:storyred: :S11: Bound For Glory II

La préparation est plutôt bonne maintenant ! Hate de voir comment la mayonnaise va prendre

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« Bonsoir à vous. Je suis également satisfait de ces premières rencontres. Nous travaillons très dur pour mettre en place un projet de jeu ambitieux et offensif. Après, il faut rester sur nos gardes. Ce n’est pas parce que nous avons quelques bons résultats lors de la préparation que nous allons connaitre une bonne saison. Débuter ce nouvel exercice avec trop de confiance est toujours néfaste. »


- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -

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Un nouveau latéral au Hansa

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03 Août 2024
:bust_in_silhouette: Bastian Keldermann

Le secteur défensif du Hansa représentait pour Leon Hartmann une source d’inquiétude depuis le départ de Thomas Meissner puisque seulement trois défenseurs centraux étaient dans l’effectif. Alors que de nombreux observateurs s’attendaient à l’arriver un nouveau joueur pour la charnière centrale, les Hanseaten prennent tout le monde à contre-pied en annonçant l’arrivée de Noah Katterbach, transfuge du FC Köln, latéral gauche de formation. Un empilement de joueur inexplicable alors que le club compte déjà trois joueurs à ce poste? Pas du tout.

Une envie d’avancer

Dire que dès son plus jeune âge, Noah Katterbach est lié à Köln ne serait absolument pas un mensonge ou une erreur. Si c’est dans la banlieue d’Aachen que le jeune allemand voit le jour, il démarre son histoire d’amour avec le football du côté de Köln. Il n’a que 8 ans lorsqu’il est repéré lors d’un tournoi et intègre l’académie de l’équipe principale de la ville. Son parcours de formation est assez linéaire mais dans le bon sens du terme. Le jeune joueur qui à ce moment, évolue un peu partout sur le terrain, fait preuve d’un excellent état d’esprit, et montre de véritables progrès constants. C’est vers le milieu de son adolescence qu’il commence à se stabiliser au poste de latéral gauche. L’impact qu’il met et le volume de jeu dont il fait preuve lui permet de surclasser aisément ses adversaires.

A l’été 2019, il intègre l’équipe première pour la préparation. Ses performances poussent son entraineur à le conserver dans le groupe et c’est en octobre qu’il dispute son premier match professionnel. Pour palier à de nombreuses absences, il est titularisé sur le flan gauche face à Schalke. Si l’équipe ne peut qu’arracher un nul, son match est plutôt aboutie. En concurrence avec l’emblématique capitaine du club, Jonas Hector, Katterbach doit ronger son frein sur le banc. Mais le repositionnement de son ainé au milieu de terrain en cours de saison lui permet de grapiller plus de temps de jeu.

En 2020, il reçoit la prestigieuse médaille d’or Fritz Walter, en catégorie U19. Cette distinction remise par la fédération allemande récompense le meilleur jeune joueur du pays. Il succède ainsi à de grands noms de la Mannschaft tel que Marc-André ter Stegen (2011), Antonio Rüdiger (2012) ou encore Kai Havertz (2018). Dans la foulée, il prend un peu plus d’épaisseur au sein du FC Köln et voit son temps de jeu sensiblement augmenter. Cependant, plusieurs déchirures à la cuisse le privent de mois et de mois de compétitions et le latéral en perd sa place. Afin de retrouver la confiance et le rythme, il est envoyé en prêt en Suisse, du côté de Bassel. Ses prestations sont correctes, mais sans plus, le joueur n’arrivant pas à s’exprimer sur le terrain.

De retour à Köln pour la saison 2023-2024, Noah Katterbach se retrouve dans la rotation sur le flan gauche. De plus, il se retrouve de temps en temps à dépanner ailleurs sur le terrain, n’ayant pas trop perdu de sa polyvalence affichée lorsqu’il fréquentait les équipes jeunes. Mais quelque chose semble cassé entre le joueur et le club. La motivation n’est plus là et cela se ressent dans les prestations. Steffen Baumgart, entraineur du club, annonce au jeune joueur qu’il est désormais temps pour lui de se trouver une nouvelle équipe. Si plusieurs formations européennes l’approchent, notamment en France, le latéral est clair, il veut rester en Allemagne. Au pays, seul le Hansa montre un intérêt pour lui. Les discussions sont claires et concises et les vainqueurs de la dernière édition de la DFB-Pokal s’acquittent des 5M € demandés pour le joueur de 23 ans.

