RĂ©ponse aux lecteurs
@Sythax @celiavalencia quelque part, Mbappé qui fout le bordel en sélection, ça rejoint la réalité
@CaptainAmericka pour le coup, il marque des but et est vraiment efficace!
Merci Ă tous de suivre cette story!
Ce matin, nous quittons la Tunisie. Direction lâEspagne, lâorganisateur de la Coupe du Monde 2030. Nous atterrissons Ă Malaga oĂč nous attends le bus de lâĂ©quipe de France pour cette compĂ©tition. Il est magnifique avec des motifs qui sont un hommage Ă Picasso (comme pour le logo de la Coupe du Monde que vous voyez au dessus).
Ce bus nous emmĂšne Ă Estepona car nous serons logĂ©s Ă lâhĂŽtel Senatur Banus oĂč il y a tout ce quâil faut pour sâentraĂźner et se dĂ©tendre.
Et nous sommes à cinq minutes du Stade Francisco Muñoz Pérez, le stade du club local: Unión Estepona, un club de D4 Espagnole.
A notre arrivĂ©e, nous sommes accueillis par le personnel de lâhĂŽtel. Tout le monde rejoint sa chambre avec leurs sublimes portes dĂ©corĂ©es toujours dans le mĂȘme style. Puis chacun peut choisir de se reposer ou dâaller Ă la piscine. Aujourdâhui, câest dĂ©tente!
Ce matin, câĂ©tait entraĂźnement. Puis nous avons mangĂ©. Assez tĂŽt car cet aprĂšs-midi, nous avons la visite du prĂ©sident de la rĂ©publique: Jean Lassalle. Il vient accompagnĂ© de son ministre des sports: Eric Cantona!
Lorsquâils arrivent Ă lâhĂŽtel, les joueurs se lĂšvent en voyant Lassalle, imposant dans son costume mal ajustĂ©, et surtout, Cantona, toujours aussi charismatique et mystĂ©rieux, qui marche Ă ses cĂŽtĂ©s.
Kylian MbappĂ©, souriant, sâavança pour saluer les visiteurs. Mais Cantona, en voyant la star du PSG, eut un lĂ©ger froncement de sourcils. LâatmosphĂšre changea subtilement.
« Kylian, » lança Cantona avec une certaine gravité, « tu sais que dans le football, il y a un seul King. »
MbappĂ©, amusĂ©, rĂ©pondit avec un clin dâĆil : « Ah oui ? On mâappelle dĂ©jĂ le roi ici. Donc je suppose que vous parlez de moi, Mr Cantona.»
Cantona, haussant un sourcil, le fixa. Lâair devenait lourd, comme avant une tempĂȘte.
« Le King, câest moi. » prononça Cantona dâune voix grave, tandis quâil enlevait sa veste pour rĂ©vĂ©ler un t-shirt vintage de Manchester United.
Les deux hommes se regardaient. Puis MbappĂ© eu un rictus moqueur. Cantona ne se fit pas prier et lâenvoya valser sur la table avec un coup de pied karatĂ©, comme Ă sa grande Ă©poque Mancunienne. MbappĂ© atterri sur la table sous la stupeur des employĂ©s de lâhĂŽtel.
Jean Lassalle, stupĂ©fait, lĂącha: « Eh bĂ© ! Ăa câest du sport ! »
Cantona, lâair calme, se redresse et se frotte les mains, comme sâil venait de terminer une simple corvĂ©e.
Lassalle, pendant que Kylian se relevait non sans mal, sâapprocha, tendant un verre de jus de pommes du terroir Ă Thomas Delhaye. « Allez, les jeunes, buvez un coup, ça va vous faire du bien avant la Coupe du Monde ! »
La visite sâacheva dans la bonne humeur, sauf celle de Kylian qui parti sâenfermer Ă double tour dans sa chambre.
Ce matin, nouvel entraĂźnement mais cet aprĂšs-midi aussi aprĂšs la sieste. Mais pendant celle-ci, jâai autorisĂ© les Ă©missaires du Real Madrid Ă venir voir un joueur convoitĂ© et son agent. AprĂšs cette visite, jâai demandĂ© Ă chaque joueur dâattendre avant de sâoccuper de son avenir. Câest pas une foire aux bestiaux iciâŠ
Depuis ce matin, Kylian MbappĂ©, lâhomme de tous les projecteurs, avait un sourire en coin qui en disait long.
