:storygreen: :s18: đŸ‡”đŸ‡č :vianense: O LeĂŁo de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@Alexmilano tu aimes trop le sang :pasrire:

@celiavalencia merciiii, il va se gaver de sushi le goret.

@alexgavi C’est pas Ă©vident de choisir entre plusieurs projets sexy.

@Rhino je savais que tu kifferais le choix.

@Malakai toi aussi tu aimes trop le sang :hoho: le pauvre mĂȘme pas tu le laisse se reposer un peu :hoho:

@VertPourToujours faut bien choisir, en 2037 je connais aucun joueur au Japon ou en Corée. Déjà en 2024 donc bon. fallait faire un choix.

- ćć€ć±‹ă‚°ăƒ©ăƒłăƒ‘ă‚č -
- Nagoya Grampus -

Nagoya

-
FONDATION 1991
PRÉSIDENT
:japan:
Jin Suzuki
DIRECTEUR SPORTIF
:japan:
Keito Hiraota
ENTRAINEUR
:portugal:
Anibal GuimarĂŁes
DIVISION
:japan: :jleague:
J-League
FINANCES Saines
MEILLEUR BUTEUR
:brazil:
Uéslei - 100 buts
JOUEUR LE PLUS CAPÉ
:japan:
Seigo Narazaki - 660 app

- ăƒ•ă‚Ąăƒłăƒ‡ăƒŒă‚·ăƒ§ăƒł -
Fondation - 1946 / 1991

Le Nagoya Grampus est officiellement nĂ© en 1991, mais son histoire dĂ©marre bien plus tĂŽt dans le XXĂšme siĂšcle. Le club est officiellement fondĂ© sous le nom de Toyota Motor SC en 1939. Comme la plupart des clubs de football japonais, le club reprĂ©sente en effet une entreprise. Toyota sponsorise deux Ă©quipes alors, le Toyota Motor SC via sa section motorisation et le Toyota ALW SC via sa filiale spĂ©cialisĂ© dans l’industrie textile.

DĂšs 1965, le Toyota ALW SC rejoint la Japan Soccer League dont il est un membre fondateur. Pendant un peu moins de 10 ans le club occupe les places d’honneurs du championnat puis tombent en dĂ©crĂ©pitude. Toyota mise alors tout sur sur son autre club et en 1972, le Toyota Motor SC fait partie des fondateurs de la seconde division de la Japan Super League. Il remporte mĂȘme le championnat inaugural.

Le club devient professionnel pendant les annĂ©es 80 sans connaĂźtre le succĂšs. En 1991, la fĂ©dĂ©ration japonaise cherche Ă  donner un nouvel Ă©lan Ă  son championnat et veut l’amĂ©ricaniser avec des franchises puissantes toujours liĂ©s aux grandes entreprises locales avec des mascottes dignes de la MLB ou de la NBA. Le Toyota Motors SC devient ainsi le Nagoya Grampus. Nagoya fait alors parti des 10 clubs fondateurs de la J League.

Le club connait des débuts contrastés en finissant avant dernier du championnat mais possÚde une aura internationale avec sa star anglaise Gary Lineker mais ce dernier est sur la fin et accumule les blessures. Il restera deux ans mais ne marquera pas les esprits et finira par prendre sa retraite.

- ヮェンă‚Čăƒ«ăźć€‰èȌ -
La transformation sous Wenger - 1995 / 1996

C’est avec l’arrivĂ©e d’ArsĂšne Wenger Ă  la tĂȘte de l’équipe en 1995 et 1996, et le remplacement de Lineker par Dragan Stojkovic, que l’équipe a commencĂ© Ă  connaĂźtre une pĂ©riode de succĂšs relatif. Nagoya a Ă©chouĂ© de peu dans la course au championnat finissant troisiĂšme. Mais remporte la Coupe de l’Empereur dĂ©jouant tous les pronostics. L’annĂ©e suivante le club finie vice champion du Japon. ArsĂšne Wenger et son staff sont alors recrutĂ©s par Arsenal.

