:storyred: :gre: Ethnikos, l'autre club du Pirée - Saison 18/19

Je ne sais plus compter. Je corrige.


Il n’a pas été possible de passer au statut semi-Pro pour le moment. Néanmoins le comité directeur nous a dégagé cette saison un vrai budget salariale (18K€) ce qui devrait nous permet de verser des primes intéressantes et d’attirer de meilleur éléments.

Coté départ tout d’abord Alex Rossis (GB), Vangelis Thomas (DD), Christos Katsamakas (MC), Stelios Panagiatoras (MOC) et Kikeridis (MG) ont choisis de rejoindre un nouveau club. Klevis Shabani (DG) n’a pas été conservé, et Paraskevas Bedrelis (MOC) a choisi d’arrêter sa carrière à seulement 18 ans, n’ayant pas réussi à sa surmonter sa fracture du tibia.

Au rayon des bonnes nouvelles en revanche, nous avons touché 80K€ de droits pour la saison à venir et nous avons signé un partenariat avec le Panetolikós FC.

C’est un club situé à environ 250 km d’Athènes, et qui vient juste d’être relégué en 2e division. Cette relation nous permet d’améliorer un peu nos finances, et éventuellement d’accueillir quelques joueurs en prêt, même si vu leur niveau je pense que ça ne sera pas envisageable avant d’être montée en 3e division.

Nous avons également signé un sponsoring pour les deux prochaines saisons, pour un montant de 12,5 K€. C’est le groupe de produit de beauté naturel, Korres, qui apparaitra sur les maillots du club.


Tandis que de notre coté, nous avons pris connaissance de nos adversaires pour la nouvelle saison.

De manière objective, les meilleures équipes de ce Championnat sont : Charavgiakos, Glyfada, PAO Rouf, Alimos, Diana Ilioupolis qui devraient être dessus.

2 « J'aime »

18/07/2017 - FOOTBALL - ALERTE

Alors qu’il avait réussi à décrocher la promotion avec l’Agios Dimitrios, Ioannis Amanatidis vient de quitter le club Athénien.

[font=Trebuchet MS]Une semaine après le retour de vacance des joueurs et après avoir validé plusieurs recrues, le coach Grec serait sur le point de s’engager avec une nouvelle équipe. Un départ surprise, mais qui d’après une de nos sources proche de la direction du club Athènien aurait eu lieu en toute intelligence, et en accord avec le Président qui a permis à son coach de saisir une belle opportunité.
[/font]

Plus d’informations à venir.

4 « J'aime »

Excellent ! J’adore :+1:

1 « J'aime »

hâte de voir ta déstination

1 « J'aime »

FOOTBALL. Nommé entraîneur de l’Ethnikos Piraeus, Ioannis Amanatidis a tenu sa première conférence de presse vendredi. L’occasion d’afficher ses ambitions et d’évoquer à demi-mot son rêve de retrouver la SuperLeague.

« C’est toujours comme ça ici? Il va falloir penser à agrandir la salle de presse. » C’est un Ioannis Amanatidis très détendu qui s’est présenté vendredi à sa conférence de présentation, au lendemain de son officialisation comme entraîneur de l’Ethnikos. Devant une foule de journalistes, l’ancien international et entraineur de l’Agios Dimitrios a livré une prestation sans fausse note.

Il s’est d’abord dit très honoré de signer à l’Ethnikos, avant d’avoir une pensée pour Thymios Georgoulis, son prédécesseur sur le banc Piréote. « Je suis très heureux et ravi d’être ici, de devenir l’entraîneur d’un club aussi historique, a-t-il confié. Je voudrais dire un mot sur Thymios. Je l’ai eu au téléphone, c’est quelqu’un que j’apprécie. Il a donné le meilleur de lui-même pour ce club. »

Présent aux côtés d’Amanatidis, le président de l’Ethnikos, Alexis Angelepoulos, a lui aussi salué le travail de Thymios Georgoulis, à qui il a proposé de rester au club. « J’ai demandé à Thymios d’envisager de poursuivre l’aventure dans une autre fonction, je vais en discuter avec lui dans les prochains jours », a-t-il expliqué.

Lunettes noires sur le front, Alexis Angelopoulos s’est ensuite plus longuement attardé sur les qualités et le passif d’Amanatidis. « Pourquoi lui? Il a un bilan sportif exceptionnel sur la dernière année. Il a aussi un projet de jeu, une philosophie et une rigueur. C’est également un professionnel reconnu pour son intégrité et son honnêteté intellectuelle. C’est l’acte 1 de notre nouveau projet, c’est un acte fondateur », a-t-il expliqué.

