:storygreen: :s13: 🗾 :grootnagoya: O Leão de Lisboa

[alexgavi]

La Ligue des Champions asiatique suit un calendrier à celle en Europe, alors que la saison japonnaise se déroule sur une année civile, c’est bien ça ?
Ça veut aussi dire que la prépa de la saison coïncide avec les phases finale de la Ligue des Champions ?

[CaptainAmericka]

J’ai pris le temps de regarder toutes les fiches (y en a 2 qu’ont beug mais je sais plus lesquelles). Tu as de très bons joueurs, mais ils semblent moins « monstrueux » qu’au Brésil. Si tu as un peu de concurrence en championnat, tu devrais y prendre pas mal de plaisir car c’est une équipe avec qui construire finalement !

Kumagai est vraiment incroyable et sa valeur le prouve !!! J’espère qu’il réussira !

Les objectifs sont élevés mais par rapport au niveau du club et du coach c’est logique je trouve !

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino c’est normal aussi vu son palmarès que les clubs soient exigeants avec lui. ça me choque pas. Typiquement IRL Amorim arrive à United. Désolé mais pour moi on doit lui demander de jouer le titre et de gagner l’Europa League

@celiavalencia comme toujours. après j’avoue que j’ai hâte de revenir en Europe pour retrouver plus d’adversité.

@toopil oui il aime les défis.

@alexgavi c’est exactement ça c’est assez merdique en vrai ça veut surtout dire que y’a pas de prépa en faite. Ta prépa c’est le premier tour éliminatoire si tu as de la chance et que tu évites un club saoudien

@CaptainAmericka Ah ouais ? j’en ai fail ? C’est possible. Honnêtement l’effectif c’est le post le plus chiant et long à préparer avec ma présentation Quand j’enchaines les saisons dans un même club ça va mais quand tu repars de zéro c’est le plus relou. L’effectif est bon clairement. De ce que j’ai vu c’est TOP 3 japonais a priori. C’est moins monstrueux qu’au Brésil mais c’est fort logique. Palmeiras c’est la meilleure académie brésilienne. et le Japon a tendance a sortir moins de crack que le Brésil. Même si je trouve que c’est surtout à cause du niveau du championnat et de la frigidité des clubs et joueurs à s’exporter.

- トヨタがアニバルとその家族を支援 -
- Toyota chouchoute Anibal et sa famille -

Depuis son arrivée au Japon, Anibal Guimarães a découvert un environnement qu’il qualifie lui-même de “parfaitement calibré”. Nagoya Grampus, soutenu par son puissant partenaire Toyota, n’a pas lésiné sur les moyens pour offrir au coach portugais et à son staff des conditions de vie et de travail idéales.

Anibal, sa femme Yessica, et leur fille Beatriz, à peine âgée de quelques mois, vivent dans un loft ultra-moderne situé au cœur de Nagoya. Ce loft spacieux, à la pointe de la technologie, offre une vue imprenable sur la ville. Les murs décorés d’œuvres d’art minimalistes japonaises créent une ambiance zen, parfaite pour se détendre après les longues journées de travail.

Pour faciliter leur quotidien, Toyota a mis à leur disposition un chauffeur personnel au volant d’une Lexus de luxe, symbole du savoir-faire japonais. En parallèle, un chef cuisinier privé prépare des plats à la fois équilibrés et délicieux, mêlant cuisine japonaise et occidentale pour satisfaire les goûts d’Anibal et de sa famille. Une traductrice attitrée accompagne également le coach dans toutes ses interactions, que ce soit au club ou dans la vie quotidienne.

Yessica, qui craignait au départ le choc culturel, s’est vite sentie à l’aise dans cet environnement. Avec la mise à disposition de billets d’avion par Toyota, ses proches peuvent venir lui rendre visite à tout moment, une attention qui a su toucher le couple.

Anibal a insisté pour que Javi Sanchez, son fidèle adjoint, bénéficie du même traitement. “Si je suis bien ici, Javi doit l’être aussi”, avait-il confié lors des négociations avec le club. Toyota, soucieux de répondre aux attentes de son entraîneur vedette, a accordé à Javi un logement tout aussi luxueux, ainsi qu’une Lexus et un chef personnel.

Javi, qui n’avait jamais connu un tel traitement dans sa carrière, avoue être impressionné par l’investissement du club "Je savais que le Japon offrait une certaine qualité de vie, mais je ne pensais pas qu’ils iraient aussi loin pour nous. Cela nous pousse à vouloir rendre cette confiance sur le terrain.”