- ć‘ȘわれたJăƒȘăƒŒă‚°ăźäșș気者 -
Le favori maudit - 1998 / 2001

Lorsque les Yokohama Flugels ont Ă©tĂ© dissous en 1998, Nagoya a hĂ©ritĂ© d’un grand nombre de leurs stars et, sur le papier du moins, le club semblait extrĂȘmement compĂ©titif. Nombreux sont ceux qui pensent qu’il remportera le titre de champion en 1999. Cependant, malgrĂ© l’abondance de talents, le club n’a pas rĂ©ussi Ă  s’intĂ©grer en tant qu’équipe, et la seule rĂ©compense qu’il a obtenue a Ă©tĂ© un nouveau trophĂ©e de la Coupe de l’Empereur Ă  la fin de la saison 1999. Au cours des trois annĂ©es suivantes, l’équipe a toujours Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme l’une des favorites de la prĂ©-saison pour remporter le titre. Et chaque annĂ©e, elle a rapidement anĂ©anti les espoirs de ses supporters et la rĂ©putation de ces derniers dans la presse sportive.

Il est clair que Grampus comptait de nombreux joueurs talentueux, notamment le gardien de l’équipe nationale Seigo Narazaki, le voltigeur de l’équipe nationale Motohiro Yamaguchi, le vĂ©tĂ©ran meneur de jeu yougoslave Stojkovic et une sĂ©rie d’attaquants puissants, Ă  commencer par le Japonais naturalisĂ© brĂ©silien Wagner Lopes, suivi de la star de l’équipe nationale brĂ©silienne Ueslei Perreira da Silva et de la star olympique japonaise Takafumi Oguro, dont la carriĂšre a Ă©tĂ© tragiquement interrompue. Cependant, l’équipe a toujours semblĂ© ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur de la somme de ses parties.

- ă€ă„ă«æœŹć‘œć€™èŁœăŒç™»ć Ž -
Enfin un candidat sérieux - 2001 / 2006

En 2001, les Grampus ont commencĂ© Ă  changer leur image d’éternels sous-performants. Dragan Stojkovic a pris sa retraite en cours de saison, et l’équipe s’est enrichie de joueurs fiables et « cols bleus » tels que le dĂ©fenseur Keiji Kaimoto et le voltigeur Tomoyuki Sakai, marquant ainsi une rupture par rapport Ă  la dĂ©pendance passĂ©e de l’équipe Ă  l’égard des joueurs « vedettes ». Bien que Nagoya ait terminĂ© troisiĂšme au classement gĂ©nĂ©ral de la saison 2001, pour la premiĂšre fois, l’équipe a semblĂ© jouer Ă  la hauteur de ses capacitĂ©s, voire les dĂ©passer.AprĂšs s’ĂȘtre imposĂ© comme l’un des prĂ©tendants lĂ©gitimes de la J.League, les Grampus espĂ©raient aller plus loin et remporter le titre qui leur Ă©chappait depuis si longtemps.

Mais aprĂšs un dĂ©part en fanfare en 2002, l’équipe s’est Ă  nouveau effondrĂ©e lors de la deuxiĂšme phase et n’a pas rĂ©pondu aux attentes de ses supporters, terminant la saison Ă  une dĂ©cevante sixiĂšme place. Alors que la pression monte, Ă  la fois au sein de l’équipe et de la part des supporters, Grampus est mĂ»r pour le genre d’incident explosif qui peut changer complĂštement une Ă©quipe, que ce soit en bien ou en mal.

La dĂ©flagration a Ă©clatĂ© au milieu de la saison 2005, lorsqu’un conflit dans les vestiaires a fait voler en Ă©clats une structure d’équipe qui s’était construite sur plus d’une dĂ©cennie. Il semblerait que l’incident ait Ă©tĂ© dĂ©clenchĂ© par l’entraĂźneur Nelsinho Baptista Junior, qui a surpris les joueurs en train de se plaindre aprĂšs le match. Exigeant de savoir ce qui se passait, il a reçu une « explication » brutale de la part des deux joueurs qui Ă©taient en mesure de lui communiquer l’ambiance de la maniĂšre la plus « concise », Ă  savoir les attaquants brĂ©siliens Ueslei et Marques. Prenant cela comme une insulte personnelle et un dĂ©fi Ă  son autoritĂ©, Nelsinho a explosĂ© et a exigĂ© des punitions sĂ©vĂšres pour les deux BrĂ©siliens, mais loin d’ĂȘtre chĂątiĂ©s, ils ont simplement quittĂ© le club, dĂ©fiant la direction d’intenter une action en justice.

