Réponse aux lecteurs
@CaptainAmericka oui, qualifications sans soucis. Il faut dire que je n’étais pas effrayé par l’adversité.
@celiavalencia c’est vrai, la chatte au tirage. On a fait le jonb en gagnant facilement.
@Loozar il va falloir que je me méfie, inspecteur Loozar est sur les lieux du vice
Merci à tous de suivre cette story!



Nouveau décrassage pour les titulaires de la veille. Pour les remplaçants, je propose juste une confrontation interne vu que je compte les aligner pour les derniers matchs comme nous sommes déjà qualifiés.
Mbappé, lui, a grimacé au saut du lit. Il est blessé et forfait pour le prochain match, que je ne comptais pas lui faire jouer. Il est venu voir l’opposition interne entre les remplaçants.

Il se lève, se dirige vers moi et me dit: « Si je ne peux pas être sur le terrain, alors je vais diriger l’équipe ! Ecoute-moi le Néo-Zélandais, tu as fait un travail incroyable jusque là en Coupe du Monde, mais il est temps de changer de cap, de laisser faire ceux qui connaissent le vrai football.
Moi: Kylian… De un, tu ne me tutoie pas! De deux, tu es un attaquant de génie, mais je suis l’entraîneur, et ça ne marche pas comme ça…
Kylian: J*’ai tout prévu ! Nouveau système de jeu : on va devenir les rois du beau jeu. On va pulvériser nos adversaires. Et toi, le Néo-Zélandais, tu sera mon adjoint si tu veux.*
Moi: Écoute, Kylian, tu commences à me fatiguer…
Kylian: En plus, je vous ai déjà remplacé sur Football Manager et j’ai remporté trois Coupes du Monde d’affilée ! J’ai de l’expérience, coach. Et au PSG, c’est moi le vrai coach. Comme Messi en 2014.
Moi: Tu as vu jusqu’où il a été? 8e de finale, un but de bâtard et terminé! A la maison!
Kylian: Oui, mais moi je suis le roi!
Moi: Très bien, Kylian. Faisons un deal. On dirige chacun une équipe lors de cette opposition interne et celui qui gagne est le vrai coach. Et tu sais quoi? Je te laisse même choisir les joueurs pour ton équipe."
Mon équipe l’emportera 13-0. Kylian avait oublié de choisir un gardien, privilégiant le jeu technique. Quel idiot… Il est reparti en boudant…
Aujourd’hui, dans le groupe G, pas de surprises: l’Angleterre domine le Ghana (4-1) et la Corée du Sud bat la Jamaïque (1-0).
Dans le groupe H, le Sénégal tombe face à la Turquie (3-1) grâce à un début de match incroyable des Turcs et les Suisses battent de solides Ouzbeks (1-0).
Dans le groupe I, l’Allemagne se reprend et bat l’Iran (2-0). Alors qu’en prime-time, on assiste à une fin de match de folie entre l’Algérie et l’Ukraine. Les fennecs l’emporte 3-2.

