:storygreen: :s23: đŸ‡”đŸ‡č :fpf: :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Bah c’est la marque des plus grands


thirsty hamster GIF

Quoi, il me reste quelque chose dans le coin de la bouche ?

Ahem
 :sac:

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@FC_Guimaraes

@Rhino c’est pas encore fait mais oui on va chialer :sadpepe:

@CaptainAmericka c’est le jeu certains vont partir d’autres vont rester :wink:

@VertPourToujours jusqu’a prĂ©sent j’ai eu relativement de la chance niveau newgen du coup j’ai pas trop de trou hormis sur les latĂ©raux gauches.

@celiavalencia ravi que cela te plaise :wink: J’ai dĂ©jĂ  goutĂ© aussi et je suis pas trop fan.

@gwendil35 t’es coquin mon salaud :hoho:

- Les Adieux de l’Aigle -

Le ciel de Viana do Castelo avait ce goĂ»t d’étĂ© qui n’en finit jamais tout Ă  fait. Les cigales criaient plus fort que les moteurs de scooters, et l’air sentait le sel, le soleil, et les saisons qui changent. AnĂ­bal GuimarĂŁes, de retour de ses vacances mexicaines, avait repris ses habitudes avec une prĂ©cision presque militaire : levĂ© Ă  six heures, cafĂ© noir sans sucre Ă  la main, il arpentait les abords du centre d’entraĂźnement comme un gĂ©nĂ©ral en inspection. Les premiers jeunes reprenaient le travail sous le regard attentif des adjoints, tandis que le staff technique redĂ©ployait les routines, les protocoles, les exigences.

C’est alors qu’il l’aperçut.

Diogo Vieitas, sac Ă  l’épaule, casquette vissĂ©e sur le crĂąne, traversait la cour en direction du bĂątiment administratif. Il avait ce sourire un peu timide de ceux qui savent qu’ils reviennent une derniĂšre fois, non pas pour rejouer, mais pour tourner la page proprement.

Dans ses bras, un carton contenant une dizaine de maillots rouge et bleu floquĂ©s du Crystal Palace FC. À l’intĂ©rieur, chacun des salariĂ©s du club — de la buvette Ă  l’intendance — avait droit Ă  son exemplaire, soigneusement dĂ©dicacĂ© Ă  la main. C’était son geste. Une maniĂšre de dire merci, sans faire trop de bruit. Comme il l’avait toujours fait.

Le regard d’Aníbal croisa celui de son ancien gardien. Aucun des deux ne sembla surpris.

Je savais que je te verrais, dit le coach, un demi-sourire au coin des lĂšvres.

Je pouvais pas partir comme un voleur, rĂ©pondit Diogo en s’approchant. Pas aprĂšs tout ça.

Un silence, juste le vent dans les pins, les cris d’un U19 qui venait de rater un contrîle à l’entraünement.

Tu vas leur manquer, tu sais, reprit AnĂ­bal en croisant les bras. À eux. À nous. MĂȘme Ă  moi.

Diogo baissa un instant les yeux, comme s’il cherchait ses mots entre les cailloux de l’allĂ©e.

Je voulais m’excuser, mister. Pour
 la fin de saison. J’ai mal rĂ©agi. J’ai explosĂ©. Et j’ai pas mesurĂ© le poids que mes mots pouvaient avoir. C’était pas contre toi, c’était


Il soupira.

C’était juste la frustration. L’envie de bien faire. Et de pas me sentir mis de cĂŽtĂ©, lĂ , Ă  ce moment-lĂ . Mais t’as tenu ta parole. Tu m’as laissĂ© partir. Et ça, je l’oublierai jamais.

AnĂ­bal hocha lentement la tĂȘte. Il le connaissait trop bien. Depuis qu’il avait 17 ans, depuis ce premier match un soir d’hiver en Liga Sabseg, quand il l’avait jetĂ© dans le grand bain sans le prĂ©venir. Il savait ce qu’il valait. Pas seulement comme gardien. Mais comme homme.

Tu n’as pas Ă  t’excuser, Diogo. Ce club, cette ville
 ils t’ont forgĂ©. Mais ils t’ont aussi mis une pression que peu auraient supportĂ©e. Tu as donnĂ© sept ans de ta vie Ă  Vianense. Deux cent cinquante et un matchs. Des titres. Des parades qui nous ont sauvĂ© la peau. Et une loyautĂ© que je n’oublierai jamais.