Heureusement pour le club et les joueurs, il y avait des tĂȘtes plus calmes dans le bureau de Nagoya. Ueslei et Marques ont tous deux Ă©tĂ© cĂ©dĂ©s Ă  d’autres clubs de J.League et, bien que le club ait Ă©tĂ© rĂ©ticent Ă  affaiblir publiquement son entraĂźneur, Nelsinho est parti avant la fin de la saison. Avec seulement une poignĂ©e de recrues et de joueurs de deuxiĂšme annĂ©e pour occuper de nombreux postes de titulaires, Grampus a terminĂ© en bas du tableau.

Cependant, l’espoir renaĂźt dans le cƓur des fans de football, et le seul point positif de cet effondrement est qu’il a permis de dĂ©blayer les dĂ©combres et de commencer Ă  se pencher sur les fondements de l’équipe. Avant le fiasco de Nelsinho, Grampus s’était toujours appuyĂ© sur une structure trĂšs « brĂ©silienne », tant pour l’équipe d’entraĂźneurs que pour les joueurs Ă©trangers. Mais comme l’a montrĂ© l’incident de 2005, l’équipe Ă©tait devenue trĂšs dĂ©pendante des performances de son contingent Ă©tranger, tout en ne parvenant pas Ă  dĂ©velopper correctement les nombreux jeunes prometteurs qui gravissaient les Ă©chelons.

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La formation comme atout - 2006 / 2010

En 2006, l’équipe a fait un grand mĂ©nage et s’est fixĂ© pour objectif de construire une Ă©quipe compĂ©titive basĂ©e sur des jeunes formĂ©s en interne, plutĂŽt que sur des vĂ©tĂ©rans recrutĂ©s Ă  prix d’or dans d’autres Ă©quipes. L’entraĂźneur nĂ©erlandais Sef Vergoosen a Ă©tĂ© chargĂ© de cette mission, et le vĂ©tĂ©ran a parfaitement rĂ©ussi Ă  poser les bases d’une Ă©quipe nouvelle et plus jeune. Les rĂ©sultats obtenus par Grampus en 2006 et 2007 reposaient non seulement sur un noyau de talents locaux, mais reflĂ©taient Ă©galement mieux que jamais la vĂ©ritable compĂ©titivitĂ© de l’équipe. Les Red Whales s’affranchissaient enfin de leur ancienne rĂ©putation de sous-performance. L’avenir s’annonçait radieux, jusqu’à ce que l’entraĂźneur Vergoosen retourne aux Pays-Bas Ă  la fin de l’annĂ©e 2007 et emmĂšne avec lui le joueur vedette de l’équipe, le milieu de terrain des moins de 23 ans Keisuke Honda.

Les supporters des Grampus ont d’abord Ă©tĂ© anĂ©antis. Alors que le club semblait enfin sur la voie du succĂšs, ils ont Ă©tĂ© frappĂ©s de plein fouet par l’effondrement de leur confiance et de leur moral. Heureusement, le front office avait appris quelques leçons importantes sur la gestion d’une Ă©quipe, et il a rĂ©agi en recrutant un entraĂźneur principal capable de redonner Ă  l’équipe sa confiance, sa fiertĂ© et son esprit de compĂ©tition - le lĂ©gendaire capitaine de l’ex-Yougoslavie et gĂ©nĂ©ral du milieu de terrain de Grampus, Dragan « Piksi » Stojkovic. Sous la direction Ă©motionnelle de Piksi, Grampus a dĂ©marrĂ© l’annĂ©e 2008 sur les chapeaux de roue et a pris la tĂȘte du championnat Ă  mi-parcours. Malheureusement, l’enthousiasme n’a pas suffi Ă  venir Ă  bout d’une Ă©quipe encore jeune et manquant d’effectifs. Grampus a perdu le rythme au cours des trois derniers mois de la saison et n’a pas remportĂ© le moindre trophĂ©e en 2008. Mais malgrĂ© des rĂ©sultats finaux plutĂŽt dĂ©cevants, l’équipe Ă©tait sur la voie de la guĂ©rison et n’était pas loin de son premier titre en J.League.