Un potentiel à exploiter

Noah Katterbach est l’archétype du latéral moderne, plutôt à l’aise en phase offensive grâce à une qualité de centre plutôt correcte, une capacité à éliminer son adversaire en un contre un et surtout un volume de jeu suffisant, lui permettant d’enchainer les courses vers l’avant suivis de replis défensifs rapides. Mais cette faculté à aller vers l’avant ne fait pas de lui un joueur friable, que du contraire. Bon tacleur, le jeune allemand est plutôt à l’aise en phase défensive. Capable de mettre de l’impact dans ses duels, il profite également d’une belle pointe de vitesse pour tenir son homme et l’empêcher de centrer.

Si le joueur présente de vraies qualités, pourquoi n’a-t-il pas percé? Pourquoi est-il encore loin d’avoir répondu aux attentes créées par son bon potentiel? Noah Katterbach fonctionne à l’affectif. De son propre aveu, il a besoin de se sentir utile, important et valorisé pour donner la pleine mesure de son talent. Peu importe son temps de jeu, s’il est en confiance, il donnera tout sur la pelouse pour son équipe. C’est peut être ce qui a manqué en Suisse et à Köln. Les attentes étaient importantes pour un jeune joueur et on ne lui a visiblement pas laissé le temps d’apprendre. Il sera donc nécessaire pour Leon Hartmann d’aller établir ce lien de confiance. Car même si actuellement l’allemand n’a pas la carrière escompté, il ne faut pas oublier qu’il est jeune, qu’il n’a que 23 ans. L’avenir du Hansa pourrait passer par lui. Tout dépendra de comment les choses se passeront avec le coach.


« Mine de rien, Felix Krüger est en train de rajeunir plutôt bien le club. Car au-delà des recrutements de deux trentenaires que sont Leno et Praet, les joueurs qui posent leurs valises à l’Ostseestation ont tous moins de 24 ans. Mais bref, revenons à Noah Katterbach. Si son arrivée peut surprendre, le club comptant déjà trois autres joueurs évoluant à ce poste, elle fait sens. Mitchell Dijks est à mes yeux le titulaire indiscutable. Si les deux saisons précédentes, on l’a plus vu sur le flan gauche, en proposant une solution plus défensive, il ne faut pas oublier que Damian Rossbach est un central de métier. Je pense donc que c’est lui qui va être remplacé dans l’axe afin d’occuper le rôle du quatrième homme tandis que Katterbach devra lutter avec Lukas Scherff pour être la doublure de Dijks. Mais c’est une théorie, il faudra la vérifier lors des prochaines semaines. »


- Ann-Christin Fischer, journaliste -

Fiche joueur

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oh, lui je l’avais eu sur ma story du Werder, c’est un bon avec une belle marge de progression

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Deux belles pioches allemandes, ça se renforce bien du côté de Rostock ! :slightly_smiling_face:

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Une belle pioche avec du potentiel

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Très belle pioche en effet.
Encore un profil polyvalent et assez complet.
A 23 ans, il peut encore progresser en plus. Top !

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« Bonjour, bonsoir. Ravi de lire vos retours. Je vois que nous partageons le même avis concernant l’arrivée de Noah Katterbach au club. Je pense que nous pouvons représenter le cadre parfait, l’environnement le plus adapté à sa progression. Je compte sur lui pour tout donner à l’entrainement. Il aura sa chance, c’est une certitude. »


- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -

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Bohinen choisi le Hansa!

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05 Août 2024
:bust_in_silhouette: Bastian Keldermann

Emil Bohinen était un homme courtisé cet été. Le milieu norvégien, auteur de deux saisons pleines en Italie, était suivi par plusieurs formations européennes dont Southampton, Marseille et le Hansa. Ce sont finalement ces derniers qui tirent le gros lot. Alors, Bohinen, la pièce manquante?

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Entre ambition et travail

A l’instar d’un certain Erling Haaland, c’est en Angleterre, et plus particulièrement du côté de Derby, que le jeune Bohinen voit le jour. La raison est toute simple et la même que pour le buteur star. Son père, Lars Bohinen, lui aussi joueur de football, évolue du côté de Derby à ce moment-là. Autant dire que dès son plus jeune âge, le petit norvégien baigne dans le monde du ballon rond. Il n’a que cinq ans lorsqu’il intègre l’académie du Stabæk Fotball. Le jeune garçon y fait toute ses classes, avec une certaine réussite. Si au départ, il rêve de jouer devant et d’inscrire des buts, il prend rapidement la même place que son père avait, à savoir au milieu de terrain.

