FM26 : Un minot consultant, plus que consulté
AVANT-PROPOS
Bonjour à tous chers membres du forum FMSLife.
J’ai eu la joie de suivre ponctuellement vos parties sur Football Manager 2024 tout en poursuivant les miennes de mon côté. J’ai pris beaucoup de plaisir également à poursuivre des parties sur le dernier opus de FM. Pour cette raison, je n’avais qu’une hâte, c’était la sortie de Football Manager 26. FM pour moi, c’est une évasion de la réalité, un jeu qui me permettait de créer des histoires, de penser « foot business », « data », « reconstruction » sans penser à la vie réelle, je « déconnectais » à travers mes parties en solo. Plus jeune, (j’ai bientôt 28 ans), j’aimais m’immerger dans des mondes plus ou moins futuristes comme ceux de Metal Gear Solid, Fallout, Resident Evil ou encore Skyrim à moindre échelle. J’aime que l’on me raconte des histoires, j’aime qu’on me les raconte bien, quel que soit le degré de liberté qu’on me laisse à vivre mon aventure virtuelle, l’essentielle est de raconter une histoire qui me procure des émotions. Fallout 3 m’a laissé un souvenir impérissable, j’y ai passé d’interminables heures à arpenter ses terres désolées, à y affronter ses super mutants dans un Washington DC plus proche de la ruine que de la civilisation, tout en y découvrant ses secrets et ses mystères (les différents concepts d’abris, le président des Etats-Unis qui parle à la radio depuis le début du jeu n’est… qu’une IA ???). Au fil du temps, au fil des épreuves de la vie, j’ai décroché de plus en plus des jeux vidéos. Je tente en ce moment-même de faire un retour fracassant dans cet univers au travers de certains jeux que j’ai téléchargé sans vraiment m’y mettre, Mafia 4 (j’adore cette licence), Sins of a Solar Empire II (un empire spatial, des flottes, de l’économie, chouette !), ou encore recommencer Fallout : New Vegas que je n’ai jamais eu l’occasion de terminer jadis au contraire d’un Fallout 4 en demi-teinte. Dans cet amas de jeux auxquels je n’arrive plus à jouer plus d’une petite poignée d’heures par mois, Football Manager, au travers de son opus 2024 faisait de la résistance. Je me surprenais à enchaîner les parties, les bases de données, les add-ons, les modifications grâce à l’éditeur de jeu, les heures interminables à arpenter le marché des transferts, mon vrai plaisir du jeu. Pour tenter de jouer des parties plus motivantes pour moi, je créais d’ex joueurs professionnels à la retraite n’étant pas passé par la case entraîneur dans la vie réelle comme par exemple un Marcel Dessailly tentant de redonner son lustre d’antan au FC Nantes ou encore une partie que j’ai beaucoup apprécié avec Jermaine Pennant et Notts County très récemment, ma première partie dans les bas-fonds anglais, à la recherche du moindre attaquant pivot d’expérience pouvant m’amener à déjouer le jeu physique des tréfonds de la quatrième division anglaise (coucou Lee Gregory, la prochaine fois, merci de ne pas prendre ta retraite « au plus haut niveau » en me laissant orphelin de mon attaquant vedette, merci pour ton duo avec Maï Traoré). Mais après deux ans d’utilisation intensive, j’ai remarqué que FM devenait une habitude, bonne ou mauvaise, mais une habitude. Je n’étais plus tant motivé par l’envie de jouer que de reprendre cette habitude, en commençant inlassablement de nouvelles parties, sans jamais vraiment trouver la recette qui allait me faire durer une partie plus de 3 à 5 saisons. Je crois même n’avoir coaché qu’une ou deux fois sans aller très loin, l’Olympique de Marseille, mon club de cœur depuis tout jeune (depuis la lecture d’un OM Magazine avec en photo de couverture un Samir Nasri chaussant des adidas F50, en pleine chevauchée, les traits tirés et titrant « Samir Nasri, tout feu, tout flamme », il n’en suffisait pas plus pour susciter ma curiosité). Au final, je crois bien que je cherchais un second souffle. Adepte des jeux narratifs, j’aurai aimé un jeu plus immersif avec plus d’idées et améliorant un jeu de base déjà très inspiré et quasiment « parfait ».
