Bravo pour ce titre en CL !!!
Nouveau stade = Reprise du titre en championnat
Quelle suprématie en LDC. Le Hansa est devenu un très très grand, bravo !
En Bundesliga, le Bayern est tout simplement impressionnant.
« Je suis tellement fier de ce que nous avons accompli cette saison. Remporter la Champions League, c’est déjà un évènement. Mais soulever ce prestigieux trophée une seconde fois, c’est magnifique. Je suis fier de cela. Maintenant, prenons un peu de repos avant le début d’une nouvelle saison qui s’annonce excitante. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
Osborne est un Hanseaten

Après deux années de rumeurs faisant état d’un intérêt du F.C. Hansa Rostock pour Michael Osborne, nous nous trouvons enfin face à du concret. En effet, les récents champions d’Europe ont annoncé ce dimanche l’arrivée du jeune attaquant polyvalent en provenance de son club formateur de Manchester City. Une recrue qui vient combler numériquement comme sportivement le départ à la retraite de Julian Brandt.
Un parcours atypique
Enfant, Michael Osborne ne se voyait pas devenir joueur professionnel. Selon ses dires, lui rêvait de marcher dans les traces de sa mère et de devenir professeur de littérature. Il faut dire que le jeune garçon brillait particulièrement sur les bancs de l’école. C’est sous l’impulsion de son père qu’il se met au sport, d’abord à la natation puis au football. Naturellement doué, le jeune Michael trouve rapidement ses marques au sein du club du quartier et devient un joueur important des différentes équipes qu’il fréquente.
C’est à l’aube de ses 14 ans que les premières sollicitations de grandes académies arrivent. L’entourage du joueur est approché par plusieurs formations nationales, dont à ce moment, la plus importante est Everton. L’adolescent rencontre à plusieurs reprises les formateurs de l’académie des Toffees et passe quelques tests balle au pied qu’il réussit avec brio. Pour autant, la famille décide de ne pas donner suite, ses parents ayant peur que le jeune Michael se détourne des études. Quelques temps après, c’est cette fois Manchester City qui vient frapper à la porte des Osborne, avec un discours bien plus rassurant. Après des semaines de réflexion, un accord est trouvé et Michael Osborne intègre officiellement l’académie des Skyblues.
C’est lors de la saison 2027-2028 que Michael Osborne fait ses premiers pas dans le monde du football professionnel. Au regard de ses excellentes performances au sein des U18 puis U21, l’anglais est envoyé en prêt en Championship, du côté d’Ipswich Town. Titularisé une petite vingtaine de fois, principalement en soutien d’une pointe, Osborne montre de belles choses, suffisantes pour que Stefano Pioli, entraineur de City depuis 2023, décide de le conserver chez les A à l’été 2028. Mais la marche est trop haute et le jeune joueur ne prend part qu’à quatre matchs, pour moins de quarante minutes de jeu, jusqu’à un départ en prêt, de nouveau en Championship, au mercato hivernal.
De retour de Blackburn, le jeune Osborne est de nouveau renvoyé en prêt, cette fois-ci à Crystal Palace, afin de continuer à travailler à l’échelon inférieur. Cependant, une blessure au ménisque le prive d’une bonne moitié d’exercice et le condamne à louper une fois de plus le train pour un retour en équipe première. A l’été 2030, alors qu’il revient de convalescence, il est envoyé une fois de plus en Championship, du côté de Cardiff. Là, l’anglais y réalise une saison pleine, ce qui lui permet de faire enfin son retour tant attendu chez les Skyblues.
Mais les difficultés restent les mêmes. Stefano Pioli est toujours à la tête de l’équipe et ne lui fait pas confiance. Le joueur ne prend pas qu’à six rencontres toutes compétitions confondues, pour un petit but en Premier League. Dès avril, il est d’ailleurs informé par sa direction qu’une porte de sortie lui sera cherché dès cet été, à un an de la fin de son contrat. Le Hansa Rostock manifeste alors rapidement son intérêt et des discussions préliminaires sont entamées. Si dans un premier temps, le joueur aspire à rester en Angleterre afin d’être proche de sa famille, Michael Edwards, directeur sportif des Hanseaten, trouve les mots justes pour convaincre le polyvalent attaquant de rejoindre le projet.