Le lendemain matin, Kylian n’est pas calmé. Il dit que j’ai gagné car il a oublié de prendre un gardien. C’est vrai mais… J’ai gagné quand même! Lui, ne le voit pas ainsi. Il déambule dans les couloirs de l’hôtel, distribuant des consignes tactiques à droite et à gauche, comme s’il était le maître à bord.
A l’entraînement, même constat. C’est lui qui l’ouvre en début de séance: « Aujourd’hui, on s’entraîne sur des tirs à 35 mètres. Et Eduardo, pas de passes ! Que des dribbles, jusqu’à ce que tu atteignes le but. »
S’en suivit une prise de bec entre nous. Je lui ordonne de venir dans mon bureau s’il est un homme. Cette dernière précision est importante: je savais qu’avec cette formule il viendrait juste par fierté!
Je lui rappelle ses obligations mais il n’en a que faire: "je suis seul sélectionneur maintenant. Retourne en Nouvelle-Zélande, le néophyte!"
La discussion s’envenime et aucun accord n’est trouvé. Alors, qu’il quitte le bureau en claquant la porte, je suis perdu, désespéré… Comment arranger ça?
Au même instant, le téléphone sonne. Mon cousin m’appelle: "Kiki, toi?
Mon cousin: J’ai une solution à ton problème. Mais donne-moi l’autorisation de rentrer dans l’hôtel! Je serai là après votre repas"
Je m’exécute. Je sais qu’il a le don de convaincre les gens de faire absolument n’importe quoi. Il peut raisonner Kylian. Je vais l’accueillir au portail. Il est accompagné de mon ancien joueur: Xavior Leatualevao, international des Samoa Américaines que j’ai dirigé dans sa sélection et au Cambodge avec les Angkor Tiger. Depuis, après avoir écumé quelques clubs Cambodgiens en D2, il est retourné dans son pays pour jouer pour Pago Youth, le plus grand club de l’île.
Xavior, c’est un immense Samoan de deux mètres, mais aussi la définition même du calme imposant. Si mon cousin a beaucoup bourlingué, magouillé et joué des coudes en politique, faire face à un Mbappé obsédé par son nouveau pouvoir, c’était un défi inédit.

Je ne sais pas quelle idée il a en tête mais je suis obligé de lui faire confiance vu l’ampleur qu’à prise cette histoire.
L’après-midi, les deux débarquent à l’entraînement mais les joueurs sont surtout intrigués par Xavior qui porte un t-shirt trop petit pour ses énormes biceps.
Ils ne voient pas Mbappé. Mon cousin me demande où il est. Mbappé est avec le reste de mon staff, en train d’organiser une séance vidéo où il passait en boucle ses actions du dernier match.
"Ah, Kylian !, lança mon cousin en écartant les bras, exagérément jovial. J’ai entendu dire que tu avais pris la relève de Toopil, félicitations !
Kylian: Merci, mec que je ne sais pas qui t’es. Enfin quelqu’un qui reconnaît mon talent tactique !
Mon cousin: Bien sûr, bien sûr. Mais dis-moi, mon cher Kylian… et si tu devenais quelque chose de plus grand encore ? Et si tu devenais… le roi du football mondial ? Pas un roitelet comme tu es. Mais un roi. Que dis-je? UN EMPEREUR!
Kylian: L’empereur du football mondial ?
Mon cousin: Absolument ! Mais attends… Non! J’ai changé d’avis! Tu n’es qu’un cafard du peuple, tu n’es rien ici!
Kylian: TU DIS QUOI TOI? JE SUIS L’EMPEREUR! TON EMPEREUR! PROSTERNE TOI CHIEN D’INFIDÈLE! "
Mon cousin fit un signe de la tête à Xavior. Celuic-i s’avança lentement vers Mbappé, avec un sourire chaleureux mais une présence écrasante. Il posa une main immense sur l’épaule de Kylian. Mbappé, sentant une pression qu’il n’avait jamais connue, commença à douter. Il avait peur de regarder Xavior dans les yeux.
Celui-ci inspira profondément et dit: "Tu n’es pas sélectionneur, tu es un cafard du peuple. Répète après moi.
Kylian: Non! Je… Suis un… un… Un roi.
Xavior (en hurlant): RÉPÈTE!
Kylian (en parlant vite): Ok, ok! Je suis un cafard, une bouse, une sous-merde. Le Néo-Zélandais est le meilleur sélectionneur!
Xavior: Il a un nom! Ne l’appelle plus ainsi!
Kylian (en parlant vite): Oui, oui, Toopil est…
Xavior (en levant le poing): MONSIEUR Toopil!
Kylian (en se baissant et en parlant vite): Oui, pardon, Mr Toopil, notre sélectionneur bien aimé, est le meilleur entraîneur du Monde!
Xavior: Biennnnnn! Tu peux aller à l’entraînement! Et attention, je te surveille!"
Mbappé ne demanda pas son reste et s’enfuit rapidement. Quand il s’approcha de moi, qui dirigeait la séance, je joua la provoc’ en disant: "Tiens, t’es là toi?
Mbappé: Oui le Néo-Zé… Heu… Too… Heu… Mr Toopil… J’ai besoin de me concentrer et m’entraîner pour… devenir le roi du football mondial."
Je me retourne et voit mon cousin et Xavior souriants. Je leur fait un signe du pouce. Voilà Kylian revenu dans le droit chemin.
Score de baby-foot dans le premier match du jour et du groupe J: 9-1 pour l’Ecosse contre le Costa Rica. Et dans le 2e match du groupe, petite surprise: le Japon bat l’Uruguay 2-0.
Dans le groupe K, l’Italie se qualifie pour les 16e en battant l’Arabie Saoudite (2-0). L’Équateur se débarrasse du Cameroun facilement (4-1).
Dans le groupe L, une fois de plus l’Argentine n’est pas flamboyante et c’est en fin de match qu’ils se débarrassent du Maroc (2-1). Et grosse surprise: les Emirats Arabes Unis, broyés dans leur entrée en compétition contre le Maroc, font tomber la Suède (3-2). Dans ce groupe, chaque équipe a 3pts. Ça promet une belle dernière journée.