Le jeune homme releva la tĂȘte, Ă©mu. Les mots d’AnĂ­bal avaient ce pouvoir-lĂ  : ils allaient droit au cƓur, sans dĂ©tour, sans enjoliver.

Je vais te dire un truc, Ani. Il y a sept ans, t’as Ă©tĂ© le seul Ă  croire en moi. Personne ne me connaissait. J’étais un gamin qui doutait de tout. Et toi t’es arrivĂ© et tu m’as dit que j’étais prĂȘt. Je l’étais pas. Mais grĂące Ă  toi, je l’suis devenu.

Un silence plus lourd tomba entre eux. Mais il n’était pas pesant. Il Ă©tait plein de respect. De ces silences qui parlent mieux que les mots.

Diogo reprit :

Je pars aujourd’hui. Mais je pars avec Viana tatouĂ© sur la peau. Et j’espĂšre
 j’espĂšre qu’un jour, dans dix ans, peut-ĂȘtre moins, je reviendrai. Pour finir lĂ  oĂč tout a commencĂ©.

AnĂ­bal sourit enfin, franc, large. Il posa une main sur l’épaule de son ancien portier.

La porte sera toujours ouverte. Et la clé sera toujours sous le pot de fleurs, à droite de la buvette.

Diogo Ă©clata d’un rire sincĂšre, celui qu’on lĂąche rarement dans les vestiaires. Il fit un pas en arriĂšre, regarda une derniĂšre fois le centre, les terrains, les murs couverts de photos, et lança d’une voix un peu brisĂ©e :

Merci pour tout, mister. Je vous dois ma carriĂšre.

Va leur montrer, Diogo. Crystal Palace n’est qu’un dĂ©but.

Et sur ces mots, le gardien tourna les talons, le cƓur lourd, mais l’ñme lĂ©gĂšre. Il partait. Mais il ne quittait rien. Il emportait Viana avec lui.

Un dĂ©part. Une promesse. Et l’éternitĂ© gravĂ©e entre deux hommes.

- - - Diogo
Vieitas - - -
Âge
24
Nationalité :portugal: Portugais
apparitions 251
buts encaissés 242
clean sheets 90
ANNEES CLUB :groot_played: :groot_conceded: :groot_saved:
:portugal: 36/39 [U19] :vianense: SC Vianense 19 11 12
:portugal: 36/39 [B] :vianense: SC Vianense B 1 2 0
:portugal: 38/39 :ligaportugal2: [PRO] :vianense: SC Vianense 33 45 9
:portugal: 39/40 :ligaportugal2: [PRO] :vianense: SC Vianense 37 43 13
:portugal: 40/41 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 36 50 11
:portugal: 41/42 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 31 40 9
:portugal: 42/43 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 45 47 16
:portugal: 43/44 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 36 41 13
:portugal: 44/45 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 33 21 18
:portugal: 40/43 :uefa: [U21] :fpf: Portugal U21 9 0 0
:portugal: 43/45 :uefa: [A] :fpf: Portugal 2 2 1
36-45 TOTAL - - - - - 251 242 90
- Chapitre 856 -
- cartas desde Acapulco -
- Chapitre 858 -
Coming SOON - 01/11
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Une trĂšs belle fin entre eux malgrĂ© les derniĂšres tensions. En espĂ©rant pour eux que ce ne soit qu’un au revoir.

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Diogo Veitas devait partir, il a fait son temps à Vianense, et les événements récents vont dans ce sens.
L’histoire se termine de la bonne façon au Portugal. A lui d’écrire un nouveau chapitre sous d’autres cieux :smiley:

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@FC_Guimaraes

@CaptainAmericka oui c’est une belle fin pour une fois un joueur part pas en boudant :sac:

@alexgavi C’est le sens de l’histoire en effet. EspĂ©rons qu’il cartonne, il pourra aider la sĂ©lection.

