:storyred: :s2: 🇬🇧 God Save The Queen

Tu as une mission! Transformer Ebere Eze en star de Premier League!

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Bon chance

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Yes Sir ! QPR :+1:.
Et bon étant fan du Clash , j’aime beaucoup ton titre

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@xTeh va-t-il réussir à faire marquer Jordan Hugill ? Voilà le mystère !

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Answering my fellow readers

Ah ah, je savais pas qu’on était aussi lié dans le choix de nos parties respectives, moi Mouscron, toi la Suède, pays que j’adore, et là tu vas pas loin de Loftus Road ? Stylé ! Have a nice trip :smirk:

C’est mon but oui ! J’ai vraiment envie de construire mon effectif autour de lui, c’est une grosse star, qui est aussi bon MOG que MOC. Mais le West Ham de @Irons est dessus, je crois avoir besoin de gros résultats tout de suite si je veux le convaincre de rester. On verra bien !

Merci l’ami ! En espérant faire aussi bien que toi chez les Black Cats :wink:

Eh, il faut avoir une bonne culture musicale, c’est important :smiley: Tiens ça me donne une idée, marquer mes posts avec des titres de chansons de ces années là, à méditer :thinking:

Ahahaha tu verras bien, c’est vrai que ça saison IRL est pour le moins… Blanche. Tiens d’ailleurs, j’ai hésité à partir avec Millwall, mais je me suis dit que l’un des admins du forum allait pas être trop trop d’accord :sac: Bon au final, QPR c’est pas si mal hein !


Merci pour l’accueil de la story !

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London Calling

2019-06-02T00:00:00Z Ă  Mouscron

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C’est la dernière réunion avec les joueurs avant les vacances. Bien sûr, nous avons tous mal digéré cette défaite contre Roulers. Une D2 nous colle deux buts de suite à la 118’ et la 119’. Rageant, surtout à la vue de notre saison. Mais pas question d’en faire tout un drame.
''Souvenez-vous d’où on vient les gars. Peu importe si on aurait dû mériter mieux ou pas. Il faut se dire que c’est le football, tout peut arriver. La victoire comme la défaite. Un transfert à Chelsea comme rien du tout. Une blessure comme un trophée. Ce qu’il faut, c’est savoir se ressaisir. C’est le plus important. Je ne veux pas que vous partiez en vacances avec cette tête là. La saison a été longue, dure, mais on n’aura pas démérité. On fera mieux la saison prochaine, croyez-moi."

L’ambiance morose laissa peu à peu sa place à un peu de relativisme. Surtout considérant notre début de saison plus que difficile. Le temps était aux vacances désormais, enfin, pas pour tout le monde, parce que une semaine passée dans ma maison en banlieue de Mouscron (ou d’ailleurs aussi en banlieue de Lille, ce n’est qu’une question de point de vue…), mon téléphone sonna.


Pas cette sonnerie du téléphone perso, où un ami, ma copine ou un membre de ma famille pouvait m’appeler pour organiser un repos mérité en pleine campagne bressane, en allant voir un match ou deux au Parc des Sports du Bram de Louhans, non. Cette sonnerie du téléphone pro qui ne me lâche pas d’une semelle, même un soir de Noël à 23h59… Sérieux.

Sauf que oui, c’était du sérieux. Un numéro inconnu. Pas le président, pas mon adjoint, pas un de mes joueurs, non un numéro masqué visiblement Outre-Manche. +44 020 8743 0262, « London, England » étaient les chiffres et les lettres écrites sur mon écran.

« Allo ? »

« Good morning sir. Am I talking to Mr Exteahhh ? »

« Oh okay we’re doing english so, yes I’m sure I am. »

« We saw in the Job Center website that you were available and interested for a new challenge, is that it ? »

Pardon ? Si je suis intéressé pour quitter Mouscron et m’en aller ailleurs. Surtout à Londres… Je ne connais même pas la ville. Et puis pour quel club ? Arsenal, mon club de cœur ? Non, impossible. Qui serait intéressé pour un manager de Belgique ayant tout juste échoué à accrocher l’Europe. Sûrement Luton Town, nouveaux promus en D2 ou Leyton Orient en D4. Sûrement pas un club de PL…
« Well, yes it was somewhat thinkable yes, but nothing very certain yet. I’m quite happy to be in Belgium right now, I have no plans of leaving where I am to be honest. »

« Oh well this is not what we were expecting really. Our president is very much interested in you, and… I will send you the stadium adress. Please consider our proposal. Have a nice day. »

Ouais, bon. Assez autoritaires ces anglais… Je dois réfléchir à une offre que je n’ai jamais considéré auparavant. Il faudra que l’offre soit difficile pour ne pas être refusable. Du genre Crystal Palace ou West Ham. Après tout, vu l’état des finances au Canonnier, difficile de ne pas rêver mieux. Au pire, ça fera une semaine de vacances à Londres, non ?