L’ambiance est plus décontractée depuis hier et depuis que Kylian accepte d’avoir comme rôle celui d’un simple joueur. Xavior est resté pour s’entraîner avec nous. Je n’ai pu lui refuser. Mon cousin aussi est resté. Ça, ça m’inquiète un peu plus. Pour l’instant, il se tient à carreau et je peux diriger l’entraînement sereinement.
Pendant une pause fraîcheur, j’assiste à la remise en forme de Kylian avec le préparateur physique. Il enchaîne les tours de terrain entre courses rapides et lentes. Il passe à côté de Xavior et le nargue: « Tu as peut-être une force brute incroyable, mais en vitesse, tu ne dois rien valoir. » Xavior fronça les sourcils, plia légèrement les genoux, et d’un coup, dans un éclair de rapidité surprenante pour sa taille, il attrapa Mbappé d’un bras, comme s’il n’était qu’une plume. Les autres joueurs se retournèrent, éberlués.

« Hé, attends ! Qu’est-ce que tu fais ?! » s’écria Mbappé, gigotant sous l’aisselle de Xavior, son visage à moitié caché sous le bras musclé du géant samoan.
Mais Xavior ne dit rien. Avec un calme olympien et un sourire en coin, il se mit à courir droit devant lui, Mbappé coincé sous son bras comme un ballon de rugby. Il traversa le terrain, ignorant les protestations amusées de l’attaquant. L’équipe, entre éclats de rire et exclamations, observait la scène incroyable : le Samoan fonçait comme un véritable rugbyman, Mbappé sous le bras, ses jambes battant dans le vide.
« Il va le plaquer ! » cria Mike Maignan en riant.
Et effectivement, une fois arrivé près des buts, Xavior accéléra encore. Il bondit dans les airs et plongea pour réaliser un magnifique plaquage digne des plus grands joueurs de rugby, Mbappé toujours solidement maintenu sous son bras. Mbappé, étalé sur le dos, se releva, hébété mais hilare.
Xavior, toujours souriant, tendit la main à Mbappé pour l’aider à se relever et lui dit: « T’es lent mais tu fais un bon ballon de rugby avec ton melon qui te sers de tête! »
Les joueurs étaient tous pliés de rire, même moi qui observe la scène depuis le bord du terrain.
« Je crois qu’on vient d’inventer un nouveau sport: le rug-melon » dit Barcola en rigolant.
Le reste de la journée se passe tranquillement même si mon cousin servit de la pizza à tout le monde au déjeuner. « Comme au bon vieux temps, coach! » me dit Xavior. Malheureusement… Oui…
Le soir, le temps était venu de faire mon discours pour le match de demain contre la Côte d’Ivoire: « Bon, les gars, vous le savez déjà , on est qualifiés. On a fait le boulot contre l’Australie et le Honduras, et vous pouvez être fiers de ça. Mais ce soir, c’est un autre défi. Ce soir, on joue contre une équipe solide, la Côte d’Ivoire. Et même si on est déjà en 16e, je vous le dis : il n’y a pas de match sans enjeu. Ceux qui vont entrer sur le terrain ce soir, c’est votre moment. Vous avez bossé dur à l’entraînement, vous avez attendu cette opportunité. Eh bien, elle est là maintenant. Vous avez l’occasion de montrer pourquoi vous êtes ici, pourquoi vous méritez d’être sur le terrain à chaque match. Peu importe si vous avez moins joué jusqu’ici. Ce soir, c’est votre match, votre chance de prouver que vous pouvez faire la différence. »
Je regarde les joueurs. Tous semblent concernés. Mon cousin, au fond de la pièce, dit: « vas-y enchaîne! Ha merdeuuuuuuu! » Il venait de tâcher la moquette avec un bout de pizza tombé au sol.

