:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@toopil Faut tout évaluer avant de faire son choix :pasrire:

@Manthyz ravis de te rejoindre. Ici ils cartonnent les cons :hoho: Y’a que sur la scùne continentale qu’ils galùrent. Moi chez moi c’est simple Nankatsu joue rien dans ma game :hoho:

@Sythax, je l’ai mis en poste Ă  Palmeiras, on verra ce qu’il fait. anaya est toujours titulaire au BrĂ©sil de son cĂŽtĂ©.

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- La surprise d’Hiraoka pour Anibal ! -

Pendant qu’Anibal GuimarĂŁes explorait les infrastructures dernier cri de Nagoya Grampus, accompagnĂ© de son adjoint Javi Sanchez et de Keito Hiraoka, directeur sportif du club, ce dernier s’éloigna un instant, intriguĂ© par une activitĂ© sur le terrain annexe. En bon professionnel, Keito avait prĂ©parĂ© cette visite en prenant des renseignements approfondis sur son nouvel entraĂźneur, notamment auprĂšs de son propre fils, Hiroto Hiraoka.

Hiroto, vice-capitaine du Real Valladolid, connaissait bien Anibal. C’était ce dernier qui lui avait donnĂ© sa chance en Europe et qui avait transformĂ© sa carriĂšre. Lors de leurs discussions, Hiroto avait partagĂ© quelques anecdotes et recommandations avec son pĂšre. Ce dernier se remĂ©morait sa derniĂšre discussion avec son fils portant sur Anibal. “PĂšre, Anibal ne parle pas japonais, mais il a appris quelques bases grĂące Ă  moi. Il comprend l’importance des salutations et de l’étiquette, ce qui est crucial ici. Il est aussi trĂšs rĂ©ceptif Ă  notre culture. Si vous voulez qu’il se sente chez lui, pensez Ă  ajouter une touche portugaise dans son environnement. Ce mĂ©lange entre discipline japonaise et flair lusophone, c’est ce qui le rend si unique.”

Keito, touchĂ© par ces conseils, avait rĂ©flĂ©chi Ă  une idĂ©e qui pourrait marquer l’arrivĂ©e d’Anibal. Il avait fait appel Ă  une figure lĂ©gendaire, un homme qui incarnait Ă  la fois le BrĂ©sil et le Japon : Hulk.

Alors qu’Anibal terminait sa visite des vestiaires et des salles d’analyse vidĂ©o, Keito revint avec un sourire mystĂ©rieux. “Anibal-san, avant de poursuivre, j’ai une petite surprise pour vous. Une personne spĂ©ciale que je souhaiterais vous prĂ©senter.”

IntriguĂ©, Anibal suivit Keito jusqu’au terrain annexe. LĂ , au milieu de jeunes joueurs en entraĂźnement, se tenait une silhouette imposante. Les bras croisĂ©s, une stature encore impressionnante malgrĂ© les annĂ©es passĂ©es : Hulk, la lĂ©gende brĂ©silienne.

Hulk s’avança avec un sourire chaleureux et tendit la main Ă  Anibal. “Anibal ! Enfin, on se rencontre. Je suis ravi de te voir ici, au Japon. Bienvenue Ă  Nagoya. Je suis ravi de faire mon retour dans ce pays pour t’accompagner si cela te conviens. Une vieille connaissance a pensĂ© qu’une touche lusitano-japonaise te ferais du bien dans cette aventure.”

Anibal, un brin surpris, serra fermement la main du BrĂ©silien. “Hulk ? C’est un honneur. Ton nom a marquĂ© l’histoire du football, et pas seulement au BrĂ©sil. Mais
 que fais-tu ici, qui est-ce donc cette vieille connaissance ?”

Keito intervint avec un brin de fiertĂ©. “Hulk est ici pour renforcer notre staff technique. C’est une lĂ©gende au Japon, notamment pour son passage Ă  Tokyo Verdy et ses exploits en J.League. Mais il est aussi une source d’inspiration pour nos jeunes, et sa connaissance du football brĂ©silien et portugais complĂ©tera parfaitement votre approche tout en vous aidant dans l’intĂ©gration, c’est une idĂ©e de mon fils Hiroto.” Anibal fut surpris en comprenant que son nouveau patron n’était autre que le pĂšre de son ancien vice-capitaine et libĂ©ro pendant cinq ans en Espagne.

Pendant les minutes qui suivirent, Hulk et Anibal Ă©changĂšrent sur leurs parcours respectifs, trouvant rapidement un terrain d’entente. Hulk Ă©voqua son passage au FC Porto, oĂč sa puissance et son sens du but l’avaient rendu cĂ©lĂšbre. Anibal, lui, raconta ses expĂ©riences rĂ©centes au BrĂ©sil et sa philosophie d’entraĂźnement.

Hulk en profita pour fĂ©liciter son nouveau coach principal pour son parcours au BrĂ©sil. “J’ai vu ce que tu as fait avec Palmeiras. Invaincu, avec un jeu flamboyant. C’est le genre d’approche qui peut transcender une Ă©quipe comme Nagoya. Avec la discipline japonaise et ton flair tactique, on peut crĂ©er quelque chose de grand ici.”

Anibal remercia son interlocuteur pour ses compliments et se fĂ©licita de sa motivation dans le projet. “Merci, Hulk. Je pense qu’on peut faire beaucoup ensemble. Mais il faudra du temps pour bĂątir un projet durable. Si tu es prĂȘt Ă  t’investir, je suis ravi de travailler Ă  tes cĂŽtĂ©s.” Keito Hiraoka, observant la scĂšne, semblait ravi de sa dĂ©cision.

AprĂšs cette rencontre, Anibal quitta le centre d’entraĂźnement avec une Ă©nergie renouvelĂ©e. La perspective de collaborer avec une lĂ©gende comme Hulk lui donnait de nouvelles idĂ©es pour sa mĂ©thode de travail.

Avant de partir, Keito lui rappela une chose “Anibal-san, ici au Japon, les fans attendent plus que des rĂ©sultats. Ils veulent une identitĂ©, une Ă©quipe qui incarne des valeurs fortes. Avec toi et Hulk, je suis convaincu que nous pouvons y parvenir. D’autant que l’effectif est parfaitement taillĂ© pour Ă©voluer dans votre schĂ©ma prĂ©fĂ©rentiel ! ”

Anibal acquiesça, déterminé.

Dans la voiture qui le ramenait Ă  sa villa temporaire, il rĂ©flĂ©chit Ă  tout ce qu’il venait de vivre. Nagoya Grampus n’était pas seulement une Ă©tape dans sa carriĂšre, c’était l’opportunitĂ© d’écrire un nouveau chapitre, avec des figures marquantes comme Hulk Ă  ses cĂŽtĂ©s, et de laisser une empreinte indĂ©lĂ©bile sur le football asiatique.

- Chapitre 418 -
- Anibal s’engage avec Nagoya-
- Chapitre 420 -
Coming SOON - 11/12
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