:storygreen: :s19: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@FC_Guimaraes

@CaptainAmericka il parle, il parle

@Sythax A lui de faire sa carrière

@alexgavi c’est ça qu’il se débrouille nous on s’en fout on avance. :hoho:

@VertPourToujours Il est surement mal conseillé

@rhino Non pas de quoi s’inquiéter, on est droit dans nos bottes.

-ZOOM-
5 choses à savoir sur Sérgio Mata

- - - Sérgio
Mata - - -
Âge
18
Nationalité :portugal: Portugais
valeur 46-54M€
Salaire 132k€/m
Fin de contrat 30 Juin 2045
:desktop_computer:
Titulaire :four_star: :four_star_half:
ANNEES CLUB :groot_played: :groot_scored: :groot_assist:
:portugal: 37/38 [U19] :vianense: SC Vianense 7 3 2
:portugal: 37/38 [B] :vianense: SC Vianense B 3 3 1
:portugal: 37/38 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 2 0 0
:portugal: 38/39 :ligaportugal2: [PRO] :vianense: SC Vianense 26 3 4
:portugal: 39/40 :ligaportugal2: [PRO] :vianense: SC Vianense 41 18 12
:portugal: 40/41 :ligaportugal: [PRO] :vianense: SC Vianense 37 6 7
:portugal: 40/41 :uefa: [U21] :fpf: Portugal U21 6 1 3
37-41 TOTAL - - - - - 106 27 23

LE CHOIX DU CĹ’UR

Depuis tout petit, Sergio Mata n’a qu’un seul club en tête : le SC Vianense. Né à Viana do Castelo, formé sur les terrains bosselés de la formation locale, il a pourtant reçu des offres prestigieuses. À 13 ans, Benfica lui propose un logement à Seixal et un programme personnalisé. Un an plus tard, le Sporting tente de le séduire avec la perspective d’intégrer l’académie de l’Alcochete. Mais Sergio refuse tout. Pour lui, Vianense n’est pas un tremplin, c’est une finalité. “Je ne veux pas être formé ailleurs pour revenir. Je veux rester, grandir ici et porter le brassard un jour”, confiait-il déjà à 14 ans. Cette loyauté rare dans le football moderne a marqué les supporters et renforcé le lien unique qui l’unit au club.

LE PLUS JEUNE DE L’HISTOIRE DU CLUB

Sergio Mata n’a pas eu besoin d’attendre sa majorité pour goûter au haut niveau. En 2038, alors qu’il n’a que 15 ans et quelques mois, il est lancé dans le grand bain de la Liga Portugal Betclic, devenant le plus jeune joueur à porter les couleurs de Vianense en championnat. Ce jour-là, contre le Marítimo, il entre à la 71e minute, provoque un penalty à la 77e et récolte une ovation digne d’un vétéran. Depuis ce jour, il n’a cessé de grimper, s’imposant comme l’un des talents les plus précoces et complets du football portugais. Sa précocité est telle que certains médias parlent déjà de lui comme d’un “mini-Figo de la côte nord”.

UNE HISTOIRE DE FAMILLE

Pour Sergio, le SC Vianense, c’est bien plus qu’un club : c’est une histoire familiale. Son père, Manuel Mata, est intendant au club depuis plus de deux décennies. Il a vu passer des dizaines de générations, essuyé des crampons, préparé des maillots, organisé les déplacements. Et chaque soir, c’est avec fierté qu’il rentre chez lui et raconte à Sergio les petites histoires de vestiaire, les anecdotes sur les anciens. Quand son fils a signé pro, c’est tout naturellement que Manuel a encadré son premier maillot dans le local du matériel, entre celui de l’ancien capitaine et celui du président fondateur. “Il porte ce maillot avec mon cœur cousu dedans”, dit-il.

L’ADO D’ADIDAS

Dès l’âge de 12 ans, Adidas repère Sergio Mata lors d’un tournoi de jeunes à Braga. Son explosivité, sa gestuelle et son charisme naturel séduisent immédiatement les représentants de la marque allemande. En quelques semaines, il devient l’un des plus jeunes athlètes jamais sponsorisés par Adidas Portugal. Depuis, il ne jure que par les F50 aux lacets fluo, prend la pose dans des shootings européens aux côtés de stars bien plus âgées, et apparaît régulièrement dans des campagnes ciblées pour la génération Z. Mais Sergio reste lucide : “Les chaussures ne font pas le joueur. C’est le joueur qui fait briller les chaussures.”

LIÉ PAR LE SANG À LAMINE YAMAL

Peu de gens le savent, mais Sergio Mata partage une lointaine parenté avec l’un des phénomènes du football mondial : Lamine Yamal. Par sa mère, d’origine marocaine, il est le cousin éloigné de la pépite du FC Barcelone. Une anecdote familiale qu’il évoque rarement, mais qui ajoute un soupçon de magie à son histoire. “On ne se connaît pas vraiment, mais c’est motivant. Savoir que quelqu’un de ma famille a explosé à ce niveau, ça me pousse à rêver plus grand, tout en restant moi-même”, confie-t-il. Car au fond, Sergio n’aspire pas à imiter les autres. Il veut écrire sa propre légende. À Vianense. Là où tout a commencé.

- Chapitre 693 -
- Raimundo dénonce des pressions -
- Chapitre 695 -
Coming SOON - 31/05
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