- L’HĂ©ritier au carrefour de la vie -

Le sable chaud de Copacabana n’avait pas changĂ©. La mer lĂ©chait la plage avec ce mĂȘme tempo Ă©ternel, et dans l’air flottait un parfum d’étĂ©, de sueur salĂ©e et de bonheur simple. Ganso, torse nu, short Nike relevĂ© jusqu’aux cuisses, jouait avec insouciance au foot-volley avec ses amis d’enfance. Les rires fusaient, les gestes techniques enchaĂźnaient les ohhh et les aplausos. C’était un moment suspendu. Un instant volĂ© Ă  la pression du monde.

Puis, soudain, le jeu s’interrompit.

Saldanha, son pĂšre, avança lentement depuis l’escalier de bois qui descendait de leur petite maison d’ItacaraĂ­, tĂ©lĂ©phone toujours en main, visage grave. Il ne dit rien, juste un regard. Ganso le reconnut immĂ©diatement. Ce n’était pas un de ces coups de fil banals du quotidien. C’était l’appel.

Son pĂšre le prit Ă  part, l’éloigna du groupe de jeunes qui riaient encore en arriĂšre-plan.

Fils, c’est tombĂ©. Everton et Vianense ont trouvĂ© un accord. 90 millions d’euros, plus vingt en bonus. Et ton contrat
 six ans, dix millions par an. Net. T’as rĂ©ussi, gamin.

Un long silence. Ganso baissa la tĂȘte. Pas un sourire. Pas une larme non plus. Mais ce silence pesait, comme une chape sur les Ă©paules du garçon devenu homme.

Tu devrais ĂȘtre heureux, non ? hasarda Saldanha, posant doucement une main sur l’épaule de son fils.

Mais Ganso soupira.

Je le suis pas, pai. J’sais pas pourquoi
 j’arrive pas Ă  ĂȘtre heureux.

Il s’assit sur le sable, jambes croisĂ©es, fixant l’horizon brumeux. Son pĂšre s’installa Ă  ses cĂŽtĂ©s, sans un mot. Puis, doucement, Ganso laissa Ă©chapper ce qu’il gardait en lui depuis des jours.

Si je dis oui, c’est la fin d’un chapitre. Je quitte Viana, je quitte
 Ani. Tu sais ce qu’il reprĂ©sente pour moi. Ce qu’il m’a apportĂ©. Il m’a vu grandir. J’avais cinq ans, je courais entre les chasubles quand t’étais son adjoint Ă  Palmeiras. Il m’a offert mes dĂ©buts. Il m’a protĂ©gĂ©. Je
 j’ai peur, pai. Peur de me planter. Peur de ne plus avoir ce regard bienveillant au-dessus de moi. À Viana, je suis Ganso. À Liverpool, je serai juste un autre espoir brĂ©silien qu’on attend au tournant.

Saldanha Ă©couta en silence. Son regard Ă©tait doux, mais ferme. Il avait vu trop de carriĂšres se perdre, mais il savait aussi quand le doute n’était que le reflet d’un attachement profond, sincĂšre, presque filial.

Tu sais, fiston
 Ani t’a donnĂ© des ailes. Il t’a appris Ă  voler. Mais un jour, tout oiseau quitte le nid. Ce n’est pas une trahison. C’est la suite logique. Ce que tu ressens, c’est normal. Tu quittes une famille. Mais parfois, on doit s’éloigner de ceux qu’on aime pour leur faire honneur.

Il marqua une pause, fixant l’horizon à son tour.

Tu crois qu’AnĂ­bal n’a pas anticipĂ© ça ? Il savait que ce jour viendrait. Il te l’a mĂȘme dit, non ? Que si une offre record tombait, il ne retiendrait pas son “fils adoptif”.

Ganso hocha lentement la tĂȘte, les yeux embuĂ©s.

Oui
 il me l’a dit. Mais maintenant que c’est rĂ©el
 j’sais pas. J’me sens comme un traĂźtre.

Saldanha Ă©clata d’un rire franc, presque libĂ©rateur.

Un traĂźtre ? Tu crois que tu le trahis en rĂ©alisant ton rĂȘve ? En allant plus haut ? Non, fiston. Ce serait une trahison de rester par peur. Ani est un homme fier. Il sera triste. Mais il sera surtout heureux. Parce qu’il saura que t’es prĂȘt. Que ce qu’il t’a transmis est en toi pour toujours.