L’Ethnikos qui a terminé cinquième en 2014/2015, puis troisième en 2015/2016 souhaitait jouer la première place et la montée en deuxième division cette année. Au final ce sera un flop complet, le club se sauvant de la relégation à la dernière journée

Interrogé sur la pertinence de changer de technicien après déjà une semaine de reprise, le président de l’Ethnikos a salué la prise de risque de son entraîneur. « C’est une belle preuve de courage de sa part. Beaucoup auraient fait un refus d’obstacle ». «Je crois qu’il n’y a jamais de bons moments pour faire des transitions, ici nous avons pris le temps de la réflexion. Et je tiens aussi à remercier mon homologue de l’Agios Dimtrios qui a accepté de libérer Ioannis, et avec qui nous avons eu un très bon contact »

Maintenant place à la nouvelle saison, et à quels objectifs ? Après une telle saison, est-ce raisonnable de rejouer la montée en deuxième division dès la saison prochaine ? Et quel est l’échéance pour la première division que le club a connue pour la dernière fois en 1999 ?

S’il l’évoque pour l’instant du bout des lèvres, celui qui aura tout réussi à la tête de l’Agios a du mal à dissimuler ses rêves de SuperLeague sur le long terme . « Même avant de venir ici, mon ambition a toujours été celle-là, a-t-il reconnu. Mais il faut d’abord redonner confiance aux joueurs après une saison éprouvante, et avancer pas à pas. Ca ne sert à rien de se mettre la pression, mais pourquoi pas finir au moins dans la première partie du classement »

Amanatidis ne pouvait pas détailler ses projets pour le club sans avoir un mot pour les supporters. « Il faut leur donner du bonheur, on va mouiller le maillot pour redorer le blason de l’Ethnikos. On fera tout pour ne pas les décevoir. Le premier objectif, c’est de leur donner envie de venir au stade », a-t-il expliqué. Il a même lancé une phrase qui devrait particulièrement plaire à ses supporters: "Quand je suis passé dans les bureaux administratifs j’ai vu une vieille photo de l’équipe victorieuse face à l’Olympiakos, notre rêve ultime ça doit être de revenir à ce niveau » (en 1933 l’Ethnikos élimine son grand rival l’Olympiakos en demi-finale de Coupe de Grèce et s’imposera en final pour remporter ce qui sera le seul trophée de son histoire)
3 « J'aime »

En 1923, l’Athletic Football Club du Pirée, basé au Pirée et vainqueur du championnat de la région du Pirée est scindé en deux entités.

De cette rupture, un groupe, emmené par Giorgos Chatziandreou, les frères Kostas et Dimitris Ferlemis et Christos Peppas, forme en 1924 l’Omilos Filathlon Piraeus, ce qui signifie Club des supporters du Pirée, et changent ensuite le nom en Ethnikos OFPF en 1925.

L’autre groupe, emmené par Yiannis Andrianopoulos et ses cinq frères, forme le club qui deviendra par la suite l’Olympiakos Le Pirée en 1925, l’actuelle mastodonte du football grec.

L’Ethnikos OFPF, souvent appelé Ethnikos le Pirée, est une association omnisports avec des équipes de football, water-polo , volleyball et basket-ball.

La rivalité avec l’Olympiakos

Depuis que les deux clubs se sont installés dans le paysage footballistique grec dans les années 1920, le rival local traditionnel d’Ethnikos a toujours été l’Olympiakos, un des deux clubs les plus populaires et les plus titrés du sport en Grèce, avec le Panathinaikos.

Alors qu’une vraie rivalité continue à exister entre Ethnikos et l’Olympiakos en water-polo (Ethnikos est le club le plus titré en Championnat de Grèce de water-polo, devant l’Olympiakos), ce n’est plus le cas en football, compte tenu de la différence de niveau entre les deux clubs.

Dans les années 1920 et 1930, Ethnikos et Olympiakos étaient de niveau comparable et ont souvent livré de beaux duels pour la suprématie en championnat régional du Pirée, mais par la suite, Olympiakos est devenu rapidement plus performant et plus compétitif et a commencé à surpasser sportivement Ethnikos.

Durant cette période, l’Olympiakos a pris l’habitude de débaucher les meilleurs joueurs d’Ethnikos, comme les internationaux grecs Philippos Kourantis à la fin des années 1920, Giannis Chelmis dans les années 1930 ou Giannis Ioannou au début des années 1950.

