:storygreen: :s2: đŸ‡Ș🇾 :betis: L’hĂ©ritage de Manuel Pellegrini


Mais le coach a toujours raison ! :sweat_smile:

Dur dur ces derniers résultats, on dirait que les joueurs ont du mal à tuer le match quand ils le peuvent.
Le cas Borja Iglesias est singulier, mais bientÎt réglé automatiquement avec son départ prochain :grin:

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Aie , complique ces derniers matchs
 surtout Ă  l’arrivĂ©e de fin de match.

Allez les gars, on se bouge !

Lets Go Good Job GIF by ESPN College Football

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Vos réponses

@Rhino On a connu mieux


@toopil Oui, parce que juste avant la trĂȘve, ça serait con que ça parte en sucette


@Sythax :pensive_face: On va redresser la barre !

@alexgavi Il doit y avoir quelques parasites en interne qui empĂȘche le bon dĂ©roulement des choses ! :roll_eyes:

@celiavalencia Ils ont du mal à tenir un score en ce moment ça fait péter un cable :smiling_face_with_tear:

Chapitre 76 : La fissure.


Il fallait redresser la barre et ne pas laisser les doutes s’immiscer. Le groupe avait rĂ©ussi Ă  enchaĂźner les performances positives, il Ă©tait capable de recommencer. Ad en Ă©tait persuadĂ©. Surtout, il le fallait. Vu les trois prochains adversaires qui se dressaient sur le chemin des BĂ©ticos, il n’y avait pas d’autre choix que d’élever le niveau. D’abord un dĂ©placement Ă  Bilbao. Puis un court, trĂšs court dĂ©placement chez l’ennemi jurĂ© pour un derby qui s’annonçait bouillant. Enfin, un troisiĂšme dĂ©placement en autant de rencontre, mais en Angleterre cette fois, au Hotspur Stadium pour tenter de relever la tĂȘte en Europa League. Trois rencontres, trois marches Ă  gravir. Pour corriger les erreurs et donner une meilleure image.

Tout d’abord, un dĂ©placement chez les Basques de l’Athletic Bilbao. L’équipe type est alignĂ©e pour aller chercher un rĂ©sultat.

J16 :liga_easport: : :bilbao: - :betis:

Et les Verderones ne perdent pas de temps Ă  afficher leurs ambitions quand ABDE, aprĂšs avoir fait la diffĂ©rence sur son cĂŽtĂ© gauche, adresse un centre plongeant au second poteau pour RODRI qui vient conclure d’un plat du pied et ouvrir le score (8’). Un avantage qui promet une prestation haute en couleurs
 mais pas pour le Real BĂ©tis ! INAKI WILLIAMS n’a pas mis longtemps Ă  remettre les deux Ă©quipes Ă  Ă©galitĂ© aprĂšs un rush solitaire plein axe (15’). Plus rien ne se passera jusqu’à la mi-temps. En seconde pĂ©riode, les hommes d’Ad parviennent Ă  nouveau Ă  prendre l’avantage grĂące Ă  ABDE, buteur cette fois-ci (55’). Mais une nouvelle fois, ils ne tiendront pas le score trĂšs longtemps et encore une fois, INAKI WILLIAMS ramĂšne les deux Ă©quipes Ă  Ă©galitĂ©. Il va ensuite confirmer que la dĂ©fense des sĂ©villans est fragile en inscrivant un triplĂ© (71’). Jetant leurs forces dans la bataille pour tenter de revenir, les BĂ©ticos vont concĂ©der un quatriĂšme but, de l’autre frĂšre WILLIAMS, NICO en toute fin de rencontre (90+1’).
Un récital de la famille WILLIAMS pour infliger une défaite sévÚre aux Verdiblancos. Une nouvelle prestation insipide de RUI SILVA qui a terminé de consumer la patience de son entraßneur, qui cherche activement un nouveau gardien de but


La porte du vestiaire claqua si fort que les journalistes présents dans les couloirs du stade se retournÚrent.
« Comment c’est possible de rendre une copie aussi infĂąme ?! Â» s’écria Ad. « RUI, sur les 4 buts, oĂč es-tu ?! T’avais pas envie de jouer ? Fallait le dire ! Je pense que mĂȘme moi j’aurais rĂ©alisĂ© un meilleur match que toi ! Â» C’en Ă©tait trop pour l’entraĂźneur français qui avait perdu patience avec son gardien.

Le portier portugais se leva d’un bond, fulminant de rage.
« C’est trop facile de rejeter la faute sur moi ! C’est toujours sur les gardiens qu’on tape de toute façon. Â» dit-il avec vĂ©hĂ©mence.