Ce dispositif luxueux n’est pas qu’un geste de courtoisie, c’est une véritable stratégie de Toyota. Le géant automobile voit en Nagoya Grampus une vitrine pour son image à travers l’Asie. En s’attachant les services d’un coach au palmarès impressionnant comme Anibal, Toyota mise sur une domination sportive dans la J.League et la Ligue des champions asiatique.

Jin Suzuki, le président du club, ne cache pas ses ambitions "Nous ne faisons pas les choses à moitié. Avec Anibal, nous avons un leader qui sait gagner. Notre devoir est de lui donner tous les outils pour qu’il puisse travailler dans les meilleures conditions.”

Malgré tout ce luxe, Anibal n’oublie pas sa mission principale : redorer le blason de Nagoya Grampus. Le retour à la compétition est imminent, et les premières séances d’entraînement ont permis au coach portugais de prendre la mesure de son effectif. Il s’appuie sur des jeunes prometteurs comme Shogo Kumagai et Rafael, mais aussi sur des cadres expérimentés. Il fut d’ailleurs surpris de découvrir la légendaire implication japonaise. “Les infrastructures sont incroyables, mais ce qui m’a le plus marqué, c’est l’implication des joueurs. Ici, il n’y a pas de place pour la demi-mesure. Ils donnent tout à chaque entraînement, et c’est exactement ce que j’attends.”

S’il est conscient des attentes, Anibal voit cela comme une source de motivation. “Quand on investit autant sur vous, vous n’avez pas le droit à l’erreur. Mais je suis habitué à la pression, et je préfère qu’elle soit positive comme ici. Mon objectif est simple : gagner, faire progresser cette équipe, et laisser un héritage durable.”

Installé dans son loft avec une vue panoramique sur Nagoya, Anibal passe une dernière soirée calme avec Yessica avant le début de la saison. Le couple, malgré les défis passés, savoure cet instant de sérénité. “Tu sais, Ani, je n’aurais jamais imaginé que le Japon puisse être si accueillant. Si tout se passe bien, peut-être qu’on pourrait envisager de rester un peu plus longtemps ?”

Anibal esquisse un sourire. Pour lui, ce n’est pas encore le moment de penser à l’avenir. La compétition approche, et il savai qu’une grande saison pourrait marquer un nouveau tournant dans sa carrière. Avec Toyota et Nagoya Grampus à ses côtés, l’“Imperatore” portugais est prêt à conquérir l’Asie.

- Chapitre 424 - - présentation de la saison japonaise -	- Chapitre 426 - Coming SOON - 14/12

[Rhino]

C’est plus que le tapis rouge qu’on a déroulé à Anibal et toute sa clique. S’il ne répond pas aux attentes rapidement, pas sûr que ça continue ainsi longtemps

[Lincoln6Echo]

@Groot

“Tu sais, Ani, je n’aurais jamais imaginé que le Japon puisse être si accueillant. Si tout se passe bien, peut-être qu’on pourrait envisager de rester un peu plus longtemps ?”

Si il se fait des amis chez les Yakuza pas sûr qu’Anibal reste longtemps. D’ailleurs est-ce que Ruben a envoyé une carte de félicitations à Anibal et Yessica pour la naissance de la petite ? !

Toyota à mis les petits plats dans les grands pour accueillir l’Imperatore et ses généraux. Va pas falloir se louper parce que l’attente est immense.

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino c’est certain.

@Lincoln6Echo Pour l’instant pas de vagues Ruben s’est un peu rabiboché avec Ani en le soutenant face à la justice et en privé.

- もっと悪くなる可能性もあった -
- Cela aurait pu être pire -

Assis dans un salon privé d’un hôtel prestigieux de Tokyo, Anibal Guimarães et le directeur sportif de Nagoya Grampus, Keito Hiraoka, attendaient avec une attention soutenue le tirage au sort de la Ligue des champions asiatique. Cette compétition était l’un des grands objectifs de la saison pour le club, qui espérait marquer de son empreinte le continent.

Anibal avait un souhait particulier : éviter les clubs saoudiens, qui dominaient les dernières éditions grâce à leurs investissements colossaux et leurs effectifs regorgeant de stars internationales. Lorsque les boules furent tirées, un soupir de soulagement se fit entendre du côté du coach portugais.

