Oulala, par contre, on n’est pas passé loin de la correctionnelle contre les Croates!
ça tourne bien Anderlecht pour le moment.
J’aime bien les graphs aussi, simple et efficace.
Offensivement solide, défensivement plus friable. Va falloir bosser sur cet aspect coach Cantona
@Rhino La meilleure défense, c’est l’attaque !!!
@simonthekiller merci ^^
@toopil ouais, l’europe c’est plus chaud ^^
La salle de conférence est décorée pour Halloween. Des citrouilles creusées, des toiles d’araignées artificielles, et même un petit squelette trônent sur le bureau devant lequel Éric Cantona s’installe. Il porte son habituel col relevé, mais aujourd’hui, son expression est plus théâtrale, presque sinistre, comme s’il se préparait à annoncer quelque chose de terrifiant.
Cantona : « Ah, octobre… ce mois où tout devient sombre, où les ombres s’allongent et où même les équipes les plus courageuses peuvent tomber dans des pièges inattendus. Mais ici, à Anderlecht, nous n’avons peur de rien. Ni des fantômes, ni des sorcières, ni même de Genk. »
Un petit ricanement parcourt la salle, mais Cantona reste impassible, les yeux plissés.
Cantona : « Kortrijk… pff… une formalité. Un 3-0 propre et net, une sorte de mise en bouche avant les véritables frissons. Eux, ils n’ont pas joué, ils ont juste regardé notre balai spectral les balayer du terrain. C’était presque… triste. Mais bon, c’est ça, le football. »
Il lève les yeux vers une fausse chauve-souris suspendue au plafond avant de se concentrer de nouveau sur la foule.
Cantona : « Et puis Genk. Ah, Genk. Troisième au classement, dangereux, oui, mais pas suffisamment. Ils sont venus avec leurs armes, mais c’est Edozie qui leur a montré ce qu’était la terreur. Deux buts, et un match plus compliqué, mais c’est comme ça qu’on aime les combats, n’est-ce pas ? Quand vous êtes en face de quelque chose de vraiment menaçant, vous vous battez plus fort. On l’a fait, 3-1, et je vous le dis, leur défense doit encore faire des cauchemars. »
Un sourire se dessine sur ses lèvres, avant de se transformer en quelque chose de plus espiègle.
Cantona : « Et à Gand… vous avez entendu les histoires de monstres là-bas ? Eh bien, ils ne sont pas sur le terrain, je vous le dis. Le seul monstre à Gand ce jour-là, c’était Bruno Iglesias, notre nouvelle recrue du Real Madrid, avec son premier but. Quand vous marquez un but dans ce genre de match, c’est un peu comme jeter un sort. Les adversaires sont paralysés, hypnotisés. Résultat ? 1-2. Et la ville de Gand a eu droit à sa propre nuit hantée. »
Il fait une pause dramatique, comme un conteur au coin d’un feu de camp, avant d’aborder le sujet qui fâche.
Cantona : « Mais Halloween, ce n’est pas que des victoires éclatantes, c’est aussi des surprises horrifiques. En UEFA Europa League, nous avons rencontré des spectres plus vicieux. Contre Kiev… que dire ? Ils sont venus ici et nous ont volé la victoire, comme un vampire vous vide de votre énergie. 0-1, mais ne vous inquiétez pas, ils ne nous ont pas vus revenir. Nous sommes toujours là, prêts à les hanter à notre tour. »
Il claque des doigts, mimant un revers de fortune, avant de secouer la tête en pensant à Servette.
Cantona : « Servette… un mystère ce match. 0-0. Ils n’étaient nulle part, comme des zombies qui erraient sans but, et pourtant… nous n’avons pas réussi à les achever. C’est comme si le ballon était hanté, refusant de franchir la ligne. Un match frustrant, je vous l’accorde. Mais bon, c’est Halloween après tout, et parfois, même les choses les plus simples peuvent devenir effrayantes. »
Il finit par se redresser, prenant un ton plus grave mais toujours teinté d’humour.
Cantona : « Alors oui, octobre a été un mois de monstres et de surprises, mais n’oubliez pas… à Anderlecht, c’est nous les créatures de la nuit. Nous ne faisons que commencer à semer la terreur sur nos adversaires. Et pour ceux qui oseront encore nous sous-estimer, je leur dis simplement ceci : méfiez-vous… les fantômes reviennent toujours. »
Cantoche a commencé à vriller avec Halloween !
