:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

[Groot]

Réponses aux lecteurs

@Rhino c’est certain.

@Lincoln6Echo Pour l’instant pas de vagues Ruben s’est un peu rabiboché avec Ani en le soutenant face à la justice et en privé.

- もっと悪くなる可能性もあった -
- Cela aurait pu être pire -

Assis dans un salon privé d’un hôtel prestigieux de Tokyo, Anibal Guimarães et le directeur sportif de Nagoya Grampus, Keito Hiraoka, attendaient avec une attention soutenue le tirage au sort de la Ligue des champions asiatique. Cette compétition était l’un des grands objectifs de la saison pour le club, qui espérait marquer de son empreinte le continent.

Anibal avait un souhait particulier : éviter les clubs saoudiens, qui dominaient les dernières éditions grâce à leurs investissements colossaux et leurs effectifs regorgeant de stars internationales. Lorsque les boules furent tirées, un soupir de soulagement se fit entendre du côté du coach portugais.

Le tirage ne fut toutefois pas clément. Nagoya Grampus hériterait du redoutable Ulsan Hyundai, club coréen au palmarès impressionnant en Ligue des champions asiatique. Ces trois dernières saisons, les Tigres d’Ulsan avaient atteint au minimum les demi-finales, et leur président, l’ancien international coréen Ji-Sung Park, avait des ambitions démesurées pour cette édition.

Ce tirage avait une saveur particulière pour Anibal. Il y a quelques semaines à peine, Ji-Sung Park avait tenté de le convaincre de rejoindre Ulsan. Si Anibal avait choisi Nagoya, il savait qu’un affrontement avec ce club serait marqué par une compétition d’égo et de prestige ce qu’il partagea avec son supérieur. “C’est un tirage difficile, mais c’est aussi une opportunité. Si nous voulons prouver que nous sommes sérieux dans cette compétition, il faut battre les meilleurs.”

Keito Hiraoka, plus pragmatique, ajouta “Ulsan est un adversaire redoutable, mais nous avons nos propres atouts. Avec un coach comme Anibal et un effectif bien équilibré, nous sommes prêts à relever ce défi.”

Ulsan Hyundai, avec son jeu rapide et technique, était réputé pour sa solidité défensive et son efficacité offensive. Sous la houlette de leur entraîneur sud-coréen Kim Dong-suk, l’équipe combinait des joueurs locaux talentueux et quelques stars internationales.

Ji-Sung Park, lors d’une interview après le tirage, avait fait une déclaration directe “C’est un honneur d’affronter Nagoya et Anibal. Nous savons qu’ils ont une équipe talentueuse, mais à Ulsan, nous jouons toujours pour gagner. Nous allons lui faire regretter d’avoir préférer le Japon. Ce sera une belle bataille tactique.”

Le duel entre Nagoya et Ulsan s’annonçait tactiquement passionnant. Anibal, connu pour sa capacité à s’adapter, allait devoir préparer ses joueurs à affronter un adversaire rapide, physique, et habitué aux grandes échéances.

Les attentes étaient également énormes sur Rafael, la jeune pépite brésilienne récemment arrivée en prêt, et sur Shogo Kumagai, qui avait beaucoup à prouver face à une équipe coréenne après son passage mitigé en Europe.

De retour à Nagoya après le tirage, Anibal réunit immédiatement son staff technique pour commencer à préparer la double confrontation. “Nous avons une chance incroyable. Battre Ulsan nous donnerait un élan psychologique énorme. Mais il faudra être discipliné, intelligent, et jouer avec le cœur.”

Pour les supporters de Nagoya Grampus, ce tirage représentait une promesse de spectacle. Le stade Toyota s’apprêtait à vibrer pour accueillir ce choc asiatique entre deux grandes équipes, et pour beaucoup, c’était l’occasion de prouver que Nagoya pouvait rivaliser avec les meilleures équipes du continent.

Avec son sens tactique aiguisé et son expérience dans les grandes compétitions, Anibal savait qu’une belle page de l’histoire du club pouvait s’écrire à travers ce duel. Le défi était immense, mais le coach portugais, fidèle à son habitude, ne voyait là qu’une nouvelle opportunité de briller.

- Chapitre 425 - - Toyota chouchoute Anibal et les siens -	- Chapitre 427 - Coming SOON - 15/12