Un nouveau silence. Mais cette fois, plus lĂ©ger. Comme si les mots avaient redonnĂ© de l’air.

Alors je devrais accepter ? demanda Ganso, la voix tremblante mais plus assurée.

Saldanha le regarda droit dans les yeux.

Non. Tu dois dĂ©cider. Moi, je suis ton pĂšre. Ani est ton mentor. Mais c’est ta vie. Ton destin. Sois sĂ»r de ce que tu veux. Et si tu veux encore parler
 il est Ă  un coup de fil.

Ganso sourit enfin. Un sourire vrai. Le genre de sourire qu’un enfant fait quand il comprend qu’il est prĂȘt Ă  devenir adulte.

Le soleil descendait lentement sur la baie, les ombres s’allongeaient, et les vagues continuaient leur danse Ă©ternelle. Ganso se leva, prit une profonde inspiration, et marcha lentement vers la maison.

Ce soir, il prendrait le téléphone. Il appellerait Aníbal Guimarães. Pas pour demander la permission.

Mais pour lui dire merci . Et peut-ĂȘtre, Ă  ce moment-lĂ , le vrai voyage commencerait.

- Chapitre 857 -
- les adieux de l’aigle -
- Chapitre 859 -
Coming SOON - 03/11
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Jusqu’à lire ça, on aurait pu espĂ©rer qu’il refuse et reste, par amour pour Ani et le club
 puis non :sac:
AprĂšs, est-ce que Vianense peut se permettre le luxe de refuser une telle offre ? Idem du cĂŽtĂ© du joueur avec tout ce que ça incombe (salaire, niveau, apprentissage, expĂ©rience etc
)
Mais en mĂȘme temps, Vianense a tellement progressĂ© qu’il peut avoir tout ça ici (exceptĂ© le salaire peut-ĂȘtre). Donc
 :hoho:

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C’est dur mais il faut couper le cordon

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Manquerait plus que le jeune dise : « Tu sais 'pa, l’argent ne fait pas le bonheur Â».
Bien Ă©videmment qu’il doit accepter :grin:

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Je prĂ©fĂšre l’IntermarchĂ© d’Uzerche :sac:

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@FC_Guimaraes

@CaptainAmericka FĂ©licitations Ă  toi et madame dĂ©jĂ . Non mais concrĂ©tement il y a peu de chances qu’il reste vu l’offre. en plus ingame il fait chier Ă  vouloir partir. Du coup cĂŽtĂ© scĂ©nario on est sur une offre que tu peux pas refusĂ© quoi.

@Rhino c’est ça.

@alexgavi imagine :rofl: non l’argent je me torche avec :hoho:

@toopil mdrrrrrr

image

- Or sur textile, mémoire sur peau -

kit kit kit

La brise douce de l’Atlantique se mĂȘlait aux notes d’un fado discret, jouĂ© par un trio de musiciens installĂ©s sous l’arche de pierre du Forte de Santiago da Barra, dont les murailles sĂ©culaires dominaient l’embouchure du Lima. Ce soir-lĂ , Viana do Castelo semblait suspendue dans le temps, embrasĂ©e par les reflets d’un crĂ©puscule d’étĂ©. Les abonnĂ©s du SC Vianense avaient Ă©tĂ© conviĂ©s dans ce lieu emblĂ©matique, entre histoire et modernitĂ©, pour une soirĂ©e qui promettait d’ĂȘtre mĂ©morable : la prĂ©sentation officielle des nouveaux maillots pour la saison Ă  venir. Et pas n’importe quelle saison. Celle qui succĂ©dait au premier titre de champion du Portugal de toute l’histoire du club.

Une scĂšne avait Ă©tĂ© dressĂ©e sur la terrasse surplombant le fleuve. De larges drapĂ©s aux couleurs du club flottaient lentement dans la lumiĂšre dorĂ©e, encadrant un Ă©cran gĂ©ant diffusant des images d’archives : les larmes de MamadĂș Ă  Jamor, la parade de Bruno Santana contre Porto en finale d**’Europa League**, ou encore la levĂ©e du trophĂ©e de Liga Portugal par AnĂ­bal GuimarĂŁes en costume immaculĂ©, mains levĂ©es au ciel. L’émotion Ă©tait palpable, les applaudissements nourris, et les regards fiers.