En 2009, les Grampus ont Ă©tĂ© freinĂ©s dans leur campagne nationale par le dĂ©fi de la compĂ©tition de l’ACL. Bien qu’ils aient progressĂ© plus loin dans l’ACL en 2009 que n’importe quel autre club de J.League, cela a eu un impact clair et net sur leurs performances nationales et l’équipe a terminĂ© Ă  une dĂ©cevante neuviĂšme place. Mais les Red Whales ont tirĂ© quelques leçons de cette expĂ©rience et ont pris les derniĂšres mesures nĂ©cessaires pour dĂ©crocher leur premier titre de champion. En 2010, l’équipe a fait d’importants investissements en recrutant Marcus Tulio Tanaka, membre de la NT, pour renforcer la dĂ©fense, le milieu de terrain brĂ©silien Danilson pour donner de l’assurance au milieu de terrain, et le meneur de jeu Mu Kanazaki pour renforcer l’attaque. Avec un grand attaquant en la personne de l’international australien Joshua Kennedy, Grampus Ă©tait largement considĂ©rĂ© comme l’un des principaux candidats au titre en 2010 d’aprĂšs les observateurs.

Les mouvements de personnel n’ont toutefois constituĂ© qu’une partie de l’histoire. Si le mauvais parcours de l’équipe Ă  la fin de la saison 2009 a déçu les fans, il a, Ă  l’inverse, donnĂ© Ă  Grampus un avantage crucial sur ses principaux rivaux en 2010. De tous les prĂ©tendants au titre, seul Grampus Ă©tait absent de la compĂ©tition de la LCA. Cela a permis aux joueurs de se concentrer uniquement sur la campagne nationale en 2010. L’équipe a rapidement pris l’avantage et l’a consolidĂ© au moment oĂč la J.League s’est arrĂȘtĂ©e pour la Coupe du monde 2010. Lorsque la campagne de championnat 2010 a repris, en juillet, de nombreux joueurs des principales Ă©quipes adverses (Kashima, Kawasaki, Hiroshima et Osaka) Ă©taient fatiguĂ©s d’avoir jouĂ© deux matches par semaine pendant plus de quatre mois. Grampus a fait la course en tĂȘte et a remportĂ© son premier titre de J.League Ă  deux semaines de la fin de la saison. C’est la premiĂšre fois qu’une Ă©quipe est couronnĂ©e aussi tĂŽt depuis que la J.League a adoptĂ© un format en une seule phase, en 2005.

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Un Lent déclin - 2011 / 2016

Malheureusement, l’accomplissement de 2010 a Ă©tĂ© une expĂ©rience unique, et aprĂšs avoir finalement remportĂ© le trophĂ©e, Grampus a atteint son apogĂ©e et le dĂ©clin qui s’en est suivi a Ă©tĂ© rapide. Étant donnĂ© qu’il y a eu trĂšs peu de renouvellement des joueurs (Grampus a mĂȘme ajoutĂ© quelques joueurs talentueux en 2011 et 2012), il y a eu beaucoup de dĂ©bats sur les raisons de ce retournement de situation dĂ©sagrĂ©able. Bien sĂ»r, des questions telles que la participation Ă  l’ACL ont eu un impact, mais la raison principale peut simplement ĂȘtre le style de football que Grampus a jouĂ© sous Stojkovic. L’équipe comptait dĂ©jĂ  un certain nombre de joueurs de grande taille et physiquement imposants, et son manager s’est efforcĂ© de les Ă©toffer encore davantage. L’équipe a adoptĂ© une stratĂ©gie trĂšs simpliste, le « Route One Football », qui visait Ă  garder une feuille de match propre et Ă  marquer un ou deux buts sur des coups de pied arrĂȘtĂ©s. Cela a bien fonctionnĂ© en 2010, lorsque les adversaires ne se prĂ©paraient pas consciemment Ă  vaincre une telle stratĂ©gie, mais dĂšs que les entraĂźneurs adverses ont commencĂ© Ă  prĂ©parer des plans de jeu dans le but prĂ©cis de contrer la stratĂ©gie physique et dĂ©fensive de Nagoya, les retombĂ©es ont rapidement diminuĂ©. Grampus a bien terminĂ© Ă  la deuxiĂšme place en 2011, mais le dĂ©clin a Ă©tĂ© rapide.