J’en attendais beaucoup de Football Manager 26.
C’est avec empressement que j’ai précommandé le jeu le jour de la sortie de la Bêta, attendant fébrilement sa sortie, guettant les réactions sur Reddit, FMS Life et autres sites, relisant inlassablement les guides « quel club choisir sur FM26 ».
Quelle désillusion.
Je m’attendais à un jeu plus immersif que jamais, corrigeant les défauts de l’opus 24 et en étant plus immersif que jamais. Je me suis retrouvé face à un jeu froid, intégrant certaines idées appréciables (création du manager) mais à l’UI hasardeuse blablabla…
Cela fait plusieurs jours que je gamberge, j’ai débuté ma première partie avec Everton, donné la priorité au remboursement colossal de la dette du club, 4ème du championnat à mi-Novembre malgré quelques défaites notamment face à un Manchester United essouflé en milieu de tableau, un recrutement malin et peu cher après-vente des clauses de transferts (Salih Ozcan, Tyrell Malacia, Donyel Mallen en prêt, Abakar Sylla… des jeunes promus en pro).
Mais voilà, l’expression qui définit le plus mon expérience de jeu actuellement c’est OSEF.
Alors j’ai envie de puiser dans mon enfance, dans mes premières parties de FM2007, dans ce Samir Nasri « tout feu, tout flamme » et dans mes hobbies d’antan pour raviver ce feu intérieur alimenté par un processeur et d’une carte graphique : j’ai toujours aimé voir adoré lire et écrire.
Serait-ce suffisant pour redonner vie ou un supplément d’âme à ce FM 26 qui m’inspire ennui et contrariété à un moment où j’avais besoin de réconfort et d’amour ? (j’en fais trop ? XD).
Me voici de retour devant mon écran, à gratter du texte plutôt qu’à cliquer 5 fois plutôt qu’une sur FM26, devant cette bêta portant bien son nom. Prêt à me donner un second souffle en attendant peut-être que SI se décide à rendre l’UI modifiable via les traditionnels Skins plus immersifs et d’add-ons me permettant de reconstruire Bordeaux ou le Red Bull Tourette-Levens.
INTRODUCTION
Samir Nasri a fait ses premiers pas de footballeur à la JS Pennes-Mirabeau de 1993 à 1995 avant d’être repéré par l’Olympique de Marseille où il intégrera les équipes de jeunes jusqu’en 2004 où il sera lancé par José Anigo alors entraîneur de l’OM contre Sochaux. Son toucher de basse, sa vista et capacité à dicter le jeu et de percussion évoquent chez certains Zinédine Zidane, Nasri est victime du même syndrome que Camel Meriem, Yoann Gourcuff ou encore Marvin Martin. En 2008, il sera repéré par Arsène Wenger qui débourse 16 millions d’euros pour l’enrôler à Arsenal chez qui il progresse et s’impose comme un élément clé du milieu de terrain des Gunners. Sa saison à 10 buts en 2010-2011 confirme sa maturité chez les Baby Gunners et Samir Nasri attise les convoitises Outre-Manche. Il décide cependant de céder aux sirènes de Manchester City à l’été 2011, contre un meilleur salaire et se mettant à dos les supporters des Gunners jusqu’à Gary Neville qui n’hésitera pas à le comparer à un « cancer » pour l’ambiance d’un vestiaire. Il rejoint les Citizens contre un chèque de 27,5 millions d’euros. Nasri brille lors de sa première saison à Manchester City et il contribue grandement au premier sacre de champion d’Angleterre du club en 2012 avant de confirmer d’un but le second sacre du club anglais en 2014 avant de peu à peu voir son temps de jeu diminuer ainsi que son influence au sein du club, la faute aux blessures et à la concurrence féroce chez les Citizens. Il évoluera par la suite en prêt lors de la saison 2016/2017 au FC Séville, expérience mitigée qu’il ne renouvellera pas puisqu’il s’envole ensuite de Manchester vers la Turquie à Antalyaspor contre un chèque de 3,5 millions d’euros. A 30 ans déjà, Nasri est sur le déclin et son avenir sportif plus qu’incertain se fige par la suite en raison d’une suspension d’un an loin des terrains de football pour une sombre histoire d’injection vitaminée jugée non conforme par l’UEFA. Cela « brise » son lien avec le football selon ses propres mots. Il tente vainement un retour à West Ham en 2019, un passage éclair de quelques mois lors duquel son corps ne suit plus avant de tenter à nouveau un retour du côté d’Anderlecht alors sous les ordres de Vincent Kompany, en vain puisque la crise pandémique aura raison de cet nouvelle aventure. Il prend alors sa retraite définitive le 26 Septembre 2021 et entame une nouvelle carrière de consultant sur les plateaux de télé et ambitionne de devenir entraîneur.
