Réponses aux lecteurs
@CaptainAmericka on verra si c’est pas lui ce sera un autre 
@Rhino ça toujours après est-ce que ça va payer c’est autre chose.
@VertPourToujours il est ambitieux et dans un très grand club ça se comprends aussi.
@Nehoc il rode toujours ce serpent 
La soirée s’étirait doucement à Madrid, laissant place à une ambiance feutrée et chaleureuse dans le restaurant sélect où Anibal Guimarães retrouvait Ronaldo. La réputation de l’établissement n’était plus à faire, souvent choisi par les stars du football pour célébrer leurs victoires. Ce soir, c’était pourtant une tout autre raison qui réunissait les deux hommes : les récentes prouesses sur le marché des transferts du Real Valladolid.
Ronaldo, arborant un sourire radieux, accueillit Anibal avec chaleur. Il était impatient de partager les fruits de son dernier voyage au Brésil, où il avait mis à profit ses précieuses relations pour attirer de nouveaux talents vers Valladolid.
« Anibal, mon ami ! Quel plaisir de te retrouver », s’exclama Ronaldo, tandis que les serveurs les installaient à leur table. « Alors ces premières semaines au club ? Tout se passes bien ? Tu as tout ce dont tu as besoin ? Tu n’imagines pas les trésors que j’ai rapportés du Brésil pour notre club. »
Anibal, curieux et enthousiaste, inclina légèrement la tête pour signifier son intérêt.
« Je suis tout ouïe, Ronaldo », répondit-il. « Quelles sont ces pépites que tu as dénichées pour nous ? »
Un sourire malicieux éclaira le visage de Ronaldo alors qu’il annonçait fièrement la première nouvelle : la signature d’Estevão, un jeune prodige de Palmeiras, pour un montant record de 18 millions d’euros.
« Estevão, tu dis ? » s’étonna Anibal, les yeux pétillants d’excitation. « C’est une incroyable nouvelle, Ronaldo ! J’ai vu qu’il entré peu à peu dans la rotation de son club. Mais tous les gros d’Europe étaient sur lui non ?»
Ronaldo expliqua le détail de ce transfert. « Si si j’en parlais justement avec Juni Califat du Real Madrid qui a signé Endrick il y a quelques années. En fait, le gros problèmes ces dernières saisons c’est que le TOP 10 s’accapare ces talents comme Liverpool avec Bardjhi, Echeverri ou Prestianni, mais le soucis c’est qu’ils ne jouent pas. Et les familles surveillent d’autant plus cela désormais. La folie Mbappé, Vinicius, Endrick c’est fini. Maintenant les entourages regardent le temps de jeu quitte à viser des steps intermédiaires. Lille avait un avantage sur nous mais ils devaient vendre leur islandais apparemment. J’ai profité de mon aura pour boucler le deal. »
Les deux hommes échangèrent un regard complice, conscients de l’impact que cette acquisition pourrait avoir sur l’équipe. Mais Ronaldo avait encore une autre surprise en réserve.
« Ce n’est pas tout », continua Ronaldo avec un brin de mystère dans la voix. « J’ai également réussi à convaincre un autre talent prometteur de nous rejoindre. »
Anibal, intrigué, attendit avec impatience la révélation suivante. C’est alors que Ronaldo annonça l’arrivée de Gilson, un jeune ailier en provenance de Sao Paulo, dont le transfert avait été négocié pour 7 millions d’euros.
« Gilson ? » murmura Anibal, réfléchissant à haute voix. « Je dois avouer que je ne connais pas encore très bien son profil. »
Ronaldo, toujours aussi charismatique, prit le temps d’expliquer en détail le potentiel de Gilson et le rôle qu’il pourrait jouer dans l’équipe.
« Anibal, je sais que c’est une décision importante », déclara-t-il avec sérieux, « mais je te demande de faire confiance à notre vision. J’ai étudié son profil sur conseil de Luis. Certes en ailier il est un peu faible. Mais il ferait un très bon piston. Luis a beaucoup échangé avec lui et son entourage et l’a convaincu. Il sait qu’on a déjà des joueurs à son poste et est prêt à jouer avec nos U19 le temps de progresser.»
Anibal, touché par la sincérité de Ronaldo, lui adressa un sourire reconnaissant.
« Merci, Ronaldo. Je vais étudier attentivement le dossier de Gilson, notre mercato avance bien, je suis ravi», assura-t-il. « Nous avons besoin de toute l’expertise et de la détermination dont nous pouvons disposer pour mener le Real Valladolid vers de nouveaux sommets. »