:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@thomasprlr oh comment tu vas ma couille ça fait un moment. Je savais que tu kifferais :slight_smile:

@celiavalencia une belle aventure :slight_smile:

@toopil clairement j’étais pas bien, heuresement Donnarumma fait une cagade et derriĂšre l’entrĂ©e de Srijan nous sauve :pasrire:

@alexgavi on tiens nos engagements ici ! Mais ne voit pas cette victoire en LDC comme un bon de sortie :pasrire:

@Sythax Faut bien diversifier un peu. Le cartel ça va 5 minutes :hoho:

@CaptainAmericka ravi que ça te plaise.

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- L’UEFA refuse de rejuger le dossier Anibal -

AprĂšs des semaines d’incertitudes et de spĂ©culations, la nouvelle tomba comme un couperet : l’UEFA refusait de statuer sur une rĂ©duction de la suspension d’Anibal GuimarĂŁes. Pour le coach portugais, cela signifiait que son retour en Europe devait encore attendre. Le Celtic Glasgow, qui avait placĂ© tous ses espoirs en lui pour relancer son projet, voyait son rĂȘve s’évanouir.

Ce fut Rafaela Pimienta, son agent de toujours, qui lui annonça la nouvelle. Elle appela Anibal dans la matinĂ©e, une voix empreinte de dĂ©ception. “Ani, l’UEFA refuse de statuer. Ils considĂšrent que ta suspension doit ĂȘtre purgĂ©e jusqu’au bout. Pas de raccourci.”

Un long silence s’installa au bout du fil. Mais contrairement Ă  ce qu’elle imaginait, Anibal n’explosa pas de colĂšre. “Je m’en doutais, Rafaela. Et pour ĂȘtre honnĂȘte, ça m’arrange.”

Rafaela fut dĂ©contenancĂ©e. Elle savait Ă  quel point l’idĂ©e de revenir en Europe fascinait Anibal, et l’intĂ©rĂȘt du Celtic n’avait fait qu’attiser ce dĂ©sir. “Que veux-tu dire ? Le Celtic Ă©tait prĂȘt Ă  se battre pour toi. C’était une opportunitĂ© en or.”

Anibal expliqua alors son Ă©tat d’esprit Ă  Rafaela. “C’était. Mais il y a deux semaines, j’ai dĂ©jĂ  donnĂ© ma rĂ©ponse Ă  leurs dirigeants. J’ai refusĂ© leurs avances.”

Cette rĂ©vĂ©lation surprit Rafaela, qui ne comprenait pas pourquoi Anibal avait volontairement fermĂ© cette porte. “Pourquoi, Ani ? C’était une chance unique de revenir en Europe plus tĂŽt.”

Anibal se sentait trop investi pour partir en pleine saison. “Je ne pouvais pas quitter Nagoya comme ça. Pas au milieu de la saison, pas avec ce que le club a investi pour me faire venir, pour accueillir ma famille. Je dois honorer mon engagement ici. C’est une question de respect, Rafaela.”

Il continua “Et puis, ce n’est qu’une question de temps. En janvier, ma suspension sera levĂ©e. Plus rien ne pourra m’empĂȘcher de revenir. Si le Celtic me veut vraiment, ils attendront. Sinon, il y aura d’autres projets.”

Rafaela, bien que surprise, ne pouvait qu’admirer la loyautĂ© de son client.

Pour Anibal, Nagoya Grampus n’était pas seulement une Ă©tape dans sa carriĂšre. C’était une opportunitĂ© de renforcer son palmarĂšs, d’explorer une culture footballistique diffĂ©rente et de prouver qu’il pouvait rĂ©ussir partout, mĂȘme dans des conditions Ă©loignĂ©es de celles des grandes scĂšnes europĂ©ennes.

Avec une sĂ©rie d’invincibilitĂ© intacte et des performances impressionnantes en championnat et en Ligue des champions asiatique, il savait que son passage au Japon marquerait les esprits. Le prĂ©sident Jin Suzuki et le directeur sportif Keito Hiraoka lui avaient donnĂ© carte blanche pour construire une Ă©quipe capable de rivaliser avec les meilleurs clubs asiatiques.

Anibal expliqua vouloir marquĂ© les esprits pour son retour en Europe. “Quand je reviendrai en Europe, ce sera comme un conquĂ©rant. Je ne veux pas revenir par la petite porte. Je veux que le monde sache que je suis prĂȘt Ă  reprendre ma place.”

Pour l’heure, Anibal concentrait toute son Ă©nergie sur Nagoya. Avec un effectif en pleine confiance et des supporters acquis Ă  sa cause, il voulait offrir au club une saison historique, avec pourquoi pas un sacre en Ligue des champions asiatique en ligne de mire.

Mais cette nouvelle, bien qu’attendue, le rapprochait encore plus de son grand retour. Pour Anibal, janvier 2037 reprĂ©sentait une date clĂ©. Il savait que plusieurs clubs europĂ©ens le b et que les opportunitĂ©s ne manqueraient pas.

Dans une conversation avec Yessica, Anibal partagea ses rĂ©flexions. Elle lui demanda alors s’il avait dĂ©jĂ  rĂ©flechis Ă  l’aprĂšs saison ? “Alors, qu’est-ce que tu veux faire aprĂšs Nagoya ? Retourner en Europe ? Ou continuer ton aventure en Asie ?”

Anibal lui expliqua son envie d’Europe comme il en avait si souvent parler ensemble. “L’Europe, c’est lĂ  oĂč tout a commencĂ© pour moi. C’est lĂ  oĂč j’ai prouvĂ© ma valeur. Mais je veux partir d’ici en ayant accompli quelque chose de grand. Si je reviens, ce sera pour gagner. Pas pour reconstruire une Ă©quipe dans l’ombre des autres.”

Avec cette conviction, Anibal se prĂ©parait Ă  Ă©crire le dernier chapitre de son aventure japonaise. Mais au fond de lui, il savait que son grand retour sur le Vieux Continent n’était qu’une question de temps.

Pour l’instant, il restait concentrĂ© sur son objectif immĂ©diat : faire de Nagoya une Ă©quipe qui entrerait dans l’histoire du football asiatique. Et lorsque viendrait le moment de partir, il le ferait en hĂ©ros, prĂȘt Ă  reconquĂ©rir l’Europe.

- Chapitre 434 -
- Anibal découvre le Mt Fuji avec Hiraoka -
- Chapitre 436 -
Coming SOON - 20/12
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