En 2017, il intègre l’équipe première et dispute peu de temps après son premier match professionnel. Entre 2017 et 2020, le jeune joueur prend une place plus importante au sein de l’équipe et ses performances attirent le regard de différents clubs d’Angleterre et de France notamment. Pour autant, le jeune Bohinen ne se montre pas satisfait de ses performances. Il n’est pas question d’égo mal placé, mais bien d’une volonté de réussir coûte que coûte. Ainsi, le jeune milieu est systématiquement le premier à l’entrainement, et l’un des derniers à partir. Début 2021, il quitte finalement son club formateur, non sans lâcher une petite larme. La destination est cependant plus surprenante puisqu’il rejoint le CSKA Moscow alors que depuis des mois, le joueur clamait l’envie de s’imposer dans un des cinq championnats européens. Néanmoins, ce transfert lui permet d’intégrer les livres d’histoire puisqu’il devient le premier norvégien à évoluer en Russie.

Malheureusement pour lui, la sauce ne prend pas et Bohinen peine à grapiller du temps de jeu. De plus, il traine quelques blessures musculaires dont il n’arrive pas à se débarrasser. A la fin du mercato hivernal de la saison 2021-2022, il est envoyé en prêt en Italie, du côté de Salernitana. Rapidement, le joueur trouve sa place dans l’équipe et devant ses prestations, le club n’hésite pas un instant à lever l’option d’achat.

Le changement de cadre produit de bonnes choses sur le norvégien qui, lors des deux saisons suivantes, s’impose comme un élément indiscutable de son équipe. Son niveau de jeu lui ouvre même les portes de la sélection. Il dispute ainsi son premier match sous le maillot de la Norvège à l’occasion d’une rencontre face au Monténégro, en septembre 2023. C’est dans le courant de cette saison 2023-2024 que le joueur annonce à son club son souhait de se trouver un nouveau challenge. Il n’est pas question de désamour ou autre. Simplement que l’ambition dont Bohinen faisait preuve lors de ses premières années n’est jamais partie. Lui, ce qu’il veut, c’est disputer des compétitions européennes. Salernitana, qui termine respectivement à la 15e et 16e place lors de ces deux dernières saisons ne peut lui offrir cela. Le club consent alors à le rendre disponible dès ce mercato. Si plusieurs formations viennent discuter avec le joueur et son entourage, le discours du Hansa lui parle plus.

Un milieu box-to-box

Si Emil Bohinen a déjà pu par le passé dépanner sur des postes offensifs ou sur les flancs, c’est bien dans l’axe qu’il se sent le plus à l’aise. A Stabæk, il joue principalement devant la défense. Malgré son jeune âge, son sang froid et sa vision du jeu font des merveilles, d’autant plus qu’il est loin d’être mauvais techniquement parlant. En Italie, il évolue un cran plus haut, avec comme mission de participer autant au jeu défensif qu’offensif. Cela fonctionne plutôt bien, notamment grâce à un volume de jeu important et de vraies qualités dans le duel.

Finalement, s’il fallait résumer Bohinen, il serait ce joueur polyvalent, ce garant de l’équilibre de l’équipe, capable de se mettre au service des siens mais aussi de jaillir ou de faire parler son impact physique. Perfectionniste, l’international norvégien (9 sélections) n’est pas du genre à se reposer sur ses lauriers et est prêt à tout mettre en œuvre pour continuer à avancer. A 25 ans, il semble atteindre un certain niveau de maturité, lui permettant de faire éclore son meilleur football. Il parait donc évident que sa place est toute trouvé, au côté de Vladimir Darida afin de constituer un double pivot solide et généreux.


