Résumé
@RedM1nd ça peut aussi se régler à l’amiable
@volatil possible Ă creuser.
@VertPourToujours on s’ennuie sinon
@CaptainAmericka c’est bien possible frérot Pour le coup il s’enflamme le ricain.
@volatil parle pas de malheurs.
La rumeur circulait dĂ©jĂ depuis des semaines, mais cette fois, c’est officiel : Eduardo FelicĂssimo veut quitter le club. L’annonce, bien que prĂ©visible, laisse un goĂ»t amer. En dĂ©but de saison, le milieu dĂ©fensif portugais avait exprimĂ© son dĂ©sir de changer d’air, frustrĂ© par un temps de jeu insuffisant malgrĂ© son talent Ă©vident. Depuis, la situation n’a pas Ă©voluĂ©, et Eduardo, lassĂ© d’attendre une opportunitĂ©, a dĂ©cidĂ© de chercher un nouveau dĂ©fi.
Après une séance d’entraînement, Eduardo est assis dans le vestiaire, son regard perdu dans le vide. Certains coéquipiers viennent le taquiner, mais il reste distant. L’un d’eux, un ami proche, s’assied à côté de lui.
« Alors, tu pars vraiment ? » demanda-t-il.
Eduardo hocha la tête. « Oui. J’aime ce club, mais je ne peux plus rester dans cette situation. J’approche des 30 ans et je veux voir autre chose. Je veux jouer, montrer ce que je vaux. »
Son ami acquiesca, comprenant la frustration qui l’habitait. Eduardo n’est pas du genre à se plaindre publiquement, mais sa patience avait des limites.
Les jours passèrent, et les offres commencèrent à affluer. Parmi elles, deux pistes se détachèrent : une en Italie, où un club de milieu de tableau cherche un joueur solide, et une autre en France, du côté des Girondins de Bordeaux. Selon Record, Bordeaux serait prêt à poser 3 millions d’euros pour s’attacher les services du portugais de 30 ans.
L’idée de rejoindre Bordeaux séduit Eduardo. Le championnat français, avec son mélange d’intensité et de technique, pourrait convenir à son style. De plus, les Girondins, actuellement 13ᵉ de Ligue 1, lui offriraient un rôle clé dans leur projet de redressement.
Son agent, un habitué des négociations délicates, le rassura. « Ils te veulent vraiment, Eduardo. Ils sont prêts à te donner du temps de jeu et à construire autour de toi. »
Eduardo se pris à rêver : jouer dans un pays où le football est suivi avec passion, retrouver la joie de fouler les terrains chaque week-end, et surtout, prouver qu’il peut être décisif au plus haut niveau.
Avant de partir, Eduardo demande à rencontrer Anibal, l’entraîneur principal. Le portugais voulait clarifier les choses et partir en bons termes. « Coach, je voulais vous remercier pour cette année. Je sais que je n’ai pas toujours été à la hauteur, mais j’ai appris beaucoup ici avec vous. Je vous remercie d’avoir compris mon besoin. »
Anibal, assis derrière son bureau, l’écouta attentivement. « Eduardo, tu es un joueur talentueux, mais parfois, les choses ne se passent pas comme on le voudrait. Tu as été un grand serviteur de ce club, ton club. Je comprends ton envie de partir. Si Bordeaux est vraiment intéressé, je te souhaite le meilleur. Tu mérites de connaître ce genre de défi. »
Un silence s’installa. Anibal finit par se lever et tendit la main à Eduardo. « Rappelle-toi juste une chose : où que tu ailles, travaille dur. Le talent, tu l’as. Maintenant, prouve-le. »
Dans les jours qui suivent, les négociations s’intensifièrent. Les Girondins de Bordeaux voulaient conclure rapidement l’affaire. Le directeur sportif du club français voyait en Eduardo une opportunité de dynamiser leur milieu de terrain et de raviver l’intérêt des supporters.
L’accord semblait proche. Si tout se passait comme prĂ©vu, Eduardo FelicĂssimo rejoindrait Bordeaux d’ici la fin du mercato hivernal pour un montant avoisinant les 3 millions d’euros.
Pour Eduardo, c’est le début d’un nouveau chapitre. En quittant son club actuel, il laissait derrière lui des souvenirs, mais aussi des regrets. Toutefois, il savait qu’il ne pouvait pas se permettre de regarder en arrière. Son objectif était clair : s’imposer en France, redonner un sens à sa carrière, et prouver qu’il avait fait le bon choix.