Sinon, faut vraiment passer la seconde en Europe…
Tes joueurs ont l’air concentrés à fond sur le championnat et un peu plus « en confiance » en Europe…
Canto devient l’attraction principale de l’équipe
D’ailleurs l’équipe marche bien en championnat. C’est un peu plus dur en Europe, mais ça va venir
Le Servette qui tient tête à Anderlecht, c’est propre. C’est un Servette hygiénique.
Désolé
Salut les Mauves, c’est Dédé, votre fidèle supporter, pas toujours très affûté mais toujours derrière le Sporting ! Vous le savez, le mois de novembre, ça a été du LOURD pour Anderlecht. On a enchaîné des matchs de dingue, des résultats de fou, et on s’en est pas trop mal sorti, même mieux que bien si vous voulez mon avis. Allez, je vous fais un petit résumé à ma sauce.
Patro Eisden - RSCA : 2-4 (Crocky Cup)
Bon, là on a commencé pépouze, contre Patro Eisden en Coupe. Ça devait être une balade de santé, mais évidemment on aime se faire un peu peur. 2 buts pour eux, merci la défense en carton. Mais bon, au final, on les mange quand même 4-2. Moi j’me dis, c’est la Coupe hein, faut bien se chauffer un peu. Y a des matchs plus sérieux qui arrivent…
Standard - RSCA : 1-3 (Jupiler Pro League)
AH MAIS LÀ, MES AMIS, C’ÉTAIT LE MATCH. Standard – Anderlecht. Le derby des classiques, et surtout l’occasion de montrer à ces sales Rouches qu’on est les patrons. Moi, j’étais tendu comme un string, mais on les a dégommés ! 1-3 à Sclessin, dans leur jardin ! Vas-y que Vazquez te met un doublé, et Vertonghen qui a ouvert le bal. Eux, ils ont rien vu venir, rien du tout. Et leur seul but, c’est une erreur défensive chez nous, sinon ça aurait été une fessée encore plus grande ! Je vous jure, j’ai tellement chambré les supporters du Standard après ça que j’ai plus de voix. Bref, les Rouges ? Éc-ra-sés.
RSCA - Servette : 1-0 (UEFA Europa League)
Ensuite, on reçoit Servette en Europa. Pas un gros client, mais ces Suisses, ils ont bien garé le bus hein. Heureusement, on marque quand même ce petit but qui suffit pour les mettre dehors. 1-0, merci, au revoir, retournez faire du chocolat. Ça sentait le match piège, mais on a géré. Pas notre meilleur match, mais on s’en fout, les trois points, ils sont là. Je vais reprendre les dire d’un grand copain : c’était propre, mode serviette hygiènique !
RSCA - Club Brugge : 3-0 (Jupiler Pro League)
Après ça, le gros morceau : Bruges. Le Club, les flambeurs. Tout le monde nous disait « Ouh attention Anderlecht, Bruges est chaud, ça va être dur ». Et bam ! 3-0 dans leur tronche, comme ça. Edozie encore en feu, Vazquez qui se balade, et hop, le Club, renvoyé à la maison. On les a bouffés comme jamais. Ça, ça fait plaisir !
Antwerp - RSCA : 2-3 (Jupiler Pro League)
Ah, les gars, là on parle d’un gros déplacement chez l’Antwerp ! Franchement, j’étais pas hyper rassuré avant le match, mais tu sais comment c’est avec Anderlecht : on adore faire frémir nos supporters, mais à la fin, on finit toujours par sortir le grand jeu. Et là, bingo ! 2-3 pour nous, à l’arrachée, comme d’habitude. Mais vas-y, ça compte, et c’est ce qui importe !
Basic, Vazquez et notre nouvelle pépite, le jeune Silva, ont tous marqué ! Basic a ouvert le score avec une frappe de malade, Vazquez a encore mis son grain de sel avec un autre but, et Silva, le petit nouveau, a montré qu’il a du talent à revendre en plantant le troisième.
Dinamo Zagreb - RSCA : 1-1 (UEFA Europa League)
Eh bien, les gars, parlons de Zagreb ! En Europe, c’est jamais la fête, surtout chez eux. On s’en tire avec un 1-1, mais soyons francs : on a volé ce match comme des malins ! Un penalty d’Elis en première mi-temps, et là, tu te dis qu’on va gérer. Sauf qu’on a pas su tenir le coup et ils nous ont planté un but à la fin. Franchement, on aurait dû repartir avec les trois points, mais bon, on est restés un peu trop passifs.
On a montré qu’on avait du caractère, c’est sûr, mais ça reste pas glorieux. Quand tu vois comment on a joué, ça laisse à désirer. Mais bon, pas de panique ! Avec la forme de l’équipe, je sens qu’on va revenir plus forts. Allez, on se bouge et on lâche rien !