Partir pour se (re)construire
Sur papier, Michael Osborne avait tout pour rapidement devenir un grand. Doté d’une excellente touche de balle, d’un sens du dribble à toute épreuve et d’une vision du jeu au dessus de la moyenne, le jeune joueur dominait la majorité de ses coéquipiers. Pas mauvais devant le but adverse, sans être un véritable tueur, l’anglais a la capacité d’évoluer autant en pointe qu’en soutien d’un autre attaquant voir même sur les ailes. C’est peut être cette polyvalence qui lui a couté le statut qu’il pouvait espérer atteindre au début de sa carrière. Baladé sur l’ensemble du front de l’attaque lors de ses différents prêts, Osborne a souffert du syndrome du joueur correct partout sans être excellent quelque part. Sa meilleure saison est d’ailleurs cet exercice 2030-2031, en prêt à Cardiff, où il évolue uniquement en soutien d’une pointe. Cette saison, il inscrit une petite vingtaine de buts en championnat. Les blessures ont également été un frein pour le jeune joueur. Il y a bien sûr eu ses problèmes au ménisque droit, mais l’attaquant a également connu son lot de pépins au niveau des chevilles. Jamais de longues absences, mais un enchainement de courtes indisponibilités qui cassent le rythme et empêchent de se développer correctement.
Lorsqu’on regarde son profil, on ne peut que trouver des similitudes avec Julian Brandt, que le jeune Osborne vient numériquement remplacer. Si l’allemand n’a jamais été un joueur majeur des Hanseaten, il a su au gré des cinq saisons passées en bordure de mer Baltique, gratter du temps de jeu, même lors de matchs importants, et cela, au caractère. Osborne serait bien inspiré de prendre la même voie s’il veut connaitre une pige réussie en Allemagne. Car la densité de talents au sein de cet effectif est importante et seuls les meilleurs ne peuvent prétendre à quelque chose. Michael Osborne en sera-t-il capable? Réponse dans les prochains mois.
« Comme de nombreux jeunes joueurs avant lui, Michael Osborne a été vu comme un futur grand lors de ses jeunes années, avant de marquer le pas au contact du monde professionnel. L’anglais n’a que 23 ans et une longue carrière devant lui. Mais il est clair que rejoindre les Hanseaten n’est pas le choix de la facilité lorsqu’on veut donner un nouvel allant à sa carrière. Car la lutte pour du temps de jeu sera intense. Derrière des hommes comme Florian Wirtz ou Johan Bakayoko, seuls les plus costauds pourront tirer leur épingle du jeu. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
La technique est là, à voir si le coach lui bouge assez les fesses
- 07 Juillet 2032 : Josh Doig souffre d’une élongation au mollet gauche. Il sera absent cinq semaines.
- 12 Juillet 2032 : Florian Wirtz, 29 ans, a annoncé sa retraite internationale (100 sélections, 54 buts).
- 12 Juillet 2032 : Aaron Ramsdale, 34 ans, a annoncé sa retraite internationale (110 sélections).
- 13 Juillet 2032 : Nathan Patterson, 30 ans, a annoncé sa retraite internationale (93 sélections, 7 buts).
- 24 Juillet 2032 : Isak Hansen-Aarøen souffre d’une rupture des ligaments du genou. Il sera absent quatre mois.
- 24 Juillet 2032 : Aaron Ramsdale s’est blessé aux adducteurs. Il sera absent cinq semaines.
« Difficile de tirer quelconque conclusion de ce mois de juillet. Avec la tenue de l’Euro, notre préparation a été totalement perturbé. Entre les blessés, les absents et les joueurs revenus de sélection mais ayant besoin de repos, je n’ai jamais pu compter sur mon groupe au complet. Néanmoins, je retiendrais que certains joueurs, notamment chez les jeunes, ont su tirer leur épingle du jeu en cette période particulière. Les choses sérieuses vont rapidement commencer puisque qu’en cinq jours, nous allons enchainer la Supercoupe d’Europe face à Tottenham et la première journée de championnat avec un déplacement sur la pelouse du RB Leipzig. Il faudra donner le meilleur de nous-même dès le début. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« Avec les différents absents liés à la tenue de l’Euro, Leon Hartmann avait convoqué dans le groupe professionnel quelques jeunes, le milieu de terrain Adrian Beuckmann, l’attaquant polyvalent Jonathan Preis, et Oliver Meyer, le latéral de retour de son prêt au SC Telstar. Les trois ont su tirer leur épingle du jeu en proposant de belles choses à chaque fois qu’ils sont montés au jeu. De quoi convaincre le technicien allemand de les incorporer plus durablement au groupe professionnel? A voir dans les prochaines semaines. Pour l’instant, rien n’a été communiqué dans ce sens. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
500 matchs sur le banc !

Hier, Leon Hartmann a fêté son 500e match comme entraineur du F.C. Hansa Rostock à l’occasion du 1er tour de DFB-Pokal. Une rencontre où ses joueurs lui auront fait honneur, atomisant une très faible équipe de Koblenz sur le score de 14-0.
