Réponse au lecteur
@Rhino ah bah ça clairement.
Alors qu’Anibal visitait une énième villa sur les hauteurs de São Paulo, évaluant chaque recoin à la recherche du havre idéal pour sa famille, son téléphone se mit à vibrer. L’affichage ne révélait pas l’identité de l’appelant, mais la voix qui se fit entendre dès le premier “Allô” lui semblait étrangement familière. C’était Michael Edwards, l’homme qui avait, en quelque sorte, été son allié dans les moments de gloire et de tempête à Valladolid. Edwards, directeur sportif du Real Valladolid, commença par des salutations sincères, témoignant de son amitié et de son soutien indéfectible pour son ancien coach.
“Anibal, je ne pouvais pas laisser passer cette occasion sans te parler directement,” entama Edwards avec un ton chaleureux, mêlé d’un brin de nostalgie.
“Michael, c’est toujours un plaisir de t’entendre,” répondit Anibal en s’installant sur un fauteuil d’un bar de plage à proximité de la villa, ses yeux parcourant distraitement la vue sur São Paulo tout en se concentrant sur la voix de son ancien collaborateur.
Après quelques minutes d’échanges sur leurs souvenirs communs et sur la situation à Valladolid, Edwards aborda l’objet de son appel. “Dis-moi, Ani, que penserais-tu de l’arrivée d’Auribertinho chez toi, à Palmeiras ? Le gamin traverse une passe difficile ici, il n’arrive pas à retrouver sa forme habituelle, et cela pourrait être bénéfique pour lui de changer d’air, de retrouver un cadre qui pourrait l’inspirer.”
Anibal, intrigué, écouta attentivement. Auribertinho, malgré son jeune âge, avait toujours montré un talent prometteur, et le voir rejoindre Palmeiras pourrait effectivement apporter une nouvelle dynamique à l’équipe.
“Michael, tu sais que j’ai toujours de la place pour les jeunes qui veulent se battre et s’améliorer, mais j’aime aussi la compétition. Je peux te promettre une chose : ici, il jouera s’il le mérite. S’il montre de la détermination et s’investit, il aura sa place. Je serai juste avec lui, mais je ne peux pas lui garantir un statut de titulaire. Il devra gagner sa place,” répondit Anibal, un sourire aux lèvres, sachant bien qu’Edwards apprécierait cette franchise.
Edwards hocha la tête de l’autre côté du téléphone, satisfait. “C’est tout ce que je voulais entendre, Ani. Je vais finaliser tout cela et m’assurer qu’il arrive chez toi dans de bonnes conditions. Je sais qu’il est entre de bonnes mains.”
Quelques jours plus tard, Anibal accueillit Auribertinho à l’entraînement. Le jeune joueur arrivait avec un mélange d’appréhension et de motivation, sentant bien que ce nouveau chapitre au Brésil pourrait être un tournant dans sa carrière. Lorsqu’Anibal le vit arriver, accompagné de Saldanha et Javi Sanchez, il s’approcha, un sourire bienveillant sur le visage.
“Bienvenue à Palmeiras, Auribertinho. Prêt à prouver ce que tu vaux ?” demanda Anibal en lui tapant amicalement sur l’épaule.
Auribertinho acquiesça avec un sourire nerveux mais déterminé. “Oui, coach, je suis prêt. Merci pour cette opportunité. C’est un plaisir de vous retrouver ici. -”
“Souviens-toi, ici, tu as une chance de grandir et de devenir meilleur. J’ai confiance en toi, mais chaque minute de jeu, tu devras la mériter. Montre-nous ce que tu as dans le ventre et profite de chaque instant, Il te faudra convaincre Saldanha si tu veux rester ici durablement.” répondit Anibal, ses yeux pleins de ce feu qui inspirait tant ses joueurs.
Alors qu’ils se dirigeaient vers le terrain, Saldanha et Javi, ses adjoints, lancèrent quelques mots d’encouragements au jeune milieu de terrain. Saldanha, qui était particulièrement enthousiaste à l’idée de voir Auribertinho évoluer sous leur houlette, glissa à l’oreille d’Anibal : “Je suis persuadé qu’on peut lui apporter ce qu’il cherche ici. Il a besoin d’un déclic, d’un encadrement solide, et je suis sûr qu’il est venu au bon endroit.”
Anibal acquiesça, son regard perçant se posant tour à tour sur Auribertinho et sur l’étendue verte du terrain de Palmeiras. Ce nouvel élément dans son équipe représentait un défi de plus, mais c’était exactement ce qu’il aimait. Le défi, le talent brut, le potentiel. Et tandis que les joueurs s’échauffaient pour cette première séance avec Auribertinho, Anibal savait qu’un nouveau chapitre s’écrivait pour Palmeiras et pour lui-même.


- - - Auriberto |
de Jesus - - - |
Âge | 24 |
Nationalité | ![]() ![]() |
valeur | 50-59M€ |
Salaire | 391 k€/m |
Fin de contrat | 30 Juin 2037 |
ANNEES | CLUB | APP | Buts | Assist | ||||
![]() |
26/29 | [U19] | ![]() |
Gremio Porto Alegre | 170 | 8 | 22 | |
![]() |
26/29 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Gremio Porto Alegre | 20 | 0 | 1 |
![]() |
29/35 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Real Valladolid | 149 | 6 | 12 |
![]() |
33/34 | ![]() |
[PRO] | ![]() |
Manchester United | 4 | 0 | 0 |
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26/31 | ![]() |
[U20] | ![]() |
Brésil | 29 | 9 | 6 |
26-35 | TOTAL - - - - - - - - - - | 173 | 6 | 13 |