Mais ce que tout le monde attendait, c’était le moment oĂč les projecteurs s’allumeraient pour dĂ©voiler les nouvelles armures. Nike, toujours partenaire fidĂšle, avait promis des crĂ©ations audacieuses pour honorer le statut de champion. Et ils n’avaient pas menti.

Le premier Ă  Ă©merger de l’ombre fut Luis Almeida. Sous les acclamations, l’ailier intĂ©rieur foulait la scĂšne vĂȘtu du maillot domicile : une piĂšce somptueuse, Ă  la base d’un bleu roi texturĂ©e d’un motif marbrĂ© sombre, subtilement rĂ©haussĂ©e de blanc au col et aux manches. Sur le torse, le logo Pirelli trĂŽnait en majestĂ©, tandis qu’en son centre, cousu, le tout nouveau badge dorĂ© de champion scintillait. L’or ne ment jamais.

Puis ce fut au tour d’Emmanuel Adjei, tout sourire, arborant le maillot extĂ©rieur. Blanc nacrĂ©, parcouru d’un motif fluide aux allures de veines minĂ©rales bleutĂ©es, il Ă©voquait les vagues du Lima et la clartĂ© du ciel de Viana. LĂ  encore, le badge dorĂ© s’imposait, sobre et fier. Le contraste entre la sobriĂ©tĂ© du design et la noblesse des dĂ©tails faisait mouche. Le public, conquis, chantait dĂ©jĂ  son nom.

Enfin, dans un halo de lumiĂšre violacĂ©e, Francisco Maior fit son apparition, plus stoĂŻque, presque intimidant. Il portait la tunique third, la plus audacieuse des trois. TeintĂ©e d’un violet plus clair, presque pastel, elle Ă©tait recouverte d’un motif gĂ©omĂ©trique Ă©voquant des Ă©clats de pierre, comme si le maillot avait Ă©tĂ© taillĂ© dans une amĂ©thyste brute. Les sponsors s’effaçaient dans un ton sur ton Ă©lĂ©gant. Une Ɠuvre d’art textile. Une piĂšce rare. À l’image de cette Ă©quipe.

Les trois joueurs se rejoignirent au centre, bras dessus bras dessous, avant de lever les bras en direction du public. DerriĂšre eux, l’écran diffusait dĂ©sormais une phrase simple, mais lourde de sens :

“Vestir o título. Honrar a cidade.”
“Porter le titre. Honorer la ville.”

AnĂ­bal, prĂ©sent discret au fond de la salle aux cĂŽtĂ©s de Yessica et de leur fille, observait la scĂšne en silence, les mains dans les poches. Son regard allait de ses joueurs Ă  la foule, puis aux maillots. Il y lisait le passĂ©, le prĂ©sent, et un futur Ă  Ă©crire. C’était plus qu’un vĂȘtement. C’était une promesse. Une dĂ©claration.

Ce soir-lĂ , Ă  Viana do Castelo, le SC Vianense ne lançait pas qu’une saison. Il affirmait son rĂšgne. Avec style. Avec identitĂ©. Et toujours, avec foi.

- Chapitre 858 -
- L’HĂ©ritier au carrefour de la vie -
- Chapitre 860 -
Coming SOON - 07/11
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Putain on a retrouvé le fils de Baracuda!!!

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On dirait Balotelli vieux!

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Cette storie est la seule bonne raison de l’annulation de FM 25. C’est incroyable. J’adore

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Adjei a toujours cette bonne vieille tĂȘte de tueur Ă  gage. Il a quel Ăąge dĂ©jĂ  ? 20-21 ans ? Mouais, il a plutĂŽt l’ñge d’ĂȘtre le pĂšre des deux coĂ©quipiers autour de lui :grin:

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@FC_Guimaraes

@Tiien :pasrire: c’est vrai qu’il ressemble en plus :hoho:

@toopil je vois moins la ressemblance lĂ .

@kevos merci bro.