J’essaie de reprendre ma concentration et j’enchaine:
« Ne vous dites pas que c’est juste un match de groupe, ou qu’on peut lever le pied parce qu’on est déjà qualifiés. Ça, c’est l’erreur qui peut nous coûter cher. Vous devez entrer sur le terrain avec la même intensité, la même soif de victoire qu’au premier match. Respectez l’adversaire, respectez le maillot, et surtout… respectez vos ambitions. L’énergie, le pressing, la discipline… ce sont ces petits détails qui font les grandes équipes. Chaque passe, chaque course, chaque duel compte. On ne baisse pas le niveau, on le maintient, voire même, on l’élève. Ce soir, vous jouez pour l’équipe, bien sûr. Mais vous jouez aussi pour vous. Chaque minute que vous passerez sur le terrain, c’est l’opportunité de montrer que vous êtes prêts, que vous pouvez être ceux qui vont nous emmener encore plus loin dans cette compétition. Vous savez ce que ça représente de porter ce maillot. Alors, donnez tout. Profitez de ce moment, mais ne lâchez rien. Pas une seconde. On joue pour la France. On joue pour nous-mêmes. Et ce soir, on va se battre jusqu’à la dernière seconde. Allez, les gars, tous ensemble, et on fait ce qu’on sait faire de mieux : on gagne. »
Les joueurs applaudissent à peine lorsque mon cousin dit: « Et il reste de la pizza à l’accueil. » Et tous se ruent en direction de l’accueil… Et voilà … Le retour du boulet.
Du côté des autres résultats, dans le groupe A, l’Espagne obtient sa qualification en battant la Colombie (4-2), qualifiée elle aussi. La Nouvelle-Zélande a beau battre le Canada 2-1, elle est dernière du groupe et éliminée.
Dans le groupe B, le Portugal finit le travail (4-0) et se qualifie contre le Pérou. La Serbie, victorieuse 3-0 du Burkina Faso, prend la 2e place.
Dans le groupe C, nos voisins Belges galèrent pour battre les Tunisiens (2-1) mais se qualifient pour les 16e.
@Nehoc n’est pas avec nu mais on verra sur son insta des photos de lui complètement torché dans les rues de Séville en train de chanter la Brabançonne.
Les Etats-Unis gagnent 4-1 contre des Chiliens déjà qualifiés et sont sûr d’obtenir une place parmi les meilleurs 3e.

Nous voilà de nouveau à Séville. Une fois n’est pas coutume, nous sommes parti le matin même et nous jouons à 11h30. Nous sommes qualifiés donc la logistique est un peu plus cool.
Retour au stade Ramón Sánchez Pizjuán, de nouveau devant 44 000 personnes. Kylian est en tribunes, sous la surveillance de Xavior. Comme il est maintenant de coutume, je vais saluer les supporters pendant l’échauffement.

