On va se retrouver avec un Inconnu originaire de Rostock. Qui à le club dans le sang. Ça sera moins cher qu’un gros entraîneur.
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Grossophobe ! 
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« Bonjour à vous chers supporters. Je vois que la question du futur entraineur occupe bien les esprits de chacun. Je lis des remarques intéressantes et tout à fait correcte. Au-delà du sportif, le financier a également son importance. C’est bien pour cela que nous ne donnerons pas suite à la candidature de Monsieur Labbadia. C’est sans nul doute un très bon entraineur, je n’ai aucune réserve à émettre à ce sujet. Mais financièrement, ce n’est pas accessible. Nous ne pouvons pas tout nous permettre. »
- Robert Marien, président du F.C. Hansa Rostock -
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Frings ou Hartmann?
07 Septembre 2022
Bastian Keldermann
Bastian KeldermannDepuis quelques jours et l’annonce du départ de Jens Härtel, les rumeurs concernant l’identité du prochain maître de jeu du Hansa Rostock fusent en permanence. Selon des sources internes au club, deux coachs seraient actuellement en compétition pour récupérer la place vacante. Les heureux élus seraient Torsen Frings et Leon Hartmann.
Deux profils différents
Torsen Frings est sans conteste le plus connu des deux. Ancien international allemand, passé par le Werder Brême, le Borussia Dortmund ou encore le Bayern Munich, l’ex milieu défensif a une solide carrière en tant que joueur et un beau palmarès pour lui, notamment composé d’une Bundesliga et de trois DFB-Pokal. Le natif de Würselen débute sa reconversion sur les bancs de touche à l’issue de sa pige en MLS, en 2013. Pendant plusieurs saisons, il occupe le rôle d’adjoint au Werder Brême, son club de cœur, d’abord au sein de l’équipe II, avant de rejoindre les A. A deux reprises, il occupe également le premier rôle, d’abord au SV Darmstadt 98, puis au SV Meppen. Ces deux expériences ne se révèlent pas spécialement concluantes puisque l’ancien milieu est à chaque fois remercié, faute de résultats satisfaisants.
Leon Hartmann a un parcours moins glorieux que son compatriote. Formé au Hansa Rostock, avec qu’il dispute une poignée de match, il met un terme à sa carrière à seulement 19 ans, la faute à deux vilaines blessures au ménisque gauche qui le privent de toute perspective d’évoluer au plus haut niveau. Peu de temps après, il prend la décision de devenir entraineur, se forme en conséquence et se lance dans un parcours initiatique entre son pays natal et les Pays-Bas. Sa première expérience en tant que N°1 débute en juin 2021, lorsqu’il rejoint le FC Eindhoven, en seconde division néerlandaise. Malgré une très belle saison, conclue sur la dernière marche du podium, il échoue à rejoindre l’Eredivise, et est remercié dans la foulée.
Quelle direction prendre?
Signer Frings ou signer Hartmann n’aura sans aucun doute pas les mêmes conséquences pour le Hansa. L’arrivée du premier serait un coup de projecteur intéressant pour le club, lui qui possède encore une solide base de fans, et pourrait à terme permettre de convaincre certains joueurs récalcitrants de la pertinence de les rejoindre. Mais jusqu’à présent, l’ancien international n’a pas brillé dans un rôle d’entraineur principal. Tout le contraire de Hartmann. Car si le nom est moins étincelant, les résultats et l’attitude plaident en sa faveur. L’équipe d’Eindhoven, qu’il a mené sur le podium, avait terminé la saison précédente à une piteuse quinzième place. Son profil, sa manière de gérer un effectif font de lui un bâtisseur.
Aujourd’hui, il est difficile de dire ce que va décider le board des Hanseaten tant le flou règne encore. Mais il est certain que le choix qui sera posé ne sera pas anodin. Affaire à suivre donc.
L’option Labbadia
Si Bruno Labbadia n’est pas évoqué ici, lui qui s’était posé comme candidat pas plus tard qu’il y a deux jours, c’est pour la simple raison que le F.C. Hansa Rostock n’est pas intéressé par l’ancien international allemand. Comme a pu le dire Robert Marien, président du club, le technicien représente un trop gros risque financier pour si peu de garanties sportives. Si c’est évidemment dur à entendre, ça a au moins le mérite d’être clair.