En 1956-1957, l’Olympiakos semble être à l’origine d’un scandale qui a privé Ethnikos du titre national. Alors qu’Ethnikos était en tête du championnat avec 4 points d’avance à 4 journées du terme, avec un derby face aux frères ennemis de l’Olympiakos, le club a été disqualifié de la compétition pour des raisons douteuses (suspicion de professionnalisme après avoir approché Ferenc Puskás et Sándor Kocsis, le football grec est encore amateur dans les années 1950). Cette soudaine élimination du leader de la compétition a permis à l’Olympiakos de finir en tête et de remporter le titre.

En 1973, Ethnikos perd son plus grand joueur, Michalis Kritikopoulos, transféré à l’Olympiakos, un an avant qu’Ethnikos ne réussisse son meilleur résultat au sein de l’Alpha Ethniki; beaucoup de supporters pensent que sans cette perte, l’équipe aurait pu conserver la première place et éviter la baisse de régime observée durant la seconde partie de la saison 1974-75.

L’Olympiakos est finalement devenu un club dominant en Grèce, après avoir gagné plus de championnats et de Coupe de Grèce que n’importe quel autre club, et l’Ethnikos n’a plus été capable de rivaliser sportivement avec lui depuis des décennies. Ethnikos n’a plus battu l’Olympiakos en championnat depuis la saison 1985-86 et a toujours terminé derrière l’Olympiakos depuis 1987-88.

Une source de conflits récente pour les fans concerne le stade Karaiskaki. Ce stade est le terrain traditionnel à la fois de l’Olympiakos et d’Ethnikos, mais seul l’Olympiakos y a rejoué depuis la reconstruction de l’enceinte pour accueillir les Jeux olympiques 2004, Ethnikos jouant désormais au Municipal Ground of Moschato (1200 places).

1 « J'aime »

très bon choix et toujours une très belle rédaction j’adore

Super, un nouveau challenge :slight_smile: Très bien écrit en effet, hâte de voir les débuts !

A son arrivée le nouveau coach a fait plus ample connaissance avec son nouveau groupe. Avec les départs enregistrés en fin de saison dernière seul 16 joueurs sont encore présent au 15 juillet.

Après avoir effectué des entretiens individuels, et à la vue des première séances d’entrainements deux joueurs ne seront pas retenu le défenseur Dimitris Bena et l’attaquant Tasos Maroudas.

Coté staff technique celui était complètement vide. Amanatidis a choisi plusieurs nouvelles personnes de confiance pour l’épauler. Comme évoqué par le président Thymios Georgoulis fait son retour au club en tant qu’adjoint.

Statos Giokaridakis s’occupera de la préparation physique des joueurs, et Varvara Karagianni veillera aux petits et aux gros bobos.

Giannis Bikoudis fera du travail spécifique avec les gardiens. Et Thodoros Dalkidis aura la lourde tache de conseiller le coach sur de possibles renforts.

Le championnat ne démarre qu’en septembre mais il est indispensable de renforcer rapidement le groupe, quand bien même la saison ne comporte que 26 journées (plus la Gamma Ethniki Cup, Coupe réserve aux équipes de troisième échelon).

En accord avec le Président et le staff plusieurs profils ont été ciblé : un gardien, un défenseur central, un milieu central défensif/relayeur, deux joueurs capables de jouer en attaque sur les cotés, et un buteur.

La marge de manœuvre coté salaires n’est pas énorme, et la priorité sera donnée sur des prêts gratuit. Dans cette perspective le Président a accepté de signer un accord de partenariat avec un club sénior, et celui ci a fait marcher son réseau.

C’est une excellente nouvelle, le PAOK dispose de très bons jeunes, d’un centre de formation performants, et l’aspect financier n’est pas négligeable.

Un contrat de deux ans est également signé avec un nouveau sponsor maillot principal. Il s’agit d’Epirotiki Line, compagnie maritime de croisière et de fret dont le siège est situé dans le port du Pirée.

2 « J'aime »

Pas mal cette affiliation avec le PAOK ! :slight_smile:

1 « J'aime »

Carrément. Quand je l’ai vu dans la liste des clubs possibles j’étais super content. Bon pour le moment en D3 ça sera compliqué de se faire prêter leurs meilleurs jeunes, mais c’est super prometteur.