Stojkovic est restĂ© Ă  la tĂȘte de l’équipe pendant deux saisons supplĂ©mentaires, mais Ă  la fin de l’annĂ©e 2013, l’équipe ayant chutĂ© dans la moitiĂ© infĂ©rieure du tableau, la direction de Grampus l’a remerciĂ© pour ses services et s’est mise Ă  la recherche d’un remplaçant. Au dĂ©but, le choix d’Akira Nishino pour reprendre l’équipe en 2014 semblait ĂȘtre une chance d’atteindre de nouveaux sommets. Nishino a connu un succĂšs considĂ©rable Ă  la fois Ă  Kashiwa Reysol et Ă  Gamba Osaka, donc naturellement les fans ont supposĂ© qu’il pourrait produire les mĂȘmes rĂ©sultats Ă  Nagoya. Le problĂšme, c’est que Nishino a hĂ©ritĂ© d’une Ă©quipe de joueurs dont les compĂ©tences et les tendances sont exactement Ă  l’opposĂ© de ce qu’il prĂ©fĂšre. MĂȘme Ă  Gamba, il lui a fallu plusieurs annĂ©es pour construire une Ă©quipe adaptĂ©e Ă  sa tactique, et dans ce cas, le travail de rééquipement a Ă©tĂ© encore plus important. Demander Ă  Josh Kennedy, Tulio Tanaka et Keiji Tamada de jouer un football offensif Ă  la Nishino n’était tout simplement pas faisable. Le nouvel entraĂźneur a fait quelques acquisitions qui ont amenĂ© des joueurs plus adaptĂ©s Ă  son plan de jeu, et le rĂ©sultat a Ă©tĂ© une lĂ©gĂšre amĂ©lioration en 2015 par rapport Ă  la performance de 2014. Mais le front office des Grampus n’était pas disposĂ© Ă  attendre deux ou trois annĂ©es supplĂ©mentaires pour que l’entraĂźneur restructure l’équipe Ă  son image. Nishino s’est donc retirĂ© Ă  la fin de l’annĂ©e 2015 et a Ă©tĂ© remplacĂ© par un ancien attaquant des Grampus et de la NT japonaise, Takafumi Ogura.

Les changements opérés par Nishino ont eu un certain impact.

Des vĂ©tĂ©rans comme Tulio, Tamada, Kennedy, Nakamura et Danilson sont partis, remplacĂ©s par des joueurs comme Kensuke Nagai, Kengo Kawamata et Tomoya Koyamatsu.Mais malgrĂ© une Ă©quipe plus Ă©lĂ©gante, plus rapide et plus offensive, l’entraĂźneur dĂ©butant Ogura n’a pas rĂ©ussi Ă  obtenir des rĂ©sultats ou Ă  faire en sorte que ses joueurs s’intĂšgrent Ă  l’équipe.Au lieu de cela, Grampus s’est enfoncĂ© dans les profondeurs du tableau et a succombĂ© Ă  la relĂ©gation pour la premiĂšre fois de son histoire, tombant en J2 en 2017.

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Remontée rapide et retour au top - 2017 / 2021

Le passage de Nagoya en deuxiĂšme division a Ă©tĂ© bref et a permis Ă  l’équipe de se dĂ©barrasser de vĂ©tĂ©rans vieillissants. Mais elle a Ă©galement incitĂ© de nombreux jeunes talents japonais de l’équipe Ă  rejoindre d’autres clubs. Lorsque les Red Whales sont revenus en premiĂšre division, en 2018, leur dĂ©pendance Ă  l’égard de quelques Ă©trangers Ă  prix Ă©levĂ© Ă©tait Ă©vidente pour les supporters comme pour les adversaires. Deux flirts consĂ©cutifs avec la relĂ©gation confirment la triste vĂ©ritĂ© : Grampus n’est plus un membre « sĂ»r » et stable de la J1.

Bien que les finances de l’équipe se situent toujours parmi les dix premiĂšres, Grampus n’a pas rĂ©ussi Ă  garder les jeunes talents dans la meute Orca. Alors que l’équipe s’apprĂȘte Ă  entamer le deuxiĂšme trimestre du « plan centenaire », la prioritĂ© absolue de Grampus doit ĂȘtre de dĂ©velopper sa base de supporters et d’acquĂ©rir la soliditĂ© financiĂšre nĂ©cessaire pour garder les jeunes vedettes dans les rangs de l’équipe.

Compte tenu de la population et de la puissance Ă©conomique de sa rĂ©gion d’origine, Grampus devrait ĂȘtre capable de construire un prĂ©tendant, au moins Ă  l’occasion, en canalisant les revenus dans le dĂ©veloppement des talents locaux.

Malheureusement, Nagoya n’a pas fait assez pour gagner le soutien de la base, malgrĂ© son statut de membre fondateur de la ligue.

