:storyred: :S12: Touché en plein coeur (terminée)

Hartley :black_flag:󠁧󠁢󠁳󠁣󠁴󠁿

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Steven Pressley (Vidéo youtube du joueur)

Je reste sur Pressley pour le voir mettre un pédigrée à la Triple H à Eddie May l’entraineur d’ Hibernian lors du derby d’Edimbourg.

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ça y’est j’ai le zizi tout dur :fap3:

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J’aime bien le profil de Hartley.
Mais à aucun moment je peux favoriser un mec qui est passé par Milwall.

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Craig Levein!

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Surtout depuis la mort de Peter Dunham lors cet affrontement contre Milwall.

Rip Pete, GSE !

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Hearts à Midlothian a nommé son ancien défenseur Steven Pressley comme nouveau manager. Il a signé un contrat jusqu’à la fin de la saison, avec la possibilité pour le club de le prolonger.

« Il nous a impressionnés durant l’entretien et son enthousiasme, pour ce poste qui lui tenait à cœur, nous a vraiment touché », a déclaré la présidente Ann Budge. « Il a pris le temps d’observer l’équipe, les joueurs, et a beaucoup parlé du style de jeu attrayant qu’il aimerait mettre en place. Il a identifié les points forts comme les points faible et sent qu’il peut effectuer un travail ici. Il a déjà hâte de travailler avec le personnel du club et d’obtenir des résultats positifs. »

Pressley a joué plus de 300 matchs pour les Hearts de 1998 à 2006. Il a passé un peu plus de 18 mois en tant qu’adjoint du sélectionneur Ecossais George Burley avant de démissionner en septembre 2009 après la qualification ratée de l’Écosse pour la Coupe du monde 2010.

Il nous explique sa manière de fonctionner :

« J’accumule beaucoup de post-it avec dessus des réflexions ou des inspirations d’autres entraineurs. »

Tel que ?

« Eh bien, aujourd’hui, par exemple, j’ai lu quelque chose sur Marcelo Bielsa et le jeu « assassin » qu’il joue à l’entraînement. C’est un jeu 11v11. Nous parlons toujours de ces entraîneurs étrangers et des choses qu’ils font… mais c’est quelque chose que je fais depuis cinq ans ! Le sujet m’a intéressé alors je l’ai écrit sur un post-it. Je note les conversations que j’ai eues avec des agents ou des joueurs qui m’ont impressionné à l’entraînement ou encore quelque chose que je voudrais dire avant le match. Les joueurs veulent toujours de la cohérence, si vous leur avez dit quelque chose, ils vous le rappelleront toujours. Je vais donc également noter ces conversations. »

À 45 ans, il n’est pas un vétéran de la profession, mais sa carrière variée (il a entrainé 5 clubs dont un à Chypre), ainsi que sa barbe grise, reflètent une certaine expérience. Pressley convient cependant qu’il occupe une profession absurde. Ayant passé de bons moments dans certains clubs, mais aussi vu le couperet tomber brutalement dans d’autres, a-t-il déjà envisagé de chercher une vie plus simple ?

« J’ai essayé… », sourit-il. « Ma mère me dit toujours : tu dois faire autre chose. Mais je ne peux pas. Sois-vous vous adaptez à la gestion du football, vous vous y adonnez à fond, soit vous ne le faites pas. Mais si c’est le cas, c’est une drogue. J’ai connu des périodes de chômage, sans football et je ne pense pas que les gens réalisent à quel point c’est difficile. Lorsque vous êtes un entraineur, vous vivez à chaque instant. C’est un style de vie intense et exigeant, avec une vraie pression. Si vous enlevez ça, il y a un énorme vide dans votre vie. Comment retrouver l’adrénaline de ce sport ? J’ai parlé à des gens comme Andy Hall (officier des médias de son ancien club Carlisle United et ancien soldat) de la vie dans l’armée, où vous faites cela tous les jours, puis ça s’arrête. Vous regardez le taux de suicide des gars de l’armée ou des forces aériennes ? Il est élevé. C’est parce que vous avez cette constante et quand elle disparaît, il peut être impossible de la remplacer. »

Pressley dit que, dans ces moments de vide, il a gardé sa motivation en passant du temps avec sa famille, ce qui est souvent impossible pendant une saison, et, aussi, en voyageant dans d’autres clubs pour apprendre. « Je suis allé en Israël pour voir Steve McClaren. J’ai passé quelques jours avec David Moyes à la Real Sociedad. Même des clubs plus petits, des endroits comme Walsall, pour voir comment tout le monde fonctionne. J’essaie toujours d’apprendre, de m’améliorer. »

La gestion d’une carrière d’entraineur est radicalement différente de celle d’un joueur, et Pressley concède que ses jours où il courait sur un terrain semblent bien loin maintenant. Il est cependant clair que le temps passé dans des clubs tels que les Rangers, le Celtic et, bien sûr, Hearts of Midlothian, a influencé sa nature.

