

C’est un coup de tonnerre sur la planète football. Après être entré au conseil d’administration, Tony Parker va bien diriger la holding de l’OL. Jean-Michel Aulas continuera à exercer mais délèguera une majorité de ses missions liées à la stratégie de développement d’OL Group à l’ancien basketteur français.
TP souhaite étendre le savoir-faire de la formation à la lyonnaise pour développer une pépinière de jeunes talents internationaux. Pour cela, il souhaite s’implanter dans plusieurs pays européens puis internationaux. Le but n’étant pas de faire du trading mais construire une identité OL autour notamment de la formation et du jeu spectaculaire. Il est évident qu’une réussite économique doit subsister de ce modèle permettant d’accélérer le processus de développement du Group. Ce modèle doit mettre en avant l’Olympique Lyonnais qui est au sommet de la pyramide qui s’inspire du modèle Red Bull ou encore du City Football Group. Un système de passerelles s’établira entre les différentes équipes afin que les joueurs puissent évoluer au niveau leur permettant une meilleure progression.
Pour cela, OL GROUP est devenu actionnaire majoritaire des clubs ci-dessous.
La refonte des staffs est la première mission à accomplir pour Tony Parker. A partir du mercato d’hiver et de la saison 21-22, il s’agira de construire les effectifs en lien avec la stratégie globale.
L’Olympique Lyonnais court depuis quelques années après son glorieux passé. Après une période faste dans les années 2000 et notamment 7 titres de champion consécutifs, le club peine à s’imposer comme un mastodonte sur le plan national et comme un très grand d’Europe.
Bien sûr, Jean-Michel Aulas a bâtit toute une structure autour du club, lui permettant d’envisager l’avenir sereinement :
-Des structures de formation parmi les meilleures d’Europe
-Un stade 2.0 flambant neuf (le fameux outil connecté)
-Un centre d’entrainement moderne
-Une entrée en bourse
-Des réseaux forts sur tous les continents
Cependant, les rêves du plus grand président du football français tardent à se réaliser. En effet, les années passent et l’OL devient un club européen moyen, se qualifiant parfois avec difficulté pour la LDC et jouant l’Europa League. Les observateurs relèvent toujours de l’inconstance sur le terrain malgré que quelques coups d’éclats soient possibles.
L’arrivée de Juninho à l’aube de la saison 2019-2020 a été une révolution parmi d’autres. Il s’agissait d’une des pierres à l’édifice du président qui prépare son départ depuis quelques années en tentant de structurer l’organigramme du club qu’il à bâtit. Juninho a été conforté par Tony Parker qui souhaite s’appuyer sur ses idées bien plus que celles de Gérard Houiller notamment.
Après une 7e place synonyme de première saison sans coupe d’europe depuis les 28 dernières années, Juninho a pris la décision de démettre Rudi Garcia de ses fonctions malgré les avis défavorables de Gérard Houiller et Vincent Ponsot étant eux satisfaits par l’épopée du Final 8 à Lisbonne l’été dernier.
Les rumeurs vont bon train, mais il est en réalité plus compliqué qu’il ne le semble de débaucher un technicien libre sur le marché, surtout pour remettre l’équipe sur de bons rails:
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Le retour de Rémi Garde est evoqué par les supporters qui ont fait une croix sur les entraineurs sous contrat (Favre, de Zerbi, Rose ou encore Gallardo). -
Laurent Blanc est toujours à la recherche d’un projet, notamment après son dernier entretien avec la direction de l’OL. -
L’ancien capitaine du club, Cris, aurait également une carte a jouer. En effet, actuellement en poste au GOAL FC (N2), ce dernier pourrait être propulsé à la tête de l’équipe de son cœur malgré une experience mitigée avec la réserve il y a quelques années. -
Jocelyn Gourvennec ferait le forcing pour convaincre le board rhodannien qu’il a les épaules pour le job. -
Gerald Baticle se sentirait confiant à l’idée de prendre les rennes de l’équipe.
- 1 - Rémi Garde
- 2 - Laurent Blanc
- 3 - Cris
- 4 - Jocelyn Gourvennec
- 5 - Gerald Baticle
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