Sa carrière sera émaillée d’épisodes extra-sportifs lui donnant une réputation sulfureuse, son fameux « chut » aux médias en Equipe de France de Football, son altercation avec William Gallas, son ex-coéquipier en sélection et chez les Gunners ou encore sa compagne qui insulte le sélectionneur de l’Equipe de France. Il n’aura également remporté aucun trophée majeur avec son club formateur de l’Olympique de Marseille.
Après avoir donné des avis tranchés en tant que consultant et raconté en long en large et en travers ses expériences de vestiaire lors d’interviews et podcasts, Samir Nasri envisage désormais un retour dans le monde du football en tant qu’entraîneur après avoir effectivement réussi ses examens et obtenus les qualifications nécessaires auprès des instances de football mondiales.
Ma story va donc s’incarner au travers de la carrière d’entraîneur de Samir Nasri, mon joueur préféré étant plus jeune avec André Ayew (avant de mûrir et d’apprécier davantage Steve Mandanda). Pour ce faire, je vais me tourner vers les championnats européens majeurs dans lequels Samir Nasri a évolué ou non ( France, Angleterre, Allemagne, Italie, Portugal, Pays-Bas, Turquie ainsi que la MLS en jouable et 2 à 4 championnats secondaires non jouables (je joue sur un PC Portable Asus Zenbook 14. J’aimerai pour se faire vous laisser décider du club de départ de Samir Nasri ou de l’éventualité de commencer sans club, son coaching badge ou encore de discuter de ses caractéristiques d’entraîneur. Je vais y travailler de mon côté également, j’ai envie que cette story soit une story au long cours, avec un rythme de parution toutes les semaines ou toutes les deux semaines en fonction de mon avancée dans ma partie et de mon intérêt pour celle-ci bien que je mise beaucoup sur cette save. J’aimerai également découper cette story en « épisodes » plutôt qu’en « saisons » mais je me déciderai ultérieurement sur cette éventualité. Je prends donc le temps de vous consulter sur cette partie tout en sachant que j’aurai aimé commencer par les équipes de jeunes de l’Olympique de Marseille mais j’ai cru comprendre que ce n’était pas possible sur cet opus de Football Manager 26.
Pour le vote de carrière vous pouvez voter d’une à cinq fois pour le choix de club et de division et d’une à deux fois pour le vote de badge.
- Olympique de Marseille
- Arsenal
- Manchestery City
- Antalyaspor
- West Ham United
- Anderlecht
- Sans Club
- Un club de MLS
- Autre club (soumettre vos propositions)
- 1ère division
- 2ème Division
- 3ème Division
- 4ème Division
- France
- Etranger
- Diplôme Continental A
- Diplôme Continental B
- Diplôme Continental C
- Diplôme National A
- Diplôme National B
- Diplôme National C


