Le tirage ne fut toutefois pas clément. Nagoya Grampus hériterait du redoutable Ulsan Hyundai, club coréen au palmarès impressionnant en Ligue des champions asiatique. Ces trois dernières saisons, les Tigres d’Ulsan avaient atteint au minimum les demi-finales, et leur président, l’ancien international coréen Ji-Sung Park, avait des ambitions démesurées pour cette édition.

Ce tirage avait une saveur particulière pour Anibal. Il y a quelques semaines à peine, Ji-Sung Park avait tenté de le convaincre de rejoindre Ulsan. Si Anibal avait choisi Nagoya, il savait qu’un affrontement avec ce club serait marqué par une compétition d’égo et de prestige ce qu’il partagea avec son supérieur. “C’est un tirage difficile, mais c’est aussi une opportunité. Si nous voulons prouver que nous sommes sérieux dans cette compétition, il faut battre les meilleurs.”

Keito Hiraoka, plus pragmatique, ajouta “Ulsan est un adversaire redoutable, mais nous avons nos propres atouts. Avec un coach comme Anibal et un effectif bien équilibré, nous sommes prêts à relever ce défi.”

Ulsan Hyundai, avec son jeu rapide et technique, était réputé pour sa solidité défensive et son efficacité offensive. Sous la houlette de leur entraîneur sud-coréen Kim Dong-suk, l’équipe combinait des joueurs locaux talentueux et quelques stars internationales.

Ji-Sung Park, lors d’une interview après le tirage, avait fait une déclaration directe “C’est un honneur d’affronter Nagoya et Anibal. Nous savons qu’ils ont une équipe talentueuse, mais à Ulsan, nous jouons toujours pour gagner. Nous allons lui faire regretter d’avoir préférer le Japon. Ce sera une belle bataille tactique.”

Le duel entre Nagoya et Ulsan s’annonçait tactiquement passionnant. Anibal, connu pour sa capacité à s’adapter, allait devoir préparer ses joueurs à affronter un adversaire rapide, physique, et habitué aux grandes échéances.

Les attentes étaient également énormes sur Rafael, la jeune pépite brésilienne récemment arrivée en prêt, et sur Shogo Kumagai, qui avait beaucoup à prouver face à une équipe coréenne après son passage mitigé en Europe.

De retour à Nagoya après le tirage, Anibal réunit immédiatement son staff technique pour commencer à préparer la double confrontation. “Nous avons une chance incroyable. Battre Ulsan nous donnerait un élan psychologique énorme. Mais il faudra être discipliné, intelligent, et jouer avec le cœur.”

Pour les supporters de Nagoya Grampus, ce tirage représentait une promesse de spectacle. Le stade Toyota s’apprêtait à vibrer pour accueillir ce choc asiatique entre deux grandes équipes, et pour beaucoup, c’était l’occasion de prouver que Nagoya pouvait rivaliser avec les meilleures équipes du continent.

Avec son sens tactique aiguisé et son expérience dans les grandes compétitions, Anibal savait qu’une belle page de l’histoire du club pouvait s’écrire à travers ce duel. Le défi était immense, mais le coach portugais, fidèle à son habitude, ne voyait là qu’une nouvelle opportunité de briller.

- Chapitre 425 - - Toyota chouchoute Anibal et les siens -	- Chapitre 427 - Coming SOON - 15/12

[Sythax]

Les coïncidences n’existent pas, il fallait qu’il affronte le club coréen !

[celiavalencia]

MDR ! affronter le club qui a voulu recruter Anibal en 1er
ça va être chaud

[CaptainAmericka]

Comme par hasard ! Je ne crois pas aux coïncidences, surtout dans le football !

C’est maintenant qu’il faudra prouver !

[alexgavi]

Grosse affiches d’entrée de jeu, un signe du destin

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Sythax c’était écrit réellement

@celiavalencia terrible hein oui. Le kiff en vrai.

@CaptainAmericka J’ai un don. comme le premier match avec Palmeiras contre Envigado

@alexgavi c’est clair.

- 名古屋、インペリアル・アニバル -
- Nagoya et Anibal, Impérial -

Alors qu’Anibal découvrait une nouvelle culture et un nouveau pays avec son adjoint Javi Sanchez, la réalité du terrain allait vite rattraper le duo. Pas le temps de prendre ses marques, que la Champion’s League asiatique reprenait ses droits avec ce calendrier qui semble fou ailleurs dans le monde. En effet alors que la saison démarre à peine c’est en effet directement les huitièmes de finale qui arrive.