Je me résolut à en parler à ma copine. Après tout, c’est ensemble que nous devons prendre la décision. Mais, sans surprises, ça ne la dérange visiblement pas de quitter la Belgique pour Londres. Quelle femme n’aime pas la belle capitale anglaise ? Où ais-je rendez-vous déjà ? Ah oui, South Africa Road, London.

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Je me disais bien que ça me rappelait quelque chose.
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Club Statement - Queens Park Rangers

2019-06-17T00:00:00Z


Le club et Steve McClaren ont décidé de mettre fin à leur engagement mutuel après douze mois de collaboration. Le club remercie McClaren pour son investissement dans la réussite du club et lui souhaite bonne chance pour la suite de sa carrière.

Le club remercie aussi les supporters pour leur patience dans ce moment décisionnel important pour le futur de l’entité QPR.

Mr xTeh, jeune entraîneur passé par les clubs de Marignane Gignac et Royal Excel Mouscron prendra les rennes de l’équipe première avec effet immédiat et fera connaissance avec le staff technqiue et les joueurs au Kiyan Prince Foundation Stadium au lendemain de sa prise de fonction. Nous avons conclu un accord d’un an, assorti d’un salaire à la hauteur de 37,5k€/mois.

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Eviter de lutter pour le maintien… Je pensais que les dirigeants étaient un peu plus ambitieux.

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Pour être honnête, moi aussi. En vérité, le club sort d’une saison très difficile avec Steve McClaren (ancien coach de Newcastle) et de fait, même IRL, le board ne voulait pas revivre une saison pareille. Mais j’ai élevé plus tard mon objectif, en passant à « Milieu de tableau ». Ça m’a donné 1M€ de budget transfert en plus et 90k€ de salaire disponible, j’ai pas craché dessus… :sweat_smile:

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En seconde division, tu finis forcément devant un club de merde : Millwall.

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bonne chance, j’aime ce club

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Une story en Angleterre. Avec les Rangers. Je suis.

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Pas trop fan de ce club, je te souhaite tout de mĂŞme bonne aventure Ă  toi! Je suivrai :v:t3:

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Bon courage dans cette galère qui est la Championship!
Je suis également étonné du peu d’ambition des dirigeants, ça m’arrive de les voir monter dès la première saison

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Bon courage dans cette partie avec mon club préféré en Angleterre !

J’ai moi même une partie avec eux en ce moment, les finances sont clairement le point compliqué du club ! Et bon courage pour garder Eze, j’ai dû le lâcher en fin de première saison après avoir fini à la première place de non barragiste :sleepy:

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Answering my fellow readers

:joy: c’est pas dit qu’ils montent en PL avant moi, ça serait terrible remarque

Merci Ă  toi !

C’est que ça a du succès les Rangers ici :eyes: Merci :wink:

Ah, ou pas en fait :sac: Il en faut bien un ou deux qui n’aiment pas :joy:
Merci de pouvoir surpasser tes sentiments pour voyager avec nous :wink:

Oh oui c’est une sacré galère en effet. Mais j’aime beaucoup ce championnat, peut être plus que la Premier League. Il y a quand même beaucoup de joueurs internationaux, de grands talents et de très bons coachs comme Pep Clotet, Slaven Bilic, Martin O’Neil, Neil Harris ou encore celui que tu incarnes, El Loco bien sûr.
Mais c’est bien, ce championnat nous apprend à ne pas nous décourager après une défaite cuisante contre Brentford (oui oui, moi aussi tu verras, sauf que pour moi, c’était un derby :sweat_smile:

Oui j’ai remarqué n’avoir que 8M€ de solde en début de partie, sans transferts qui seront portant essentiels pour amener de la profondeur et de la qualité à l’équipe, donc oui, les finances seront une galère. J’espère que le board malaisien ne sera pas trop radin, et pourra me subventionner pour nous préparer à jouer les playoffs.
Merci pour ton expérience aussi, j’ai bien peur de ne pas pouvoir garder Eze très longtemps non plus. J’ai de plus en plus de clubs de PL dessus… :crossed_fingers:


Merci pour cet incroyable suivi ! Je ne m’y attendais pas du tout, surtout pour avoir laissé la plume de côté pendant 8 mois, le temps d’éponger ma grosse charge de travail. Ca me pousse à continuer, alors merci encore !