« Robert Marien (NDLR: Président du Hansa Rostock) et les membres du comité directeur sont face à une question importante mais difficile à trancher. Hartmann et Frings ont chacun leurs points forts et leurs points faibles. Tout va dépendre de l’objectif visé par le club à travers cette nomination. Parce qu’il est certain que ce sont deux techniciens plutôt intéressants pour le club, avec chacun un certain bagage à amener. Mais le temps presse, une décision doit se prendre. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
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Hartmann s’engage!
08 Septembre 2022
Bastian Keldermann
Bastian KeldermannC’est officiel. Leon Hartmann est le nouvel entraineur du F.C. Hansa Rostock! Le technicien allemand vient de parapher un contrat d’un an, assorti d’une option sur une saison supplémentaire. Un soulagement pour les supporters du club, las de ne pas voir le dénouement de ce dossier particulièrement épineux.
Mais qui est Hartmann?
En-dehors des supporters du club, Leon Hartmann n’est pas vraiment connu. Natif de Rostock, il se passionne assez tôt pour deux sports, le cyclisme et le football. Alors que son cœur balance entre les deux, il choisit finalement le second et intègre assez rapidement l’académie du Hansa. Défenseur central doté d’une bonne vision de jeu, capable d’être le premier relanceur de son équipe, Hartmann gravit les échelons assez rapidement, portant à plusieurs reprises le brassard de capitaine chez les U16. Sa progression est brutalement stoppé lorsqu’il se blesse une première fois au ménisque gauche en 2009. Opéré et revenu au mental, le jeune joueur reprend sa marche en avant et fini même par signer un premier contrat professionnel, lui ouvrant les portes de l’équipe première. Lors de la saison 2011-2012, Hartmann dispute six rencontres pour une titularisation. Malgré un temps de jeu particulièrement réduit, il continue de travailler en silence à l’entrainement et sa mentalité est apprécié du staff.
Tout bascule en septembre, lorsque Leon Hartmann se blesse une nouvelle fois au ménisque, la blessure de trop. Les médecins sont formels, le sport de haut-niveau, c’est terminé pour lui, les risques sont trop grands. Il n’a que 19 ans, mais tout vient de s’arrêter. A l’issue de sa convalescence, le jeune homme commence à travailler sur sa reconversion. Le Hansa lui offre une place dans le staff s’occupant des U16 et en parallèle, il intègre la prestigieuse académie Hennes Weisweiler afin de passer ses diplômes d’entraineur. Lors de la saison 2013-2014, il est promu une première fois dans le staff des U18, avant de recevoir en mars, le rôle d’adjoint dans la même équipe. Ses qualités relationnelles et son sens de l’analyse tactique lui ouvre toutes les portes.
Dans les prémices de la saison 2016-2017, Hartmann décide pour la première fois de se challenger et quitte son club formateur. Il rejoint les Pays-Bas et plus particulièrement le Feyenoord Rotterdam, où il rejoint l’équipe de préparateurs. Là-bas, il découvre un autre univers, bien plus professionnel et sérieux qu’il n’a connu jusqu’à présent. Encore une fois, ses qualités lui ouvre de nouvelles perspectives et la saison suivante, il est choisi pour devenir le bras droit de Giovanni van Bronckhorst. Cependant, l’histoire ne dure pas plus d’une saison. Car en fin d’exercice, il est personnellement contacté par Ralf Rangnick afin de le rejoindre au RB Leipzig, ce que Hartmann fait. Il y reste trois saisons, travaillant d’abord avec lui puis avec Julian Nagelsmann.
Lorsque ce dernier quitte le club direction la Bavière, Leon Hartmann décide de voler de ses propres ailes. Il se sent prêt, il veut être N°1. C’est un club de Keuken Kampioen Divisie, soit le second échelon néerlandais, le FC Eindhoven, qui lui donne sa chance. Les pensionnaires du Jan Louwers Stadion sortent d’une saison médiocre, conclue d’un cheveu devant la zone rouge. L’allemand a pour mission de rendre confiance aux joueurs. En une saison, il fait bien mieux. Malgré un renouvellement d’effectif plutôt réduit, Hartmann conduit ses joueurs sur la troisième marche du podium. La fin de saison sera plus malheureuse puisque le club s’incline lors des barrages de montée et reste donc aux portes de l’Eredivisie. Cet échec provoque le renvoi du coach, décision incompréhensible au regard des objectifs de début de saison, mais motivée selon certaines sources proches du conseil d’administration par de profonds désaccords entre l’entraineur et les dirigeants sur la direction a donner à l’effectif.