« Cet été, le milieu du Hansa parraissait un peu léger. Depuis le début de la préparation, et même le dernier tiers de la saison passée, l’équipe évolue principalement en 4-2-3-1. Mais qui pour jouer dans ce double pivot? Darida, qui donne entière satisfaction, Dressel, qui ne démérite pas mais n’est pas non plus un cador, et Rhein, qui assure le nombre. Un peu léger. L’arrivée de Bohinen permet donc, sur papier, de considérablement renforcer le onze de base dans ce secteur du jeu. Reste la question de l’adaptation à un nouveau pays, un nouveau championnat, une nouvelle culture du jeu. Si son expérience en Russie a été un échec, ce ne fut pas la même histoire en Italie. Difficile de prévoir donc comment le norvégien va pouvoir se fondre dans le collectif. cependant, et point important, il se trouve dans l’équipe un certain Joel Mvuka, avec qu’il joue depuis une petite année en équipe nationale. Cet élément pourrait bien faire la différence. C’est en tout cas à espérer. »


- Ann-Christin Fischer, journaliste -

Fiche joueur

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Un profil intéressant avec pas mal d’option !

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D’accord avec @ozTao, profil complet qui va t’amener de la profondeur.

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Il est plutôt pas mal mais pas en titulaire

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« Bonsoir à vous chers supporters. L’arrivée d’Emil Bohinen me fait particulièrement plaisir. Il a ce genre de profil que j’apprécie particulièrement, celui de joueur travailleur, capable d’enchainer les efforts encore et encore. A contrario de certains, je pense qu’il a le niveau pour être titulaire chez nous. Si nous continuons à jouer plus régulièrement en 4-2-3-1 comme c’est le cas depuis quelques temps, il me faut absolument un joueur avec un abatage physique important, qui apprécie d’enchainer les courses. Je suis convaincu qu’Emil a les capacités pour cela. Cependant, son travail à l’entrainement sera déterminant. S’il se donne à fond, il jouera. »


- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -

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news

  • 18 Août 2024 : Fredéric Ananou signe un nouveau contrat jusqu’en 2028.
  • 29 Août 2024 : Le tirage de l’Europa League a eu lieu. Le Hansa affrontera Gent, Riga, Sturm Graz, la Lazio, le Vitesse, Anorthosis Famagusta, Qarabağ et le Sporting CP. Le format de la compétition change. Chaque club affrontera ses huit adversaires une fois et figurera dans un classement général reprenant les trente six formations participantes.

« Ce match face au Bayern est un scandale absolu! Il m’a fallu du temps afin de me calmer, vous pouvez me croire. Perdre est toujours rageant, mais lorsque l’adversaire est plus fort et qu’on a tout de même fait son maximum pour lui poser des problèmes, on ne peut rien se reprocher. Seulement ici, l’attitude affichée par les joueurs sur le terrain était tout simplement honteuse. Voir aussi peu d’envie, de motivation, rien que d’y repenser, ça me met hors de moi! J’ai été très clair avec les gars. Je ne veux plus jamais revoir pareille performance. Nous sommes le Hansa. Si nous perdons, ça doit être avec panache et pas autrement. »


- Leon Hartmann, entraineur du F.C. Hansa Rostock -

« Ce premier mois de compétition fait passer les suiveurs du Hansa par toutes les émotions. Comme le souligne Leon Hartmann, c’est une piteuse équipe que nous avons pu voir en DFL-Supercup. Les absences de Bernd Leno et Dennis Praet n’excusent pas l’attitude des joueurs. Il a fallu attendre la mi-temps et, selon plusieurs sources présentes en vestiaire, un pétage de plomb monumental du technicien allemand pour voir les Hanseaten faire enfin preuve d’un peu de caractère. Il est d’ailleurs à noter qu’en seconde période, ce sont eux qui posent le plus de problèmes offensivements.
Au-delà de cette rencontre, le reste des matchs de Rostock sont plus que positifs. Jonathan Burkardt est d’ailleurs en train de réaliser des débuts exceptionnels avec sa nouvelle équipe. Esperons pour lui que son rythme ne faiblisse pas dans les prochaines semaines. »



- Ann-Christin Fischer, journaliste -

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whoa cette défaite face au Bayern !
Par contre démarrage en fanfare dans l’autre coupe et en championnat

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Malgré cette claque en Super Coupe contre le Bayern le début de championnat est fantastique important de prendre un maximum de point en début de saison avec l’Europa League qui arrive et l’enchainement des matchs

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Grosse claque face au Bayern…
Par contre le reste roule

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Faut toujours de faire emmerder par le Bayern quand on joue en Allemagne !

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Peut être que la fessée face au Bayern et ton engueulade ont remonter tes joeurs car se déroule par la suite !

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Je Vias pas dire mieux que mes collègues mais le Bayern a l’air en roue libre…

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