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Tu fais trop le mec à anglicaniser ton pseudo qui, quand on le prononce, est composé de 2 lettres de l’alphabet… Tu peux pas faire plus simple :joy:

Mais non c’est le gars qui parle anglais qui essaye de prononcer rhooo t’as pas compris :pleading_face: (bon cela dit niveau narration c’est pas élaboré :sac:)

Entre Passion, Gloire et Malheurs

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Pour les amateurs d’histoire footballistique, voici un (long) résumé de l’histoire que QPR trouvée sur le Wiki anglais du club et vérifié selon l’histoire affichée sur le site officiel.

Mythe fondateur

Le club est fondé officiellement en 1886 de la fusion entre Christchurch Rangers (fondé en 1882) et St Judes FC (1884), cependant, parce que la nouvelle entité nommée Queen’s Park Rangers, en référence au quartier de Londres dans lequel le club a été fondé, reprend la structure de Christchurch, QPR est considéré comme né en 1882.

Après s’être installé à White City, Londres-Ouest, QPR obtient son statut professionnel en 1889 et connaît vingt stades différents (record dans l’histoire du foot anglais), avant de s’installer à Loftus Road en 1917, et d’y écrire son histoire…

L’arrivée d’Alec Stock

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Jusqu’aux années soixante, le club est un membre durable des Lower Leagues, notamment la Third Division Sth, mais écrit sa plus large victoire 9-2 contre Tranmere, et connaît le joueur le plus capé de son histoire Tony Ingham (519 apps) durant cette longue période. Mais l’arrivée de l’entraîneur Alec Stock va tout changer.

De l’effectif jusqu’aux installations, Stock reconstruit, et en 1967, QPR remporte la Third Division et la League Cup contre West Brom (3-2), son seul titre majeur à ce jour.

En 1968, QPR obtient son ticket pour la Premiership mais ne restera qu’une seule saison, ce qui ne l’empêchera pas de s’installer durablement en Second Division.

Le club connaît une glorieuse génération de joueurs, des Tony Venables aux Phil Parkes, en passant par Don Givers et Dave Thomas.

Lumières européennes & arrivée de Tony Venables

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Stock parti, Dave Sexton prend sa place et hissera QPR à la deuxième place du Premiership (1975/76) avec 7 internationaux anglais, derrière le géant Liverpool. Il connaît une demi-finale de Cup et un quart de finale d’UEFA Cup contre l’AEK Athènes (défaite après avoir emporté le match aller 3-0). Son départ marque la relégation de QPR en D2.

Tony Venables reprend l’équipe en main et lui donne une finale de FA Cup face aux Spurs (1982), puis un retour en Premiership, suivi d’un retour en UEFA Cup entre 1982 et 1984. Il fait des R’s un club durable de D1 avant de s’envoler pour Barcelone.

QPR garde sa place dans la division reine, manquant de peu l’Europe en 1988 à cause du désastre du Heysel Stadium.




Dans les années 1990, le club traverse une période sportive sans grands rebondissements, avec des joueurs emblématiques, comme Gerry Francis, Ray Wilkins ou Les Ferdinand (désormais Directeur Sportif), mais fait partie du corps des clubs fondateurs de la nouvelle Premier League en 1992.

Cela n’empêchera malheureusement pas sa relégation à la fin des Nineties.

The Yo-Yo years

Ian Halloway, nouveau manager du club Londonien sera retenu comme l’échec majeur des vingt dernières années du club, n’empêchant pas la relégation de QPR en League One. Le club connaît une période très difficile, entre difficultés financières profondes allant jusqu’à une mise en redressement judiciaire, ou des scandales extra-sportifs comme l’assassinat du jeune Kiyan Prince.

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Racheté par Flavio Briatore et Bernie Ecclestone, et emmené par Luigi Di Canio sur le banc de touche, le club se relance, pourchassant un retour en Premier League à la fin des années 2000. L’objectif acquis, le bonheur ne sera qu’éphémère, puisque QPR replonge dans ses travers de 2003, connaissant 4 entraîneurs en 1 an, dont Paulo Sousa, et des graves problèmes financiers.

Le sauveur financier se nomme alors Tony Fernandes, un businessman malaisien alors propriétaire de l’écurie Caterham F1 Team (tiens donc), cependant, le club connaît encore une période de yo-yo, oscillant entre le Championship et la Premier League avec un nombre d’entraîneurs faramineux : Harry Redknapp, Mark Hughes ou Neil Warnock , mais avec des joueurs qui auront marqué Loftus Road, comme Bobby Zamora (avec ce but victorieux en finale des playoffs), Charlie Austin ou encore Adel Taarabt.

Aujourd’hui, le club garde difficilement sa place en Championship, jouant avec la peur de descendre en League One. Sous Steve McClaren, le club a fini à une malheureuse 19e place à 11 points de la zone de relégation. À nous d’écrire la suite…

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Super interressant. Je ne connaissais que de nom ce club. Me voici un peu plus au courant

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