2 « J'aime »

Je pense que tu as moyen de bien compléter ton effectif, même s’ils ne te prêtent pas des top jeunes :wink:

1 « J'aime »

Mercato terminé. Je vous présente l’effectif demain. :slight_smile:

2 « J'aime »

Résumé

Chaque nom est cliquable pour avoir la fiche du joueur

-

G | Vasilis Voutsinas - 36 ans
G | Marios Sabianis - 17 ans


-----

D | Dimitris Martinos - 26 ans
D | Tasos Stasinos - 31 ans
D | Thanasis Lyberis - 23 ans
D | Leonidas Kastritseas - 21 ans
D | Giannis Tsakirakis - 25 ans
D | Giannis Andreou - 19 ans


-----

--

M | Nikos Stratakis - 33 ans
M | Kostas Maragoudakis - 22 ans
M | Rafail Pettas - 21 ans
M | Alexandros Margaritis - 21 ans
M | Eraldo Musabelliu - 27 ans
M | Giorgos Kakko - 20 ans
M | Kostas Kirtzialidis - 19 ans
M | Julian De Blasis - 21 ans
M | Sifis Sopasis - 20 ans


--

A | Christos Chatzisavvas - 23 ans
A | Giorgos Manalis - 22 ans
A | Anthonis Stathopoulos - 19 ans


Comme nous le souhaitions Dimitris Bena et Tasos Maroudas ont quitté le club. Dans le sens des arrivées nous avons enregistré 6 renforts. Sabianis (GB), Kakko (M) et Stathopoulos (A) sont prêtés par notre partenaire, le Paok. Andreou (D) est prêté par le Pana, et Kirtzialidis est prêté par l’Oympiakos.

Une seule arrivée est définitive, celle de Rafail Pettas, un milieu central qui était libre, à priori un jolie coup.
2 « J'aime »

Le lien sur Giannis Tsakirakis ne fonctionne pas, autrement ça a l’air très homogène, hâte de voir la suite ! :relaxed:

Merci c’est corrigé.

Oui je suis content de l’équipe. C’est peut être un peu léger derrière, mais certains milieux peuvent dépanner. Offensivement j’attends beaucoup de Kakko qui est quand même international espoir albanais, et qui la saison dernière été prêté en deuxième division et a fait une bonne saison.

l’equipe a pas l’air si degeulasse que ca

6 matchs amicaux été au programme avant la reprise du championnat le 10 septembre.

Le bilan est de trois victoires face à Aigaleo qui évolue également en D3 mais dans un autre groupe, Mykonos (D4) et l’équipe de jeune du Salzburg Red Bull.

Nous avons signé un match nul courageux et prolifique face Göztepe (D2 Turc) qui compte quelques bon joueurs dans ses rangs, comme les anciens pensionnaires de ligue 1 Prince Segbefia (Auxerre), ou Jean-Jacques Gosso et Leo Schwechlen (Monaco).

Les deux défaites sont face à Beroe est club bulgare qualifié pour l’Europa League, et face à notre partenaire du PAOK. Dans ce dernier match l’Ethnikos a mené pendant 30 minutes, avant de logiquement sombrer. Ce qui fait très plaisir c’est que ce match amical s’est joué à guichet fermé, les 1200 places du stade étant pleines, de quoi se réjouir sur le potentiel du club en termes de public.

Au niveau individuel, comme le coach s’y attendait c’est défensivement que les choses ont été plus difficiles. Même si la plupart des buts encaissés l’ont été face à des équipes de calibres supérieurs.

Kostas Kirtzialidis et Giorgos Kakko ont été les plus en vue devant. Nikos Stratakis qui a d’ailleurs démarré toutes les rencontres est ressorti comme le leader naturel, a 33 ans le milieu défensif portera le brassard de capitaine

2 « J'aime »

Nous avons très bien démarré la saison, les joueurs prêtés en particulier se sont rapidement intégrés et tirent l’équipe vers le haut après le traumatisme de la saison passée.

Giorgos Kakko et Kostas Kirtzialidis sont nos principaux atouts offensifs comme le montre les chiffres.

Même si nous n’en faisions pas notre objectif l’élimination en coupe, aux tirs au buts, à un pesé dans les têtes et derrière nous avons eu un peu de mal à nous remobiliser, et nous avons perdu nos premiers points. mais les résultats restent tout de même très bon.

Nous sommes bon, mais Ionikos qui a loupé la montée de peu la saison passée imprime un rythme de fou. Pour le moment notre objectif n’est pas forcément de jouer la montée immédiate. Nous ferons un premier bilan à la trêve hivernale.
3 « J'aime »