@alexgavi il a 18-19 :hoho: c’est le garde du corps contre Lamar en couverture :sac:

- Nouveau triomphe en Supertaça -

Sur les rives atlantiques du nord du Portugal, l’étĂ© vibrait encore au rythme des chants des cavaleiros. Trois mois Ă  peine s’étaient Ă©coulĂ©s depuis que le SC Vianense avait réécrit l’histoire du football lusitanien en soulevant, coup sur coup, la Taça, la Liga Betclic, la Supertaça et l**’Europa League**. Un quadruplĂ© majuscule, inĂ©dit, presque indĂ©cent, qui avait fait entrer AnĂ­bal GuimarĂŁes dans une autre dimension, celle des bĂątisseurs de lĂ©gende.

Mais ce dimanche d’aoĂ»t, dans une EstĂĄdio Municipal de Leiria baignĂ©e par une lumiĂšre dorĂ©e, le roi ne voulait pas seulement savourer. Il voulait rĂ©gner encore. Vianense affrontait Benfica pour le premier grand rendez-vous de la saison : la Supertaça CĂąndido de Oliveira. Un classique qui avait dĂ©jĂ  un parfum de revanche pour les Aigles de Shevchenko, Ă©ternel rival d’AnĂ­bal, dont le palmarĂšs cumulait dĂ©sormais plus de 1 060 matchs sur le banc lisboĂšte. Mais cette fois, les rĂŽles semblaient avoir changĂ©. Le vent soufflait fort depuis le nord.

Le coup d’envoi Ă  peine donnĂ©, le ton fut clair : duel de titans. Chaque ballon Ă©tait disputĂ© avec une hargne presque guerriĂšre. Les tacles pleuvaient, les duels aĂ©riens s’entrechoquaient, et l’arbitre semblait dĂ©passĂ© par l’intensitĂ© imposĂ©e des deux cĂŽtĂ©s. Pourtant, au cƓur de cette tempĂȘte, Vianense ne trembla jamais.

À la 31Ăšme minute, ce fut MamadĂș qui alluma la premiĂšre mĂšche. Sur une rĂ©cupĂ©ration haute de Marcos Paulo, le ballon transita vite vers SĂ©rgio Mata. L’ailier de poche, intenable, Ă©limina sĂšchement Velikanov d’un crochet intĂ©rieur foudroyant avant de longer la ligne de but et centrer Ă  ras de terre. Le reste ? Du pur MamadĂș. Une course tranchante, un plat du pied en pleine extension, et une frappe dĂ©croisĂ©e qui trompa Matheus Pereira sur son premier poteau. Le buteur guinĂ©en se dirigea aussitĂŽt vers les supporters nordistes, mimant une couronne sur sa tĂȘte. Un roi ne doute jamais.

La deuxiĂšme mi-temps reprit sur le mĂȘme tempo. Benfica, piquĂ© dans son orgueil, tenta de remonter le bloc, mais la muraille de Viana, orchestrĂ©e par Santana et Leandro SendĂŁo, tenait bon. Et Ă  la 51Ăšme minute, le couperet tomba une seconde fois. Sur un dĂ©bordement cĂŽtĂ© gauche, Francisco Maior glissa un centre en retrait millimĂ©trĂ© dans la course de Mata. Sans contrĂŽle, l’international portugais ajusta une frappe sĂšche du gauche, croisĂ©e au sol, imparable. Le stade bascula dans une clameur venue du nord, un rugissement.

Mais la soirĂ©e ne faisait que commencer pour le prodige. À la 67Ăšme minute, Benfica poussa un peu trop fort. Une passe latĂ©rale mal assurĂ©e fut interceptĂ©e par SĂ©rgio Mata lui-mĂȘme, embusquĂ© au milieu de terrain. Et lĂ , ce fut une course contre le temps. Il fila seul, diagonale parfaite, ballon collĂ© au pied comme un magicien. Les dĂ©fenseurs fonçaient, mais le vent semblait le porter. Il fixa Matheus Pereira et ouvrit son pied, tout en maĂźtrise. Le ballon caressa les filets dans un silence de plomb. Puis l’explosion. 3-0. Le doublĂ© pour Mata. L’estocade.

Les derniĂšres minutes furent anecdotiques. Vianense gĂ©ra, avec cette maturitĂ© acquise dans les batailles europĂ©ennes, et Shevchenko resta figĂ©, spectateur impuissant. AnĂ­bal, lui, ne leva mĂȘme pas les bras au coup de sifflet final. Il ferma les yeux un instant, inspira l’air du soir, avant de se tourner vers son banc. JoĂŁo Infante, son fidĂšle bras droit, lui tendit une bouteille d’eau fraĂźche. Le coach de Viana sourit. Ce n’était pas une victoire. C’était une affirmation.