La ville elle-mĂȘme souffre d’un problĂšme d’image, les jeunes en particulier Ă©tant enclins Ă  se dĂ©placer vers le Kanto (en particulier l’agglomĂ©ration de Tokyo) ou le Kansai, oĂč l’ambiance est plus excitante et oĂč les opportunitĂ©s de travail sont plus nombreuses.Si Grampus continue de nĂ©gliger la base locale et ne parvient pas Ă  donner aux supporters des raisons de soutenir les Red Whales, le club pourrait se retrouver dans la mĂȘme situation que d’autres fondateurs de la J1, comme Tokyo Verdy ou JEF United, qui se battent simplement pour rester en premiĂšre division.

Le club a su remontée au classement pendant la période covid en se hissant sur le podium.

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Une équipe de coupes - 2020 / 2024

C’est alors que Nagoya s’est transformĂ© en Ă©quipe de coupe. En effet si le club a connu des campagnes de J League positive et plutĂŽt bien classĂ©. Le club s’est offert deux J League Cup confirmant la bonne disposition sportive du moment. C’est trophĂ©e marque une pĂ©riode bĂ©nie ou la direction sportive engranga les bĂ©nĂ©fices de sa politique basĂ©s sur l’élargissement de la meute de l’orca et l’utilisation des finances de Toyota pour conserver plus longtemps ses jeunes au club.

Conscient du potentiel de cette Ă©quipe Jin Suzuki rĂ©cemment arrivĂ© Ă  la tĂȘte du club dĂ©cida de donner sa confiance Ă  Keito Hiraota pour son programme sportif. Le premier mercato du nouveau patron permis au club de rĂ©cupĂ©rer des talents japonais et brĂ©silien qui ont permis au club d’entamer un cycle dorĂ©e faisant de Nagoya le club de la dĂ©cennie 2020.

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L’équipe de la dĂ©cennie - 2024 / 2030

La politique sportive aggressive de Hiraota permis Ă  l’orca de se renforcer considĂ©rablement. Les arrivĂ©es de Shogo Asada, Sachiro Toshima, Leo Ceara, Taichi Fukui, Matheus Blanqui, Hayato Araki, Takeshi Kanamori, Claudio Ramos, Diego, Kai Chinen pour plus de 27M$ changea considĂ©rablement le rapport de puissance du championnat provoquant l’ire des historiques.

Cela mena le club a son premier triplĂ© Levain Cup - J League - Coupe de l’Empereur sur la saison 2024 au terme d’une saison historique. MenĂ© d’une main de fer par son coach Tetsuya Kamimura, le club de Nagoya a forgĂ© sa propre lĂ©gacy et va rĂ©gner sur le paysage local. En six ans Ă  la tĂȘte du club Kamimura va dĂ©velopper nombre de talents et remporter nombre de titres on citera notamment la J League 2025, 2026, 2027, 2028 ainsi que la Super Coupe en 2026, 2027, 2028 et 2029.

Sentant la génération sur la fin il décida de rejoindre le Vissel Kobe en 2029 mais le club ne mettra que deux ans pour relancer une nouvelle génération.

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Une meute d’orque affamĂ©e - 2029 / 2035

AprĂšs une pĂ©riode de mou de deux saisons, une nouvelle gĂ©nĂ©ration est arrivĂ© Ă  maturitĂ© Ă  l’orca sous le contrĂŽle de Takaashi Toda. Cette gĂ©nĂ©ration fut Ă  la tĂȘte de la deuxiĂšme pĂ©riode dorĂ©e du Nagoya Grampus permettant au club de devenir le club numĂ©ro 1 au Japon.

Sous sa coupe le club a remportĂ© la J League 2030, 2031, 2032 et 2034 mais aussi la Levain Cup en 2031, 2033 et 2035. Mais si les supporters vont se prendre d’une passion pour le Grampus c’est surtout car le club va rĂ©ussir Ă  rĂ©aliser plusieurs campagnes folles en Champion’s League se hissant systĂ©matiquement en demi finale de 2030 Ă  2035 se faisant systĂ©matiquement Ă©liminĂ©s par un club saoudien. C’est dans ce contexte qu’aprĂšs le dĂ©part de Toda pour Yokohama que Nagoya dĂ©cida de miser sur Anibal GuimarĂŁes pour continuer cette pĂ©rode dorĂ©e et tentĂ© d’enfin soulever ce trophĂ©e qui manque tant au club japonais.