« Mais comment veux-tu que je garde mon calme ? Tu as vu tes interventions ? Tu n’es sur aucun des 4 buts encaissĂ©s, et tes sorties sont plus que douteuses ! Â» lui dit son entraĂźneur. « Et tu aspires Ă  retrouver la sĂ©lection aprĂšs ça ? Mais tu rĂȘves
 Â»

« Je veux partir d’ici. J’en ai assez de votre maniĂšre de gĂ©rer le club. Je ne progresse pas ici. Â» lança-t-il calmement.

« Je te rassure, tu ne rejoueras plus jusqu’à ce qu’on te trouve un nouveau club. Â» annonça Ad. « Je te conseille Ă©galement de commencer les recherches de ton cĂŽtĂ© pour accĂ©lĂ©rer les choses. Â»

« C’est dĂ©jĂ  fait depuis longtemps. Â» rĂ©pondit le gardien avant de quitter le vestiaire furieux.

Autour d’eux, des regards Ă©bahis, surpris, choquĂ©s. Personne n’avait osĂ© s’interposer entre les deux protagonistes. Personne n’avait jamais vu l’entraĂźneur sortir de ses gonds comme ce soir-lĂ . La dĂ©cision Ă©tait sans Ă©quivoque pour tous : RUI SILVA ne porterait plus jamais le maillot du Real BĂ©tis et dĂ©sormais, ça serait MYCAEL qui gardera les cages jusqu’à l’arrivĂ©e, trĂšs certainement, d’un nouveau gardien.

AprĂšs cette nouvelle contre-performance et la prise de tĂȘte devant ses joueurs, Ad se retrouva dehors, seul, perdu dans ses pensĂ©es. La colĂšre et la tension redescendues, il attrapa son tĂ©lĂ©phone pour regarder le classement actuel. Le club Ă©tait classĂ© 6Ăšme, et les Ă©quipes entre la 3Ăšme et la 7Ăšme place se tenaient en 5 points. Le classement Ă©tait donc serrĂ©, et tout Ă©tait encore jouable. Mais le français ne pouvait s’empĂȘcher de regretter les points bĂȘtement perdus Ă  cause des erreurs de son gardien. Il savait qu’il n’était pas le seul fautif Ă  chaque fois, mais vu l’importance du portier dans le groupe, il en attendait nettement plus de lui.

D’autant plus que le prochain match Ă©tait un choc. LE match de l’annĂ©e. Pourtant, le club n’était pas dans la meilleure pĂ©riode pour prĂ©parer un tel match. Il allait falloir se surpasser.

J17 :liga_easport: : :sevilla: - :betis:

Une rencontre fermĂ©e, oĂč l’enjeu prend le dessus sur le jeu. Peu d’occasion, peu de prise de risque, des joueurs tendus. Cependant, le Real BĂ©tis semble maĂźtriser son sujet. MYCAEL n’est pas sollicitĂ© du tout, et ce sont les Verdiblancos qui ont le ballon entre les pieds. Le public le ressent, la tension est palpable. Et le but arriva. Juste avant la mi-temps,NACHO FERRI a surgit de nul part et est venu couper un centre Ă  ras de terre de ALTIMIRA pour donner l’avantage Ă  son Ă©quipe (44’). En seconde pĂ©riode, les supporters assisteront au mĂȘme scĂ©nario, mais avec le but en moins. Une domination des visiteurs qui sont venus Ă©teindre tous les espoirs de domination territoriale de la ville jusqu’à la prochaine confrontation.
Les hommes d’Ad ont su jouer la partition parfaite pour venir prendre les 3 points, prĂ©cieux dans une pĂ©riode oĂč les tĂȘtes semblent fĂ©briles. Dans ces cages, MYCAEL a montrĂ© qu’il avait les Ă©paules solides pour endosser le costume de n°1. Est-ce assez pour relancer la machine ?

Une victoire importante. Au forceps. A t-elle lancĂ© l’équipe ? L’avenir le dira mais Ad est ressorti de la rencontre avec un sentiment de fiertĂ©. Il a senti son groupe soudĂ©, prĂȘt Ă  aller au combat. Le coup de gueule de la rencontre prĂ©cĂ©dente semble loin. Mais il a fait du bien.
Il le faut. Parce que le club entre dans une période importante avec un enchaßnement de rencontres qui ne laissera que peu de répit.

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Le clash était inévitable :frowning:

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Il va y avoir un article dans le journal !
hop un gardien qui fait pas son taf dehors, on verra si mycael va ĂȘtre bon

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Un entraineur qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, c’est ce qu’il faut :flexed_biceps:

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Il manque plus que les postillons dans l’image :grin:
Les deux se sont bien pourris la tronche ! Il fallait bien que ça arrive un jour.

En tout cas, les Ă©vĂ©nements semblent donner raison Ă  l’entraineur, vu le rĂ©sultat du derby sĂ©villan :+1:

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Le mec du milieu est saoulé :joy:

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Ils ont plus l’air constipĂ©s qu’autre chose les deux lĂ  


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