:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Rhino c’est normal aussi vu son palmarĂšs que les clubs soient exigeants avec lui. ça me choque pas. Typiquement IRL Amorim arrive Ă  United. DĂ©solĂ© mais pour moi on doit lui demander de jouer le titre et de gagner l’Europa League :no:

@celiavalencia comme toujours. aprĂšs j’avoue que j’ai hĂąte de revenir en Europe pour retrouver plus d’adversitĂ©.

@toopil oui il aime les défis.

@alexgavi c’est exactement ça c’est assez merdique en vrai :hoho: ça veut surtout dire que y’a pas de prĂ©pa en faite. Ta prĂ©pa c’est le premier tour Ă©liminatoire si tu as de la chance et que tu Ă©vites un club saoudien :sac:

@CaptainAmericka Ah ouais ? j’en ai fail ? C’est possible. HonnĂȘtement l’effectif c’est le post le plus chiant et long Ă  prĂ©parer avec ma prĂ©sentation :sob: Quand j’enchaines les saisons dans un mĂȘme club ça va mais quand tu repars de zĂ©ro c’est le plus relou. L’effectif est bon clairement. De ce que j’ai vu c’est TOP 3 japonais a priori. C’est moins monstrueux qu’au BrĂ©sil mais c’est fort logique. Palmeiras c’est la meilleure acadĂ©mie brĂ©silienne. et le Japon a tendance a sortir moins de crack que le BrĂ©sil. MĂȘme si je trouve que c’est surtout Ă  cause du niveau du championnat et de la frigiditĂ© des clubs et joueurs Ă  s’exporter.

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- Toyota chouchoute Anibal et sa famille -

Depuis son arrivĂ©e au Japon, Anibal GuimarĂŁes a dĂ©couvert un environnement qu’il qualifie lui-mĂȘme de “parfaitement calibrĂ©â€. Nagoya Grampus, soutenu par son puissant partenaire Toyota, n’a pas lĂ©sinĂ© sur les moyens pour offrir au coach portugais et Ă  son staff des conditions de vie et de travail idĂ©ales.

Anibal, sa femme Yessica, et leur fille Beatriz, Ă  peine ĂągĂ©e de quelques mois, vivent dans un loft ultra-moderne situĂ© au cƓur de Nagoya. Ce loft spacieux, Ă  la pointe de la technologie, offre une vue imprenable sur la ville. Les murs dĂ©corĂ©s d’Ɠuvres d’art minimalistes japonaises crĂ©ent une ambiance zen, parfaite pour se dĂ©tendre aprĂšs les longues journĂ©es de travail.

Pour faciliter leur quotidien, Toyota a mis Ă  leur disposition un chauffeur personnel au volant d’une Lexus de luxe, symbole du savoir-faire japonais. En parallĂšle, un chef cuisinier privĂ© prĂ©pare des plats Ă  la fois Ă©quilibrĂ©s et dĂ©licieux, mĂȘlant cuisine japonaise et occidentale pour satisfaire les goĂ»ts d’Anibal et de sa famille. Une traductrice attitrĂ©e accompagne Ă©galement le coach dans toutes ses interactions, que ce soit au club ou dans la vie quotidienne.

Yessica, qui craignait au dĂ©part le choc culturel, s’est vite sentie Ă  l’aise dans cet environnement. Avec la mise Ă  disposition de billets d’avion par Toyota, ses proches peuvent venir lui rendre visite Ă  tout moment, une attention qui a su toucher le couple.

Anibal a insistĂ© pour que Javi Sanchez, son fidĂšle adjoint, bĂ©nĂ©ficie du mĂȘme traitement. “Si je suis bien ici, Javi doit l’ĂȘtre aussi”, avait-il confiĂ© lors des nĂ©gociations avec le club. Toyota, soucieux de rĂ©pondre aux attentes de son entraĂźneur vedette, a accordĂ© Ă  Javi un logement tout aussi luxueux, ainsi qu’une Lexus et un chef personnel.

Javi, qui n’avait jamais connu un tel traitement dans sa carriĂšre, avoue ĂȘtre impressionnĂ© par l’investissement du club "Je savais que le Japon offrait une certaine qualitĂ© de vie, mais je ne pensais pas qu’ils iraient aussi loin pour nous. Cela nous pousse Ă  vouloir rendre cette confiance sur le terrain.”

Ce dispositif luxueux n’est pas qu’un geste de courtoisie, c’est une vĂ©ritable stratĂ©gie de Toyota. Le gĂ©ant automobile voit en Nagoya Grampus une vitrine pour son image Ă  travers l’Asie. En s’attachant les services d’un coach au palmarĂšs impressionnant comme Anibal, Toyota mise sur une domination sportive dans la J.League et la Ligue des champions asiatique.

Jin Suzuki, le prĂ©sident du club, ne cache pas ses ambitions "Nous ne faisons pas les choses Ă  moitiĂ©. Avec Anibal, nous avons un leader qui sait gagner. Notre devoir est de lui donner tous les outils pour qu’il puisse travailler dans les meilleures conditions.”

MalgrĂ© tout ce luxe, Anibal n’oublie pas sa mission principale : redorer le blason de Nagoya Grampus. Le retour Ă  la compĂ©tition est imminent, et les premiĂšres sĂ©ances d’entraĂźnement ont permis au coach portugais de prendre la mesure de son effectif. Il s’appuie sur des jeunes prometteurs comme Shogo Kumagai et Rafael, mais aussi sur des cadres expĂ©rimentĂ©s. Il fut d’ailleurs surpris de dĂ©couvrir la lĂ©gendaire implication japonaise. “Les infrastructures sont incroyables, mais ce qui m’a le plus marquĂ©, c’est l’implication des joueurs. Ici, il n’y a pas de place pour la demi-mesure. Ils donnent tout Ă  chaque entraĂźnement, et c’est exactement ce que j’attends.”

S’il est conscient des attentes, Anibal voit cela comme une source de motivation. “Quand on investit autant sur vous, vous n’avez pas le droit Ă  l’erreur. Mais je suis habituĂ© Ă  la pression, et je prĂ©fĂšre qu’elle soit positive comme ici. Mon objectif est simple : gagner, faire progresser cette Ă©quipe, et laisser un hĂ©ritage durable.”

InstallĂ© dans son loft avec une vue panoramique sur Nagoya, Anibal passe une derniĂšre soirĂ©e calme avec Yessica avant le dĂ©but de la saison. Le couple, malgrĂ© les dĂ©fis passĂ©s, savoure cet instant de sĂ©rĂ©nitĂ©. “Tu sais, Ani, je n’aurais jamais imaginĂ© que le Japon puisse ĂȘtre si accueillant. Si tout se passe bien, peut-ĂȘtre qu’on pourrait envisager de rester un peu plus longtemps ?”

Anibal esquisse un sourire. Pour lui, ce n’est pas encore le moment de penser Ă  l’avenir. La compĂ©tition approche, et il savai qu’une grande saison pourrait marquer un nouveau tournant dans sa carriĂšre. Avec Toyota et Nagoya Grampus Ă  ses cĂŽtĂ©s, l’“Imperatore” portugais est prĂȘt Ă  conquĂ©rir l’Asie.

- Chapitre 424 -
- présentation de la saison japonaise -
- Chapitre 426 -
Coming SOON - 14/12
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