:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Rhino oh tu sais la fellation c’est ma passion :sac: Ils se sont beaucoup rapprochĂ©s suite au procĂšs d’Anibal.

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@celiavalencia c’est ça. Faut pas oublier qu’Amorim de base c’est son ami et mentor.

@Tiien il l’apprĂ©cie beaucoup, s’il peut faire un peu le VRP pour son ami c’est cadeau :pasrire:

@CaptainAmericka merci c’est pas facile :rofl:

@toopil on espĂšre.

- R.Pimienta négocie avec Sofia Félix -

Sous la pression croissante des cartels Ă  Tijuana, Anibal GuimarĂŁes en avait assez. AprĂšs des semaines Ă  vivre dans la peur, protĂ©gĂ© par les Sons of Anarchy et les Mayans, il dĂ©cida de reprendre le contrĂŽle. Plus question de subir ; dĂ©sormais, il allait frapper fort pour assurer sa sĂ©curitĂ© et celle de ses proches, quitte Ă  jouer un jeu aussi dangereux qu’audacieux.

Anibal prit rendez-vous dans un endroit discret avec Rafaela Pimienta, son agent et avocate, la seule personne en qui il avait une confiance totale. Lorsque Rafaela arriva, elle fut frappĂ©e par le regard dĂ©terminĂ© d’Anibal, plus dur et plus rĂ©solu que jamais. Assise face Ă  lui, elle Ă©couta avec attention tandis qu’il lui racontait ce qui s’était rĂ©ellement passĂ© au Japon, lors de l’incident qui avait changĂ© sa vie et scellĂ© son exil hors d’Europe.

“Tu te souviens d’Ezekiel Reyes ?” demanda Anibal, son regard fixĂ© sur la table.

Rafaela hocha la tĂȘte. Elle savait qu’Ezekiel Reyes, une figure influente d’un cartel colombien, avait disparu mystĂ©rieusement lors d’une fusillade au Japon, un Ă©vĂ©nement qui avait attirĂ© des soupçons sur Anibal.

“C’était pendant un dĂźner. Reyes est venu pour m’intimider, pour me faire comprendre que je ne pourrais jamais m’éloigner des cartels. Mais il a sous-estimĂ© la situation. Ichiban Kasuga Ă©tait lĂ , un homme que Reyes n’avait pas anticipĂ©. Une fusillade a Ă©clatĂ©. Reyes n’a pas survĂ©cu.”

Rafaela fronça les sourcils : “Et qui a tirĂ© le coup fatal, Anibal ?”

Anibal resta impassible. “Ça, Rafaela, seule Kasuga et moi le savons. Et ça restera ainsi.”

Anibal passa alors Ă  l’objet de leur rencontre : il avait un plan. Si les menaces des Gallindo et des cartels rivaux se poursuivaient, il lui fallait neutraliser la source du danger. Pour cela, il comptait proposer un marchĂ© Ă  Sophia Felix, cheffe du cartel Arellano FĂ©lix et rivale directe de Miguel Gallindo.

“Sophia veut ma tĂȘte parce qu’elle pense que je lui ai attirĂ© des problĂšmes. Elle veut la paix pour son marchĂ©. Alors, je vais lui offrir quelque chose de mieux : la livraison de Miguel Gallindo. En Ă©change, elle me laisse tranquille. Moi, je continue ma carriĂšre, et elle obtient ce qu’elle veut.”

Rafaela fixa Anibal, mĂ©dusĂ©e. “Tu veux livrer Gallindo ? Tu sais ce que ça implique ? Tu joues avec des gens qui n’ont aucune limite. Si tu rates ton coup, Anibal, c’est toi qui seras enterrĂ© sous un stade.”

Anibal, le visage fermĂ©, rĂ©pondit d’une voix calme mais tranchante “Je ne vais pas rester enfermĂ© dans un centre d’entraĂźnement pendant que des hommes en armes dĂ©cident de ma vie. Je vais reprendre ma carriĂšre, Rafaela. Je ne laisserai personne entraver mon retour en Europe. Personne.”

Rafaela, pragmatique mais loyalement engagĂ©e envers son client, comprit qu’elle ne pourrait pas le faire changer d’avis. Elle prĂ©cisa nĂ©anmoins ses limites. “D’accord, Anibal. Je vais nĂ©gocier avec Sophia Felix. Je lui ferai comprendre que ce marchĂ© est la meilleure option pour elle. Mais sache une chose : je ne me compromettrai pas pour toi. Je reste ton avocate, pas ta complice. Si ce plan dĂ©rape, je ne pourrai rien faire pour toi.”

Anibal acquiesça. C’était un risque qu’il acceptait pleinement. “Je comprends, Rafaela. Fais ce que tu dois faire. Dis-lui que je veux la paix, et qu’elle peut rĂ©gner sur Tijuana sans entraves.”

Avec ce plan en marche, Anibal venait de s’engager dans une partie d’échecs mortelle. Il devait non seulement convaincre Sophia Felix qu’il Ă©tait sincĂšre, mais aussi s’assurer que Miguel Gallindo tombe dans le piĂšge. En parallĂšle, il devait continuer Ă  mener les Xolos vers leurs objectifs sportifs sans laisser transparaĂźtre la moindre faiblesse.

Il savait que ce plan risquait de compromettre sa rĂ©putation, mais pour lui, c’était le prix Ă  payer pour retrouver sa libertĂ©. Son avenir en Europe, la sĂ©curitĂ© de sa famille, et sa dignitĂ© personnelle Ă©taient en jeu.

Alors que Rafaela quittait la piùce, elle se tourna une derniùre fois vers Anibal “Anibal, sois prudent. Un plan aussi dangereux ne laisse pas de place aux erreurs.”

“Je ne compte pas en faire, Rafaela,” rĂ©pondit-il d’une voix froide. “Je n’ai plus le droit d’en faire.”

Cette dĂ©cision marquait un tournant dans la vie d’Anibal GuimarĂŁes. Lui qui avait toujours affrontĂ© les dĂ©fis sur le terrain devait dĂ©sormais jouer une partie beaucoup plus complexe, oĂč le moindre faux pas pouvait ĂȘtre fatal. Mais une chose Ă©tait claire : Anibal ne comptait plus se laisser dicter sa vie.

- Chapitre 475 -
- « Anibal mĂ©rite une nouvelle chance Â» -
- Chapitre 477 -
Coming SOON - 12/01
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