Opposé à Ulsan Hyundai, le favori non saoudien d’après les bookmakers, Nagoya et Anibal était attendu. Et visiblement les heures passés à étudier le jeu d’Ulsan lorsque le club coréen souhaitait engagé le portugais a porté ses fruits puisque le match aller a été dominé globalement par les japonais. Le match avait pourtant mal commencé puisqu’à la pause, Nagoya était mené de deux buts. Mais en seconde période Nagoya s’est éveillé. La révolte est venu du jeune Genta Nakazawa, 17 ans. Le jeune milieu s’arrachait au milieu de terrain pour servir Tanaka sur l’aile gauche. Le piston combinait avec Srijan avant de centrer pour Rafael. Le jeune brésilien de 20 ans ne trembla pas et ajusta le portier adverse pour réduire l’écart. Un peu après l’heure de jeu Nakazawa remettait ça mais cette fois c’est lui qui servit Ono pour l’égalisation. Le stade Toyota en transe allais basculer dans l’euphorie dans les dernières minutes. D’abord lorsque Endo déposa un ballon millimétré sur la tête de Srijan puis 40 secondes plus tard lorsque Kento Nakamura ajoutait un nouveau but qui mettait l’orca en position idéale pour se qualifier en quart de finale.

Quelques jours plus tard, Grampus ouvrait son championnat par une belle victoire contre Sanfrecce. Rafael ouvrit le score dès la deuxième minute de jeu sur un centre d’Endo avant de doubler la mise à l’heure de jeu. Srijan ajouta un troisième but en transformant un pénalty obtenu par Rafael puis Yamamoto ajouta un quatrième but juste avant le temps additionnel.

Lors du retour contre Ulsan, les japonais s’attendaient à un match difficile, il n’en fut rien. Il fallut moins de 10 minutes pour que Nagoya menent 3-0 en Corée. Kumagai en feu, servait sur un plateau Rafael pour l’ouverture du score avant de marquer à son tour quelques seconde plus tard. Les coréens sonnés encaissé un troisième but signé Rafael quelques secondes plus tard. En mode rouleau compresseur, l’orca assurait son passage en quart de finale en ajoutant un nouveau but au quart d’heure par Ono puis un nouveau de Kumagai à la 22ème. Avec sept buts d’avance à la pause, Anibal fit largement tourné son effectif en seconde période. Cela remis en confiance Ulsan qui marqua trois buts mais ne parvint jamais à revenir.

En JLeague le club a d’abord concédé un nul stérile contre Albirex avant de s’offrir le Kyoto Sanga sur un score d’école. Srijan s’est offert un doublé tandis que Ozaki n’ajoutait un but en toute fin de match.

		Date		Club	Score	Buteurs
	1/8	13/2/2036		Ulsan Hyundai	4 - 2	Rafael (51), H.Ono (69), S.Srijan (83), K.Nakamura (84)
	J1	17/2/2036		Sanfrecce Hiroshima	4 - 1	Rafael (2, 58), S.Srijan (pen 70), N.Yamamoto (87)
	1/8	20/2/2036		Ulsan Hyundai	3 - 5	Rafael (8, 10), S.Kumagai (9, 22), H.Ono (16)
	J2	24/2/2036		Albirex Niigata	0 - 0	-
	J3	27/2/2036		Kyoto Sanga	3 - 0	S.Srijan (38, 45), T.Ozaki (90+1)

- チャンピオンズリーグの準々決勝。 -
- Tirage au sort de Ligue des Champions - 1/4 de Finale -

Après une qualification plus facile qu’attendu, Nagoya continuait d’avoir de la chance au tirage et obtenait les coréens de Busan IPark. Cette chance au tirage leur permettait d’éviter les trois ogres saoudiens toujours en lice pour le trophée finale. A noter une autre opposition sans club saoudien puisque les Pohang Steelers se retrouvés confronter aux thailandais du Burinam United.

Le deuxième de compétition commença par un déplacement à Sapporo ou les remplaçants ont gagné du temps de jeu. L’international coréen Ko Hyun-Suk a signé un doublé pour ramener les trois points juste avant le quart de finale de Champion’s League. Le match aller contre Busan fut disputé et bascula à la 20ème minute lorsque Kim Ming-Son concéda un pénalty sur Rafael. Le capitaine Srijan pris ses responsabilités pour ouvrir le score. En début de seconde période Endo trouva lui aussi la faille sur un coup franc avant de servir Srijan pour le doublé. Avec cette victoire, la voie vers les demi finales est grande ouverte.