Aujourd’hui, j’aligne cette équipe: Chevalier - Koundé, Badiashile, Todibo, Delgado - Kamara, Thuram, Guendouzi - Uçar, Tel, Nkunku.
Jules porte le brassard.
Les joueurs rentrent sur la pelouse, la Marseillaise résonne, le coup de sifflet de l’arbitre également. Le match est lancé!
13e minute: Après un début de match complètement fermé, Uçar récupère un ballon perdu en milieu de terrain et lance Nkunku qui frappe sur le poteau.
17e minute: Les occasions françaises s’enchaînent. Guendouzi tire de loin mais c’est capté par le gardien adverse.
21e minute: C’est Tel qui s’essaie d’en dehors de la surface sur un nouveau tir de loin. Ça ne passe pas loin au dessus de la transversale.
37e minute: Sur un corner tiré de la droite, Badiashile trouve la transversale. C’est dégagé par la défense Ivoirienne.
44e minute: Lancé en profondeur, Uçar dribble le dernier défenseur, tire mais sa frappe est contrée par un défenseur Ivoirien.
Mi-temps sifflé. Un match pas bien fou, fermé, où mon équipe a du mal à se trouver. Dans le vestiaire, je leur demande de pousser plus. D’aller chercher une victoire! Le message semble être passé!
47e minute: Sur un coup-franc tiré de la droite, Todibo est trouvé de la tête mais ça passe au raz du poteau droit.
60e minute: Sur une attaque construite, Nkunku est trouvé. Il tire sur la droite du gardien mais ça touche le poteau. On est maudit… D’autant plus que la défense Ivoirienne a récupéré le ballon et lance une contre-attaque. Kessié est trouvé à l’entrée de la surface et tire à raz de terre. Le ballon rentre dans les filets… 1-0 pour la Côte d’Ivoire…

62e minute: Je fais des changements et change de tactique. On va jouer à deux attaquants de pointe: Delhaye remplace Guendouzi, Camavinga remplace Thuram.
64e minute: Delhaye récupère le ballon après un bon pressing. Une-deux avec Nkunku et il tire mais le gardien détourne en corner… Corner qui ne donnera rien.
68e minute: Les Ivoiriens sont en train de braquer le match. On multiplie les occasions mais nous n’arrivons pas à cadrer. Barcola remplace Nkunku qui est cuit!
74e minute: Nouvelle frappe de loin, de Barcola cette fois-ci. Ca passe à côté…
76e minute: Les Ivoiriens mettent le bus. Je fais mes derniers changements: Mendy remplace Koundé et Diaby remplace Uçar.
84e minute: Diaby dribble dans la surface mais au lieu de tirer il passe à Delhaye qui s’emmèle les pinceaux et perd le ballon.
87e minute: Lancé en profondeur, Tel est fauché dans la surface! Penalty! L’arbitre va consulter la VAR. Il se déjuge. Il n’y aura pas de penalty…
94e minute: Sur une ultime attaque, Mendy trouve Camavinga au milieu qui tire de loin. Ca part en tribunes… L’arbitre siffle la fin du match. Nous perdons 1-0…
Je félicite mon homologue car la Côte d’Ivoire est également qualifiée et prend la 1e place.

Dans le vestiaire, le silence règne. Je prends la parole: « les gars, on a de la chance car le seul match qu’on perd, c’est celui qui ne sert à rien. N’oubliez pas ce goût amer et gardez-le en bouche pour ne jamais le revivre jusqu’à la fin de la compétition. Allez, on file en 8e! »

On mange sur place puis nous rentrons à l’hôtel pour voir les matchs du jour.
Dans notre groupe, l’Australie bat le Honduras (2-1).
Dans le groupe E, l’Irlande bat le Qatar 3-1 et le Brésil et le Mexique se neutralisent (1-1). L’Irlande est première du groupe, le Brésil 2e et le Mexique passe comme meilleur 3e. Ce qui veut dire que… Notre prochain adversaire est le Brésil!!
France-Brésil, des souvenirs de 1998 et 2006 reviennent à la surface. On va voir une superbe confrontation.

Dans le groupe F, le Nigéria bat la Croatie (2-1) et les Pays-Bas écrasent la Syrie (5-1). Pays-bas, Croatie et Nigéria (tous avec 6pts), passent en 16e de finale.

Petit à petit, le tableau final prend forme. J’ai déjà hâte d’y être. Mais ça, c’est une autre histoire.
à suivre…