Ah, les gars, parlons un peu d’Éric Cantona ! Franchement, ce mec, il a débarqué au RSCA et a mis un coup de fouet à l’équipe comme jamais ! Le style, la présence, c’est du lourd ! On sent qu’il a un vrai projet en tête, et les joueurs le suivent comme des petits canards.
Son coaching, c’est pas du blabla, c’est du concret. Il arrive à motiver les gars, et ça se voit sur le terrain. Les tactiques, elles sont bien ficelées, et on commence à voir une vraie identité de jeu. Même les matchs difficiles, on les aborde avec plus de confiance.
Cantona, il a ce charisme qui te fait croire que tout est possible. On sent qu’il a l’expérience et qu’il sait ce qu’il fait. Les gars, je suis persuadé qu’on va aller loin avec lui ! J’espère qu’il va rester longtemps, parce que ce mélange de talent et de passion, ça fait du bien au cœur ! Allez, on y croit !
2 décembre : Conférence de Presse d’Éric Cantona – Avant le Match retour Contre Malines
Cantona : (avec un sourire énigmatique) Ah, Malines… l’équipe qui nous a donné une leçon, n’est-ce pas ? Une seule défaite cette saison, et c’était contre eux. Mais aujourd’hui, c’est différent. Nous sommes des guerriers, et chaque match est une nouvelle bataille.
Journaliste : Coach, comment préparez-vous vos joueurs pour ce match ?
Cantona : Préparer ? Non, ce n’est pas de la préparation. C’est une déclaration ! Nous allons sur le terrain pour écrire notre histoire. Chaque joueur doit ressentir la fierté de porter ce maillot. Malines est là, juste derrière nous, mais nous sommes le RSCA. La peur ? Elle n’a pas sa place ici.
Journaliste : Vous avez une belle série de 13 victoires. Pensez-vous que cela vous donne un avantage ?
Cantona : (avec passion) La série, c’est bien. Mais le passé, c’est le passé. Aujourd’hui, c’est un nouveau combat. Chaque match, chaque minute est une opportunité. Malines, eux aussi, ont fait leur chemin, et ils ne sont pas là par hasard. Ils sont bons, mais nous sommes meilleurs.
Journaliste : Quels seront les défis pour votre équipe ?
Cantona : (regard perçant) La discipline, l’intensité. Nous devons être comme des lions. Pas de place pour la faiblesse. Si l’un de nous tombe, l’autre doit le relever. Je veux voir mes joueurs se battre, se déchirer sur le terrain. C’est ça, le vrai football.
Journaliste : Que diriez-vous à vos supporters avant ce match ?
Cantona : (avec charisme) À nos supporters, je dis ceci : venez, et sentez l’énergie ! Votre passion est notre force. Vous êtes notre cœur, et ensemble, nous allons créer un moment magique. Ce match, c’est pour vous, c’est pour nous. Allez, on va les détruire !
Quelle gouaille ce Dédé !
J espère qu’il a repris sa respiration le bon vieux Dédé ! Il avait l’air à fond ! En tout cas il est passionné par son club qui continue le sans faute !
Tout va pour le mieux, les supporters peuvent être contents
Ouais, très contents ^^
on enchaine sur la conférence de mi-décembre de Cantona, un poil remonté :
Conférence de Presse d’Éric Cantona – Mi-Décembre
Cantona : (regard noir, voix grondante) Bon, on va pas se mentir, ce mois-ci, c’était les montagnes russes. On a fait des matchs grandioses, et on a aussi touché le fond. Ça, ça me met hors de moi ! On est Anderlecht, pas une équipe qui choisit ses combats. Chaque match doit être une guerre, point final !
Journaliste : Parlons d’abord de la victoire contre Malines. Vous avez interrompu leur série de 12 victoires.
Cantona : Oui, ça, c’était du football ! On les a fauchés en plein vol, et ils n’ont rien vu venir. Ils sont arrivés avec leur série de 12 victoires comme des coqs en pâte, et on les a stoppés net. Vazquez… (il sourit) Ce joueur, un artiste. Deux buts, chacun comme une signature. Ce match-là, c’était du pur Anderlecht : l’envie, la rage. Si on n’est pas capables de jouer chaque match comme ça, alors autant rentrer chez nous. C’était beau, c’était puissant, mais malheureusement, tout le monde n’a pas gardé ce feu.