Avant le retour, l’orca a fait tomber les Marinos en fin de match avec un but de Hyun-Suk qui intervient après les égalisations successives d’Omura et Yatskov. Lors du quart de finale retour Nagoya s’est contenté de gérer son avance et de piquer quand l’occasion se présentait. C’est ainsi qu’Osaka ouvrait le score sur un contre à la demi heure de jeu. Au retour des vestiaires Busan tenta de relancer le suspense mais la défense nippone ne craqua qu’une seule fois. En fin de match Rafael claqua un doublé pour envoyer Grampus en demi finale de cette Ligue des champions.

Par la suite Nagoya et Anibal se sont payé le Kashiwa Reysol avec des nouveaux buts de Srijan et Rafael particulièrement en forme. Yatskov completa la marque tandis que Kawasaki offrait un but à l’orca sur un csc.

Anibal et ses hommes ont fini le mois avec le premier tour de la Levain Cup contre le Shimizu S-Pulse qui s’inclina lourdement lors des deux matchs. Srijan et Rafael ont marqué dans les deux matchs tandis que Tanaka marquait à l’aller puis servait Yokochi au retour. Avec ces performances l’orca est actuellement troisième du classement de JLeague et dernière équipe invaincu avec le Gamba Osaka champion en titre.

		Date		Club	Score	Buteurs
	J4	2/3/2036		Consadole Sapporo	0 - 2	K.Hyun-Suk (58, 80)
	1/4	5/3/2036		Busan IPark	3 - 1	S.Srijan (pen 22, 68), R.Endo (50)
	J5	8/3/2036		Yokohama F. Marinos	3 - 2	D.Omura (41), I.Yatskov (65), K.Hyun-Suk (72)
	1/4	12/3/2036		Busan IPark	1 - 3	J.Osaka (29), Rafael (75, 88)
	J6	16/3/2036		Kashiwa Reysol	1 - 4	Rafael (25), I.Yatskov (83), S.Srijan (pen 86),T.Kawasaki csc (90+5)
	T1	19/3/2036		Shimizu S-Pulse	1 - 3	S.Srijan (pen 45+1), Rafael (47), T.Tanaka (61)
	T1	22/3/2036		Shimizu S-Pulse	3 - 0	S.Srijan (61), Rafael (63), T.Yokochi (84)

- Jリーグランキング -
- Classement -

Clt			Équipe	J	G	N	P	Bm	Be	Diff	Pts
1er			Gamba Osaka	8	7	1	0	18	7	+11	22
2e			Urawa Red Diamonds	7	6	0	1	20	6	+14	18
3e			Nagoya Grampus	6	5	1	0	16	4	+12	16
4e			Yokohama FC	8	4	3	1	14	9	+5	15
5e			Vissel Kobe	8	4	2	2	18	13	+5	14
6e			Kyoto Sanga	8	3	3	2	9	9	0	12
7e			Kashiwa Reysol	8	4	0	4	13	14	-1	12
8e			FC Tokyo	8	3	2	3	11	8	+3	11
9e			Yokohama F. Marinos	8	3	2	3	9	9	0	11
10e			Tokyo Verdy	8	3	1	4	9	12	-3	10
11e			Kashima Antlers	8	3	1	4	9	12	-3	10
12e			Sagamihara	8	3	1	4	7	12	-5	10
13e			Kawasaki Frontale	7	2	3	2	19	16	+3	9
14e			Cerezo Osaka	8	2	2	4	14	19	-5	8
15e			Machida Zelvia	8	2	1	5	11	14	-3	7
16e			Albirex Niigata	8	1	4	3	8	11	-3	7
17e			Renofa Yamaguchi	8	2	1	5	8	19	-11	7
18e			Vegalta Sendai	8	1	3	4	8	12	-4	6
19e			Consadole Sapporo	8	1	3	4	5	11	-6	6
20e			Sanfrecce Hiroshima	8	1	2	5	6	15	-9	5

- ャンピオンズリーグ準決勝の組み合わせ -
- Tirage de Ligue des Champions - 1/2 Finale -

L’orca sur un nuage avec son nouveau coach compte déjà 11 matchs sans défaite cette saison. Anibal approche lui la centaine de matchs sans défaites consécutifs. Et si Busan s’est incliné comme Ulsan au tour précédent, le tirage a une nouvelle fois était favorable avec le club nippon qui retrouvera les coréens de Pohang en demi finale. Le rêve de disputer une finale de Champion’s n’a jamais été aussi proche pour l’orca qui pourrait retrouvé en finale Al Hilal ou Al Sadd.

