:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@CaptainAmericka Como est qualifiĂ© rĂ©guliĂšrement en Europe mais lĂ  viens de finir 13eme de Serie A. Venezia a ratĂ© la montĂ©e en perdant contre Palerme. Les deux n’ont pas un budget fou.

@Tiien :pasrire:

@Manthyz y’a de l’idĂ©e, les clubs grecs j’ai jamais fait je crois. Monaco pas fan.

@VertPourToujours pourquoi pas.

- Hugo Viana prends des nouvelles d’Ani -

De retour dans sa villa Ă  Viana do Castelo, Anibal GuimarĂŁes profitait de quelques jours de calme aprĂšs son rĂ©cent passage en Italie. L’entraĂźneur portugais, connu pour son hyperactivitĂ© sur le terrain, s’efforçait de savourer ce rare moment de tranquillitĂ©. Mais cette quiĂ©tude fut interrompue par la sonnerie de son tĂ©lĂ©phone. À l’autre bout du fil, une voix familiĂšre : celle de Hugo Viana, son ami de longue date et directeur sportif du Sporting Portugal.

Hugo, fidĂšle soutien d’Anibal depuis des annĂ©es, avait appelĂ© pour prendre des nouvelles.

“Anibal, comment vas-tu ? Je voulais savoir comment tu as vĂ©cu la fin de ton aventure au Mexique. AprĂšs tout, je t’avais recommandĂ© Ă  Tijuana, et je me sens toujours un peu responsable de tes choix !” dit Hugo avec un sourire dans la voix.

Anibal, toujours serein, le rassura. “C’était intense, Hugo, mais enrichissant. Les dĂ©fis Ă©taient nombreux, mais je ne regrette rien. Maintenant, je prends le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  la suite.”

Hugo, en bon ami et professionnel, profita de l’occasion pour partager des nouvelles du monde du football. “Tu sais, Paulo Fonseca a dĂ©cidĂ© de suivre l’exemple de Ruben Amorim. Il a pris sa retraite des bancs et officie dĂ©sormais comme directeur technique au Como 1907. Et devine quoi ? Il a posĂ© beaucoup de questions Ă  Ruben et Ă  moi sur toi.”

Hugo révéla que lui et Ruben avaient tous deux vivement recommandé Anibal à Fonseca, mettant en avant son expérience internationale, sa capacité à transformer des équipes, et son talent pour travailler avec des jeunes joueurs.

“Je pense que ton nom les intrigue vraiment. Ils cherchent quelqu’un avec ton profil pour prendre les rĂȘnes de l’équipe. Et Como est un club avec un projet ambitieux, mĂȘme si moins mĂ©diatique que certains autres.”

Anibal, intriguĂ©, remercia Hugo pour son soutien et pour avoir dĂ©fendu son nom. “Merci, Hugo. Tu as toujours Ă©tĂ© lĂ  pour moi, et ça compte Ă©normĂ©ment. Je vais creuser un peu plus sur Como.”

Plus tard dans la journĂ©e, Anibal, curieux d’en savoir davantage, dĂ©cida d’appeler un ancien joueur emblĂ©matique qu’il avait entraĂźnĂ© au Real Valladolid : Ivano Di Giacobbe, nĂ© et prĂ©-formĂ© Ă  Como. “Ivano, raconte-moi tout ce que tu sais sur Como. Le club, l’environnement, les infrastructures
 Je veux tout savoir.”

Di Giacobbe, visiblement ravi de parler Ă  son ancien mentor, rĂ©pondit avec enthousiasme. “Coach, Como est un endroit spĂ©cial. Ce n’est pas un grand club comme ceux de Serie A, mais ils ont un projet sĂ©rieux. Les propriĂ©taires investissent beaucoup dans les infrastructures, et la ville est magnifique. C’est un endroit parfait pour travailler sereinement et bĂątir quelque chose de durable.”

Ivano, fidĂšle Ă  son style, conclut avec une pointe d’humour “Et puis, Coach, imagine-toi avec un cafĂ© au bord du lac entre deux entraĂźnements. Qui pourrait refuser ça ?”

AprĂšs avoir raccrochĂ©, Anibal passa un moment Ă  rĂ©flĂ©chir. Les mots d’Hugo, le soutien de Ruben et Paulo, et les dĂ©tails fournis par Ivano rĂ©sonnaient en lui. Le projet du Como 1907, bien que moins glamour que certains grands clubs europĂ©ens, semblait offrir une opportunitĂ© intrigante : un environnement paisible, des ambitions mesurĂ©es mais sincĂšres, et la possibilitĂ© de construire une Ă©quipe Ă  son image.

Bien qu’aucune dĂ©cision dĂ©finitive n’ait Ă©tĂ© prise, une chose Ă©tait claire : l’Italie semblait de nouveau s’imposer comme la prochaine destination d’Anibal GuimarĂŁes. AprĂšs une carriĂšre marquĂ©e par des aventures aux quatre coins du globe, le coach portugais semblait prĂȘt Ă  embrasser un projet mĂȘlant authenticitĂ© et ambition, dans un cadre qui lui permettrait de se recentrer sur ce qu’il aime le plus : bĂątir des Ă©quipes compĂ©titives tout en profitant des plaisirs simples de la vie.

Le tĂ©lĂ©phone d’Anibal risquait de sonner Ă  nouveau trĂšs bientĂŽt, mais cette fois, peut-ĂȘtre avec une offre concrĂšte du Como 1907. Pour l’instant, il savourait l’idĂ©e d’une nouvelle aventure au bord du cĂ©lĂšbre Lac de CĂŽme.

- Chapitre 496 -
- Ani pas intéressé par la seleçao -
- Chapitre 498 -
Coming SOON - 22/01
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