A quoi faut-il s’attendre?
Quel genre de technicien est Leon Hartmann? Si une seule expérience d’un an ne peut évidemment pas permettre de tirer des conclusions, cela donne déjà des indications sur le genre d’entraineur qu’est l’allemand.
Le technicien ne s’en est jamais caché, ses deux modèles ne sont autre que ses compatriotes, Jürgen Klopp et Julian Nagelsmann. Il partage avec eux les mêmes idées d’un jeu offensif, fait de mouvements et de combinaisons. Hartmann n’aime pas s’enfermer dans un seul système de jeu. La saison passée, nous avons pu voir son Eindhoven évoluer en 4-3-3 lors de la première moitié de saison, avec régulièrement des passages en 4-4-2 en fin de rencontre, avant qu’il ne brouille plus les pistes en seconde moitié, avec un 4-2-3-1, un 4-4-2 losange ou encore le passage à une défense à trois et la mise en place d’un 3-4-1-2. Le point commun finalement reste un onze qui évolue assez haut sur le terrain, avec beaucoup de mouvements et de courses afin de mettre à mal les lignes adverses.
Défensivement, Leon Hartmann se rapproche très fort de son homologue de Liverpool puisque lui aussi est un fervent utilisateur du gegenpressing. A la perte de balle, ses hommes tentent de couper toute transmission adverse le plus rapidement possible afin de repartir dans l’autre sens et de profiter d’une possible désorganisation de leurs adversaires. Evidemment, cela comporte des risques, d’autant plus quand les hommes qui composent la charnière centrale ne sont pas les plus rapides. Mais le technicien allemand n’hésite pas à prendre ce risque, ce qui parfois amène à des rencontres au score spectaculaire.
D’un point de vue humain, Leon Hartmann se veut particulièrement proche de ses joueurs. La saison passée, il a été vu de nombreuses fois au contact de ses hommes. L’entraineur est d’ailleurs un grand adepte des entretiens individuels motivationnels. Il reçoit régulièrement ses joueurs dans son bureau afin d’échanger tactique, entrainement ou faits de matchs. Pour autant, vous ne le verrez pas souvent avec les crampons au pied en train de donner ses consignes à l’entrainement. Il laisse cette partie à un homme de confiance, Maximilian Schulz à Eindhoven. Hartmann préfère en effet se trouver en bord de terrain afin d’observer le groupe, les joueurs et ne donne que rarement de la voix.
Peut-il réussir au Hansa?
La nomination de Leon Hartmann est un signal fort du board du Hansa. Depuis quelques années, le club est en pleine restructuration afin de devenir une véritable puissance, une formation qui compte en Allemagne, tout en restant financièrement parlant solide. Le jeune coach coche toutes les cases possibles. Son jeu offensif peut être une source de satisfaction pour les supporters, il apprécie de travailler avec de jeunes joueurs et n’hésite pas à en lancer dans le grand bain et par son discours, il est capable de mobiliser une équipe et de pousser ses hommes à se dépasser. Tout n’est cependant pas tout rose. Hartmann se définit lui-même comme quelqu’un de particulièrement exigeant. Si quelque chose ne lui convient pas, il peut bloquer dessus pendant des heures. De plus, il n’hésite pas à exprimer son point de vue sur la direction sportive du club ou autre lorsqu’il pense que c’est nécessaire. Par exemple, l’allemand s’en est publiquement pris à Tom van der Leegte pour le peu de mouvements sur le marché des transferts hivernaux la saison passée.
Sera-t-il cependant capable de reproduire les mêmes accomplissements qu’à Eindhoven? Seul l’avenir le dira.