Le Hansa dans la peau
Leon Hartmann, véritable légende du club, est né à Rostock le 25 mars 1993. Après avoir été formé au sein de l’académie du Hansa Rostock, le jeune défenseur central y signe son premier contrat professionnel. Si plusieurs blessures au ménisque l’obligent à mettre un terme à sa carrière à seulement 19 ans, le jeune allemand reste au club, devenant préparateur tout en passant en parallèle ses diplômes pour devenir entraineur. A l’été 2016, Hartmann quitte pour la première fois son club afin d’intégrer le staff de l’équipe première du Feyenoord Rotterdam. Par la suite, il travaille également au RB Leipzig avec un certain Julian Nagelsmann qui deviendra son ami, avant de connaitre sa première expérience en tant qu’entraineur lorsqu’il rejoint le FC Eindhoven. L’histoire ne dure qu’une saison, mais met en avant les aptitudes du nouvel technicien.
Nommé comme entraineur du F.C. Hansa Rostock en septembre 2022, alors que le club végète en 2. Bundesliga, Leon Hartmann appose rapidement sa marque en misant sur une tactique offensive, basée sur un pressing intense et une construction au sol depuis l’arrière. Le succès est immédiat puisque contre toute attente, le club remporte le titre et retrouve l’élite pour ne plus jamais la quitter. Depuis son arrivée, l’armoire à trophée des Hanseaten s’est considérablement agrandie puisque sous les ordres du technicien allemand, le club a remporté quatre Bundesliga, quatre DFB-Pokal, six DFL-Supercup et surtout deux Champions League.
A l’instar de son ami Julian Nagelsmann (Bayern München - 11 ans), de Nuri Şahin (Dortmund - 9 ans), ou encore de Marco Rose (RB Leipzig - 10 ans), Leon Hartmann rentre dans la catégorie plutôt fermée des techniciens fidèles à un club sur de longues périodes. Si on se fie aux déclarations de l’entraineur allemand, cette série de matchs dirigés qui est en cours devrait même se prolonger encore un peu plus, Hartmann se voyant bien poursuivre à la tête des Hanseaten encore un moment, ce qui devrait sans nul doute largement ravir les supporters.
Bravo coach !
14 buts - Comme le nombre de points d’avance sur le Bayern cette saison ?
Félicitations ! Pour les 500 matchs
« C’est vraiment une grande fierté pour moi. Le Hansa Rostock est un club particulier pour moi et je suis honoré de faire partie de l’histoire de cette équipe. Fêter ce cap avec une très large victoire, c’est évident superbe, une belle manière de fêter l’évènement. J’espère que ce résultat sera annonciateur d’une saison parfaite pour nous. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
- 25 Août 2032 : Le tirage de Champions League a été effectué. Le Hansa affrontera le Real Madrid, Manchester City, le Celtic, le RB Salzburg, Liverpool, Newcastle, le Shakhtar et Lille.
« Quel début de saison parfait ! le calendrier n’était pas des plus évidents mais nous avons su mener notre barque avec brio. Ca a commencé par un déplacement canon sur la pelouse de Koblenz. Une très large victoire pour lancer notre exercice sur les chapeaux de roue et faire le plein de confiance avant les échéances suivantes. L’enchainement Tottenham - RB Leipzig était peu évident mais nous avons su puiser dans nos ressources pour aller chercher deux victoires. Alors quel bilan tirer de ce mois d’août? Nous repartons avec un premier titre, notre seconde Supercoupe d’Europe, et un perfect en championnat. A nous de conserver la même dynamique dans les prochaines semaines. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« Leon Hartmann ne pouvait pas rêver d’un meilleur départ. Cinq matchs, cinq victoires autoritaires. Que ce soit en DFB-Pokal ou en Bundesliga, les Hanseaten ont toujours su dominer les débats. Si le RB Leipzig a pu faire douter un instant grâce à un plan de jeu bien ficelé limitant l’influence de Florian Wirtz, Hartmann a su trouver la parade pour ouvrir la campagne 2032-2033 de la meilleure des manières. Enfin, la Supercoupe d’Europe était l’occasion pour le Hansa de remplir un peu plus l’armoire à trophée. Mission réussie. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
Quand Hansa fâché, toujours faire ça !
Belle longévité avec le cap des 500 matchs atteints. Tu as bien transformé le club.
En plus, vu ce très beau moi d’Aout, ca s’annonce encore être une saison en folie.