- 得点ランキング -
- Classement des buteurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
				Rafael	10 (2)	10	0
			Surat	Srijan	8 (3)	9	3
			Ko	Hyun-Suk	3 (6)	3	1
			Shogo	Kumagai	8 (2)	2	1
			Hiroshi	Ono	4 (2)	2	2

- 合格者ランキング -
- Classement des passeurs -

	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
	Nat	Nat	Prénom	Nom	MJ	Buts	Assists
			Genta	Nakazawa	8 (2)	0	4
			Ryuji	Endo	6 (2)	1	3
			Daisuke	Omura	6	1	3
			Takashi	Tanaka	7 (1)	1	3
			Surat	Srijan	8 (3)	9	3

- Chapitre 426 - - Tirage au sort de Champion’s -	- Chapitre 428 - Coming SOON - 15/12

[Tiien]

De superbes résultats, par contre le Gamba est chaud bouillont, faudra pas faire d’erreur

[alexgavi]

La série d’invincibilité d’Anibal se poursuit ! Hormis le nul, ce n’est que le vert de la victoire

[VertPourToujours]

Sacré début de saison encore une fois. Pas d’accrocs Annibal survol le monde asiatique…
Mais c’était prévu…

[Rhino]

Un démarrage très tranquille

[Manthyz]

Je me demande à quand remonte la dernière défaite d’une équipe coachée par Anibal …

[toopil]

Tu vas taper tout les clubs Sud-Coréen?

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Tiien ouais ils sont chaud à Osaka, j’étais pas prêt ça va nous obliger à être archi constant. Le premier qui va enchainer des nuls tombera.

@alexgavi yep la série continue ça fait plaisir.

@VertPourToujours On pouvait s’y attendre en effet. Après sans prépa c’était un peu tout ou rien. Mais je reconnais je m’attendais à plus d’adversité quand même.

@Rhino que va piano va sano.

@Manthyz alors ça je peux te dire ça remonte au 5 Novembre 2034 contre le Deportes Quindío en Liga Betplay avec Envigado où on avait pris un beau 3 - 0 en tournoi de cloture. On est donc à 102 matchs sans défaite et 503 jours d’invincibilité.

@toopil On les manges comme des sushis

- アニバルを追うケルト人 -
- le Celtic sur la piste d’Anibal -

À peine installé au Japon, Anibal Guimarães faisait déjà parler de lui au-delà des frontières asiatiques. Sa série d’invincibilité, débutée lors de son mandat avec Palmeiras et prolongée avec Nagoya Grampus, attirait des regards admiratifs. Mais c’est en Europe que l’intérêt prenait une nouvelle ampleur.

Parmi les clubs en quête de renouveau, le Celtic Glasgow, monument du football écossais, semblait déterminé à en faire son futur entraîneur. Une initiative audacieuse qui pourrait précipiter un retour inattendu du coach portugais sur le Vieux Continent.

Cela faisait trois saisons que le Celtic Glasgow, autrefois dominateur en Écosse, vivait dans l’ombre de ses rivaux, les Rangers et les Hearts. Le limogeage récent de Frank Lampard, incapable de redresser la barre, symbolisait une crise profonde au sein du club. Avec un effectif talentueux mais désorganisé, les dirigeants savaient qu’ils avaient besoin de plus qu’un simple entraîneur. Ils avaient besoin d’un visionnaire, capable de transformer la culture du club.

Anibal Guimarães correspondait parfaitement à ce profil. Sa réputation de bâtisseur, combinée à ses résultats flamboyants en Amérique du Sud et en Asie, faisait de lui un candidat idéal pour réveiller le géant endormi qu’était le Celtic.

Rafaela Pimienta, agent et confidente d’Anibal, confirma à son client que des discussions avaient commencé avec le Celtic. Leur direction n’était pas seulement intéressée par ses talents tactiques, mais aussi par sa capacité à construire un projet à long terme, une spécialité d’Anibal. “Ils te veulent vraiment, Ani. Ils savent que leur projet prendra du temps, et ils pensent que tu es l’homme capable de tout reconstruire.”

