Réponses aux lecteurs
@Rhino j’aime beaucoup les deux profils mais avec Ivano y’a du taf 
T’aimes pas l’ensemble Gucci d’Anibal ? 
@Tiien en effet.
@CaptainAmericka c’est un peu l’idée et puis Castillo vu le prix c’est un cadeau.
@VertPourToujours mouais autant Larsonneur est bon autant Green 
@Nehoc même pas 5M dépensé c’est honnête les deux sont pas parfait mais y’a de l’avenir.
@Dubois Du Gucci mon ami
@Mourinho oui j’aime beaucoup
Anibal Guimarães avait pris l’avion pour Liverpool avec un mélange d’anticipation et de détermination. Son objectif : rencontrer Claudio Echeverri, le jeune talent argentin dont la carrière semblait stagner depuis son arrivée à Liverpool. À seulement 21 ans, Echeverri avait été propulsé sur la scène internationale avec son transfert de River Plate pour 10 millions d’euros en 2025, mais il se retrouvait maintenant relégué à l’équipe réserve des Reds, loin des feux des projecteurs et de ses aspirations initiales.
Alors qu’Anibal pénétrait dans les coulisses du stade emblématique d’Anfield, il ne pouvait s’empêcher de ressentir une certaine excitation mêlée d’appréhension. Il avait minutieusement préparé son entretien avec Echeverri, espérant lui offrir une perspective nouvelle et motivante pour son avenir.
Une fois face à Claudio, Anibal prit le temps de sonder ses sentiments et ses aspirations, cherchant à comprendre les raisons de sa stagnation à Liverpool et à lui présenter une alternative prometteuse.
« Enchanté Claudio, je crois savoir que ton agent Jorge t’a déjà parler de moi et de mes principes de jeu ? je comprends que ta situation à Liverpool puisse être frustrante. Mais je crois fermement que Valladolid peut te fournir l’environnement et les opportunités dont tu as besoin pour retrouver ton meilleur niveau et réaliser pleinement ton potentiel. J’ai une approche un peu différente je ne te vois pas comme un 10 mais comme un milieu offensif polyvalent. Dans mon esprit tu débuterais sur l’aile avant de te recentrer et de dicter notre jeu. »
Echeverri exprima ses doutes quant au niveau compétitif de la Liga Hypermotion et sur l’instabilité chronique de Valladolid, s’interrogeant sur sa capacité à s’épanouir dans un tel environnement.
« Coach, votre parcours vous honore et le jeu de vos équipes fait beaucoup parler. Ousmane Diomandé m’en a parlé. , je vous suis reconnaissant pour cette opportunité, mais je crains que le niveau de la Liga Hypermotion ne soit pas à la hauteur de mes ambitions. Je veux jouer au plus haut niveau et progresser en tant que joueur. J’aimerais plus être prêté en première division et je vais pas vous cacher que Fulham, Alavès ou même Burnley en Championship me semble plus compétitif »
Anibal écouta attentivement les préoccupations de Claudio, conscient des défis qu’il devait relever pour le convaincre de rejoindre Valladolid. Il lui présenta alors son plan pour l’équipe, mettant en avant le style de jeu offensif et dynamique qu’il souhaitait instaurer, ainsi que les opportunités de développement et de visibilité offertes par le club.
« Je comprends tes doutes, Claudio. Mais je crois fermement que Valladolid peut te fournir l’environnement dont tu as besoin pour briller à nouveau. Nous avons un projet ambitieux avec les nouveaux investisseurs et nous montons une équipe solide et je veux que tu en fasses partie. L’important n’est pas la destination tu sais mais le chemin parcouru. les tactiques des clubs que tu me cites ne te mettront pas en valeur sans les remettre en cause. Et puis quitte à venir en Espagne. Alavès… Amorim et son jeu ennuyant ? Tu vaux bien mieux crois moi, même s’il faut parfois viser moins ambitieux. »
Pendant qu’ils discutaient, le téléphone d’Anibal se mit à sonner. C’était Ronaldo, le propriétaire du Real Valladolid, qui l’informait qu’il avait conclu l’arrivée d’une nouvelle recrue pour le flanc droit de l’attaque, une nouvelle qui pourrait changer la donne dans les négociations avec Echeverri.
« Anibal, j’ai de bonnes nouvelles. Nous avons bouclé l’arrivée d’une recrue pour l’aile droite. Il arrive du Brésil demain. Nous devrions en discuter en personne à Madrid. Tu es avec Echeverri je crois, salue le de ma part et parle lui de notre futur ailier. »
Intrigué par cette annonce, Echeverri écouta attentivement la conversation, réservant sa réponse pour le moment.
La rencontre prévue avec Ronaldo à Madrid promettait d’être décisive, mais pour l’instant, Claudio Echeverri gardait ses cartes près de lui, pesant les options qui s’offraient à lui. Anibal, quant à lui, restait déterminé à convaincre le jeune prodige de rejoindre Valladolid et à lui offrir une chance de relancer sa carrière en Espagne.