:storygreen: :s18: 🇵🇹 :vianense: O Leão de Lisboa

Réponses aux lecteurs

@alexgavi oui c’est tentant mais le background pourrait s’avérer complexe.

@Sythax on verra si sa femme lui impose des choix ou pas :hoho:

@Manthyz oui a voir ce qui est dispo aussi. reste quand mĂŞme la contrainte ingame.

@CaptainAmericka il a fait son choix ce hmar. on verra ce que ça aura donné dans quelques saisons.

@Rhino pourquoi pas, mais faut un poste dispo dans un club qui a des ambitions. si j’y vais pour une periode courte faut qu’il y ai des trophées à gagner. C’est vrai pour tout club ceci dit.

@celiavalencia c’est aussi ce qui joue en défaveur de ces pays.

- Saldanha en stage de validation d’acquis -

Sous le soleil éclatant de São Paulo, le centre d’entraînement de Palmeiras était en effervescence. Anibal Guimarães et Gabriel Jesus, le directeur sportif, orchestrèrent le mercato d’une main de maître. Ensemble, ils avaient réussi l’impossible : convaincre William, l’ailier virevoltant, et Gilson, le jeune prodige en attaque, de finir la saison au club malgré les nombreuses offres alléchantes venues d’Europe.

Le duo de dirigeants avait su utiliser tout son charisme et son sens de la persuasion pour maintenir une équipe compétitive et prête à relever les défis continentaux et nationaux.

« William, je sais que Chelsea te veut, et l’Inter te suit de près, » avait dit Anibal lors d’une longue discussion avec son joueur. « Mais ici, tu es la clé de notre succès. Nous pouvons encore accomplir de grandes choses ensemble. Imagine la légende que tu deviendras si tu nous aides à remporter une nouvelle Copa Libertadores. »

William, touché par les paroles de son coach, avait fini par hocher la tête, ému par la passion qu’Anibal portait pour Palmeiras. Gilson, lui, avait été plus difficile à convaincre. Le jeune attaquant rêvait de l’Europe, mais Anibal et Gabriel Jesus lui avaient promis un plan de développement ambitieux, un tremplin idéal avant de s’envoler pour le Vieux Continent.

Pendant ce temps, un autre membre essentiel de l’équipe d’Anibal préparait une aventure qui allait marquer un tournant dans sa carrière. Saldanha, l’adjoint d’Anibal et futur coach désigné de Palmeiras, avait pris la décision de franchir une étape cruciale pour valider son diplôme d’entraîneur. Grâce aux connexions d’Anibal, Saldanha s’apprêtait à vivre une expérience unique : un séjour en Europe, où il allait suivre de près la préparation et le début de saison du Real Valladolid, mentoré par nul autre que Pep Guardiola.

Le départ de Saldanha avait été un moment émouvant. Anibal, qui voyait en lui plus qu’un simple adjoint, un héritier spirituel et un homme de confiance, avait longuement parlé avec lui avant son envol pour l’Espagne.

« Saldanha, ce que tu vas vivre à Valladolid avec Pep est une opportunité en or, » lui dit Anibal en lui serrant la main, le regard empli de fierté. « Observe tout, absorbe tout ce que tu peux. Mais n’oublie jamais qui tu es. Tu es Saldanha, un enfant de Palmeiras, un homme de principes et de talent. Reviens-nous avec de nouvelles idées, prêt à nous aider à aller encore plus loin. »

Saldanha avait souri, un mélange de nervosité et d’excitation se lisant sur son visage. « Merci, Ani. Je te promets de donner le meilleur de moi-même et de revenir plus fort. Et qui sait ? Peut-être que Guardiola aura des conseils à partager pour nous. »

L’arrivée de Saldanha en Espagne avait été tout aussi marquante. Pep Guardiola, bien que maintenant en charge de Valladolid, avait chaleureusement accueilli le jeune entraîneur brésilien, intrigué par la réputation que Saldanha avait déjà acquise aux côtés d’Anibal. Saldanha suivit les sessions d’entraînement avec une attention méticuleuse, étudiant les méthodes du légendaire coach catalan, tout en partageant ses propres expériences du football sud-américain.

Pour Valladolid, ce partenariat temporaire n’était pas seulement un moyen de partager des idées tactiques, mais aussi de renforcer les liens avec Palmeiras, un club qui se maintenait au sommet sous la direction d’Anibal. Guardiola, avec son éternel sourire et sa passion pour le beau jeu, appréciait les échanges intellectuels avec Saldanha.

« Vous avez une philosophie unique là-bas, » confia Pep un jour à Saldanha, alors qu’ils discutaient sur le terrain d’entraînement. « Cette intensité, cette créativité… Apprenons les uns des autres, c’est comme ça que le football évolue. »

De retour à São Paulo, Anibal continuait de jongler avec les multiples enjeux de la saison. Bien que le départ temporaire de Saldanha créait un vide, il était aussi synonyme d’une croissance future pour son adjoint. Anibal savait que, lorsque Saldanha reviendrait, il serait prêt à prendre les rênes, enrichi par son expérience européenne.

Le plan d’Anibal était simple mais ambitieux : consolider l’équipe, préparer la transition, et, surtout, viser encore plus haut. La saison de Palmeiras s’annonçait palpitante, et avec la stabilité des joueurs clés comme William et Gilson, et l’apprentissage de Saldanha auprès de Guardiola, tout semblait possible.

Les défis ne manqueraient pas, mais Anibal avait toujours aimé l’idée de transformer l’incertitude en opportunité, de forger des destins en or avec ceux qui lui faisaient confiance. Et tandis que le soleil se couchait sur São Paulo, il sentait que cette saison serait une autre grande aventure dans son incroyable parcours.

- Chapitre 392 -
- Anibal prépare l’avenir avec Rafaela -
- Chapitre 394 -
Coming SOON - 27/11
13 « J'aime »