:storygreen: :s23: 🇵🇹 :fpf: :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@FC_Guimaraes

@toopil Je savais que certains sont plus attirés par les images :pasrire:

@CaptainAmericka c’est une pelouse de tour de batiment balec :sac: Je pense c’est plutot la grosse paire de boobs qui l’ont perturbé :hoho:

@Rhino C’est bien possible c’est un gros baiseur @Manthyz, euh je veux dire Lamar :sac:

@VertPourToujours bah non c’est sa meuf :sadpepe: :sadpepe: :sadpepe: :sadpepe:

- MĂĽller : « AltaĂŻr a fait son temps Ă  Vianense Â» -

Munich. Conférence d’après-match. Une phrase, un signal.

Il avait répondu à tout avec le sourire qu’on lui connaissait. Les journalistes riaient, lui aussi.

Mais quand la question toucha le cœur de la défense du Bayern, Thomas Müller changea de ton.

« Il faut penser à l’avenir. Et pas seulement dans nos académies. Altair ? Son nom est souvent lié à notre club ces derniers mois. Il est prêt. Il a fait son temps au Portugal. Il faut viser plus grand quand on est fait pour ça. Il a tout, il me fait penser à un autre central brésilien que j’ai connu, Dante.»

Thomas Müller, 54 ans, aujourd’hui coach principal du Bayern Munich, n’avait jamais été homme à faire dans l’hypocrisie. Ancienne légende allemande, champion du monde, icône de rigueur et de malice tactique, il avait entamé une reconversion posée, réfléchie, exigeante.

Et depuis plusieurs mois, son œil s’était posé sur Vianense. Plus précisément, sur Altair.

Altair, 18 ans, défenseur central brésilien, formé à Vianense depuis l’adolescence, venait de prolonger jusqu’en 2046, avec une clause évolutive.

Un engagement fort. Un signal de loyauté.

Mais à Munich, le départ prochain du capitaine Pablo Medina obligeait le club à préparer l’avenir.

Et le nom d’Altair revenait sans cesse dans les couloirs de la Säbener Straße.

La déclaration de Müller fit rapidement le tour du Portugal. À Viana do Castelo, Aníbal Guimarães ne s’emporta pas.

Il n’en avait pas besoin. Questionné par Record, il répondit calmement :

« Thomas Müller a été un très grand joueur. Il sait repérer le talent. Mais ici, nous n’avons jamais forcé personne à rester. Altair sait où il est. Et surtout, pourquoi il y est encore. »

Le joueur, lui, ne commenta pas. Pas un mot. Juste une story sur ses réseaux, montrant l’écusson de Vianense brodé sur son maillot, suivie d’un seul mot : “Presente”

Mais dans le bureau de Hugo Viana, les téléphones avaient recommencé à sonner.

Et les offres pourraient suivre. Car quand le Bayern parle, l’Europe écoute.

À Vianense, on savait que les éloges des géants sont parfois le prélude aux adieux.

Mais pour l’instant, Altair restait un Cavalier. Et tant qu’il l’était, il tiendrait la ligne, la tête haute, et le cœur en armure.

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- Pignatelli en stage Ă  Wrexham -
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Coming SOON - 03/06
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