« J’ai été vraiment chanceux d’avoir été formé chez les Rangers », dit-il. « C’était un vestiaire féroce, un vestiaire de gagnants, géré par des entraîneurs vraiment forts. Il fallait se battre pour sa place et gagner tous les jours, même à l’entrainement. Être ici a été un très bon apprentissage. Sur les six ou sept jeunes de mon groupe, j’étais probablement celui qu’ils attendaient le moins, mais je suis le seul à avoir convaincu parce que j’avais une réelle détermination. J’ai beaucoup travaillé sur mes faiblesses. Archie Knox m’a fait faire 100 têtes par jour. Je n’aurais jamais eu de carrière sans des gars comme Archie Knox. En tant que jeune joueur, je devais nettoyer 15 paires de chaussures par jour. Je suis aussi presque devenu le chauffeur personnel d’Archie et j’ai dû nettoyer sa voiture mais je sais qu’il a fait ça pour me former. Quand j’étais entraîneur à Coventry, j’ai demandé aux jeunes joueurs comme Callum Wilson ou James Maddison de faire la même chose et, quand je suis parti, leurs parents m’ont remercié. Je n’allais pas apprendre à James comment faire une passe, car il avait un talent incroyable mais je pouvais l’aider à comprendre ce qu’il fallait pour être footballeur, les valeurs qu’il fallait avoir. »

Steven Pressley met un point d’honneur à apprandre aux joueurs ces valeurs afin que cela se ressente hors et sur le terrain. Souhaitons-lui bonne chance dans son nouveau défi.

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Déçu. Mais je suivrais quand même :grin:

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Voyons ce qu’il va faire avec les Heart.

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Alors moi ça me parle avec Steven, j’imagine déjà sa première discussion avec Edie May, son coach rival. J’aime bien l’histoire !

Steven :" Enchanté Edie may!"
Edie : " Moi aussi Monsieur, Pressley !"

Edie : " Haaaaaaaa! Wtf???! Pourquoi vous me touchez les burnes ?
Steven : " Vous connaissez pas la blague ? Vous m’avez dis Pressley… Je les ai pressé Edie"

Désolé pour cette blague pourrie, je m’y sentais obligé… A force de faire un récit breton je lâche des vannes pourries :joy:

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Le choix du capitaine? :thinking:

Si c’est ça, j’adore Naismith mais je mets une pièce sur Christophe Berra défenseur d’expérience et puis il ressemble à mon cousin donc bon… :sweat_smile:

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Naismith

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Idem pour moi le choix Naismith me paraît le plus judicieux

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Naismith pour moi aussi. Mais vu que tu m’as donné sur les posts précédents.:eyes:

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L’international Irlandais, âgé de 33 ans, a rejoint le club en tant que joueur après l’expiration de son contrat avec Bradford City.

Né à Cork, il a commencé sa carrière professionnelle à Birmingham City en 2003 avant d’être prêté à Chester City, Nottingham Forest et Millwall.

Après avoir disputé 14 matchs avec Millwall sur la saison 2005-2006, Colin est retourné à Birmingham City et a joué 22 fois avec l’équipe première.

Puis, il est transféré à Blackpool en 2015. Là, il s’impose comme le n° 1 et fait 35 apparitions.

En 2015, Bradford City paie la clause libératoire de Doyle. Il s’y impose, jouant un total de 88 apparitions sur deux saisons.

Il signe au Heart of Midlothian le 19 juillet 2018 pour un contrat de 2 ans.

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Le capitaine du club s’est fait un nom à Tynecastle avec ses débuts en équipe première en 2003. Il est devenu un pilier de l’équipe Hearts et a reçu le brassard de capitaine en 2007.

Ses performances ont attiré l’attention et en janvier 2009, Christophe a signé au Wolverhampton Wanderers.

Il a aidé les Woves à obtenir leur promotion en Premier League et a passé trois saisons à jouer régulièrement dans l’élite, avant que l’équipe des Midlands ne soit reléguée en 2012.

Après plus de 150 matchs pour les Wolves, Christophe a signé pour Ipswich Town en 2013. Le défenseur y a passé quatre ans, accumulant 185 apparitions et marquant 14 buts.

À l’été 2017, Christophe revient chez les Hearts, signant un contrat de trois ans et récupérant le brassard de capitaine.

En décembre 2018, le défenseur atteint les 200 matchs pour le club, ce qui en fait le 74e joueur du club à atteindre ce chiffre. Un mois plus tard, il signe une prolongation de contrat d’un an jusqu’en 2021.

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Peter Haring, 25 ans, a signé un contrat de deux ans à Tynecastle en juin 2018, après l’expiration de son contrat chez le SV Ried.

Le grand Autrichien a commencé sa carrière au Rapid Vienna avant de signer deux ans en 2015 au SC Austria Lustenau.

En 2017, il est transféré au SV Ried et les a aidés à terminer quatrième, à un point des barrages.

Après son arrivée à Tynecastle, il est rapidement passé d’un poste de défenseur central à celui de milieu de terrain centre et a terminé sa première saison en tant que troisième meilleur buteur du club avec sept buts.

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Sélectionné 49 fois pour l’Écosse, l’attaquant de l’Ayrshire a commencé sa carrière à Kilmarnock avant de gagner plusieurs trophées avec les Rangers entre 2007 et 2012. En 2012, il se dirige vers le nord de l’Angleterre et Everton.

Après quatre saisons chez les toons, il rejoint Norwich City pour 8,5 millions de livres sterling.

L’attaquant écossais a rejoint les Hearts pour un prêt de 1 an pour la saison 2018-2019 et s’est révélé être un joueur très populaire auprès des supporters. Malgré plusieurs blessures, il a terminé meilleur buteur du club avec 14 buts en 27 apparitions.

Il a définitivement signé au Heart of Midlothian en 2019.

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Ils sont tous passé par Millwall ou quoi ?

Colin Doyle !

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