« Les gars, vous savez pourquoi ils viennent, hein ? » lança-t-il ce matin dans le vestiaire Ă ses coĂ©quipiers avec une nonchalance feinte. « Câest pour moi, Ă©videmment. Le Real, câest du sĂ©rieux maintenant. Ils veulent leur Galactique, et câest moi ! »
Kylian rĂȘve du Real depuis longtemps. Câest un fait que personne nâignore. Kylian avait appelĂ© sa mĂšre, qui est aussi son agent, spĂ©cialement pour lâoccasion.
Le moment fatidique arrive enfin. Deux hommes en costumes impeccables et une femme magnifique, lunettes de soleil et attaches-cases Ă la main, descendent dâune limousine aux vitres teintĂ©es. Ils avancent avec assurance vers lâentrĂ©e de lâhĂŽtel.
« Vous allez voir, » murmure-t-il à ses coéquipiers en gonflant le torse. « Ils sont là pour moi. »
Les Ă©missaires sâarrĂȘtĂšrent devant le groupe de joueurs. La femme qui semble ĂȘtre la chef, prit la parole dans un espagnol impeccable :
« Buenas tardes, señores. Nous sommes ici pour⊠Thomas Delhaye. »
Le silence tomba. Les joueurs échangÚrent des regards perplexes. Mbappé, quant à lui, se figea dans une expression de totale incompréhension. « Euh⊠Pardon ? » lùcha-t-il, abasourdi.
La chef des émissaires poursuivit sans se laisser distraire : « Nous avons observé Thomas Delhaye depuis quelque temps maintenant, et le Real Madrid est trÚs intéressé par ses qualités. Nous aimerions entamer des négociations. »
Thomas, jusquâalors en retrait, Ă©carquille les yeux. « Moi ? » balbutie-t-il. « Mais⊠MbappĂ© est lĂ , non ? »
Un des Ă©missaires hausse les Ă©paules : « MbappĂ© est un grand joueur, mais⊠nous avons un projet diffĂ©rent. Nous pensons que vous ĂȘtes lâavenir. »
Les autres joueurs, Maignan en tĂȘte, Ă©clatent de rire en voyant la tĂȘte de MbappĂ©, qui semble totalement dĂ©contenancĂ©. « Mais⊠mais câest une blague, câest ça ? » tente-t-il, cherchant dĂ©sespĂ©rĂ©ment une explication logique.
Delhaye, lui, est rouge comme une tomate, pris entre la fiertĂ© et la gĂȘne absolue. « Euh⊠écoutez, je veux bien discuter, mais je pensais vraiment que câĂ©tait Kylian qui intĂ©ressait Madrid, moi je suis encore⊠»
Les émissaires, imperturbables, concluent : « Il est temps pour un nouveau roi à Madrid. »
MbappĂ©, choquĂ© mais faisant mine de rien, tente de garder la lumiĂšre sur lui. « Bon, dâaccord, dâaccord⊠câest vrai que Delhaye a du potentiel. Mais bon, je suis toujours le roi, hein ! »
Barcola, hilare, rĂ©plique en souriant : « Ouais, mais el rey, maintenant, câest Thomas. »
Et câest ainsi que, malgrĂ© les prĂ©visions de Kylian, la star du jour ne fut pas celle quâon attendait. Mais au final, tout le monde repartit dans la bonne humeur, sauf peut-ĂȘtre MbappĂ©, qui avait soudainement beaucoup moins envie de parler du Real Madrid⊠un club oĂč finalement Thomas Delhaye ne signe pas⊠Pour continuer de progresser Ă Reims en L1 et en jouant lâEurope avec son club de coeur.
Ce matin avant lâentraĂźnement, la FIFA nous demande de choisir un son ou un morceau qui reprĂ©sentera notre Ă©quipe et qui sera jouĂ© dans le stade aprĂšs chaque victoire Française. Je laisse le choix au joueur qui choisisse le morceau « Evasion nocturne » de la jeune chanteuse Marylou, connue depuis sa participation Ă The Voice Kids en 2024. En plus, câest une Dijonnaise, donc cela me fait plaisir! La FIFA raccourci le morceau et je nous vois dĂ©jĂ danser sur ça avec nos supporters aprĂšs une victoire.
https://www.udio.com/songs/mdd5nPt7xEfj5c2KndgqNz
AprĂšs lâentraĂźnement, les joueurs ont quartier libre; il est 11h et si la plupart choisissent de se reposer Ă lâhĂŽtel, Kylian a disparu.
