Petit résumé de cette partie avec les grecs du Panathinaikos. J’incarnerai l’ancien Champion d’Europe de 2004 et arrière droit du club, Giourkas Seitaridis.
A la dérive financièrement et sportivement parlant, je souhaite faire du Panathinaikos, le club le plus titré du championnat.
Pour m’aider sur cette lourde tâche, je serai secondé par Giorgos Karagounis, que j’ai nommé directeur sportif à la place de Pierre Dréossi.
Objectifs de la partie
- Devenir le club le plus titré du championnat (Olympiakos 45) - Recruter uniquement des joueurs Grecs, Chypriotes, Albanais et Macédoniens - S’appuyer sur le Centre de Formation - Remporter une coupe d’Europe - Ne jamais quitter le club
Panathinaikos AO
Championnat
Super League Interwetten
FONDATION
1908
STADE
Stade Apóstolos Nikolaïdis, 16 003 Places
PROPRIÉTAIRE
Giannis Alafouzos
ENTRAINEUR
Giourkas Seitaridis
DIRECTEUR SPORTIF
Giorgos Karagounis
Championnats
20 (dernier Championnat en 2010)
Coupes de Grèce
18 (dernière Coupe en 2014)
Niveau de réputation (2020)
Histoire du Panathinaikos AO
C’est en 1908 qu’est fondée la section football du club omnisports de Panellinios, le Panathinaikos FC, dont le palmarès est le deuxième du football grec derrière celui des rivaux de l’Olympiacos CFP.
D’abord appelé Athens FC puis Panellinios Podosfairikos Omilos, le club prend son nom actuel en 1924. Il remporte sa toute première compétition, en s’adjugeant la Panthessaliki Games Cup. Au cours des premières années, les buts du Panathinaikos sont gardés par le talentueux athlète Costas Tsiklitiras. Ce dernier remporte l’or au saut en longueur et le bronze au saut en hauteur lors des Jeux Olympiques de 1912. Malheureusement, il décède à 25 ans, des suites d’une méningite pendant la guerre des Balkans.
Durant les années 20, avec la mise en place de compétitions régulières de football en Grèce, le Panathinaikos commence sa moisson de succès. Ils jouent alors au stade Leoforos, qui allait être rebaptisé Apostolos Nikolaidis, joueur du Panathinaikos des premières années et qui allait devenir président du club par la suite. Ils dominent le nouveau championnat d’Athènes durant cette décennie, et remportent la seconde Ligue nationale hellénique en 1929/30.
Les vingt années suivantes voient le Panathinaikos s’affirmer comme un des plus grands clubs grecs, bien qu’il attende la saison 1948/49 pour remporter un nouveau titre de champion. Au cours des années 50, l’Olympiacos continue de faire de l’ombre au club, mais dès l’apparition du professionnalisme au cours de la saison 1949/50, le Panathinaikos remporte quatre championnats en cinq ans sous la houlette de l’entraîneur Antonis Mantzavelakis. L’Anglais Harry Game est le successeur de Mantzavelakis de 1960 et 1963, et lui-même cède sa place à Stefan Bobek, un des pionniers du 4-3-3.
Ensuite, Lakis Petropoulos devient entraîneur pour ce qui allait être la plus grande période de réussite du club, qui remporte son premier doublé coupe-championnat lors de la saison 1968/69. En 1971, le Panathinaikos accède à la finale de la Coupe des clubs champions, s’inclinant finalement à Wembley contre l’AFC Ajax. Par la suite, le « Pana » se dispute la suprématie nationale avec l’Olympiacos et prend le dessus au milieu des années 80, époque qui le voit atteindre les demi-finales de la Coupe des clubs champions en 1985 et de la Coupe UEFA 1987. La domination du Panathinaikos FC est indiscutable aussi au milieu des années 90, lorsqu’il remporte sa troisième Ligue nationale hellénique de rang en 1994/95 et atteint le dernier carré de l’UEFA Champions League la saison suivante.
Bien que sevré de titres depuis 1996 par l’Olympiacos, le Panathinaikos FC continue de surprendre en Champions League. Lors de la saison 2001/02, des succès contre de prestigieuses équipes comme l’Arsenal FC et le Barcelona FC ouvrent aux Grecs la porte des quarts de finale. Le Panathinaikos semble bien placé pour reconquérir le titre national l’année suivante. Or, une sévère défaite 3-0 contre l’Olympiacos lors de l’avant-dernière journée offre le championnat sur un plateau au club rival, que ce dernier allait conserver grâce à la différence de buts particulière
Et cette victoire contre la Roma en Europa League (avec Govou, Boumssong, Plessis).
Club en perdition, excepté cette année (champion en championnat) et premier, à égalité, avec l’AEK. A voir ce que ça va donner.
Avec un recrutement assez limité (grecs, chypriotes, macédoniens et albanais), il n’y aura pas de nouveau Cissé mais il y a quelques pépites à aller chercher.
Je fais le tri progressivement avec le départ des gros salaires, même si la saison était bonne (A.Xavier, Carlitos, Macheda…). A ce jour, j’ai uniquement que des grecs, quelques albanais et un chypriote.
J’ai même fait quelques matchs avec des 11 composés uniquement de joueurs formés au club. J’ai actuellement 2 regens suivis par Liverpool et Paris. Par contre, les clubs du Golf souhaitent m’acheter tout l’effectif.
L’Europe, c’est chaud n’empêche. Contre Chelsea, 4-0 d’entrée à domicile et un retour entre le Paok et l’Olympiakos. Donc un retour avec une équipe bis, assez jeune car la priorité était ailleurs.
Cependant, je suis content d’être sorti des poules, mais si je veux aller loin sur la scène européenne, je dois d’abord passer par l’Europa League ou la Conférence League. Je n’ai absolument pas le niveau actuellement pour aller plus loin que le 1er tour. Surtout quand tu finis deuxième d’une poule et que tu as Paris, ManC, Barcelon, ManU, Chelsea et le Bayern. Le seul espoir restait Séville, et encore, ils se sont faits sortir en quart de finale.
En championnat, les matchs de Poules ont été chauds à gérer. Trop d’avance et des enchainements de blessures sur les mêmes postes.
J’ai 5 points d’avance à deux journées de la fin puis je perds contre Volos. Une chance que l’Olympiakos ne fait que match nul contre Tripolis en même temps, sinon la dernière journée aurait été galère et de tous les dangers contre l’AEK.
Le gros point positif, j’ai prêté Angeles Tsingaras à Tripolis. Le mec fini, à 19 ans, meilleur buteur du championnat (et c’est lui qui égalise contre l’Olympiakos).
En tout cas, je vais devoir faire des choix en attaque et au milieu. J’ai 4 attaquants pour 2 places et 10 milieux pour 4 places… Tactiquement, je suis passé en 4231 pour finir la saison, mais avec mes 2 ailiers droits de blessés.
J’ai du faire monté le jeune Ioulios Kouiroukidis, 16 ans (gros potentiel et il plante lors de la finale) et titulariser de temps en temps Dionysis Vlachos, un arrière droit, capable de jouer aussi au milieu et comme ailier, qui mériterait d’être prêté, au milieu (car trop lent pour les cotés) pour plus de temps de jeu (12 apparitions, 7 titularisations pour 1 passe dé.).
A moi d’être moins sentimental, car j’ai la fâcheuse tendance a ne pas aimer vendre des joueurs qui font partis de la base de cette Histoire.