:storygreen: :s20: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Résumé

@volatil :sadpepe: :sadpepe: je vous passionne plus :cry:

@CaptainAmericka on verra bien ce que ça va donner. Infante va bien intégrer le staff bientot.

- Le dragon appelle, mais l’Imperatore ne bouge pas. -

Vila de Viana do Castelo, 8h47, légère brume sur le terrain principal, les crampons raclent la rosée, les premiers cris résonnent : Vianense est de retour.

Alors que le groupe professionnel retrouvait le chemin de l’entraînement, les regards complices se mêlaient aux passes encore imprécises. Anibal Guimarães, bras croisés, observait, sourire discret au coin des lèvres, ajustant les premières consignes d’un été qui s’annonçait intense.

Mais en coulisses, une rumeur grandissante venait perturber la tranquillité de la cité médiévale. Et pas n’importe laquelle.

Selon plusieurs sources concordantes, le FC Porto aurait coché le nom d’Anibal pour succéder à Bernardo Silva, dont le passage au Dragão aurait laissé le vestiaire dans un flou stratégique.

Le nom d’Anibal, encore auréolé de la montée en Liga Betclic , commençait à circuler sérieusement dans les travées du Dragão .

Sa capacité à faire éclore les jeunes , son projet de jeu audacieux et sa maîtrise du contexte portugais représentaient autant de raisons qui séduiraient la direction portista.

Mais du côté de Vianense, personne ne voulait y croire.

“Il a bâti ce club depuis les fondations. Il ne partirait pas au moment où tout commence.” soufflait un membre du staff, entre deux allers-retours sur le bord du terrain.

Anibal, fidèle à lui-même, n’a pas souhaité s’exprimer publiquement . Aucun mot à la presse, pas même un haussement de sourcil en conférence de presse.

Mais dans l’intimité des couloirs du club, les langues se délient.

Selon nos informations, le coach aurait lui-même décroché son téléphone dans la soirée. À l’autre bout du fil : Hugo Viana, directeur sportif du club, en première ligne des inquiétudes.

“Je voulais que tu l’entendes de moi. Je suis là, en conférence. Concentré. Impliqué. Je n’ai pas fait tout ça pour partir maintenant.”

Des mots simples, mais lourds de sens.

“Ce projet est aussi le sien. Il ne se défile pas.” confiait un proche du vestiaire.

Bien sûr, le prestige du FC Porto n’est pas un appel anodin. Et les prochaines semaines pourraient encore faire frémir les suiveurs du club.

Mais à l’instant T, Anibal est à Vianense. Et surtout, il y est par choix.

“Certains clubs offrent des trophées. D’autres offrent un sens. J’ai choisi le second.”, aurait-il glissé à son staff.

En attendant, Mamadu Mané enchaîne les gammes , Ruben Amorim supervise les jeunes , et le club bleu et blanc s’active, concentré sur un seul objectif : exister en Liga Betclic.

Et Anibal, lui, reste droit dans ses bottes, au cœur de l’histoire qu’il écrit depuis deux ans.

“El Imperatore écoute les rumeurs. Mais il ne quitte pas son armée.”

- Chapitre 634 -
- « Mamadu a tout d’un grand numĂ©ro 9 Â» -
- Chapitre 636 -
Coming SOON - 21/04
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