Encore un trophĂ©e. Le troisiĂšme Supertaça d’affilĂ©e. Le cinquiĂšme titre en moins d’un an. Et derriĂšre les dorures, une promesse : Vianense ne voulait pas ĂȘtre une Ă©toile filante. Il devenait un empire.

Club
:supertaca: Finale :supertaca:
EstĂĄdio Municipal
de Leiria
0 - 3
Sport Lisboa de
Benfica
Vianense
Sporting Club
:but: MamadĂș (31’)
:but: S.Mata (50’)
:but: S.Mata (67’)
- Chapitre 858 -
- Or sur textile, mémoire sur peau -
- Chapitre 860 -
Coming SOON - 08/11
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Victoire nette et sans bavure

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Merci chef :heart:

Une belle victoire qui envoie un message clair : le Portugal n’est plus dominĂ© par les 3 gros (Sporting, Benfica et Porto). Un 4Ăšme est entrĂ© dans la danse !

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On va envoyer Anibal en Ecosse!

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Réponses aux lecteurs

@FC_Guimaraes

@Rhino elle fait grave plaisir celle là. Surtout aprÚs la défaite en Allianz Cup.

@CaptainAmericka on espùre s’y maintenir maintenant.

@toopil et pourquoi pas pour le prochain récit.

- PRÉPARATION 2045/2046 -

- Objectifs -

COMPETITION OBJECTIF
:grootchampions: UEFA Champion’s League Se qualifier au moins en barrage
:grootsc: UEFA Supercup Réaliser une bonne performance
:grootcomnebol: Challenge UEFA-Comnebol Remporter le titre
:ligaportugal: Liga Portugal Betclic Défendre honorablement son titre
:taca_do_portugal: Taça do Portugal Conserver son titre
:allianz_cup: Allianz Cup Remporter le titre
DIRIGEANTS Continuer à développer le club
Proposer un jeu offensif
Rendre la défense plus imperméable

La saison derniĂšre Vianense a surement connu la saison la plus aboutie de son histoire. Le club a en effet rĂ©alisĂ© un quadruplĂ© spectaculaire. Si le club a de nouveau remportĂ© Taça et SuperTaça. Vianense a aussi remportĂ© la Liga Betclic et l’Europa League pour la premiĂšre fois de son histoire.

Cette saison Vianense va donc retrouver la Champion’s League et aura pour objectif de rejoindre au moins les barrages. Vianense devra aussi dĂ©fendre vigoureusement ses titres acquis l’an passĂ© et tenter de reconquĂ©rir l’Allianz Cup. Il se dit aussi qu’Anibal compte bien faire bonne figure en Supercoupe d’Europe et dans le challenge UEFA-Comnebol.

Le club a pour objectif de se développer en utilisant au plus possible son centre de formation en témoigne son effectif composé exclusivement de joueurs formés au club gravitant dans ou autour du groupe pro.

Cette formation commence d’ailleurs Ă  ĂȘtre valorisĂ© en tĂ©moigne les divers intĂ©rets pour les joueurs du club. Cette saison le club a notamment perdu Diogo Vieitas parti Ă  Palace et pourrait perdre Ganso dont le nom circule aussi en Premier League.

- UEFA Champion’s League -

:scotland: :england: :spain: :germany: :germany: :portugal: :italy: :slovenia:
:alloa_athletic: :arsenal: :barcelona: :leverkusen: :bayern: :benfica: :inter: :celje:
:belgium: :england: :germany: :scotland: :denmark: :tr: :belgium: :croatia:
:charleroi: :chelsea: :dortmund: :dundee: :nordsjaelland: :galatasaray: :genk: :hajduk:
:italy: :poland: :france: :england: :england: :france: :italy: :england:
:juventus_rose: :legia_warszawa: :losc: :liverpool: :mancity: :monaco: :napoli: :newcastle:
:greece: :netherlands: :germany: :spain: :spain: :austria: :france: :italy:
:olympiakos: :psv: :leipzig: :realmadrid: :real_valladolid: :salzburg: :rennes: :roma:
:czechia: :portugal: :spain: :germany:
:sparta: :vianense: :villarreal: :wolfsburg:

Avec sa position de champion du Portugal, Vianense se qualifie directement pour la Champion’s League et sa phase de championnat. L’adversitĂ© sera prĂ©sente pour les cavaleiros qui devront espĂ©rer un tirage favorable.