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palmarĂšs

AprĂšs des dĂ©buts timides, le Grampus va petit Ă  petit construire l’un des palmarĂšs les plus solides du pays.

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:japan: :fujifilm_supercup: Fuji Xerox Super Cup 7 1996, 2011, 2026, 2027, 2028, 2029, 2035
:japan: :emperor_cup: JFA Emperor Cup 3 1995, 1999, 2024
:japan: :levain_cup: J League Levain Cup 4 2021, 2030, 2031, 2033
:japan: :jleague: J League 10 2010, 2024, 2025, 2026, 2027, 2028, 2030, 2031, 2032, 2034
:japan: :jleague2: J League 2 2 1972, 2017
:japan: :jleague: J LEague U18 4 2028, 2033, 2034, 2035
:japan: :jfa: Coupe Shakajin 2 1968, 1970
:japan: :jfa: TokaĂŻ Senior League 3 1966, 1970, 1971

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Identité du club

L’équipe a adoptĂ© le nom de « Grampus », un mot britannique archaĂŻque dĂ©signant les personnages ressemblant Ă  des gargouilles que l’on trouve sur les vieux chĂąteaux - en particulier, les gargouilles « dauphin-tigre » au sommet du chĂąteau de Nagoya, l’emblĂšme le plus distinctif de la ville.

Pendant des annĂ©es, le nom officiel de l’équipe a Ă©tĂ© « Nagoya Grampus Eight », et diverses raisons ont Ă©tĂ© donnĂ©es au fil des ans pour justifier l’utilisation du mot « Eight ». Certains ont suggĂ©rĂ© qu’il s’agissait des huit bras d’une pieuvre, mais comme Nagoya a adoptĂ© un orque comme mascotte, cette explication n’a guĂšre de sens. Il y a quelques annĂ©es, le site web de l’équipe affirmait qu’il faisait rĂ©fĂ©rence aux « huit principes de citoyennetĂ© de la ville de Nagoya », mais comme peu d’habitants de Nagoya ont entendu parler de ces principes, et savent encore moins ce qu’ils sont, cette explication ressemble Ă  un autre exercice consistant Ă  crĂ©er des explications pour un nom longtemps aprĂšs qu’il a Ă©tĂ© choisi.

En gĂ©nĂ©ral, le public et la presse ont toujours appelĂ© l’équipe « Nagoya Grampus », et au milieu des annĂ©es 2000, l’équipe a fini par admettre que « Huit » Ă©tait une distraction inutile. Assez ironiquement, l’équipe a choisi l’annĂ©e 2008 pour abandonner le mot « Eight » et devenir « Nagoya Grampus ».

Avec l’arrivĂ©e en J League au dĂ©but des annĂ©es 90, le club s’est dĂŽtĂ© d’une mascotte qui ressemble Ă  une orque ou un dauphin grampus. C’est restĂ© et le surnom du club est l’orca.

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Écusson du club

Le logo a connu plusieurs Ă©volutions dans son histoire. D’abord reprĂ©sentant Toyota son sponsor titre, il a Ă©tĂ© revu Ă  la crĂ©ation de la version moderne du club dans les annĂ©es 90 pour obtenir un logo dans le style classique britannique avec les armoiries du club. On retrouvais aussi une orque dans le logo.

Le club a subit un rebranding en 2023 et son logo a Ă©tĂ© modernisĂ© tout en mettant encore plus en valeur l’orca.

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Maillots

Le club est de longue date équipé par Mizuno, la marque locale et a toujours eu un sponsor principal en lien avec la marque Toyota issus de Nagoya.

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Le stade - Toyota Sutajiamu

Il a Ă©tĂ© construit en 2001 et sert souvent de domicile au club de J1 League Nagoya Grampus. Le stade est spĂ©cifique au football, ce qui confĂšre aux matches une aura footballistique authentique. Toutefois, sa situation en dehors de la ville de Nagoya ne lui permet pas de consolider la base de supporters du club dans sa ville d’origine, telle qu’elle est dĂ©crite.

Il est également utilisé par Toyota Verblitz, une équipe de rugby à XV de la Japan Rugby League One.

Son toit est unique en ce sens qu’il se plie comme un accordĂ©on ; cependant, le toit n’a jamais Ă©tĂ© fermĂ© depuis 2015 en raison des coĂ»ts supplĂ©mentaires pour l’entretien.