Je ne le saurai que le soir, mais il est parti à Madrid. Voici son récit⊠Selon les dires de la police Espagnole:
Il Ă©tait vexĂ© de ne pas ĂȘtre considĂ©rĂ© par le roi, dĂ©jĂ par Cantona, puis par le Real Madrid. Pour ĂȘtre un roi, il lui faut une couronne. Il compte voler la couronne du Roi dâEspagne: Felipe VI.
Il a rĂ©ussi Ă grimper sur la façade du Palais avec une agilitĂ© digne dâun chat de gouttiĂšre.
Il avait tout prĂ©vu : les camĂ©ras de sĂ©curitĂ©, les gardes royaux, et mĂȘme lâitinĂ©raire pour entrer et sortir du palais sans se faire repĂ©rer.
ArrivĂ© sur le balcon de la salle du trĂŽne, Kylian sortit une pince de son sac Ă dos et crocheta la fenĂȘtre avec une prĂ©cision chirurgicale. Une fois Ă lâintĂ©rieur, il avança en silence, ses chaussures Ă semelles souples ne faisant aucun bruit sur le marbre poli. Devant lui, posĂ©e sur un coussin de velours rouge, se trouvait la couronne royale dâEspagne, scintillante sous la lueur des lustres.
Mais câest lĂ que tout bascula. Alors que Kylian tendait la main pour sâemparer de la couronne, un petit bruit sourd se fit entendre. Un dĂ©tecteur laser, soigneusement cachĂ© sous le coussin, sâĂ©tait dĂ©clenchĂ©.
Les alarmes retentirent immédiatement dans tout le palais.
Dans un Ă©lan de panique, il saisit tout de mĂȘme la couronne, la glissa sous son bras, et se prĂ©cipita vers la fenĂȘtre par laquelle il Ă©tait entrĂ©. Mais, tandis quâil sâĂ©lançait, une troupe de gardes royaux armĂ©s dĂ©boula dans la salle.
Kylian, bien que rapide sur un terrain de football, nâavait pas exactement prĂ©vu de courir avec une couronne sur la tĂȘte. Il se jeta par la fenĂȘtre, atterrissant maladroitement sur le balcon, avant de dĂ©gringoler le long de la façade. Il entendait dĂ©jĂ les sirĂšnes de la police se rapprocher.
Des voitures bloquaient déjà toutes les sorties de la ville, et des hélicoptÚres survolaient les rues, leurs projecteurs balayant chaque recoin. Kylian, agile mais légÚrement dépassé par la situation, zigzaguait entre les passants, criant des excuses à droite et à gauche.
Kylian, essoufflĂ©, comprit quâil ne pourrait pas semer la police indĂ©finiment. Dans un dernier geste dĂ©sespĂ©rĂ©, il se rĂ©fugia dans un petit cafĂ© au coin de la rue, espĂ©rant que personne ne le remarquerait. Mais bien sĂ»r, difficile de passer inaperçu avec une couronne royale dans les mains.
Alors quâil tentait de la cacher sous son manteau, un policier espagnol, aussi large quâun frigo, entra dans le cafĂ© et lâaperçut immĂ©diatement.
Kylian nâeut pas le temps de rĂ©flĂ©chir. Il se leva brusquement, courut vers la porte arriĂšre du cafĂ©, mais trĂ©bucha sur un sac Ă dos laissĂ© par un Ă©tudiant. Dans sa chute, la couronne roula jusquâaux pieds du policier, qui la ramassa avec un air sĂ©vĂšre.
Quelques heures plus tard, dans une cellule de dĂ©tention provisoire, Kylian, assis sur un banc en mĂ©tal, se demandait comment il avait pu en arriver lĂ . Le plan paraissait si parfait dans sa tĂȘteâŠ
La porte de la cellule sâouvrit soudainement, laissant entrer un homme en costume. CâĂ©tait @Nehoc , le prĂ©sident de la FFF, qui secouait la tĂȘte, agacĂ©.
Et câest ainsi que Kylian fut libĂ©rĂ©, et lâaffaire Ă©touffĂ©e grĂące Ă Jean Lassalle qui ne voulait pas que lâimage du pays soit Ă©corchĂ©e ou salie Ă cause dâun petit conâŠ
Câest un jour spĂ©cial aujourdâhui. La Coupe du Monde approche Ă grands pas, mais aujourdâhui, lâambiance est plus dĂ©tendue : câĂ©tait la journĂ©e de visite des familles. Les joueurs nâont pas entraĂźnement ce matin pour accueillir leurs proches, enfants, parents⊠Pour ma part, câest ma femme, mon fils, ma mĂšre, mes deux frĂšres ( @CaptainAmericka et @Pikouse ), ainsi que mon beau-frĂšre et mari de Pikouse, @Armada , qui sont venus me rendre visite.