« C’est un moment assez spécial pour moi. Le Hansa a toujours été mon club, celui que je supporte depuis que je suis gamin. La vie a fait que nos chemins se sont éloignés mais j’ai toujours su au fond de moi que ce serait pour mieux se retrouver par après. Ce jour est arrivé et il est particulièrement excitant. Je suis ravi de me retrouver ici, au sein de ma famille. Je promets à nos supporters que je vais donner le meilleur de moi pour construire un projet sportif cohérent, ambitieux, qui rende hommage au club et au travail effectué par ceux qui sont passés ici avant nous. Ce sera compliqué, énergivore, c’est une certitude. Mais j’ai faim de succès. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
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Excellent choix selon moi, rien de tel qu’un ancien du club, qui plus est revanchard vis-à-vis de sa carrière de footballeur tuée dans l’oeuf.
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YOU WILL NOT LAUGH 
YOU WILL NOT CRY
Voilà, on a le nom du personnage principal de cette aventure, et si il est aussi ferme et charismatique que l’autre Hartman, ça promet un récit agité 
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Un bon choix, ancien joueur du club qui veut continuer son ascension dans le foot. Rien de mieux que de démarrer dans un environnement connu où il aura je l’espère la confiance de la direction et des joueurs.
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un choix intéressant pour l’évolution du club
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Belle présentation de Leon Hartmann.
Voir un enfant du club revenir sur ses terres est toujours satisfaisant.
Ma question peut sembler bête mais je ne connais pas du tout ce Leon Hartmann et google ne semble pas plus renseigné. S’agit-il d’un personnage ficitif ?
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« Bonsoir à vous chers supporters. Tout d’abord, je souhaite vous remercier pour l’accueil chaleureux. J’espère de tout coeur que nous pourrons avancer ensemble afin de porter le Hansa là où nous le voulons. Vous connaissez mon attachement à cette équipe. Soyez assuré que je donnerai tout ce que j’ai pour mener à bien la mission qu’il m’a été confié. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
Autres questions
Effectivement. Comme l’année passée, je voulais partir sur un coach fictif afin de lui créer l’histoire, le caractère, les motivations que je désire.
Il y a une certaine inspiration je dois bien le reconnaitre 
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« Ca ne fait pas longtemps que je connais les gars donc je ne vais pas encore me prononcer sur la qualité de chacun. Ce que je peux déjà dire, c’est que n’importe qui dans l’équipe aura sa chance. Je sais que certaines choses avait été mises en place, certains accords entre des joueurs et mon prédécesseur. Mais aujourd’hui, tout ça est aux oubliettes. C’est un nouveau départ pour tout le monde ici et nous allons en profiter pour construire ensemble une nouvelle dynamique positive basée sur le travail. Je vais être honnête, je m’en tape des contrats, des histories d’argent. Les meilleurs à l’entrainement auront leur chance en match. »
- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -
« L’effectif du Hansa Rostock a plutôt fort bougé cet été. Pour autant, il souffre toujours autant des mêmes maux. Le premier est sa construction en elle-même. Certains secteurs de jeu sont bouchés comme l’attaque alors qu’au milieu de terrain, ce n’est pas spécialement dense. De plus, s’il y a de nombreux joueurs polyvalents, c’est au détriment de la qualité. Evidemment, il y a des bons joueurs, de bon soldats. Mais où sont les leaders techniques? Difficile à dire. C’est pour cela aussi que l’ensemble des médias imagine le club flirter avec la zone rouge une bonne partie de saison, même si les résultats actuels (Actuellement 6e en 2. Bundesliga) montrent plutôt autre chose. A voir si Leon Hartmann arrivera à faire émerger certains joueurs. Car du potentiel, il y en a. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
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C’est fictif non le passage au FC Eindhoven ?
Très bel article sinon !
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Oui, je me suis fait avoir là-dessus aussi lol
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bonne chance à Léon Hartmann !!
C’est incroyable de pouvoir rédiger des textes pareils, je ne sais pas si je saurais faire pareil
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Quelle efffectif vieillot 
Il va falloir rajeunir tout ça 
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Trois buteurs, tous les trois plus de 30 ans 
Après l’expérience a ses avantages 
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Va falloir rajeunir tout ça.
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Les buteurs qui ne sont plus tout jeunes … Y-a t-il des petits jeunes prometteur en réserve ou équipe jeunes ?
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Faudrait un petit jeune en poste d’attaquant pour mettre de la fraicheur en attaque. Et au vue des postes que les joueurs peuvent jouer sa sent une compo en 4 défenseurs, 1 milieu défensif, 2 milieux centraux, 2 ailiers et un buteur.
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