Le Toyota Stadium est l’un des sites de la Coupe du monde des clubs de la FIFA (anciennement Coupe Toyota). Le stade a Ă©galement Ă©tĂ© utilisĂ© comme l’un des sites de la Coupe du monde de rugby 2019, la premiĂšre Coupe du monde de rugby Ă  se dĂ©rouler en Asie. Lors des Ă©vĂ©nements de la Coupe du monde de rugby, le stade a Ă©tĂ© appelĂ© « City of Toyota Stadium » pour Ă©viter toute confusion, comme si le nom du stade Ă©tait une forme de droits d’appellation par Toyota Motor Co. alors que ce n’est pas le cas.

Toyota_stadium

LÉGENDE
NOM Allianz Parque
INAUGURATION 2001
TAILLE 44 692 Places
PLACES ASSISES 44 692 Places
état TrÚs Bon

- 怋äșșăźèš˜éŒČ -
Records individuels

Voici le Hall of Fame du Nagoya Grampus, on y retrouve pas mal de joueurs formé au club.

On y retrouve de sacrés noms comme .

- æœ€ć€šă‚­ăƒŁăƒƒăƒ—ăƒ—ăƒŹă‚€ăƒ€ăƒŒ -
joueurs les plus capés

-
Nat Nat Identité APP buts
:japan: Seigo Narazaki 660 0
:japan: Taichi Fukui 463 49
:japan: Naoshi Nakamura 442 38
:japan: Yoshizumi Ogawa 375 52
:japan: Ryuta Kuroda 361 10
:japan: Tetsuya Okayama 353 69
:japan: Keiji Tamada 351 89
:japan: Yoshihiro Azuma 340 4
:japan: Kazuya Kurokawa 336 120
:japan: Junpei Atsumi 331 22
:japan: Kento Nakamura 322 19
:japan: Shinnosuke Nakatani 322 10
:japan: Hayato Seto 315 8
:japan: Takahiro Masukawa 315 15
:japan: Jun Osaka 310 25

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- トップă‚čă‚łă‚ąăƒ©ăƒŒ -
Meilleurs buteurs

-
Nat Nat Identité APP Buts
:japan: Taichi Hara 239 125
:japan: Kazuya Kurokawa 336 120
:brazil: Ueslei 151 100
:japan: Keiji Tamada 351 89
:thailand: Surat Srijan 246 85
:japan: Kensuke Nagai 300 78
:australia: Joshua Kennedy 155 72
:japan: Tetsuya Okayama 353 69
:serbia: Dragan Stojkovic 225 68
:japan: Yazsuyuki Moriyama 217 68
:japan: Takashi Hirano 261 55
:japan: Hiroshi Ono 254 52
:japan: Yoshizumi Ogawa 375 52
:japan: :brazil: tulio 225 52
:japan: Taichi Fukui 463 49

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- æœ€é«˜ăźăƒ‘ă‚”ăƒŒ -
Meilleurs Passeurs

-
Nat Nat Identité APP P.D
:japan: Taichi Fukui 463 49
:japan: Kento Nakamura 322 19
:japan: Kensuke Nagai 300 47
:japan: Yoshizumi Ogawa 375 46
:brazil: Matheus Bianqui 280 29
:australia: Joshua Kennedy 155 37
:brazil: Gabriel Xavier 137 37
:japan: Ryuji Izumi 182 24
:japan: Taishi Taguchi 199 34
:japan: Naoki Maeda 190 23
:japan: Keiji Tamada 351 30
:japan: Junpei Atsumi 331 22
:japan: Toshiyuki Yokochi 220 6
:japan: Takashi Uchino 137 4
:brazil: Mateus 173 29

NOM – ENCORE AU CLUB
PRENOM – FORMÉ AU CLUB

- ăƒˆăƒŹăƒŒăƒ‹ăƒłă‚°ă‚»ăƒłă‚żăƒŒ -
Centre de formation

Le Nagoya Grampus a toujours Ă©tĂ© rĂ©putĂ© comme Ă©tant l’un des meilleurs centre de formation du Japon. Rien que dans les all of famers du club Yokoshi, Atsumi, Ogawa, Ono, Okayama, Osaka, Seto, Azuma le sont. La lĂ©gende japonaise Keisuke Honda est elle aussi formĂ© au club.

- Chapitre 418 -
- Anibal s’engage avec Nagoya -
- Chapitre 420 -
Coming Soon - 10/12
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