalisation ou pas, son cƓur a toujours battu pour le football portugais, et Ă  16 ans, lorsqu’il obtient officiellement sa nationalitĂ©, il sait que son rĂȘve de jouer pour la Seleção peut enfin se concrĂ©tiser. Toutefois son histoire a toujours laissĂ© une porte ouverte Ă  sa nation d’origine et sa famille d’acceuil lui a toujours dit de laisser la porte ouverte au Cap-Vert. C’est au SC Vianense, son club formateur, qu’il apprend Ă  dompter le ballon, forgeant son style d’ailier vif et percutant, hĂ©ritier des plus grands dribbleurs lusophones.

LE FILS ADOPTIF DE NANI

Son nom n’a rien d’anodin : Luis Almeida, tout comme Luis Nani, l’ancien international portugais passĂ© par Manchester United. Mais la ressemblance ne s’arrĂȘte pas lĂ , car Nani n’est pas juste un modĂšle pour lui
 c’est son pĂšre adoptif. Lors d’un voyage humanitaire au Cap-Vert, alors qu’il n’a que 22 ans, Nani fait la rencontre d’un nourrisson orphelin de cinq mois. Pris d’affection pour lui, il entreprend les dĂ©marches pour l’adopter et lui offrir une nouvelle vie au Portugal. ÉlevĂ© comme son propre fils, Luis a grandi avec une figure paternelle hors du commun, bĂ©nĂ©ficiant des conseils d’un champion qui a connu les sommets du football mondial. Aujourd’hui, il porte fiĂšrement ce nom, prĂȘt Ă  honorer l’hĂ©ritage de son pĂšre.

UN JEUNE PÈRE AU MENTAL D’ADULTE

Si Luis Almeida n’a que 19 ans, sa vie ne ressemble en rien Ă  celle d’un adolescent insouciant. PĂšre de deux enfants – une fille de trois ans et un garçon d’un an – il assume son rĂŽle avec une maturitĂ© impressionnante. Alors que beaucoup de jeunes footballeurs profitent des plaisirs de la cĂ©lĂ©britĂ© naissante, Luis, lui, rentre chez lui aprĂšs chaque entraĂźnement pour s’occuper de sa famille. Il Ă©voque souvent sa paternitĂ© comme une force qui lui donne une motivation supplĂ©mentaire sur le terrain. “Quand je marque un but, je pense Ă  eux. Je veux leur offrir une vie encore meilleure que celle que j’ai eue”, confie-t-il dans une interview rĂ©cente.

UN MONDIAL U20 INOUBLIABLE

La scĂšne internationale n’a pas tardĂ© Ă  l’accueillir. Lors du dernier Mondial U20, Luis Almeida s’est rĂ©vĂ©lĂ© aux yeux du monde entier en inscrivant six buts avec le Portugal, dont un doublĂ© mĂ©morable en demi-finale contre l’Argentine. Ce match restera gravĂ© dans les mĂ©moires : menĂ©s 2-0 Ă  la mi-temps, les Portugais ont renversĂ© la situation grĂące Ă  un Luis en Ă©tat de grĂące. Son second but, un enchaĂźnement contrĂŽle orientĂ©-frappe enroulĂ©e dans la lucarne, a immĂ©diatement Ă©tĂ© comparĂ© aux gestes de son pĂšre adoptif. Depuis, son tĂ©lĂ©phone ne cesse de sonner : les recruteurs europĂ©ens voient en lui l’une des plus grandes promesses du football portugais.

L’AMOUR DU MATÉ, ENTRE RITUEL ET DISCIPLINE

Si beaucoup de joueurs ont leurs petits rituels d’avant-match, Luis, lui, ne jure que par le matĂ©. HĂ©ritĂ©e de ses dĂ©buts en professionnels avec des coĂ©quipiers d’origine sud-amĂ©ricaine, cette boisson est devenue une habitude quotidienne. “Le matĂ©, c’est mon carburant”, plaisante-t-il. Que ce soit le matin au centre d’entraĂźnement ou avant un grand match, il ne se sĂ©pare jamais de sa calebasse. Ce goĂ»t pour la tradition, ce souci du dĂ©tail et cette rigueur dans la prĂ©paration sont autant de signes de son professionnalisme. Et Ă  voir son ascension fulgurante, on peut se demander si cette infusion magique n’est pas le secret de sa rĂ©ussite.

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