Anibal surpris tout autant que flatté n’oubliez cependant pas qu’il venait d’arrivée au japon et qu’il était de toutes façon toujour suspendu. “C’est flatteur, mais je suis sous contrat ici. Et je ne peux pas oublier que l’UEFA m’a suspendu.”

Mais l’équation avait changé, le Celtic était prêt à se battre et son statut de club historique cumulé au cv parfait d’Anibal depuis son départ pouvais faire fléchir l’instance. “Ils sont prêts à se battre pour toi. Ils veulent contester ta suspension. Si on gagne, tu pourrais être libre d’entraîner en Europe dès cet été.”

Déterminé à ramener Anibal en Europe, le Celtic engagea une équipe juridique pour contester la sanction de l’UEFA. Leur argument principal ? Le comportement irréprochable d’Anibal depuis sa suspension, son rôle dans la formation de jeunes joueurs et son implication dans des projets sportifs d’envergure.

Pour le club écossais, réduire la suspension d’Anibal serait une victoire juridique et médiatique. Cependant, l’issue restait incertaine, et Anibal savait qu’il ne pouvait pas tout miser sur cette bataille.

Pendant ce temps, à Nagoya, les dirigeants étaient bien conscients de l’intérêt croissant pour leur entraîneur. Le président Jin Suzuki et le directeur sportif Keito Hiraoka tenaient à garder Anibal jusqu’à la fin de son contrat, surtout avec une Ligue des champions asiatique en ligne de mire.

Lors d’une réunion, Jin Suzuki posa la question directement “Ani-san, pouvez-vous nous garantir que vous resterez jusqu’à la fin de la saison ?” Anibal était clairement mal à l’aise par la situation. Mais confirma sa volonté de tenir ses engagements. “Je suis pleinement engagé ici, Jin-san. Mais je ne peux pas ignorer ce qui se passe. Si je dois partir, ce sera uniquement après avoir mené Nagoya au sommet.”

Nagoya rassuré et flatté par le sens de l’honneur ne ferma pas totalement la porte à un départ d’Anibal, mais posa une condition : un sacre en Ligue des champions asiatique.

Alors qu’Anibal continuait à mener Nagoya avec succès, il restait tiraillé. La perspective de revenir en Europe, où il avait forgé sa légende, était séduisante. Mais il ne voulait pas abandonner un projet en cours.

Lors d’une conversation avec sa femme Yessica, il exprima ses doutes “Et si je revenais trop tôt ? Nagoya est un bon projet, mais je ne peux pas ignorer l’appel du Celtic.”

Yessica tenta de le rassurer comme toujours. “Ani, tu as énormément appris depuis notre départ de Turin, ta sanction a toujours été injuste. ce serait un juste retour des choses. Mais n’oublie pas ce que nous avons appris ces dernières années. La stabilité compte autant que les trophées. Et on ne va pas se mentir notre but c’est de revenir en Europe.”

Les prochains mois s’annonçaient déterminants pour Anibal. Alors que le Celtic intensifiait ses démarches et que la saison asiatique progressait, une décision de justice pourrait tout changer. Si l’UEFA maintenait la suspension, le Celtic devrait patienter. Mais si celle-ci était réduite, un retour triomphant en Europe semblait inévitable.

Pour l’heure, Anibal restait concentré sur Nagoya, conscient que son destin se jouait sur plusieurs fronts. Le Japon lui avait offert une nouvelle étape dans sa carrière, mais l’appel de l’Europe continuait de résonner. Le duel entre ambition personnelle et engagement professionnel allait définir la suite de sa légende.

- Chapitre 427 - - Nagoya et Anibal, impérial -	- Chapitre 429 - Coming SOON - 16/12

[Manthyz]

Anibal a toujours été un homme de parole, partir ainsi de Nagoya serait une tâche indélébile sur le bilan du Portugais…

[CaptainAmericka]

Non frérot, commence pas à gifler tout le monde… Ca y est t’as déjà éteint tout espoir qu’on te voit galérer…

Je mise sur Rafael meilleur buteur, talonné de très près par Srijan !!

Le Celtic c’est beau, mais faut pas y aller. Du moins si tu recherches un peu d’adversité ! Parce que là, tu vas arriver, tu vas coller des 7-0 tous les week-ends et basta !