« Les résultats du mois d’août sont représentatifs de là où je veux aller, de ce que cette équipe est capable de faire. Nous avons de grandes ambitions cette saison encore, et j’en suis convaincu, nous pouvons les atteindre. Mais pour cela, nous devons travailler encore et encore, ne jamais se reposer sur nos acquis. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« C’était un choix délibéré de notre part que de réaliser un mercato plutôt calme. Les deux derniers étés, nous avons dépensé de grosses sommes d’argent afin de renforcer l’équipe à certains postes clés. Nous avons notamment fait venir Giovanni (NDLR : Reyna) ou encore Jonas (NDLR : Meurer). Ici, nous n’avions besoin que d’un profil polyvalent, qui pourrait évoluer sur l’ensemble du front de l’attaque. Julian (NDLR : Brandt) occupait ce rôle avec brio. Il mettait son expérience au service de l’équipe en jouant là où le besoin se faisait ressentir. Ce genre de joueur est un luxe pour un coach et je suis honoré d’avoir pu compter sur lui ces dernières années. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« Deux visions peuvent s’opposer concernant ce mercato estival. D’un côté, il est envisageable de saluer le travail de la direction sportive du club qui, depuis quelques années, recrute peu mais recrute intelligemment, uniquement en fonction des besoins. Là où certains clubs européens posent des chèques plutôt importants sur des joueurs qui ne correspondent pas au jeu de leur équipe et qui se retrouvent bradés un an ou deux après, les Hanseaten vont uniquement chercher des joueurs qui correspondent aux attentes de Leon Hartmann et à ses besoins. D’un autre côté, certains pointent du doigt le manque de renouvellement de l’effectif. Si le club a remporté une nouvelle Champions League, le Hansa n’a jamais pu vraiment rivaliser avec le Bayern München en championnat. Apporter des changements plus profonds aurait pu être intéressant, d’autant plus que certains joueurs sont au club depuis longtemps. Cependant, avec la construction du stade qui vient de s’achever, qu’elle est exactement la puissance financière des Hanseaten? Difficile à dire. Seul l’avenir pourra trancher sur la réussite ou non de ce mercato. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
Si l’équipe est stable, que les postes sont comblés.
Pas besoin de recruter, ca risque plus de déstabiliser l’équipe.
waw ! quel démarrage de saison
Et puis 14 - 0, le score de fou
Un début de saison tonitruant ! J’aimerais pas être l’adversaire du Hansa en ce moment.
« A mes yeux, notre début de saison tonitruant comme disent certains est lié à notre mercato. Nous avons privilégié la continuité, l’entretien d’un véritable collectif plutôt qu’à l’enchainement de gros coups plus marketings que sportifs. Ne vendons pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué mais je ne peux que reconnaitre qu’il est bien plus simple pour moi de bâtir quelque chose lorsque les fondations sont solides. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« Je vois cette saison comme une étape de transition pour notre effectif. Ma responsabilité en tant qu’entraineur est de mener l’équipe à la victoire à l’instant T mais également de préparer la suite. Avoir juste une vision court-termiste n’est pas envisageable. Dans cette optique, certains joueurs devraient, s’ils montrent qu’ils en ont les épaules, prendre plus de poids en cours d’exercice. Je pense notamment à Bastian Weber. J’ai parlé avec Aaron (NDLR : Ramsdale). Il est un grand gardien et je suis heureux de pouvoir le compter parmi nous. Mais je dois aussi penser à la suite et préparer Bastian à devenir à terme notre N°1. Soyez en assuré. J’ai parlé avec chaque joueur de mes plans les concernant et tous ont marqué leur accord. Les changements qui pourraient s’opérer se feront sereinement.
Par ailleurs, certains supporters pourraient être surpris de ne pas voir figurer dans cette liste trois joueurs qui ont pourtant participé avec brio à notre préparation. Je parle d’Oliver Meyer, d’Adrian Beuckmann et de Jonathan Preis. Pour l’instant, il n’y a pas de place pour eux et joueront avec l’équipe II. Cependant, ils participeront aux entrainements avec nous. Je veux les garder à l’œil. Ils font parti de la liste des joueurs enregistrés pour le championnat et il y a de grandes chances que vous les voyez dans les prochains mois. Ce sont des jeunes très talentueux qui pourraient avoir un rôle à jouer avec nous à l’avenir. Je compte sur eux pour se donner à l’entrainement. Comme toujours, ceux qui le méritent auront du temps de jeu. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« On prend les mêmes et on reccommence. Voici ce que Leon Hartmann a du se dire puisque le seul changement dans cet effectif est le remplacement de Julian Brandt par Michael Osborne. Comme signalé par le coach, certains jeunes qui avaient fait la préparation avec l’équipe première joueront cette saison avec l’équipe II tout en restant à disposition du coach. Alors à quoi s’attendre? Au-delà des passassions de pouvoir qui pourraient avoir lieu en cours de saison, c’est au milieu de terrain que cela devrait plus bouger. La saison passée, Isak Hansen-Aarøen avait perdu en temps de jeu au profit de Nyang. Le norvégien étant absent jusque novembre, cela ne peut que profiter à l’international allemand. Si ce dernier réalise les mêmes performances que la saison passée ou qu’en sélection, il sera difficile pour Hansen-Aarøen de tirer quelque chose de cet exercice. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -