@Nehoc et t’avais tous les résumés sur la mythique DSF !
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Ca fait grave plaisir de voir autant d’enthousiasme pour le lancement de ce nouveau récit. Comme relevé par certains, on est pas vraiment en présence du club vraiment connu, en tout cas hors Allemagne à notre époque. De l’autre côté du Rhin, ça reste une institution et un des clubs les plus suivis du pays malgré les mauvais résultats.
Le Hansa est plutôt connu des gens qui suivaient la Bundesliga dans les années 90 ou début 2000. Pour ma part, c’est un choix de cœur. Mon arrière-grand père, celui qui m’a transmis la passion du foot, était allemand et était originaire de Rostock.
Alors oui et non, c’est un peu plus compliqué que ça. Effectivement, il y a parmi les ultras plusieurs groupes plutôt à droite (voir très à droite), mais c’est loin d’être la majorité. Il faut remettre les choses dans son contexte. Malgré la réunification, l’ex-RDA reste la zone moins développé du pays. C’est là que le taux de chômage est le plus haut et les revenus moyens les plus bas. Les difficultés ont tendance à pousser les gens vers les extrêmes.
Mais c’est surtout la médiatisation de certains agissements et la méconnaissance de la culture allemande qui ont provoqué cette réputation.
Quoi qu’il en soit, pas de haine ici. On est Peace & Love sur 
Chers lecteurs, nous allons entrer dans le vif du sujet. Désormais, je tendrais au maximum vers des interactions RP envers vous. J’espère que vous vous prendrez autant au jeu que vous ne l’avez fait sur ma précédente story. Bonne lecture!
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Coup de tonnerre à Rostock!
05 Septembre 2022
Bastian Keldermann
Bastian KeldermannLa vie n’est décidemment pas un long fleuve tranquille pour les Hanseaten. Alors que la saison de 2. Bundesliga vient de débuter, le F.C. Hansa Rostock se retrouve sans entraineur. En effet, Jens Härtel a fait le choix de démissionner pour raisons personnelles. Une décision difficile à accepter pour les nombreux supporters, et qui place le club au pied du mur.
La fin d’une ère
C’est ce matin même que par un laconique communiqué publié sur le site internet du club, et repartagé sur divers réseaux sociaux, que Jens Härtel, en place depuis 2019, a annoncé sa démission avec effet immédiat. Selon ses dires, des problèmes personnels ne lui permettraient plus de mener à bien ses missions. Interrogé, le board du Hansa a seulement remercié son entraineur pour ses années de service et demandant à tous de respecter sa vie privée. Il est certain que cette annonce chamboule de nombreuses choses et de nombreuses personnes. Particulièrement apprécié des supporters, Härtel est certain de laisser un vide dans la vie du club.
Maintenant, que faire ? Les dirigeants se retrouvent avec un épineux problème, qu’ils n’avaient sans doute pas anticipé. Comment remplacer le technicien allemand qui avait conduit l’équipe sur le chemin du succès, lui permettant de retrouver l’antichambre de l’élite après des années de galère en 3. Liga ? Deux tendances s’offrent au club.
La première est de nommer un coach intérimaire, en attendant le retour d’Härtel. Idée séduisante pour les supporters mais qui apporte son lot d’interrogation. Quel coach voudrait de ce rôle ? Et si Härtel ne revenait jamais ?
La seconde, plus classique, consiste à tourner la page en nommant un nouvel entraineur principal. Le passage du technicien allemand a été une franche réussite. Mais toute bonne chose a une fin. Un nouveau shérif, un nouveau regard, et peut-être, une dynamique encore plus positive. Le choix qui semble le plus pertinent. Mais se pose toujours l’éternelle question de qui choisir ? S’il est trop tôt pour connaitre les attentes du board du Hansa, plusieurs noms animent déjà les forums liés au club. Petit tour d’horizon.
Markus Babbel
L’ancien international allemand (51 sélections) a déjà une certaine expérience en tant qu’entraineur. C’est en novembre 2008 qu’il prend les rênes du VfB Stuttgart avant de connaitre plusieurs autres expériences allemandes (Hertha Berlin, TSG Hoffenheim). Par deux fois, il a tenté l’aventure étrangère, d’abord en Suisse, puis une plus exotique, en Australie. Sans club depuis 2020 et son départ du Western Sydney Wanderers, Babbel ne serait pas contre un retour au pays.
Probabilité : 
Uwe Neuhaus
Également ancien joueur, Neuhaus présente un CV plutôt sympathique. Sur les bancs de touche depuis 1995, il a remporté trois championnats, la 3. Liga par deux fois et enfin la 2. Bundesliga lors de la saison 2019/2020 avec l’Arminia Bielefield. Depuis son licenciement en mars 2021, le technicien de 62 ans est sans club.
Probabilité : 
Sergej Barbarez
S’il n’est plus aussi connu qu’à l’époque, l’ancien international bosnien a été pendant de nombreuses saisons un élément phare de la Bundesliga, et notamment à Hambourg. Si depuis sa retraite, il s’est montré particulièrement discret, il a passé ses diplômes d’entraineur et ne serait pas contre aujourd’hui de se lancer dans une première expérience sur le banc. Un pari audacieux, suicidaire même pour certains, mais qui pourrait ravir les supporters. Puisque pendant deux saisons, Barbarez a été la coqueluche du Hansa.
Probabilité : 
Joakim Perrson
Lui aussi a été un joueur du F.C. Hansa Rostock, entre 2002 et 2005. Défenseur central reconverti entraineur, le suédois a débuté sa seconde carrière au pays en prenant en main l’Angelhoms FF pendant quatre saisons, le Kristianstad FC, et depuis 2018, le Varbergs BolS. Selon plusieurs sources, le technicien serait de plus en plus intéressé par l’idée de s’exporter afin de mettre ses compétences plus en avant.
Probabilité :
Torsen Frings
L’ancien international allemand a eu une carrière de joueur plus qu’honorable, avec de nombreuses sélections, et un rôle important dans chaque équipe fréquentée. Depuis sa retraite de joueur, en 2013, Torsen Frings a passé ses diplômes et fait ses classes d’abord au Werder Brême, son club de coeur, avant de se lancer dans le grand bain, d’abord au SV Darmstadt 98, puis au SV Meppen. Deux expériences peu concluantes il est vrai.
Probabilité :
Leon Hartmann
Ancien de la maison, à l’instar de Barbarez et de Perrson, Leon Hartmann n’est pas le plus expérimenté de la liste, mais son parcours parle pour lui. Reconverti très jeune comme entraineur à la suite d’une vilaine blessure, l’allemand fait ses gammes dans plusieurs formations dont le RB Leipzig avant de prendre la tête du FC Eindhoven, en seconde division néerlandaise. Une seule saison, mais une saison particulièrement réussie, le technicien échouant de peu à faire monter en Eredivisie l’équipe, alors qu’elle avait bouclé son précédent exercice dans le fond du classement.
Probabilité :
« Voilà un départ qui fait mal. Härtel, c’est depuis quelques années maintenant l’âme du Hansa. Il est un des acteurs principaux de la reconstruction du club. Son jeu n’a pas toujours ravi les supporters, c’est évident. Mais il a toujours conservé une grosse côte auprès d’eux, un véritable capital sympathie qui en fait finalement un homme difficilement remplaçable. Il est difficile de faire des suppositions sur la position que pourrait prendre la direction du club tant les possibilités sont nombreuses. Ce qui me semble certain, c’est que Robert Marien (NDLR : Président du Hansa Rostock) va vouloir ouvrir un tout nouveau chapitre pour son club. Il ne serait pas surprenant de voir un coach au jeu proposé différent de celui de son ancien entraineur. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
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Barbarez, ça serait dingue avec une filière d’ex yougo 
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Je pencherais pour Torsten Frings, joueur que je trouvais tellement bon.
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Hartmann selon moi
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Je mise sur Zidane, en toute objectivité pour la surprise 
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@Rhino C’est exactement ça, tout comme les disparités de niveau à l’échelle du pays depuis la chute du mur. Il n’y a qu’à voir le palmarès de la Buli depuis, toujours aucun club titré issue de l’ex-RDA… Sauf si Leipzig - et je le souhaite pas, étant attaché au « Traditionsverein » - y parvient avant toi, tu seras le premier !
Babbel ou Barbarez ont ma préférence, Torsten et sa patate de forain sont trop attachés au maillot vert et blanc à mes yeux 
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Une petite pièce sur Barbarez pour ma part 
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Je mise sur Barbarez, juste parce qu’il a aussi joué sous les couleurs du BVB
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Je mise sur TORSEN FRINGS 
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Je suis tiraillé entre l’axiome 43 du parieur lâche qui dit de toujours parier sur le favori, et le théorème fondamental du storytelling qui dit de ne jamais donner à une situation son issue la plus évidente 
Je mets une pièce sur Hartmann, parce qu’il était sacrément bien dans Full Metal Jacket !
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Je mets une pièce sur Sergej Barbarez !
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Je mise sur Joakim.
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« Bonsoir chers supporters. Tout d’abord, je vous remercie de votre soutien sans faille au club. Depuis l’annonce du départ de Jens Härtel, je vois le forum officiel du club s’agiter en tous sens et partir dans toutes les suppositions possibles. A l’heure actuelle, nous n’avons qu’une certitude, ce ne sera pas Zidane notre prochain coach (Rires). Plus sérieusement, nous travaillons à déterminer le plus rapidement possible le profil idéal pour diriger l’équipe. Oui, nous avons quelques pistes. Mais à l’heure actuelle, rien n’est concret. Soyez patient, nous serons fixé dans les prochains jours. C’est en tout cas le souhait du comité directeur. »
- Robert Marien, président du F.C. Hansa Rostock -
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Bruno Labbadia se déclare candidat !
06 Septembre 2022
Bastian Keldermann
Bastian KeldermannBruno Labbadia est sur le marché, et il veut le faire savoir. Interrogé sur son avenir par Eurosport, le technicien de 56 ans a clamé son intérêt pour le poste vacant au F.C. Hansa Rostock. Il n’en a pas fallu plus pour que les forums des Hanseaten s’enflamment et que leurs membres débattent sur ce que l’allemand pourrait amener au club. Alors, Labbadia à Rostock, une bonne idée?
Un parcours national
Bruno Labbadia n’est pas vraiment ce qu’on appelle communément un novice. Ancien attaquant, ayant même connu la sélection par deux fois, l’allemand se lance dans le grand bain sitôt sa retraite prise, en prenant en main le commandements du SV Darmstadt, son club formateur.
Après trois saisons, le technicien rejoint le Greuther Fürth, puis le Bayern Leverkusen, une saison à chaque fois. L’ancien international tente par la suite l’aventure à Hambourg mais celle-ci tourne court lorsqu’il est licencié en avril, à la suite d’un enchainement de résultats calamiteux.
Sa carrière prend alors un autre tournant, Labbadia devenant le pompier de service. En décembre 2010, il reprend en main le VFB Stuttgart avant d’être démis de ses fonctions moins de trois ans après, alors que la saison 2013-2014 n’est qu’à ses balbutiements. Pressenti à l’étranger, et notamment en Italie, le coach fait le choix de rester, se lance en cours d’exercice dans une pige de quelques mois à Hambourg, une douloureuse expérience finalement, puis enchaine avec une saison à Wolfsburg et enfin au Hertha Berlin où il prend la suite de l’ancien sélectionneur Jürgen Klinsmann. En capitale allemande, le technicien ne peut relever son bilan et se voit limogé en décembre de la même année.
Le calme de l’expérience
Du haut de ses 56 ans et de ses presque 20 ans de coaching, Bruno Labbadia représente plutôt l’archétype de l’entraineur calme en toute circonstance. Il faut dire qu’il a vu et connu bon nombres de situations loin d’être évidente. Cela ne peut que représenter un atout pour Rostock alors que l’équipe se cherche encore et peine à progresser et à jouer ensemble.
De plus, l’ancien international n’est pas avare lorsqu’il s’agit de tester de nouveaux joueurs. Adepte d’un turnover relativement conséquent, il aime donner sa chance à de nombreux joueurs sur la saison afin de multiplier ses possibilités.
Les freins
Malheureusement, il y a également certains éléments qui peuvent ne pas jouer en la faveur de l’entraineur. Le premier est purement et simplement d’ordre financier. Labbadia a connu la Bundesliga et ses attentes par rapport à ses émoluments sont sans aucun doute relativement élevées, trop certainement pour une formation comme le Hansa Rostock qui, même si un important travail d’assainissement des comptes a été exécuté, ne peut se permettre de trop dépenser.
Tactiquement parlant, Bruno Labbadia est particulièrement attaché à son 4-4-2 à plat. Or, l’effectif du Hansa ne semble pas vraiment convenir à ce type de configuration. Les joueurs eux-mêmes sont plutôt habitué à évoluer dans d’autres schémas de jeu. Un temps d’adaptation serait nécessaire, avec le risque de connaitre de mauvais résultats. Puis, quid des profils?
La solution la plus simple serait évidemment d’accepter de mettre de l’eau dans son vin et que le coach s’adapte à l’effectif. Mais en a-t-il seulement l’envie? Importante question que devront se poser les dirigeants afin de faire le choix le plus éclairé possible.
« Bruno Labbadia à Rostock? Je n’y crois pas. Effectivement, il y a un intérêt du club pour ce genre de technicien. Son expérience serait évidemment un atout pour le club. Mais son idéologie de jeu ne semble pas concorder. Je ne le vois pas tempérer ses idées et soyons honnêtes, le club n’a pas les moyens de bouleverser fondamentalement son effectif lors du mercato hivernal. Certains pourraient se laisser tenter par l’argument principal que Labbadia peut avancer, à savoir sa grande expérience. Mais financièrement et sportivement, c’est un calcul qui semble indiquer une seule route, celle de l’échec. »
- Ann-Christin Fischer, journaliste -
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Belle article sur Labbadia.
Cependant, je ne pense pas non plus qu’il soit l’homme qu’il faut au Hansa. Trop versatile à mon sens.
Je vois plutôt un jeune coach avec une belle expérience en tant que joueur. Un homme de caractère !
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Je verrais bien un ex-international, jeune retraité pour une première expérience sur le banc, comme Mario Gomez, Bastian Schweinsteiger ou encore Philipp Lahm.
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Nan mais la méchanceté de cette meuf quoi 
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Ah revoilà @Rhino quel plaisir !!
Tout d’abord un choix de club que j’adore , le Hansa Rostock , club que j’ai aimé suivre dans les années 2000.
Concernant l’entraineur j’espere Torsten Frings vraiment joueur que j’ai adoré voir jouer en Allemagne
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