- Liga Portugal Betclic -

-
:belenenses: :sl_benfica: :academica_coimbra: :braga: :casa_pia:
:estrela_da_amadora: :maritimo_funchal: :farense: :gil_vicente: :fc_porto:
:salgueiros: :portimonense: :grootsporting: :santa_clara: :tondela:
:vitoria_guimaraes: :uniao_de_leiria: :vianense:

La Liga Betclic a un format traditionnel au sommet de la pyramide portugaise. La premiĂšre division compte ainsi 18 Ă©quipe et se dispute sur un format de championnat classique oĂč chaque Ă©quipe s’affronte deux fois. Les deux premiers se qualifie pour la Champion’s League (phase de championnat et T3).

Le troisiĂšme se qualifie en barrage d’Europa League. le 4Ăšme se qualifie pour l’Europa League aussi tandis que le 5Ăšme dispute le 2Ăšme tour prĂ©liminaire de ConfĂ©rence League.

Enfin le 16Úme jouera un barrage de descente contre le troisiÚme de seconde division tandis que les deux derniers sont automatiquement relégués dans la division inférieure.

Cette saison l’Academica Coimbra et le Maritimo Funchal font leur retour. Estoril fait l’ascenceur et retourne Ă  l’échelon infĂ©rieur tout comme le Boavista.

- Matchs amicaux -

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Date Club Score Buteurs
AM 8/7/2045 :pisa: Pisa 4 - 1 Ad.(4), F.Maior (24), Andrés(39, pen 68)
AM 12/7/2045 :gent: Gent 1 - 1 E.Patermeu (79)
AM 15/7/2045 :zilina: ƻilina 0 - 1 E.Adjei (31)
AM 19/7/2045 :brondby: BrĂžndby IF 4 - 1 R.Pacheco (24), E.Adjei (30), S.Mata (pen 42, 43)
AM 22/7/2045 :real_valladolid: Real Valladolid 3 - 3 E.Adjei (46), E.Patermeu (54), C.SimÔes (80)
AM 26/7/2045 :wolverhampton: Wolves 5 - 1 E.Adjei (45+2, 80), S.Mata (49), L.SendĂŁo (64), F.Maior (66)
AM 29/7/2045 :marseille: Marseille 4 - 1 E.Patermeu (12, 83), E.Adjei (15), J.FalcĂŁo (64)

Vianense TV - Coach GuimarĂŁes :
Nous étions trÚs attendu cet été aprÚs la saison fabuleuse que nous avons connu et nous avons su répondre présent.

Nous avons connu de belles victoires comme contre Pisa promu en Serie A, contre Zilina, Brondby, les Wolves et l’OM.

On reste invaincus Ă  la faveur de nuls contre La Gantoise et le Real Valladolid.

- Point tactique -


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Schéma 3 - 4 - 3
Entraineur A.GUIMARÃES
CAPItaINE C.SIMÕES
Vice-Capitaine L.ALMEIDA




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Gardien 1. D.VIEITAS Piston Droit 84.D.COSTA
DĂ©fenseur Central 80. J.FALCÃO DĂ©fenseur Central 18. C.SIMÕES
Défenseur Central 16. L.SENDÃO Piston Gauche 92. M.PAULO
Milieu Défensif 4. R.PACHECO Milieu Axial 22. F.MAIOR
Ailier Droit 23. E.PATERMEU Ailier Gauche 12. S.MATA
Buteur 9. M.MANÉ

Voici le onze qui se dégage en ce début de saison. Il sera bien evidemment sujet aux évolutions en cours de saison. Il est dans la droite lignée de la saison passée.

- Chapitre 859 -
- Nouveau triomphe en Supertaça-
- Chapitre 861 -
Coming SOON - 08/11
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Les trophĂ©es commencent Ă  s’accumuler Ă  Vianense mine de rien !
Anibal a raison de se montrer ambitieux sur la scÚne européenne :smiley:

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