Réponses aux lecteurs
@Lincoln6Echo, complexe mais pas impossible. Disons qu’évoluer plus bas que la réserve c’est pas franchement excitant pour eux non plus.
@Sythax vu les finances du club, il peut roder y’a pas grand chose à faire 
@CaptainAmericka, merci frérot. nous verrons bien par la suite 
@AltidoreJozy Merci beaucoup pour ce commentaire ! J’espère que la suite te plaira tout autant. Je l’espère aussi. En réalité je pense que vous l’avez tous compris cette première saison était la vraie introduction de ce récit
@Rhino tu vas vite voir qu’il y a un sacré taf à faire
@fabryce on espère !
@Nehoc C’est clair ! Hasard ou pas c’est le club de la ville de naissance de notre accro à Paulo Fonseca j’ai nommé @JoseSoares
@CoachLudo ça me parait compliqué
Anibal Guimarães, conscient des défis qui se dressaient devant lui avec Vianense SC, décida de prendre les devants. Il composa le numéro de José Soares, l’assistant de Jorge Mendes, dans l’espoir de dénicher quelques talents qui pourraient renforcer son effectif modeste.
« José, comment ça va ? C’est Anibal. J’espère que tu as quelques minutes, j’aurais besoin de ton expertise, » commença Anibal, cherchant des solutions pour le mercato.
« Salut Anibal, bien sûr, je suis là pour toi. Que puis-je faire pour toi ? » répondit José, toujours prêt à aider.
Anibal exposa la situation à José. « Comme tu le sais, Vianense est un club modeste, et nous n’avons pas actuellement de cellule de recrutement. J’aurais besoin de renforts, et je me demandais s’il y avait des talents dans l’écurie de Jorge Mendes qui pourraient être intéressés par un prêt. »
José Soares, prenant un moment pour réfléchir, répondit, « Il y a Rodrigo Ribeiro et Afonso Moreira, deux jeunes prometteurs que tu connais bien. Cependant, je dois te prévenir, le Sporting les bloque actuellement. Les prêts ne seront pas faciles à négocier. »
Anibal, ne se laissant pas décourager, remercia José et raccrocha. Il avait une idée en tête. Il composa ensuite le numéro d’Hugo Viana, directeur sportif du Sporting Portugal, espérant pouvoir négocier les prêts de Rodrigo Ribeiro et d’Afonso Moreira.
« Hugo, c’est Anibal. Comment ça va ? » salua Anibal, entamant la conversation avec une note de confiance.
« Hé Anibal, tout va bien, merci. J’ai vu que tu avais rejoint Vianense, tu as fait un choix malin,. Comment cela se passe ? » demanda Hugo Viana, curieux de connaître les développements.
Anibal ne tarda pas à entrer dans le vif du sujet. « Ça se passe bien, mais j’aurais besoin de renforts. Je sais queRodrigo Ribeiro et Afonso Moreira sont deux joueurs qui n’auront que peu de temps de jeu cette saison, serais-tu ouvert à un prêt pour renforcer mon effectif. Qu’en penses-tu ? »
Hugo Viana, après un moment de silence, répondit, « Anibal, je comprends ta situation, mais les envoyer à Vianense ne semble pas être la meilleure option pour leur développement. Quel intérét pour nous de les envoyer en quatrième division alors qu’ils peuvent à minima être titulaire chez nous en réserve avec tous le respect que je te dois ? À moins que… »
Anibal, intrigué, demanda, « À moins que quoi, Hugo ? »
Hugo Viana esquissa un sourire. « À moins que tu ne les intègres à Vianense dans le cadre d’un partenariat plus large avec le Sporting. Nous pourrions mettre en place un accord qui bénéficie aux deux clubs, avec un suivi de leur progression et un échange régulier d’informations. Mais cela nécessitera l’accord de Ruben et des garçons »
Anibal, reconnaissant de cette proposition, répondit, « C’est une idée intéressante, Hugo. Mais je n’ai pas vocation d’entrâiner la réserve de ta réserve. Bref si jamais tu penses à quelque chose, tu sais où me joindre. Si jamais, on a publié une annonce sur Transfer Room, j’ai besoin d’un buteur et d’un ailier… »
La conversation entre Anibal et Hugo Viana se poursuivit, ouvrant la voie à un partenariat qui pourrait bénéficier non seulement à Vianense SC et au Sporting Portugal, mais aussi aux jeunes talents en quête de temps de jeu et d’expérience sur le terrain. Mais cela semblait trop complexe et Anibal sentait au fond de lui qu’il perdait du temps inutilement…