Aline, ma femme, Ă©lĂ©gante et charismatique, attire tous les regards. Elle a ce charme discret et une classe naturelle qui fait tourner quelques tĂȘtes, mĂȘme parmi les joueurs. Certains dâentre eux, malgrĂ© leur professionnalisme sur le terrain, ne purent sâempĂȘcher dâĂȘtre un peu plus⊠intĂ©ressĂ©s.
Christopher Nkunku, bien connu pour ses talents de sĂ©ducteur, sâapproche dâAline, un sourire en coin, une coupe de champagne Ă la main.
« Eh bien, Aline, toujours aussi resplendissante ! Vous avez un secret ? » demande-t-il.
Aline sourit poliment. « Merci, Christopher. Mais je crois que ce sont plutĂŽt vos cheveux coiffĂ©s Ă©trangement qui me volent la vedette aujourdâhui. »
Surpris, Christopher repartit sans dire un seul mot.
Leny Yoro sâapprocha Ă son tour dâAline comme un homme en mission. « Madame Toopil, je dois vous dire, câest un honneur dâavoir la plus belle femme de France ici, parmi nous. Votre mari est un homme chanceux⊠Mais si jamais il fait une erreur, vous savez qui appeler. »
Il ponctua sa phrase dâun clin dâĆil si large que mĂȘme les autres joueurs lâaperçurent. Aline, amusĂ©e, joue le jeu. « Ah, Leny⊠Toujours aussi charmeur. Mais je crains que vous ne soyez pas de taille face Ă mon mari ! »
Leny leva les bras. « Ah, jâai essayĂ© ! Mais sachez que je suis toujours dans les parages, au cas oĂč. »
Au moment oĂč jâarrive, Leny est un peu pris au dĂ©pourvu.
AprÚs le repas, je dis à mes joueurs « Fin de la récréation. Les joueurs sur le terrain, les familles en tribunes! »
Aline sâapproche de moi et me murmure: « Tu sais, tu as vraiment une Ă©quipe⊠unique. »
Je hausse les Ă©paules. « Câest peut-ĂȘtre des clowns parfois, mais tant quâils gagnent, je les garde. »
Aline sourit. « Et moi aussi, je te garde. Ils ne sont mĂȘme pas Ă ta hauteur je suis sĂ»r, sexuellement parlant.»
Quand elle dit ça, son regard pĂ©tille. Je demande Ă mon adjoint de gĂ©rer lâĂ©chauffement et jâemmĂšne Aline dans le vestiaire. Elle commence dĂ©jĂ Ă dĂ©boutonner son jeans. Alors que je mâapprĂȘte Ă ouvrir la porte du vestiaire, celle-ci sâouvre avant que je touche la poignĂ©e et Guillaume Restes en sort en disant: « DĂ©solĂ© coach, je suis en retard! » Et il file en courant.
Je hausse les Ă©paules et nous rentrons dans le vestiaire qui est dans le noir.
Alors que ma femme enlĂšve son haut, jâentends une voix qui me dit « Attendez que je sorte avant de commencer! »
Pris de peur, jâallume la lumiĂšre et je dĂ©couvre⊠ma mĂšre complĂštement nue et transpirante.
moi: "Maman, non⊠Tu nâas pas⊠Haaa, non, je ne veux pas y penser!
ma mĂšre: « Il faut bien que je prenne du bon temps, mon chĂ©ri. Et tu sais, sâil est aussi performant sur le terrain que sur mon gazon intime, tu vas gagner la Coupe du Monde! »
Et elle sorti aprĂšs mâavoir pincĂ© la joue.
DĂ©goĂ»tĂ© par cette scĂšne, on retourne avec ma femme sur le terrain sans avoir rien fait. Je repris en main lâentraĂźnement en nâoubliant pas de demander Ă Guillaume de me faire 1h de tours de terrain. Il sâĂ©puisera loin de ma mĂšre au moinsâŠ
NDLR: Exceptionnellement, pas de match dans ce post sinon il aurait été beaucoup trop long. La suite postée trÚs prochainement.
Ă suivreâŠ