Journaliste : En parlant de l’envie, il y a eu ce match en Coupe contre le Standard où vous avez fait tourner l’effectif…
Cantona : Oui, et là, on touche le fond. J’ai donné leur chance à certains qui d’habitude attendent, et ils m’ont fait honte ! Face au Standard ! Une équipe qu’on doit démolir à chaque rencontre, surtout pour nos supporters. C’était une opportunité pour les remplaçants de montrer qu’ils méritent leur place sur le terrain. Et qu’est-ce qu’ils font ? Ils jouent comme des touristes ! Pas de rythme, pas de passion, rien. Perdre contre le Standard, c’est un échec total. Honte à ceux qui étaient là ce soir-là ! Ceux qui ne montrent rien, qu’ils dégagent ! Anderlecht n’a pas besoin de spectateurs dans ses rangs.
Journaliste : Puis il y a cette autre défaite contre Westerlo…
Cantona : Westerlo ! Mais qu’est-ce que je vois là ? On entre sur le terrain comme si on allait promener le chien ! À Westerlo, ils nous ont attendus comme des fauves et ils nous ont dévorés. Pourquoi ? Parce qu’on est arrivés comme des petits princes. La suffisance, c’est la première marche vers l’échec. Ils n’ont pas respecté ce maillot, et ça, ça me rend malade. On s’est fait humilier parce qu’on n’a pas voulu se battre. J’espère que ça leur servira de leçon, parce que moi, je n’oublie rien. Tu ne respectes pas le jeu, le jeu te frappe en plein visage.
Journaliste : Enfin, la victoire en Europa League contre le Dynamo Kiev. Vos joueurs ont brillé, surtout Elis…
Cantona : Ah, là, on parle d’un vrai match ! Contre le Dynamo, on était des guerriers ! Elis a fait un match de fou, trois buts, dont un dès la 3e minute. Le gars, il était partout, il leur a fait voir des étoiles ! C’est ça, Anderlecht ! On ne parle pas, on frappe. Cette victoire, c’est ce qu’on doit montrer à chaque match, surtout en Europe, où chaque minute compte. Quand on joue comme ça, personne ne nous arrête. Mais il faut arrêter d’être une équipe à deux visages.
Journaliste : Un message pour vos supporters après ce mois mouvementé ?
Cantona : (s’adressant directement à la caméra) À nos supporters, j’ai une chose à dire : on ne vous doit rien de moins que le meilleur, à chaque match. Vous méritez des guerriers, des joueurs qui mouillent le maillot. Ceux qui ne sont pas prêts à donner leur vie pour Anderlecht, je les éjecterai moi-même ! À partir de maintenant, c’est simple : chaque match est une guerre, et on va tout détruire sur notre passage. Allez, on ne lâche rien !
Le réveil Européen est là
Après, ils étaient déjà qualifiés ^^ Je ne sais pas si le jeu fait tourner les joueurs (j’ai pas vérifié) pour gérer l’effectif, mais en tout cas, autant à l’aller je me suis fait dominer, ici je les ai totalement écrasés.
Effet inverse en Croky Cup, où j’ai fait tourner l’équipe, et ça ne s’est pas avéré à la hauteur.
J’hésite à vendre Dolberg… Il est très fort, mais Vázquez cartonne vraiment en pointe de l’attaque. Je n’ai pas besoin de deux monstres devant, et Silva, 18 ans, pourrait combler les vides. Je pourrais aussi tirer une bonne somme de Dolberg. Peut-être recruter un autre buteur intermédiaire.
On les a fauchés en plein vol
Tel un bon coup de pied latéral en tribune
Au niveau des résultats, c’est un peu plus mitigé, à voir ce que ça donne au classement.
La belle victoire contre Kiev devrait ramener la bonne dynamique
Ca peut arriver de perdre des matchs, et heureusement, sinon on s’ennuierai sans adversité
L’idée de vendre Dolberg est pas mal, surtout si Vasquez cartonne. Après, est-ce qu’il cartonne parce qu’il sait qu’il a de la concurrence derrière lui (Dolberg) ? Si tu retires la concurrence, faudrait pas qu’il se repose sur ses lauriers et soit moins prolifique.
Perso, j’ai remarqué que les joueurs en fin de contrat dans FM font toujours une superbe saison (dans l’optique d’attirer d’autres clubs ? Ou de donner envie de prolonger son contrat ?)
Alors est-ce que le truc de la concurrence ne peut pas être plausible ?
apres, peu de temps apres le message d’au dessus, t’as l’OM qui a débarqué pour 15M, j’ai accepté l’offre. Avec cette somme j’irais chercher 1 autre buteur pour tenir la baraque derrière Vazquez, pas plus mal. Faut booster les finances du club qui sont pas folles